Rugy sur l'ongle.

Publié le 14 Juillet 2019

Son nom aura au moins donne lieu a de nombreux jeux de mots, faute d'être un sujet sérieux de débat.

Comment une presse peut s'emparer d'une insignifiance pareille et tenir la une avec. Sommes nous dans un état de décrépitude intellectuelle aussi avancé.
Sommes nous des censeurs patentés.
Sommes nous un tribunal inquisitorial, qui protège la vie privé des citoyens sous réserve que nous puissions les filmer pour savoir comment ils baisent.
Sommes nous jaloux de ceux qui ont par leurs places dans la société, de disposer d'avoir les moyens d'une verge plus grosse que celle du peuple.
Pour moi la lutte pour l'égalité à toujours été que les pauvres accèdent  à ceux qu'ont les riches.

Un jour dans un congrès à Lyon, je faisais observer à mon secrétaire général qu'il nous avez logé dans un hôtel de classe. 
Il me répondit les bonnes choses ne sont pas que pour les riches.
Y a t'il  une difficulté à ce que chacun vive à la hauteur des moyens dont ils disposent.

Sommes nous des inconscients.

Chaque fois que les citoyens ont eu des candidats ouvriers, il ne les ont jamais élu.
Si nous trouvons qu'ils mangent trop, il faut élire des pauvres, ils sont habitués
 à jeuner, un homard leur ferait mal.

Et la jet société ce ne sont les salaires des ouvriers qui remplissent leurs poches.

C'est l'Éternel questionnement des indemnités au libre usage des parlementaires pour remplir leurs mandats . Doit il être soumis à contrôle.
Il l'est de fait puisqu'il a une destination. 
La seule chose qui doit être rechercher c'est s'il est détourné de ses fins.
Je verrai bien un député dans un repas protocolaire demander à ses invités de régler leurs parts.
Cela aurait été marrant que lors de la célébration du débarquement, le président n'invite que les chefs d'États dans leurs épouses au Mac Do pour faire des économies.

C'est pas immérité que Rugy soit pris à son propre piège. Il a voulu se présenter comme monsieur Propre, dans une campagne de délation lancée par le FN qui se faisait le chancre de la probité. 
Un parti facho qui croit que c'est en lavant les hommes à la délation, en montrant du doigt les trous du culs qui planquent quelques sous, (qui pour nous qui gagnons des clopinettes sembles énormes,) que nous allons redresser l'économie.
Nous voulons l'argent que nous avons gagné, alors fermons les paradis fiscaux. Une résolution de l'ONU suffit au moins nous saurons quels pays s'y opposent. 
Nous voulons de l'argent prenons la BCE, le FMI.
Nous voulons de l'argent, imposons les marchés financiers
Depuis 1984, le FN à ramené le débat Politique dans la soue, et trop d'hommes politiques et de médias ont suivit, les uns pour des voix les autres pour des sous.
Je serais tenté de dire bien fait pour leurs gueules,  à eux qui ont construit ce qui leurs revient à la figure. 
Sauf qu'il y a les citoyens, l'opinion publique que l'on transforme en censeur, en inquisiteur, en juge forcément inique.
Eux qui doivent inventer demain passent leurs temps à creuser des tombes de dénigrement.

Que pensons nous que nous ferons de la France à ce rythme. Si ce n'est qu'un cimetière.

Que le premier citoyen qui a le slip propre lance la première pierre.

S'il est même souhaitable que les débats d'idées existent, il ne peut y avoir de démocratie sans confiance.
Nous avons cédé au discours fasciste du FN/RN. TOUS POURRIS, il dit pour des citoyens qui détournent tous des sommes du fisc, ils doivent avoir le nez bouché pour ne pas se sentir.
 Cet absence de discernement dans lequel nous nous sommes laissés entraîner par aigreurs, est Inquiétant sur d'aptitude des citoyens à faire des choix politiques.
 S'ils en avaient l'aptitude toute cette soue que déballent les journaux existerait plus.
 Il y a 24 millions de salariés qui voient et exécutent les malversations auxquels ils assistent.
 Comment pouvons nous ignorer, le sel qui se rajoute dans le jambon, les poulets qui s'étouffent, les produits nocifs utilisés, les étiquetages abusifs.
Je n'ai jamais eu besoins des journaux pour cela les salariés se le passaient de bouche à oreille, d'un syndicat à l'autre
EN quoi avons nous besoin d'apprendre ce que nous savons.
Tous les matins en se rendant au travail ma radio inique le bouchon au même  endroit à la même heure, et ma femme me dit chut j'écoute, et pourtant durant trente ans elle a pris ce boulevard.
Gaffe si quelqu'un dit du mal de ma femme, c'est un rubis sur l'ongle.

Rédigé par ddacoudre

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