Donner de l'espace aux hommes

Publié le 11 Septembre 2019

Les fondements de notre société ne changent pas, car  nous naissons avec.

Bien que tous les hommes de la terre n'a n'ont pas la même perception que nous.

Nous vivions dans une société qui c'est développée au rythme des moyens de la circulation des hommes et des informations qu'ils emportaient avec eux.
L'invention de l'imprimerie et du téléphone ont accélère celles ci.
Ces deux découvertes ont fondé notre monde de la communication et des Savoirs.
Depuis nous n'avons pas changer pour autant de fondements, seulement améliorés.

Le fondement de communiquer l'information, grâce à nos aptitudes vocales, a créer du langage, donner un véhicule d'expression normalisé et descriptifs de l'activité de la nature humaine.
SI ELLE A QUELQUE CHOSE À SE COMMUNIQUER.

Il n'y a rien au monde qui n'est pas une RAISON d'être. 
Même si nous ne comprenons pas pourquoi. 
Cela concerne tous les aspects de notre existence individuel et sociétale qui en est l'interaction.
Notre interrogation séculaire sur l'ÊTRE et son ÂME dans l'histoire de l'homme par les premiers philosophes remonte à hier.
Nous pouvons imaginer que les hommes qui ont eu à se communiquer des informations ou des apprentissages durant des millions d'années devaient avoir un langage, même rustique.

Pour imaginer cela il suffit de réfléchir à deux inventions humaines
La taille du Silex et la production du feu en frottant deux bouts de bois.
De la même manière pour en arriver au langage écrit il a fallu des raisons. 
Il a fallu qu'une activité (souvent économique) ne puisse plus se contenir dans l'oralité qui déforme la communication, et le souci de la diffuser à un nombre d'individus hors de porté de la voix.

Notre monde c'est construit lentement sur la circulation des informations qui poursuivaient une finalité.
Toujours la même, permettre à notre espèce de survivre en l'utilisant ses aptitudes.

Nous n'avons pas de certitudes si nous les possédions ou si elles se sont développées au fil des millions d'années, comme en témoignerait l'évolution des boîtes crâniennes.

Mais nous savons ou avons compris recenment que notre destiné était contenue dans le Big bang. 

Sauf qu'elle s'édifie à chaque instant T sur les souvenirs d'un passé qui nous aide à affronter l'insaisissable instant T.
Du moins c'est ce que nous avons pu comprendre par le cumul des expériences.

Des théories existent sur le principe d'une évolution qui incorpore des habitudes culturelles dans le biologique

Sur ces bases modernes nous comprenons que l'élaboration de CROYANCES ancestrales n'était pas le résultat de l'imaginaire de l'homme.
Celles qui le furent, étaient la représentation qu'en donne le langage.
Comment nos ancêtres imagés cette nécessité née de la compréhension d'une dépendance et d'un besoin de se rassurer.

Puis pour définir l'origine de sa propre existence dont il ignore tout, et à laquelle il réclame bienveillance. (Tous les Dieux)

L'athéisme n'échappe pas à cette interrogation existentielle, encore moins aujourd'hui compte tenue des moyens d'exploitation de l'univers.
Ce qui distingue le croyant de l'athée, n'est qu'un problème de "foi", que nous avons enfant.
Le croyant S'ABANDONNE dans la confiance en sa religion, l'enfant en sa famille.
L'athée qui  s'interroge sur la création l'imagine être un grand horloger, un grand architecte, même ne pas la nomme ou comme je l'écris souvent être, l'indéfinissable.

La différence tient à la représentation sémantique, dieu représente le Père.
Ce que refusent les athées n'est pas le père, mais tout ce qu'on fait les hommes en son nom, ou ce qu'il font encore.

Est ce que ceux qui ont remplacé dieu, la création, par un grand horloger ou un cartésianisme comptable ont ils fait mieux ? 
Est ce qu'ils n'ont pas construit des mythes? Est ce qu'ils n'ont pas des désirs d'éternité ?
Est ce qu'ils n'ont pas construit des magistères ?
Que font ils donc en leurs noms, si ce n'est la même chose, et même pire  que ceux qui le faisaient en prenant le prétexte de Dieu.

Les dieu ne sont jamais descendu sur terre pour tuer les hommes. Ce n'est donc pas deux qu'il faut avoir peur.'

Doù viennent dont nos difficultés, du dieu, du grand horloger, de l'indéfinissable.

Nous savons bien que non. 
Nous les avons tous désigner pour nous aider à vivre, à comprendre la création et en finalité l'on s'entre tue en leurs NOMS.

Il est clair que ce ne sont pas les Dieux, les grands horlogers, ou le rationalisme cartésien notre problème. 
Chacun d'eux a été développé avec la ferme croyance d'apporter un apaisement ou de la raison dans la gestion de nos émotions des uns aux autres.

Résultat nous avons créé les moyens de solutionner nos problèmes avec les armes nucléaires et autres au nom de la PAIX entre les hommes.
Cela de la même manière que nous avons élaboré des dieux, de grands architectes, horlogers, ou une rationalisation de la vie pour vivre dans cette même PAIX.

Qu'observons-nous qu'en leurs NOMS, nous avons tué les autres, en soutenant pour chacune, que leurs préconisations étaient les meilleures pour la vie humaine.

Qu'elle question pouvons en retirer ?
En quoi sur une planète diversifiée naturellement par sa géographie, l'homme ne devrait être tenu à une seule représentation de son adaptation au territoire où il NAÎT.

Tant que nous nous justifierons d'eux pour ne pas vouloir regarder que notre Agressivité, nécessaire pour sélectionner le meilleur géniteur, c'est TRANSFORMER en VIOLENCES économiques et sociales en obligeant par rationalisme de concentrer les hommes sur des espaces RESTREINTS.

Nous REFUSONS toujours de prendre en compte cet élément source de stress.
L'humain à besoin d'un ESPACE  MINIMAL que nous LUI avons SUPRIMER dans les VILLES par un habitat VERTICALE.
Ainsi dans les années à venir où cette CONCENTRATION humaine va croitre de  38 %, l'avenir de l'immobilier est dans les PRISONS.

Avec cette donnée nous avons une vision de l'avenir, une perspective ce qui nous attend, un accroissement des forces de police, et aucun projet de ville horizontale. 

Tout en est politiquement à la concentration pour des raisons financières.
Il n'y a aucune raison d'envisager un avenir sécurisé. 
Dans le rapport POPULATION/CONCENTRATION/PAUVRETÉ nous construisons une bombe sociale où la seule réponse sera l'armée  avec les conséquences pour la démocratie

Refusant pour des raisons de rentabilité financière de prendre cet élément FONDAMENTAL en compte pour comprendre la violence contemporaine.
Nous recherchons toujours des boucs émissaires qui nous éviterons de nous interroger sur le bien fondé de ce en quoi l'on CROIT.

Ignorant que ce que chacun croit à une RAISON d'être. 
C'est à dire et le fruit d'un certains nombres d'informations de l'environnement qui se sont agrégées pour répondre à un manque qui lui désigne ce qui lui faut pour le combler.

Mais que faisons nous d'autre, si ce n'est de nous quereller et nous entre tuer autour d'elles. 
Autour d'interprétations, de chimères comme si elles étaient là pour nous dissuader, nous distraire, nous écarter des raisons FONDAMENTALES.
Comme si les connaissants consciemment ou non, nous trouvions des justifications pour ne pas les aborder.
Parce qu'au fond, elles sont ce que l'on désire et dont nous ne voulons pas nous écarter, tout en expliquant que nous luttons contre la violence qu'elles génèrent.

Cette analyse se complique parce que nous répondons tous à des perceptions fondamentales
Notre attachement à une création, parce que nous disposons des attributs INTELLECTUELS  pour analyser les émotions de notre perception du monde dans lequel nous nous déplaçons.

La force de ce besoin ira jusqu'à imaginer en donner une représentation qui laisse croire que son fondateur (les dieux et autres représentations) peut entrer en contact personnel avec chacun d'entre nous.
Nous parler à l'oreille ou envoyer ses anges, 
ses signes, car les anges ne sont que cela.

Des signes qui prédisent l'avenir, comme les Sumeriens le lisaient dans le vol d'un oiseau et nous dans l'horoscope. 
En 5000 ans l'on n'a pas beaucoup changé côté supertisions, les mathématiques ont remplacé la lecture de l'avenir dans les boyaux d'un animal (la comptabilisation de l'existence) heureusement en plus efficace.

Ce contact a l'univers existe bel et bien c'est la perception du monde qui nous entoure et génère nos comportements.
Là il ne s'agit pas d'une représentation mais bien d'une réalité que d'aucun interprètent comme l'esprit de dieu, avec lequel il faut entrer en contact pour ne pas seulement vivre dans le monde artificiel de notre langage, qui est insuffisant pour d'écrire l'existence.
Cet esprit qui n'est rien d'autre que la nécessité de s'écarter de tout ce qui est de nature à NUIRE aux hommes, pour qu'ils puissent se réjouir de leur travail dans l'existence, en ressentant les informations qu'ils recueillent du monde, celles qui leurs donnent la vie et dont ils ne sont pas à l'origine.

Sentir le monde c'est sentir la création dont  nous sommes, et seulement cela.
C'est sentir ce qui est bon pour la vie.
Alors pourquoi l'on s'entre tue pour des raisons qui ne sont pas celles invoquées.

Pourquoi l'humanité s'entre tue et créé des moyens de destruction en adéquation avec sa croissance et sa concentration sur des espaces restreints.(capacités destructrices des armes)
Pourquoi c'est seulement à partir du néolithique que nous trouvons des charniers.
Qu'observons-nous aujourd'hui dans la tendance à la normalisation.
Nous y observons un enfermement de l'existence dans un langage NORMATIF qui ne peu plus définir la complexité des interrelations et actions d'un monde qui c'est rétréci géographiquement par la rapidité des moyens de communications qui rapprochent les hommes, non plus par le contact physique, mais par l'isolement que génére la communication virtuelle.

Comment figurer cela, imaginons une ligne de zéro à l'infini. 
Sur un point nous mettons "je t'aime" et nous faisons entrer dans ce point 7 milliards d'émotions d'hommes qui sont uniques. 
Nous allons demander à chacun de juger le je t'aime des autres à partir d'un point normatif indicatif, qui n'a aucun contenu de référence commun, puisque chacun a une INTENSITÉ d'amour différent des autres, car leur existence et UNIQUE et ne se REPRODUIRA plus jamais.

Sommes nous capables d'élargir ce point en conscience, il semble bien que NON, même quand l'on en a conscience. 
J'ai mainte fois expliqué le rôle des dominants systémiques qui gèrent nos existences, le Capitalisme en est un essentiel qui transfigure des comportements fondamentaux.
Chacun le sait mais comme je l'ai écrit nous tournons la tête de l'autre côté car cela nous ferait bien plaisir être millionnaire.

Alors nous rendons responsables des conséquences du capitalisme des boucs émissaires, généralement les plus pauvres.

 

Rédigé par ddacoudre

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