Publié le 19 Juin 2010

Nous avons perdu l’antidote foot de la crise ?

 

Vaudeville, « croquignolesque » pantalonnade, clownerie, il ne manque pas d’adjectif pour qualifier la situation « footpolistique » à laquelle nous assistons.

 

Incroyable un président de la république française qui, dans une réunion bilatérale en présence de son homologue russe avec lequel il a abordé le rôle du G20, la régulation monétaire, et le rapprochement économique EU Russie, se sent obliger d’intervenir dans la cour de récréation footballistique de la France.

 

J’aurais été son homologue je m’en serais offusqué ou bidonné de rire, mais quand l’on se souvient de la place idéologique dans laquelle l’ex URSS tenait ses sportifs internationaux quelle que soit la discipline, l’on peut comprendre qu’il soit compatissant envers celui qui la remplacé dans cette stratégie politique, en ayant consacré le foot et l’équipe de France antidote à la crise monétaire.

 

Nous n’avons d’ailleurs pas manqué  d’interviews de la ministre des sports et de sa secrétaire, qui me il semble, consacrent l’expédient anti crise « Sarkozien ».

Nous connaissions le rôle éducatif du jeu, le président a élevé l’un d’entre eux, le foot, au rang d’intérêt national, invitant les citoyens à se regrouper derrière leur équipe nationale face à l’adversité de la crise financière.

 

Fabuleux dans le même temps où des mesures de rigueurs voient le jour, le président avait demandé aux citoyens de se fédérer derrières des hommes qui gagnent des millions à courir après un ballon rond.

 

Alors maintenant que son superbe leurre se délite dans les injures d’Anelka, autour de quoi allons nous fédérer les citoyens. Je pense qu’ils devraient participer à la manifestation du 24 juin sur les retraites, avec le slogan « les millionnaires à la retraite ».

 

A là place de cela notre président rebondit sur l’impair de Nicolas Anelka, c’est tout simplement sublime, nous n’avons jamais eu un président aussi Zébulon (rebondissant).

 

Ceci ne relève pas l’estime en laquelle il tient la population, nous sommes en plein storystelling dans laquelle chacun vient mettre son grain, et où tous finissent par croire en l’histoire qu’ils se racontent.

 

Depuis quelques années la polémique dynamique rebondissante à remplacé l’analyse objective ennuyeuse. Ainsi dans ce sport, et d’autres, des émissions polémiques du genre « on refait le match » nourrissent l’opinion publique et la presse rebondit sur tous les « buzz » pour ne pas dire plus.

 

En fait l’équipe de France n’aurait jamais du être au Cap compte tenu de sa prestation durant les phases qualificatives. Nous avons tous en mémoire la main qualificative. Nous pouvons tirer sur Domenech, il n’est pas nul au point de ne pas choisir les meilleurs joueurs malgré les cousinages, il y en a tout de même 23 sélectionné et ils ne sont pas tous « cousins ». Nous pouvons lui contester ses choix tactiques, mais nous ne pouvons lui reprocher de ne pas être capable de courir à la place des joueurs.

 

Or ce que nous avons vu durant ces phases qualificatives c’est une équipe de France en dessous des capacités nécessaires à une participation mondiale.

 

La chance par la main d’Henry nous ayant donné un coup de main, quelles raisons nouvelles sont intervenus pour que subitement une équipe moyenne en prestation acquiert les capacités à briguer la finale. Rien ! si ce n’est toutes les storystelling que les polémistes et les faiseurs d’opinion ont construite, rien ! ci ce n’est la médiocrité d’un président qui soulève des espoirs d’illusionnistes comme à son habitude.

 

J’avais estimé que si nous franchissions le premier tour, cela aurait été une bonne performance. Cela ne m’empêchait pas d’espérer plus, mais de ne pas être déçu de leur échec annoncé. Ils n’étaient pas à la hauteur, seulement cela, et il n’y a que les commentateurs pour faire croire qu’un entraîneur peut transformer tous les quatre ans 23 joueurs en champion du monde permanant. Que l’on se raconte cette histoire et que l’on se nourrisse de cette illusion, c’est humain, tous les pays engagés le font, mais que l’on y croit en niant l’observation factuelle pour en appeler au miracle, c’est un comportement infantilisant auquel cette société nous conduit dans trop de domaine pour cacher en fait nos incapacités chroniques et notre vide d’espérance.

 

En fait la maladresse de N.Anelka tombe à point donné, il va être la source de polémique et de catalyseur d’opinion dont les journalistes ont besoin pour faire du papier autour d’une élimination attendue. Déjà nous les entendions sur les choix de l’entraineur sur les petites histoires internes ou nationales des joueurs, sur la méthode de communication, avec Anelka ils tiennent le bouc émissaire, ce sera le Kerviel du foot, et notre président à l’affut d’événements populistes ne s’y est pas trompé, pourtant c’est un échec supplémentaire sur cette capacité à mobiliser qu’il avait mise dans l’équipe de France, mais tous l’oublieront.

 

 

 

 

 

 

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Publié le 15 Juin 2010

Un président Sophiste. Y aura-t-il un journaliste pour le relever ?

 

Une petite phrase  plus longue qu’un discourt. « Puisque l’on vie plus longtemps le bon sens emporte de travailler plus longtemps ». C’est en substance la petite phrase clé de l’intervention du président s’exprimant sur le projet de loi concernant la réforme sur la retraite.

 

J’avoue que j’en suis resté coi, avec tout le sérieux qui sied à la fonction présidentielle il se pare du plus stupide sophisme (raisonnement faux ayant l’apparence d’un raisonnement logique et fait dans le but de tromper) que l’on puisse émettre.

 

Comment au niveau d’une telle fonction peut-on sans aucune vergogne dire et énoncer une telle stupidité contre dite par toutes les analyses sociologiques que nous pourrions faire sur le sujet.

 

Le tableau ci-dessous indique la durée du travail dans les principaux états industriel dont la durée d’espérance de vie en 1835 était de 39 ans pour les hommes et 41 ans pour les femmes

 

Durée du travail en 1837 dans les principaux états industriels

       Pays

HEURES DE TRAVAIL PAR SEMAINE

Angleterre

69

Etats-Unis

78

France

72 à 84

Prusse

72 à 90

Suisse

72 à 84

Autriche

72 à 80

Tyrol

78 à 80

Saxe

72

Saint-Blaise (Saxe)

84

Bonn (Prusse)

94

 

 

Compte tenue du ratio espérance de vie et durée du travail d’aujourd’hui, le sophisme de notre président conduirait à ce que les travailleurs de 1837 auraient du prendre leur retraite à 32.4 ans dans le cadre d’une semaine de 72 h et 37.8 dans le cadre d’une semaine de 84 h, or nous savons qu’ils travaillaient jusqu’à leur mort.

 

Il n’y a donc aucun lien de bon sens entre les deux, seul le rapport de force entre le désir de ceux qui produisent la richesse et la faisabilité réelle existentielle et non comptable permet de déterminer la volonté des uns et des autres.

 

En 1837, de l’absence de revenus des travailleurs le bon sens commandait de travailler toute sa vie, plus tard la loi de 1910 sur les retraites ouvrières et paysannes par capitalisation (ROP) défendu par le parti Radical fixe la retraite à 65 ans alors que l’espérance de vie est  inférieure à 50 ans, cette loi est combattue par le patronat qui accuse  l’incitation à la paresse et le dénonce déjà le sur coût des charges, et la CGT anarchosyndicaliste qui y voit une retraite pour les morts.

Nous voyons bien que le bon sens n’y est pour rien, mais le président est devenu le spécialiste du surf sur l’ignorance populaire concernant son histoire sociale, que chacun peut compléter en cherchant : la retraite en France sur wikipédia.

 

La situation sociale et économique compte tenus de la création de richesse de ces dernières années commande exactement l’inverse.

 Je rappelle pour mémoire le chômage de longue durée des séniors et tous les plans dit consensuellement de prés retraité, payé par le régime ASSEDIC à partir de 56 ans et 7mois dans le meilleur des cas qui durent depuis des années, car ce fut mis en place sous la présidence de VGE.

 

Nous allons donc avoir de large développement sur ce thème sans qu’aucun journaliste ne soulève se sophisme énorme, comme s’ils avaient le cerveau bloqué par le doigt sur la couture du pantalon. Pire trouverons nous un philosophe pour le relever.

 

Il parait à peine croyable que notre président puissent dire tant et tant de contre vérité, et qu’il continue sans relâche sur la même ligne sans que cela ne soulève aucune indignation populaire.

Il faut bien constater toute son habileté car il envisage un certain nombre d’efforts à faire faire aux parlementaires pour faire avaliser l’effort régressif demandé aux salariés, et ces derniers, satisfait d’un bouc émissaire désigné, focaliseront sur lui sans s’attarder sur l’essentiel comme nous le voyons depuis des années sur tous les sujets.

 

Fernand Pelloutier où es-tu ?

 

La limite de l’usage des mathématiques se résume par cette histoire. 3 lapins dans un champ, un chasseur tire et en tue un, combien en reste t’il. En logique comptable deux, en réalité existentielle un, le mort, car les deux autres ont fuit au bruit du coup de feu.

 

Pour la retraite il en est de même, la logique comptable n’est plus adaptée à la réalité existentielle qui commande, non de travailler plus, mais moins dans le cadre de l’économie de croissance actuel.

Au moyen âge la science à du sortir de l’emprise de la théologie, aujourd’hui il nous faut sortir de la théologie financière qui n’est pas plus le reflet de la réalité de l’existence que l’était les écrits biblique de la genèse.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 15 Juin 2010

Le président va encore manquer une occasion.

 

Le président va encore manquer l’occasion de se mettre en conformité avec ces discours socialisants. Pour beaucoup nous savons que ce n’est que de la rhétorique, mais souvenons nous, il fut éloquent sur la nécessité de faire entrer de l’éthique, de la réforme dans le capitalisme et le système bancaire. Aujourd’hui avec le service de santé et les fonds de retraite ils en a l’occasion.

 

Souvent je dis que nous sommes dirigés par des « modèles mathématiques », et que ce sont les « dominant systémiques » qui nous gouvernent.

J’ai là l’occasion d’en faire une démonstration.

La formation du capital se fait à partir d’une activité économique de production et de services service au sens large incluant le crédit pour rester simple.

En soi le processus est une réussite, et il ne pêche que par la répartition de la formation du capital et l’annexion du pouvoir souverain du peuple par le développement de situations de monopoles au travers d’oligarchie et de ploutocratie.

 

D’où la nécessité s’en restreindre la liberté d’entreprendre d’en limiter les effets d’accumulations privative du pouvoir du peuple.

 

Ainsi quand nous avons transféré le pouvoir des Etats d’émettre de la monnaie au système bancaire nous avons construit un « dominant systémique », quand nous avons facilité le transfert des capitaux nous leur avons permis de s’affranchir des décisions de régulation des Etats.

 

Je rappelle cela car nous parlons de puis quelques temps de la dette Grecque, et de l’évasion des capitaux.

 

Ce n’est donc personne en particulier qui dirige cela, mais tous un nombre de dirigeants qui se contentent d’appliquer les modèles mathématiques qui régissent la formation du capital et sa circulation, (par exemple le plan comptable en tant que modèle général).

 

Ainsi quand il faut désigner un dirigeant un gouvernant un responsable quel qu’il soit, nous le choisissons toujours en fonction des modalités de comportements que nous vivons et qui sont tracés, guidés, dirigés par toutes nos codifications.

 

Si bien qu’en croyant faire un choix librement consenti nous cooptons celui qui correspond au cadre dans lequel nous vivons. C’est le poids du « dominant systémique », et non celui de tel ou tel individu qui a un moment peut prendre les rênes du pouvoir, comme un animal peut prendre la tête de son groupe.

 

Changer cela nécessite non pas de changer de dirigeant, mais de développer d’autres modes de pensé, c’est le débat d’idées, celui que nous avons supprimé par la pensé unique.

C’est annoncer mettre de l’éthique et de la réforme dans le capitalisme.

 

Donc dans le discours notre président est dans cette voie, sauf qu’il n’en a jamais fait la démonstration, et qu’il s’inscrit, en allant un peu vite, dans la pratique de l’annexion du pouvoir du peuple.

Cela ne va pas faire plaisir, mais quelque part ce que nous élisons sur le plan international ne sont que des hommes de paille, et quand nous connaissons le poids de la globalisation sur nos existences, je vous laisse fermer la boucle.

 

Pour revenir aux retraites les modalités de calcul du montant de ces retraites, est un « modèle mathématique », influencé par le modèle général comptable puisqu’il s’inscrit en classe charge par sa source de financement qui vient en déduction du capital, comme les salaires et autres.

Ce modèle est le produit de l’histoire sociale à un moment donné, même le produit de conflits et de décisions politiques, fait pour répondre à un besoin.

 

Il semble donc évident que la malléabilité de ses composantes puissent s’ajuster (taux, nombre, âge), mais soit tributaire de son assiette de calcul qui repose essentiellement sur les salaires.

 

Des salaires à une époque ou le système capitaliste construisait essentiellement son capital sur le travail et la production de bien, encadré par la régulation des Etat.

 

Or aujourd’hui ce n’es plus le cas, ce n’est plus le cas depuis les années 1973 environs, des transformations profondes sont intervenus et les produits financiers sont devenus la source de cette formation de capital.

Une des incidences de cela fut la destruction d’emplois, donc de salaires, donc de cotisations et de prélèvements de toutes natures, tandis que l’abandon des régulations a lancé les Etats dans la compétition du moins disant, sur les prélèvements obligatoires engendrant toutes les niches fiscales et autres, d’aujourd’hui qui ne font qu’appauvris le pouvoir du peuple en le soumettant de plus en plus sous la domination du « dominant systémique ».

 

 

Pour tant que pouvons nous constater ces dernière années, qu’il n’y a jamais eu autant de monnaie en circulation dans le monde, que la part qui revient au salaire diminue dans les pays riches et augmente peu dans les pays en voie d’industrialisation, alors que dans ces pays nous constatons une élévation du nombre de Milliardaires.

 

Que savons nous, que depuis la fin mercantilisme la création de richesse c’est construite dans les pays occidentaux, et que le processus d’appropriation du capital a permis a ces détenteurs d’investir dans les autre pays du monde, car il faut comprendre que sans l’apport de la richesse occidentale ces pays n’auraient pu faire en quelques années le développement économique qui nous a demandé prés de 400 ans.

 

Je n’ai pas idée des sommes monétaires que cela peut bien représenter, j’en parle seulement pour donner un ordre d’idée de la circulation de la richesse produite en occident, non de par la volonté des hommes, mais par la puissance des « dominant systémiques » qui indiquent que nous sommes des Etats ou le rapport financier n’est plus productifs. (C’est plus compliqué que ce que je l’écris chacun la bien compris).

 

Alors face à ses évolutions du modèle capitaliste, notre « modèle mathématique » du calcul des retraites et du système de santé universel est devenu obsolète.

 

La logique des gains de productivité pousserait à réduire le temps de travail et sa durée dans la vie, exactement l’inverse de ce qui est préconisé, car ce qui est préconisé n’est que le renoncement devant l’impossibilité de taxer les produits financiers.

 

La compétition prônée par modèle général (plan comptable, ne peut conduire qu’à réduire toujours plus les freins à la formation du capital, donc à importer les seuils sociaux des pays en voie de développement industriel.

Nous sommes entrée dans cette voie, cela ne signifiera pas que tous seront pauvres, seulement que nous nous enfoncerons dans un processus inégalitaire encore plus marqué avec les conséquences sécuritaires plus accrus que celles que nous connaissons.

 

La solution au problème des retraites ne résulte que dans le changement de l’assiette de cotisation, tout autre formule n’accroitra qu’injustice et fracture.

 

Alors il me semble que sur ce dossier notre président avait l’opportunité de faire la démonstration de sa volonté de justice, d’éthique et de réforme.

 

Comme le dirait l’africain de Cabanel, c’est au pied du mur que l’on voit le maçon.

 

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Publié le 15 Juin 2010

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Publié le 15 Juin 2010

Bûcher pour pédoclastre.

 

Notre espèce culturelle avec ses pulsions instinctives, n’a plus des  représentations comportementales dite primitives depuis longtemps.

 Aujourd’hui nos représentations se sont  diversifiés au gré des espaces géographiques ou nous avons vécu et qui ont fondé nos sociétés normatives, au point que nous prenons leurs représentations éphémères pour  naturelle.

Naturelle au sens d’inamovible parce que nous les croyons pour beaucoup inscrite dans le substrat consubstantiel, dans nos gènes.

Or il n’en est rien

Les humains ont tant de fois confondue, par ignorance, la représentation normative avec la « vérité » génétique de leur être qu’ils ne connaissaient pas, que nous nous en sommes assassinés et que nous nous en assassinons toujours.

Pourtant il y a des millénaires que cela est su ou fut compris par certains hommes initiés à la compréhension de leurs semblables.

Mais la lenteur avec laquelle circulait l’information de l’initié vers le profane revêtît tant de paraboles, que le savoir des initiés vers les profanes  en devinrent des ritualisations sacralisés. De véritables verrous vers la connaissance de l’être humain, dont encore aujourd’hui nous le vérifions chez des fondamentalistes de tous crins.

 

Si dans leur biotope (l’espace originel) nos instincts primitifs n’ont pas été criminalisés,  il ne peut en être dit de même de notre ascension culturelle (incidente de la sédentarisation et de la concentration humaines).

L’ancien testament pour ne retenir que lui en rapporte et en décrit toutes les horreurs au nom d’un ordre normatif.

Je ne cite que lui car c’est dans ses lettres, dans son verbe que nous trouvons la source de nos frustrations sexuelles, la condamnation de la nudité et de certaines formes de relations sexuelles qui avaient pour volonté de résoudre les problèmes de ces temps là, et qui fondent toujours avec quelques transformations (adultère homosexualité) celles qui sont les nôtres à ce jour.

 

Avec la fronde pédoclastre sur le clergé, il semblerait que l’histoire ait rattrapé ceux qui ont tant aimé les lettres et le verbe de dieu, au point de se livrer au célibat et aujourd’hui défrayer  la chronique, en s’interrogeant sur cette vague d’épuration à destination des ignorants, des profanes comme hier, qui ne se sont jamais interrogés sur la fonction de leurs fantasmes.

 

Le pédophile ou le « pédoclastre » est devenu en quelques 15 ans le criminel le plus honni.

 

Pourtant sa lutte à été entreprise bien avant. J’ai quelques souvenirs de lutte de camarades dans les instances internationales autour des années 80.

Ils défendaient avant toutes ces associations d’aujourd’hui, deux choses, faire cesser le travail des enfants dans les pays émergeants, ou même dans des pays d’Amérique du sud, et faire cesser le commerce sexuel des enfants auquel se livraient des familles, plus tous les proxénètes.

Aucun d’entre eux n’aurait imaginé l’impact que cela aurait chez nous, dans une société riche où les gouvernants font de la chasse au criminel une raison d’exister, sans solutionner ou si peu le problème chez les autres.

 

Le drame de l’affaire Dutroux fut l’électrochoc salutaire, mais également la voie royale à l’explosion de silences que l’intimité familiale recouvrait. Cette intrusion dans l’intimité de la vie privée, si elle trouvait ses justifications pour faire cesser des sévisses, elle développa son lot d’irrationalité, dont l’affaire Outrau fut l’exemple, avec la prolifération d’analyses consensuelles qui ne dévoilaient jamais les suicides qui en ont découlé.

 

Si j’ai pris le temps de placer le cadre, et rappeler le poids, des pulsions humaines, le poids de notre démarche culturelle, évolutive en fonction des espaces géographiques qui développent notre histoire, que nous formalisons par des normes rigides, c’est pour souligner la trace que chacun laisse dans nos corps, dans nos mémoires, et dans les événements qui surviennent et que nous ne pouvons feindre d’ignorer.

 

Nous sommes face au cumul de notre histoire avec cette chasse ouverte au pédoclastre, le mot n’est pas trop fort, et aux victimes d’Outreau et des suicides, s’ajoute un crime.

 

Le dernier drame qui en témoigne est celui de trois habitants de Béziers qui ont livré un homme au bûcher et ainsi en voulant se faire les justiciers de l’immonde crime social, se retrouvent encourir le risque de réclusion criminelle à perpétuité.

 

Un bref rappel de l’événement.

Trois habitants de Béziers, dont deux mères de famille, ont été mis en examen jeudi pour assassinat après avoir été interpellés mardi dans l'enquête sur le meurtre d'un voisin qu'ils soupçonnaient de pédophilie, a-t-on appris auprès du procureur de Béziers. Ils encourent la réclusion à perpétuité.

Ils l’on étranglé, puis mis le feu à son appartement et brûler le cadavre du même coup.

 

Voila où l’irrationalité conduit, nous savions déjà par l’affaire Outreau où elle nous avait mené, mais d’aucun de rechercher, pourquoi ?

 

Pourquoi des frustrations sexuelles qui ont jalonné notre histoire depuis que nous avons honte de notre sexualité, en plein 21 siècle, au moment où nous disposons des connaissances psychiatriques, psychologiques, neuroscientifiques, nous traitons ce problème comme des hommes du moyen âge, avec nos peurs et nos fantasmes, prêt à dresser des buchers et nous lancer dans l’épuration inquisitrice

Il est vrai que le moyen âge ne disposait pas d’une presse écrite et audiovisuelle, pour amplifier au-delà de la réalité des événements à en faire des spectacles émotionnels.

 

Dans l’affaire Outreau, c’est la presse qui aurait du se trouver au banc des accusés à la place du juge, demain c’est elle qui devrait craindre la perpétuité à la place de ces trois habitants de Béziers pour incitation à la haine. Pourtant comme elle a su faire ses choux gras de ses sur le dos du juge dans l’affaire Outreau, elle se délectera de la manne financières du sort de ces trois biterrois.

 

Sans le rabattage médiatique à outrance sur les agressions pédoclastres, autre que celui de la mise en garde et de l’éveil nécessaire à cette réalité, sans rappel des autorités politiques qui ont fait de ce sujet un enjeu électoral, une démonstration de leur efficience, nous n’en serions pas là.

Nous avons été jusque dans l’absurdité la plus totale, au bord d’ouvrir les cerveaux pour y trouver les fantasmes pédoclastres qui font l’objet d’un commerce lucratif, car ils visent une préférence sexuelle primitive garante de la survie de l’espèce, toujours présente, malgré les cataplasmes culturels, eux-mêmes incident à la déviance et de la perversité de nos instincts.

L’on ne peut ignorer cela, et ne pas vouloir le voir par « consensualité » conduit à d’autres drames, et encore je ne les énonce pas tous.

Alors il y a du discernement à avoir, tout autant avec notre histoire humaine, qu’avec l’interdit normatif d’aujourd’hui, il y a du discernement à avoir entre de véritables agressions et leur ersatz culturel, il y a du discernement à avoir entre une réelle souffrance et sa construction.

 

Il n’est donc pas normal qu’aujourd’hui avec les moyens de cette distinction nous en soyons encore à diffuser des spectacles aussi lamentables que celui donné par antenne 2 dans son émission les infiltrés. Pour rester sur l’exemple pris au début ce n’était qu’une parabole pour profanes ignorants, qui cause une crise déontologique aux journalistes.

C’est une émission tout juste bonne à construire des cas comme ces trois personnes qui devaient se penser bien fondé de dans leurs actes, puisqu’elles supprimaient un potentiel pédoclastre.

De la même manière que le journaliste se sentait bien fonder de dénoncer les sources de son reportage, car les millions de « biterrois » que ces spectacles ont façonné l’auraient désapprouvé du contraire.

 

J’essaie de faire comprendre qu’il y a des peurs privées et des angoisses publiques. Or nous avons pris la mauvaise habitude de transformer des peurs privées en angoisses publiques.

Et au bout du compte nous nous rendons compte que l’instrumentalisation de ces angoisses publiques fabrique des « crimes ».

Je pense que ce n’est qu’un début (trop long d’expliquer pourquoi), la gestion du pays par la peur est la marque de ce gouvernement. J’ai eu l’occasion de dire qu’il pratique la pulsion de mort, presque tous les jours nous le vérifions là ou il y a un cadavre nous y trouvons un membre du gouvernement.

Je dis cela de manière peu courtoise parce qu’ils n’ont pas honte d’en faire une exploitation politicienne.

Je n’en ferais tout de même pas les responsables de quoi que ce soit, ils ne sont que des acteurs de l’existence comme nous tous, mais ils ont transformé profondément la perception du risque et tellement laminé le seuil de tolérance pour répondre à deux exigences électorales suicidaires   : le risque de précaution et la tolérance zéro, et nous sommes entrain de transformer nos lieux de vie en camp de concentration.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 15 Juin 2010

Il faut réformer la communauté européenne

 

Par le traité de Rome se poser la première pierre d’une espérance, celle que par le commerce, des peuples antagoniques par leur histoire se réunifient pour vivre en paix.

Mais nous étions en 1957 et il y a long temps que tous ceux qui présidaient à cet esprit ne sont plus.

Le temps les a remplacés par des marchands, de plus financiers. Cette construction d’une Europe des peuples n’a trouvé que des représentations symboliques au travers du parlement européen. Tout n’est pas négatif loin de là, mais d’évidence durant toute cette période, c’est une Europe des marchands qui c’est construite avec une gestion entrepreneuriale.

Il a fallut cette la crise financière pour que tombent les illusions. Durant des années nous avons été nourris de la prospérité qu’apportait à tous les pays membres le marché européen dans la compétition mondiale.

Quand nous en suivons les vertus aux travers de l’endettement des états, c’est la prospérité des marchands que l’on constate et non celui des populations.

Le choix politique de donner le pouvoir au marché financier au détriment des peuples, fut un choix dogmatique, non un choix incontournable, et ce choix conduira l’Europe vers la récession face au marché mondial dont la Chine est devenu un acteur incontournable

 

La crise grecque, n’est que le début irréversible d’une situation qui va inévitablement s’étendre à tous les états, car la croissance nécessaire pour sortir des déficits ne sera plus jamais au rendez. En conséquence de quoi il faut repenser les marchés financiers et la création de monnaie, dans une économie qui se recentre sur des productions « propres » et de nouvelles énergies pour palier à la cherté de celles actuelles qui se fera jour. Un challenge qui va demander des années et des années sans être assuré de nous apporter la croissance nécessaire à la réduction des déficits.

Il va donc de soi que tour à tour tous les états mettront en place des mesures d’austérités.

 

L’interdiction faite à la BCE par les traités, de venir en aide à un état en difficulté est le symbole même de la puissance du marché face au pouvoir des peuples. Un état souverain se trouve ainsi réduit au rend d’une simple entreprise dont l’avenir dépend, non des décisions que peut prendre ses citoyens, mais des prêts que peuvent consentir des banquiers, parce que les « marchands » ont imposé une rentabilité du produit financiers au détriment du travail, qui est la source de presque tous les financements. Il devient donc facile de comprendre que si  leurs parts diminuent, les activités ou les services qui s’appuient sur eux se trouvent en difficultés.

 

Cette incapacité de la BCE est conséquente au fait de l’inexistence d’un Europe politique, d’une Europe du pouvoir de ses peuples. Si le fait que les états aient renoncé individuellement à émettre de la monnaie fut compensé par ce pouvoir remis aux mains de la BCE d’y pourvoir, la situation de la Grèce en eut été tout autre.

Mais il ne sert à rien de pleurer sur ce qui n’existe pas, mais de comprendre la fabuleuse escroquerie dont sont victimes les populations, non de l’Europe voulu en 1957, mais de celle construite depuis 1973.

La France (pour ne parler que d’elle) va donc emprunter sur les marchés financiers de la monnaie à un taux faible pour la prêter à un taux plus élevé à l’état grec, mais moins que ce que le feraient le marché s’il prêtait directement la monnaie à la Grèce.

.

 

Voilà donc un acte de solidarité politique exemplaire entre les peuples, (et notre gouvernement s’en félicite) et en plus sous réserve que l’état grec applique des mesures d’austérités seulement supporteront par sa population. Ce sont donc bien des marchands.

Ce sont ces mêmes dirigeants qui nous assurent que c’est de l’Europe qu’il faut attendre notre prospérité, et d’elle de recevoir une augmentation de notre pouvoir d’achat.

Les masques sont enfin tombés et ce n’est pas une mauvaise chose en soi.

 

Je ne vois pas pourquoi les marchés financiers s’arrêteraient en si bon chemin, compte tenu que tous les états sont endettés. Personnellement je verrais cela d’un bon œil, car la situation obligerait les états à donner à la BCE un pouvoir politique de création de monnaie.

Mais j’ai bien peur que les marchés soient assez futés pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or.

 

Ce premier Mai il n’y a pas eu grand monde dans les rues, j’ai bien peur qu’un jour nous le regrettions, sinon espérer un miracle.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 15 Juin 2010

Le mythe de la gouvernance s’installe.

 

Et voila la commission européenne qui veut surveiller les états, l’on croirait rêver si je ne savais pas qu’il y a des personnages qui pensent qu’ils sont détenteurs, ou garants, ou soldats fidèles d’un modèle « eurocratique ».

 

Quand des personnes nous parlent de gouvernance mondiale, nous devrions les écarter du pouvoir, quelque soit leur qualité intellectuelle ce sont des personnages dangereux qui n’ont rien compris à l’existence qui ressemble à peu pré à ceci.

 

Par analogie, notre monde ressemblerait à un puzzle en expansion où chaque pièce se renouvelle, se multiplie, varie de forme, de couleur, de place, et modèlerait une image sans cesse changeante. Un puzzle que nous n’avons aucune chance de lire dans son ensemble par notre seul regard, et même si nous nous situions dans une position hypothétique d’observateur, nous ne pourrions observer et comprendre que le passé, car le temps de décoder ce que nous observons, l’image que nous définissons n’existe plus. Si bien que l’étroitesse de notre regard ne nous permet d’exister que par défaut tout en étant partie intégrante du monde objectif. Monde objectif que nous devons percevoir par nos sens.

 

Mais nous sommes sauvés, nous allons avoir une gouvernance qui survolera le monde et sera capable de prévoir le futur.

La fin des énergies fossiles va faire voler tout cela en éclat, car nous allons très certainement nous entretuer pour en disposer. Pour la seule et bonne raison qu’avant que nous ayons pu mettre en place une économie de renouvellement et de remplacement, la croissance des états émergents rendront ces matières premières plus rares, si ce n’est le marché qui se lancera sur ces matières parce qu’elles seront plus juteuse que les rentabilités financières d’états de l’occident englués dans leurs dettes et dans la décroissance.

 

Alors je veux bien entendre de la nécessité d’une gouvernance, mais j’aimerais en connaître quelques projets. Or jusqu'à présent nous avons des déclarations, de moralisation, de volonté de régulation, et les seules mesures qui ont surgit de ceux qui tiennent ce discours, sont l’acceptation de la rigueur et leur soumission aux marchés en nous faisant gober qu’ils luttent contre les spéculateurs, alors qu’ils n’offrent que des liquidités aux banques engluées dans l’endettement des états qu’ils ont organisé par dogmatisme.

 

Doit-on au travers du responsable de la commission de l’union, comprendre que cette gouvernance serait un encadrement politique qui veillerait que les populations ne prétendent pas s’offrir plus que ce que leur rétrocède les marchés.

 

Nous devons à terme en être inquiet, j’ai eu l’occasion de m’en expliquer dans un article sur le marché et la pensé Malthusienne http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=74628.

Personne ne peut dans un puzzle comme n’autre existence fait d’aléas, pronostiquer durablement une capacité à englober la planète, même si les moyens technologiques permettent de l’envisager.

L’échec de La tour de Babel en est la parfaite illustration, déjà nos ancêtre avaient compris cela.

Maintenant se coordonner coopérer est autre chose et acquérir la conscience que les autres ne sont pas nos ennemis est une autre démarche.

 

Cette proposition du responsable de la commission donne un aperçu de cette gouvernance, ce ne seraient pas des élus des peuples, mais un conseil de surveillance de technocrates liés par une pensé unique qui se contre foutrait royalement de ce que pensent ou veulent les populations.

Eux sauraient mieux où se situent leur intérêts et quel modèle elles doivent suivre.

 

Quand je vois le peut d’inquiétude que cela soulève je me demande si les populations ont pleinement conscience que certain envisage une dictature mondiale sur la base d’un modèle unique, celui du marché.

De plus ils voudraient nous faire croire que là ou ils ont échoué, en Europe, cela réussiraient mondialement.

L’abolition des frontières des états ont permis aux capitaux de circuler d’un bout du monde à l’autre grâce aux technologies et demande d’une certaine manière une coopération entre les états.

Nous savons donc que les marchés sont devenus apatrides, et cette volatilité en quelques minutes rend les états quasiment impuissant, puisqu’ils n’ont rien à leur opposer à la même vitesse. Partant de là nous comprenons que la réponse nécessaire réclame une structure adéquate. quand il s’agit de l’Europe et qu’il est bien plus facile de donner pouvoir à une commission que de réunir 27 chef d’états, de même qu’il est plus facile de construire une gouvernance mondiale que de réunir un G20.

 

Pourtant l’argument est trompeur, nous voyons bien que dans les deux cas il s’agit d’apporter une réponse à la circulation des masses monétaires qui se place là où elles retirent un rapport financier, sans souci autre que celui de faire des gains. Il y a des réponses à apporter, mais ce n’est pas l’objet de ma réflexion.

C’est de nous faire toucher du doigt un discourt lénifiant que nous avons entendu se répéter inlassablement, que les marchés assuraient la prospérité des populations.

 

Or que constatons nous, que lorsque la croissance n’est plus et qu’il n’y a pas de moyens de s’y opposer par une émission de monnaie régalienne, les marchés agissent comme une pompe aspirante et le seul recours des états est de se plier à leur exigence, mais en plus d’inciter nos dirigeants à envisager de sortir de l’organisation démocratique des peuples pour se soumettre à des gouvernances qui les passeraient aux comptes des pertes et profits.

 

En un mot nous passerions de la dictature des marchés à une dictature politique, et il y en a encore qui sont capables de nous expliquer que le marché et le meilleur outil de régulation du libéralisme.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 15 Juin 2010

A quoi sert le PS http://www.agoravox.fr/auteur.php3?id_auteur=9706

Bonjour. Bonne question,

 

Je me la suis posé en 1983 quand il a commencé à se reconnaître dans la loi du marché. Ensuite en 1993 quand le socialisme est devenu social démocrate. Il aurait du alors renoncer au sigle d’un passé historique chargé de lutte contre le capitalime.au contraire ils l’ont conservé pour faire la démonstration du mouvement de rénovation du PS.

 

Mais ceci ne valait que pour les initiés du PS, pour beaucoup de militants de la base au son de PS résonnait toujours  son passé salvateur, même pour de simple citoyens.

 

En se reconnaissant dans la loi du marché, c’était une reconnaissance implicite du capitalisme recomposé.

Car la loi du marché c’est le principe de base qui a donné naissance au capitalisme. Que celui-ci se soit restructuré au fil des évolutions technologiques et des besoins qui en sont nés, c’est indéniable. Est c’est justement dans cette recomposition qu’ils se sont retrouvé avec les anciens « capitaliste relookés » dans la loi du marché aussi.

C’est ainsi qu’a droite ou a gauche aujourd’hui l’on a du mal à distinguer ce qui les sépare.

 

D’une certaine manière le parti socialiste est devenu les délégués du personnel de la société française, et l’on sait très bien que les délégués du personnel n’ont pas de projet de société à émettre.

Durant la campagne électorale, nous avons eu droit au travail famille patrie, un tantinet vichyssois. Mais personne n’à oser le relever.

La famille, c’est grâce à elle, dont les membres qui la compose ont acquis par la lutte de classe les moyens de disposer d’une retraite suffisance pour aider leurs enfants et petits enfants, afin de palier à l’insuffisance de la solidarité nationale ; naturellement pour ceux qui ont cette chance.

Le travail. A entendre les discours l’on nous ferait croire que la France est un pays de fainéants, et que la richesse qui s’étale est venu par magie, sans que tous ceux qui y ont participé depuis la sortie de la guerre y soient pour quelque chose.

La patrie. Si le projet Européen, c’était en même tant qu’il glorifié la loi du marché doté d’un volet de protection social pour tous ses ressortissants, plutôt que de jouer sur les disparités entre partenaires, il y aurait eu moins de vraies fausses peurs.

Ensuite ce débat autour de, moi je ne suis pas moins français que toi et je le prouve, était hallucinant.

 

C’est caricatures sont bien sur insuffisantes pour relater tous les événements qui sont intervenus pour faire en sorte que tu te poses cette question.

Je l’avais posé en ces termes à un dirigeant du PS début 1990 après la chute du mur de Berlin. « Maintenant que le mur de Berlin est tombé il reste un grand vide laissé par le communisme, comment compter vous le remplir ». Réponse « en développent le socialisme que nous représentons ».

L’histoire a tranché, et tu comprends la résonnance  de ta question.

Cordialement.

 

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Rédigé par ddacoudre

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