DIEU et dieu.

Publié le 17 Mai 2019

Je vais parler des Dieu,  mais celui des Athées.
Et oui ils ont un dieu. C'est con à dire mais il y n'a qu'eux à ne pas le savoir. Personnellement je ne suis pas croyant, mais je ne suis pas con au point de croire que je ne suis pas croyant. Bien sûr que je crois en Dieu comme tout le monde. 

Comment peut-on penser pouvoir vivre sans Dieu.

 Ce n'est vraiment pas sérieux. Ce n'est pas sérieux au points que Freud a  créé pour  ceux qui ne s'y retrouver pas entre tous les Dieux, le Totem, avec son talmud, ses évangiles, son coran,  (aller je l'ajoute, Bouddha était aussi fils de Dieu non), son bouddhisme, les Tabous.
Et voilà c'était fait le Dieu de l'être, le Dieu de l'âme.
Putain de Dieu s'il était né au temps de l'ancienne Grèce, au temps de Parménide, l'on aurait gagné des siècles. Nous aurions eu l'explosion des bombes atomiques plutôt, alors que là nous les attendons. Nous aurions redémarré une civilisation avec des hommes nouveaux, qui en regardant les vestivjges d'une centrale nucléaire diraient : " C'est là qu'ils adoraient le Dieu Électricité". Que voulez-vous, il nous faut attendre. 

Les hommes croient avoir le libre arbitre, mais ce ne sont pas eux qui décident. 

Ils font seulement un choix parmi ceux que mettent en évidences l'ensemble des évènements survenus dans l'environnement, auxquels ils contribuent comme toutes choses.
Nous savons comment cela se passe. Nous avons pour de multiples raisons, envies d'agresser un pays, nous attendons de pouvoir juger une de ses actions comme agressive pour pouvoir lui claquer la gueule.
Il va donc nous falloir attendre d'élire ce frapadingue, pour faire péter la bombe. Les allemands ont attendu 300 ans pour accoucher d'un petit moustachu.
 Nous nous avons des moyens modernes d'en accoucher d'un plus rapidement. À l'aide de l'insémination artificielle, si naturellement on en trouve pas un au cas où avec l'IVG notre élu serait partie au WC.

Un Paradoxe.

Le paradoxe c'est que ce sont des religieux qui ont inventé ces armes et que ce sont des Athées qui risquent de utiliser. Alors messieurs les Athées soyez convaincus que vous étés des croyants.
Comme moi, vous êtes attachés aux droits de l'homme, ce ne sont pas les Athées qui l'on écrite, mais des croyants. Ceux qui croyaient en l'être suprême

Allons faut être honnête, vous leurs faites la gueule depuis 1905 pour leur taper leurs biens.

Faut être sérieux nous savons qu'avant le big bang, 
il y a Dieu. 

Si c'est le nom qui nous gêne appellons le l'indéfinissable. Car en fait c'est bien de cela qu'il s'agit. Tous sont d'accord la dessus, l'on ne peut ni le nommer, ni le r.eprésenter. Il faut attendre qu'il se manifeste. 
Le premier fut Abraham, ensuite Moïse, puis, Jésus et enfin Mahomet, Bouddha lui s'en est inspiré. Par contre les astrophysiciens eux l'ont trouvé, le big bang, l'origine de la création.
Superbe, alors les hommes en laboratoire ont recréé le big bang. Merveilleux ils confirmaient ainsi que l'homme était à l'image de Dieu.
Dieu crée le big bang et l'homme aussi. 
L'homme est donc un dieu, et comme les Athées croient en l'homme conclusion ?

C'est bien ce que je disais les Athées sont croyants.

Mon dieu si un Athées me lit il va en tomber malade.
Une fois de plus l'on a reculé Dieu, au-delà du big bang que l'on ne sait où il se trouve. Voyageur n'y est pas encore arrivé, et on sait que l'homme n'y est pas, car dans le labo aucun n'est sortie de la cuillère.
Cela va devenir difficile d'imaginer que Dieu à fait l'homme à son image, puis cet homme a dit que l'on ne pouvait pas le représente. Vous imaginez des hommes sans visage. Pourtant de son temps ,  à son époque les mirroirs existaient, et un homme en se voyant ne pouvait ignorait comment était dieu. 
J'ai réfléchi à la question et je reste convaincu que c'est, parce que chacun aurait dit que c'est à lui que Dieu ressemblait.
Sans déconner quand je vois la tronche de mon beau frère si Dieu devait lui ressembler, plus con que lui tu meurs. Tous compte fait cela ce pourrait bien être ça, vu le nombre de conneries qui nous font nourrir. Et puis un jour en boîte, il me dit : tu vois la femme là bas et bien j'ai la côte.
Je ne crois pas qu'il n'y ait pas de Dieu et qu'il puisse y avoir des hommes qui ne croient pas. Mais voilà au lieu de ressembler à Dieu ils ressemblent à mon beau frère. Bon j'ai exagéré il n'est pas laid du tout, mais il est facho et raciste. C'est ce qui le rend laid et à force de se taper ma côté il l'a fêlée.

Comment nous en sortir.

Ou plutôt comment m'en sortir pour redevenir sérieux et rester sur le sujet de la croyance. Des que nous ouvrons les yeux nous croyons. Elle nous attache à tout, elle nous relie au Tout. La croyance est un attracteur, nous naissons avec. 
Ceux qui veulent l'emprisonner dans des représentations, y compris dans celle des l'hommes, se trompent. 
Espérer en l'humain pour qu'il ne cherche pas ailleurs les réponses qu'ils détient et déjà en soit un saut de l'ange si je puis dire.
L'homme est inspiré par ce qui le dépasse et dont il en a conscience en étant UN au milieu de Tout.
Le regarder comme un Toutun, c'est déjà rétablir cette représentation dont je me moquais avec mon beauf.
Ce lien que je viens d'établir entre une vision séculaire ou Dieu fait l'homme à son image, celle avec le Tout dans lequel se déploie l'homme, montre combien il est difficile d'échapper à notre propre structure innée qui nous commande de croire en quelque chose.
 Nous ne nous querrellons donc pas pour le fond, et est dramatique de voir que nous en sommes encore là.

La vie nous conduit toujours à honorer ce dont l'on perçoit être dépendants.

Pour L'enfant qui naît dieu c'est la première personne qu'il voit et le nourrit. Si c'est un canard il fera coin coin en bougeant du cul. Dieu c'est donc sa mère.
En grandissant il prendra conscience de tout ce à quoi il doit d'exister. Et s'il ne interroge pas c'est que ce n'est pas un humain. Or jusqu'à présent les Athées sont des humains. Cela me ferai plaisir qu'ils grandissent et imagine que Tu pourrasen signifie que l'on ne trouve pas ce que on voudrait y voir.
Donc il n'y a pas rien.

Peut importe la représentation, l'important est l'inspiration, ce Dieu des profondeurs de l'univers qui a précédé le big bang ou celui qui nous inspire au quotidien en nous bombardant de perceptions qui nous arrivent du tout, de l'environnementcn multidimensionnel auquel nous appartenons. 
Que nous reste t il alors si ce ne sont les Tabous de tous ces dieux.
Et c'est pour eux que nous nous affrontons, pas pour les dieux pas pour les Toutuns qui s'interrogent.
Alors depuis Mahomet? Il y en a eu disant parler au nom de dieu, mais ils n'ont pas prospère. Certains ont fini en camisoles. Dire aujourd'hui parler avec dieu çà craint.

Aujourd'hui c'est plus sérieux de mathématiser l'existence, notre nouveau dieu est devenu matheux.
Pas ceux qui cherchent la particule, les informations qui circulent dans l'univers, ceux là deviennent tous croyants, ils croient en dieu. Comment ne pas s'émerveiller devant notre faculté de raisonner, et avec de travailler sur d'indefinissables informtions que l'on ne voient pas.
Essayons de faire entrer dans notre cerveau, que le désir de démontrer ou non son existence a inspiré ceux qui ont recherché notre origine et l'on iimaginer dans une explosion initiale, le big bang.
il y a donc ce language matheux fait pour les initiés, pour ceux qui vont à la conquête de l'incertitude, vers ce big bang ou ces trous noirs, ces véritables éponges cosmologiques.
 
Et puis il y a l'usage que nous en faisons pour mathématiser l'humain.
Les philosophes Grecs voulais que les hommes puissent disposer de plus de raison. Tous nous pensons cela et disposer des moyens de mesures y contribuent. Lentement les maths y ont contribué, particulièrement pour mesure l'activité économique.  Malheureusement  notre instinctive recherche du meilleur rapport des choses pour les obtennir par le moindre effort ou le moindre coût, nous a emporté vers une rationalisation de l'existence ou les athées ont trouvé là, la nécessaire certitude dont nous avons tous besoins pour croire.

Or croire dans la certitude des maths, de la raison qu'ils confirment par des mesures doit être mise au service de l'humain et non l'y soumettre, car ils ne peuvent être fiable pour définir les émotions humaines
Bien que dans le sport certains arrivent à se dépenser à 200%. Moi, je ne l'elirais jamais et encore moins en faire un dieu. Pourtant ce dieu entre de plus en plus dans le langage, signifiant qu'il faut faire un effort au delà de ce qui est permis par sa nature humaine.

Si ces 200%ne relèvent pas du miracle, c'est que je ne suis pas croyants. Mais nous avons fait mieux comme miracle. Nous avons fait de l'humain,  grâce au dieu "de la raison de la mesure des maths", une mine de monnaie. Et les mineurs ce sont les DRH.

J'ai vécu cette transition en 1973/4. Je n'avais alors pas compris que le dieu monnaie fairait des disciples pour aller pêcher des hommes à la maille.

En1976 déjà je discutais qu'à 40 ans l'humain serait trop vieux pour être productif. Et ce fut le cas,  la technologienologie et la robotique l'on remplacer car il était bien trop lent pour être productif.

L'humain n'est pas une ressources. On exploite des ressources minières, pétrolières, vivrières et autres, mais l'on travaille entre humains, il est pas une machine que l'on mesure au chronomètre.

Écouter voir une société, tout un monde qui s'etalone en monnaie, en faisant de la rationalité un évangile aurait certainement désespère les philosophes qui dans la raison en espère un apaisement des passions de esprit.

Finalement devant obligatoirement croire pour vivre, c'est le choix des évangélistes que nous faisons et en ce sens les économistes du capitalisme ne sont pas particulièrement bien inspirés pour dispenser le bonheur sur terre,toujours pas mieux que les interprètes des dieux précédants.

Si nous croyons tous, certains dans l'abandon à leur Dieu trouvent le réconfort pour vivre leur existence.
C'est comme le nouveau né qui se livre à l'amour de sa mère. Si dieu est cela il y a peu de chance de tomber sur un mauvais, et l'on peut alors s'interroger pourquoi l'on ne sait pas rendre l'amour quelle nous donne. Si pour moi dieu EST, ni bon ni mauvais, l'HOMME doit se démerder avec les aptitudes miraculeuses dont il dispose grâce à lui quelqu'en soit le nom, sauf le capitalisme qui en est un faux.
Une idole de la raison archaïque.
 

Rédigé par ddacoudre

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