Publié le 30 Novembre 2012

 

1/Le libéralisme c’est comme la liberté çà n’existe pas ou plus exactement c’est un concept qui permet de dire en son nom ce que l’on ne veut pas subir des autres,.

Aujourd’hui il n’est qu’un vieux dogme éculé avec lequel l’on bassine le monde pour lui faire avaler une économie capitaliste qui détruit l’essence du libéralisme dans lequel les« dominants » assimilent le peuple à une monarchie et lui refusent le droit en tant qu’individu qui disposent de la liberté d’entreprendre de se constituer économiquement en groupement ou de vouloir fixer les choix économiques qui protègent leur intérêt individuel et collectif, et de vouloir gérer la création de monnaie..

S’il n’y avait pas de règles donc de possibilités de les transgresser nous ne serions que des « rats » dans un cloaque. C’est pour cela que le libéralisme ne peut se départir de la nécessité de ne pas nuire à autrui. Or par la compétition c’est toujours ce qu’il advient et à force de chercher à supprimer le dernier l’on finit par se suicider car un jour l’on devient l’ultime inexistant. Heureusement que le libéralisme ne fonctionne pas et qu’il génère son propre antidote. Mais pour l’instant il permet aux puissants d’imposer leur économie et leur finance.

2/Marx n’est pas mort mais il ne fut pas un visionnaire il observa et s’instruisit.
C’est notre sort à tous pour comprendre un monde complexe dans lequel la règle est encore un rapport culturel dominant /dominé de Bêta et non d’Alfa (lien) dont la fonction est de préserver l’espèce par la sélection du meilleur géniteur.
Le capitalisme n’est pas une fin en soit, il n’est pas inaliénable de l’humain, ce n’est pas lui le moteur de notre développement, le dire serait croire que nous disposons de toute la connaissance, or notre savoirs et nos savoirs ne dépendent que de la méconnaissance qui est la notre et dont dans sa bibliothèque y séjourne certainement l’avènement qui succédera au capitalisme.
Il n’y aura ni d’homme divin, ni génie, seulement des découvreurs dont l’on ne sait avec justesse comment s’enchaînent leurs désirs d’aller vers l’incertitude et que souvent nous attribuons au seul désir de possessions reformulées autour du capitalisme.
Le libéralisme n’emporte pas le droit d’exploiter autrui mais conçois que celui qui entreprend dispose des ses efforts.


 3/L’organisation des tâches et leurs répartitions structures des stratifications avec lesquelles se réalise l’estime de soi souvent motrice ou attractive d’un agir.
La comptabilisation de nos relations sont un moyen devenue finalité par l’organisation comptable qui transforme le travail en capital sur le seul critère subjectif d’échange qui sait choisit une règle commune aussi colonisatrice qu’est pu l’être l’occident religieux, sans constituer comme lui une vérité, mais un mode d’organisation culturel réformable, et les mathématiques si elles sont très utiles ne lui confère aucun caractère scientifique.
Les égyptiens avaient pour mesurer leur surface les crus du Nil, d’où est né le « nilomètre ».
Depuis il est bien passé de l’eau sous les ponts et le mètre s’étalonne avec un ordinateur atomique.
Rien ne nous empêche d’envisager que demain nous mesurerons notre travail non en monnaie ou en temps mais en ce qui en est sa valeur la plus juste, lejoule qui est la valeur de l’énergie consommé pour un travail.


4/Certes nous n’en sommes pas là, mais c’est seulement pour dire à ceux qui pensent que le capitalisme est incontournable ou inaliénable ; et que la vie doit se dérouler entre dominants Bêtas (liens) avec pour mesure le « capitalomètre » (lien) il nous reste bien plus de siècle que ceux qui nous séparent de l’Égypte.

http://ddacoudre.over-blog.com/pages/du-rat-a-moi-7607770.html

http://ddacoudre.over-blog.com/article-ce-plan-comptable-qui-nous-fait-l-europe-111330768.html

 cordialement.

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

Repost0

Publié le 27 Novembre 2012

 

Il est toujours difficile de tirer des plans sur la commette et de faire des prédictions quand l’on sait que l’avenir se décide avec les actions de hier dont nous gardons en référence qu’un minimum, et  qu’elles ne suffisent pas pour savoir ce que demain sera. Tout juste elles tracent une ligne indicative, car l’humain n’est pas une comptabilisation mathématique même si beaucoup voudraient le réduire à cela.

Nous avons donc toujours le risque de notre obscurantisme, qui consiste à croire certains nos savoirs en estiment que ceux sont seulement les autres qui sont ignorants de ce que nous savons de notre propre méconnaissance.

En clair, j’écris quelque chose de simple, je vais me projeté en 2017 et j’ai donc toute les années qui m’en sépare pour me tromper.

Le PS qui a fait le choix d’une politique social démocrate semblable à celle de son prédécesseur dont il ne s’en  distingue que par les choix de la mise en forme.  Il faut donc s’attendre à un échec de sa politique économique, car il ne disposera pas des moyens financiers pour relancer quoi que ce soit, seulement l’usage des vases communicants, puisqu’il réduit l’endettement de l’état, le transférant sur les ménages. Hors comment procèdent nos éminents politiques pour estimer le résultat de leurs choix ou pour faire des choix. Ils entrent les données dans d’énormes machines intelligentes qui font des simulations, pour ce qui est des émotions humaines  ce sont des compagnies de psychologues, de communicants, de sociologues etc. qui anticipe ce que pourrons être les réactions citoyennes ou plus simplement humaine.

Rien de bien nouveau sous le soleil, les prédécesseurs utilisaient les mêmes moyens ils n’ont pas mieux réussi  grâce à Dieu. L’inverse signifierait que nous sommes aussi déterminés que des fourmis et ce serait la finalité de l’humanité.

Donc malgré tous ces outils techniques et humains notre président échouera, pour une raison simple, lui et ses semblables veulent que ce soient les intérêts particuliers qui concourent à l’intérêt général. Depuis 1776, « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations » d’Adam Smith, nous n’avons pas évolué, nous en sommes encore là, à croire qu’il suffit par un jeu d’orientation des capitaux disponibles de fixer des choix aux particuliers pour qu’ils aillent dans celui de l’intérêt général. Or d’un examen attentif c’est l’inverse qui se constate, c’est qu’en allant dans le sens d’un intérêt général orienté (offre) que l’on en arrive à booster ses intérêts particuliers. De ce jeu il en est ressorti ce dont nous sommes prisonniers de la croissance économique basé sur la consommation permanente. Plus simplement le consommateur est la vache à lait.
Restant donc dance cadre il n’y a pas d’issus possible, car les avancées obtenue ne l’on était qu’en brisant ce cadre, ce fut le Socialisme avec ses échecs. Donc en l’absence d’une telle opposition, il n’y a aucune chance que Hollande réussisse là ou les autres ont échoué, sa seule opportunité serait effectivement un grand investissement européen sur lequel il vaut mieux faire une croix je ne vois pas comment Hollande arriverait à convaincre La City et l’Allemagne d’engager la BCE sur un rôle régalien. Ce qui demande de modifier les statuts de l’Europe ce qui n’est pas à l’ordre du jour, il reste à utiliser les stratégies actuelles, le rachat des dettes par la BCE.
Donc d’ici 2017 nous n’aurons aucun changement notoire, seulement le balancement de vases communicants avec des pics et des creux au fils des transferts d’un vase à un autres (qui seront présenté par les communicant comme des sucés ou des échecs), et tous les détournements de la question politique que nous connaissons par les thématiques, les faits divers avec une information déstructurée pour mémorisation minimale.
L’opposition elle est quasi inexistante, les syndicats ne sont plus audibles, ils servent de faire valoir, de justification d’une politique conventionnelle efficiente qui n’existe plus depuis longtemps. L’opposition politique est en construction, je parle naturellement de celle de la gauche, hors PS, pas de celle parlementaire constitué des parties de droite ou du centre sociaux démocrate qui ne sont qu’une opposition parlementaire comme le fut le PS.
Cette opposition qui se cristallisera autour du front de gauche n’aura d’hypothétiques résultats que s’ils infléchissent la politique du gouvernement pour faire financer ses demande par la redistribution des intérêts particuliers, c'est-à-dire répartir la richesse comme ils disent.
Ce qui ne constituera qu’un vase communicant de plus dont la croissance n’en est pas assuré et dont la consommation peut s’avérer pire, car les moins riches ne consomment pas des produits de hautes technologies ce qui semble être la seule voie d’une croissance pour nos économies onéreuses du fait de notre niveau de vie, que d’aucun voudrait voir réduire pour qu’une relance économique ne finisse pas dans la balance commerciale des pays étrangers, comme celles du gouvernement précédant.
Ainsi côté opposition Socialiste, sans un état qui peut émettre de la monnaie pour satisfaire des investissements locaux qui offrent une croissance intérieure, cela semble poser plus de problèmes qu’offrir des solutions, si ce n’est de quitter la zone Euro.
Reste le cas de l’UMP dont l’implosion est quasi assuré, sauf si elle se dissous et se réorganise sous une autre appellation.
Un UMP avec à la tête Copé c’est être assuré malgré l’échec de Hollande de perdre les élections de 2017. La France ne se radicalisera pas vers le FN déjà nous voyons au centre se reconstituer bon nombre de partis qui se détachent de l’UMP radicale que veut développer Copé. L’effet loupe médiatique ne doit pas faire oublier que d’autres voix de la droite républicaine existent et qu’elles pourraient tirer partie de ce différent idéologique, voire se regrouper.
Ainsi une victoire de Copé serait un échec assuré en 2017 pour l’UMP, une victoire de Fillion c’est l’échec de Hollande garantie, car le centre ne jouera plus en sa faveur en ayant retrouvé une droite républicaine, en l’absence d’un FDG suffisamment développé pour assurer un changement de stratégies économiques dont l’impossibilité d’un état ou d’une BCE régalienne aliène toutes les bonnes intentions qui seront les siennes, et donne la mesure de la difficulté qu’il a à surmonter.
Ainsi ce débat au sein de l’UMP et loin de mériter des quolibets dont chacun s’amuse à commencer par la presse 

 

Au delà des hommes qui s’opposent,  qui ne faut jamais perdre de vu, il y a un choix de stratégie politique que représente Copé. Si Fillion a suivit la ligne Sarkozy durant son mandat de premier ministre c'était essentiellement sur le plan économique et dans ses déclarations de poncifs sur d'autres ministères il fallait traduire les distances qu'il mettait.
Il y a un choix d'orientation plus que de lutte pour une présidentielle de 2017.
Celui qui reviendra sur la ligne de la « droite républicaine » gagnera l’élection de 2017, car l’échec de Hollande est programmé par ses choix économiques car pour le reste rien qui ne change la vie des français au fond, c’est la poursuite de l’idem à quelques approches humanistes prés, ce qui n’est pas rien, mais insuffisant pour que  le PS ne vive pas en 2017 ce que vit l'UMP aujourd’hui.

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

Repost0

Publié le 27 Novembre 2012

 


Au feu les pompiers la maison à brulé. Qui ne connait pas cette continue, l’UMP de toute évidence qui en appelait à Sarkozy le pyromane pour éteindre le feu.

Le discours du sortant

A ceux qui n’auraient qu’une vision restreinte de la France c’est la victoire de tous les dangers, l’élection de hollande ne les a pas dissous, bien au contraire ils se sont précisés durant la campagne du deuxième tour.

 Notre sortant a raclé toutes les poubelles de l’histoire, celles où étaient déposées les haines.

La porte au fascisme est ouverte, c’est là le plus grand défit qui se lève devant Hollande, la fermer. Il couvait depuis des années, après cette campagne il ne peut plus être ignoré.

Et bien si la fracture actuelle de l’UMP au bord de l’implosion démontre que beaucoup l’ont ignoré, et non des moindres politologues. http://ddacoudre.over-blog.com/article-le-discours-du-sortant-104709757.html

 

Félicitation au nouveau président, appel au rassemblement pour la France oublie des haines, sa fierté d’avoir occupé la fonction suprême, puis le remerciement à tous les militants rien de moins normal.

Et puis tous doucement, il est revenu sur les valeurs qui sont les siennes, celles qu’il a incarné durant son quinquennat l’idée d’une France qu’il appeler ses électeurs à ne pas abandonner, ses valeurs , celles qu’il avait défendu durant la campagne, et pour lesquelles  les français s’étaient prononcés, car c’étaient eux qui incarnaient les valeurs de la France, eux qui étaient la vrai France.

 

Sous le titre qui pour reconstruire une droite républicaine j’écrivais ceci :

 Etrange destin d’un président sortant qui dans une France ancrée à droite trouve le moyen de perdre sa réélection.

Qu’il endosse la responsabilité de cet échec me semble être la moindre des choses, pourtant l’on ne peut évacuer la responsabilité de tous ceux qui l’ont accompagné, de tous ceux qui n’ont pas eu le courage de Rama Yade, même si elle ne sut pas dans la dernière ligne droite se faire entendre, et devoir s’associer avec Borloo à la campagne récurrente de tous les fond de commerce du président.

 

Avec les législatives va couler la bérézina Umpiste, il y a de forte chance que seul 27% des français soutiendront les députés de l’UMP, car c’est là son résultat, et le PS avec 28% n’est pas mieux loti, sauf qu’au moment des choix, ils donneront en toute logique la préférence au président élu.

Je crois que le slogan UMP de représenter l’opposition au parlement risque de se trouver fortement en balance avec le FN.

Je pense que beaucoup d’électeurs risquent fort de se souvenir  du glissement à droite des députés UMP tant par des figures emblématique comme Hortefeux, Guéan, Copé, Morano, Mariani, lefébvre, et j’en oublie certainement, que par les appels décomplexé des derniers jours de campagne de l’UMP.  

Je ne présume pas que tous les députés vont rester taisant, et je crois que certains vont prendre leur distance avec la stratégie de l’UMP durant cette campagne présidentielle, j’imagine même que va surgir  le retour d’une droite républicaine. Ce sera pour certains le moyen de se distinguer du Sarkozyme.

J’estime même qu’il est politiquement nécessaire que la droite républicaine se reconstruise. http://ddacoudre.over-blog.com/article-qui-pour-reconstruire-une-droite-republicaine-104838182.html

Il semblerait que Fillion veuille le faire, mais ce sera dans la douleur, il n’y a pas de réussite qui se font sans souffrance.

Ensuite ils en appellent à Sarkozy comme arbitre lui qui a allumé l’incendie.

J’avais écrit ceci de son discours de sortant :

Félicitation au nouveau président, appel au rassemblement pour la France oublie des haines, sa fierté d’avoir occupé la fonction suprême, puis le remerciement à tous les militants rien de moins normal.

Et puis tous doucement, il est revenu sur les valeurs qui sont les siennes, celles qu’il a incarné durant son quinquennat l’idée d’une France qu’il appeler ses électeurs à ne pas abandonner, ses valeurs , celles qu’il avait défendu durant la campagne, et pour lesquelles  les français s’étaient prononcés, car c’étaient eux qui incarnaient les valeurs de la France, eux qui étaient la vrai France.

Nous avons bien compris les électeurs de l’UMP, ses adhérents et ses élus sont la vrai France,  certainement comme il y a eu le vrai travail à en croire la situation actuelle elle démontre pour le moins qu’il y a au sein de l’UMP deux Frances qui s’opposent.

Il semblerait donc que Copé soit la vrai France, d’ailleurs il l’a écrit dans son ouvrage « La France décomplexé ». Naturellement ce n’est pas en écoutant la langue de bois ou les écrits lénifiants que les faces cachées se dévoilent. Alors il faut avoir de la mémoire et retrouver dans les évènements écoulés ceux qui ont construit cette France décomplexé.

Pour cela il faut remonter à l’échec de Jospin, la nomination de Sarkozy comme ministre de l’intérieur, analyser ses actions et discours et prestations, son parcours de candidats et trier l’électorat qui a fait la différence en 2007 pour en arriver à l’échec des régionales qui décident du passage à l’acte comme diraient les psychiatres, c’est à dire la ligne dites « Buisson » ou la France décomplexé qui étalait au grand jour ce qui se faisait sans le reconnaitre.

 

Ce n'étai pas seulement en courant après le FN, il a déstructuré la république, il a fait du gouvernement et du parlement une cours digne d'un Ben Ali, il a remplacé la politique par le spectacle, à toujours servit les siens et opposé les français sur tous les sujets. Il pensait que certains naissaient bons et d'autres mauvais. En d'autres temps l'on disait que certains étaient supérieurs à d'autres, comme l'a dit hortefeux en parlant des auvergnats classer par Lapouge comme Homo alpinus, représenté par l'Auvergnat et le Turc, « parfait esclave craignant le progrès » ; qui savait cela certainement pas les journalistes qui se sont gaussés de cette polémique. Puis ce fut guéant parlant de toutes les civilisations qui ne ce valent pas. Enfin le vrai travail, au relent pétainiste, son discours de Toulon tourné certes vers le FN, mais surtout sur le réveil de la haine chez les pieds noirs, et pour conclure dans son discours d'adieu il ne peut s'empêcher de mentionner que ces lui qui défendait les vrais valeurs contre les autres et j'en laisse. Ainsi tout au long de son mandat il a laissé des traces semblables qui isolé peuvent paraitre insignifiante mais qui bout à bout vous illustre ce qu’est réellement une France décomplexé de Monsieur Copé.


 Je reconnais que je ne privilégie ni Copé ni Fillion et que j’aimerais bien que De Villepin retourne sur la scène politique.


Dans un article de novembre 2011 j’écrivais ceci : Il est hallucinant que les militants de l’UMP, ne tirent pas les conséquences d’une dégringolade de l’action du président que confirment les études en profondeurs sur la durée comparative d’une année sur l’autre sans changer les questions, comme celles du CVFIPOF.

Si le président maintient sa candidature suivant l’usage, nous devons nous attendre à tout, à tout en dehors des clous de la joute politique, car sur ce terrain il à perdu d’avance, même s’il n’y a qu’une minorité de français qui se prononcent dans les urnes.

C’est ce qu’il a fait, il est sorti des clous traditionnels de la droite républicaine, non comptant d’avoir perdu, avec ce qui n’était qu’un jeu de stratégie de  pouvoir, Copé en fait une orientation politique pour l’UMP, l’on peut donc comprendre qu’ils ne s’agit pas seulement d’une opposition d’ambition politique d’homme qui postulent au pouvoir.



 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

Repost0

Publié le 23 Novembre 2012

Le 27 octobre 2011 j’écrivais ceci, extrait :

L’impasse du pouvoir.

 

Curieux destin pour un président qui en 2007 devait transcender la France de devoir terminer son mandat en réduisant le remboursement des indemnités maladies.

S’il est un symbole pathétique de l’échec de quatre années de gouvernance c’est bien celui-là, être contraint de réduire les ressources de ceux qui à un moment de leur existence, se trouvant dans la difficulté, en ont le plus besoin.

Il a conduit une politique pour le faire fructifier le capital afin qu’il s’investisse et développe croissance est emploi.  

Et du coup avec un aplomb extraordinaire ceux qui n’ont eu de cesse de réduire les recettes de la nation au point de l’endetter au niveau que nous connaissons en passant de 934 milliards d’euros en 2002 à 1646.1 milliards en mars 2011, franchissant le seuil des 60% du PIB (critères de Maastricht) en 2003 pour atteindre 84.5% du PIB, se présentent comme des gestionnaires responsables assurant que la seule bonne décision demeure l’austérité.

Notre président n’était-il pas celui qui disait qu’il fallait apprécier sa gestion à la vue des résultats de son action et de son gouvernement.

Une majorité de français l’on fait et on viré Sarkozy plutôt que d’élire Hollande, ce qui explique la baisse des sondages du président et du gouvernement aussi rapidement.

J’ai eu écrit qu’avec de tel sondage le précédent président ne pouvait pas être réélu. Il en sera de même pour Hollande, et rien dans ses choix politiques, qui sont pour faire court : bonnet blanc et blanc bonnet, ce que traduisent les sondages dans la perception des français, malgré une volonté d’efficacité affiché comme son prédécesseur, n’annonce une embellie. L’un avait choisit de soutenir l’investissement par l’exonération fiscale, Hollande par l’exonération de charges.

 

Le premier devait compenser par des emprunts sur le marché financier s’il ne voulait pas avoir une politique de réduction de la dépense publique trop drastique, ce qu’il a accepté en fin de mandat, (la règle d’or).  Notre président actuel exonère des charges qu’il finance par la TVA pour ne pas avoir a emprunter la perte de ressource que cela représente dans le budget de l’état, réduisant d’autant la capacité d’achat des consommateurs qui ne sera pas compensée par une augmentation de consommation de l’état puisque ce n’est à son niveau qu’une affaire de vase communiquant et qu’il coordonne son action sur la base de la règle d’or.

 

Nous sommes donc dans une démarche d’austérité où dans le meilleur des cas les entreprises jouent le jeu, (ce en quoi je ne crois pas du tout, elles ne l’ont pas fait sous un gouvernement qui leur était acquis qu’elles raisons auraient-elles de le faire avec un gouvernement dont elles savent qu’en le poussant dans ses retranchement, il imposera à ceux qui croient qu’il est socialiste des mesures d’austérités que le précédant aurait hésitées à prendre) soit les particuliers s’endettent et nous n’avons fait qu’un transfert de dette de l’état vers les particuliers.

Or le taux d’épargne est un indicateur de confiance, plus l’on épargne plus l’on indique que l’on craint l’avenir ou une soudaine diminution indique une régression qui impose de puiser dans des ressources épargnés. C’est pour cela qu’en France nous avons un taux autour de 16% et que l’Espagne la Grèce l’Italie au tour de 13%.

 

J’ai fais bien sur d’énormes raccourcis pour dire que nous sommes dans une impasse structurelle et que la mesure CHOC pour conserver la stabilité économique est politique  des états et de l’EUROPE ne peut venir que DE L’ACCEPTATION DU RÔLE REGALIEN DE LA BCE, ce a quoi s’opposera mordicus la city plus que l’Allemagne.

Compte tenu de la mondialisation des marchés le principe de sa régulation naturelle par sa « propre main invisible » est abscons et n’a toujours été qu’un mythe, puisque c’est lui qui génère les régulations qui naissent de ses compétions et il ne peut à la fois les générer et les refuser, c’est un monde de « Schizophrènes ».

Puisque le marché impose la compétition, il doit accepter celle de la création de monnaie par la communauté citoyenne, comme il doit accepter que cette même communauté puise investir de la monnaie   dans des projets que ses, intérêts particuliers égoïstes ne feraient pas.

 

Nous en sommes encore là, encore à l’âge de pierre malgré que nous allions dans l’espace, signe d’une sacrée capacité technologique et d’intelligence.

Sauf que nous n’arrivons pas à en faire un usage dans nos relations économiques qui restent un affrontement dogmatique dont je soulignais le paradoxe.

Alors que va t il advenir, car c’est cela qui importe. Et bien c’est engagé lentement une recomposition politique et elle se poursuivra.

J’ai indiqué que le libéralisme capitalistique génère ses propres oppositions, elles se reconstituent péniblement. J’ai déjà écrit après les dernières régionales que le choix du gouvernement Sarkozy de devenir un « frontiste » le ferait imploser, c’est ce qui est entrain de se produire.

Peut-être que la médiation de Jupé ralentira cet avènement, comme en 2005 les Socialistes ont maitrisé la leur, mais inéluctablement l’UMP et le PS se recomposeront.

Cela ne tient pas à leur volonté, mais aux choix d’une économie politique qu’ils font. OR celles du PS et de l’UMP est la même sur le fond, car c’est l’organisation structurelle économique qui les condamne à la mener, avec cet extraordinaire paradoxe humain ; que ceux qui n’en veulent plus pousse dehors ceux qui la mener pour élire d’autres qui font la même.

 

 Non parce qu’ils seraient « cons » et pas capables de comprendre ce qu’ils font, mais parce que depuis 1989 ne c’est pas constitué une opposition nouvelle aux excès du libéralisme capitalistique, car elle se construit lentement dans le débat d’idées face aux contraintes sociétales qu’impose l’organisation économique.

Ce n’est pas pour rien qu’il y a une main mise sur l’information, oh çà n’arrêtera pas le processus, l’histoire nous le démontre, çà le ralentira.

Chacun a compris qu’elle ne sera pas celle du NPA sinon les français l’auraient choisit, ni celle « cafouillarde » du FN qui cache derrière son fascisme.

Les citoyens cherchent une espérance et la peur de l’incertitude les contraints à accepter ce qu’ils rejettent en majorité, c’est pour cela que la peur tout azimut est entretenue et est devenue un enjeu électoral.

Pour l’instant en l’absence d’une capacité d’une création monétaire régalienne qui offre la possibilité d’autres choix politiques, ils doivent supporter la loi du marché et attendre que se structure un projet de société viable qui les entrainera, il viendra de l’éclatement du PS et de l’UMP qui ne drainent plus que leur appareil et la peur.

 

Pour cela il faut aussi des hommes, un parti pour les accueillir et porter leurs espoirs. Je n’ai jamais caché que je pensais Mélenchon capable de cela, non parce qu’il  serait la panacée et que les français qui quitteraient le PS ou l’UMP pour voter pour lui changeraient les choses en étant restés des capitalistes qui passeraient de l’UMP et PS social démocrate vers  la gauche. Je dirais même qu’ils le suicideraient s’ils espéraient trouver dans la gauche le profit de leur capital (d’où l’importance du débat d’idées  pour lever le pataquès entretenu par les communicants) mais parce que il va être un attracteur, celui qui impulse le mouvement, parce que c’est « la main invisible » qui l’a généré (pour faire court). Ce qui serait regrettable de tuer dans l’œuf une nouvelle opposition naissante porteuse d’une idéologie qui se construira et dont elle ignore encore ce qu’elle sera, mais une chose est sure elle ne sera pas communiste.

 

C’est un destin que j’aurais aimé voir jouer par mes ex amis socialistes, ils seraient restés dans la ligné de ceux qui ont façonné l’histoire du socialisme malgré la déconvenue du communisme, dont l’échec ouvre d’autres perspectives à saisir. Mais amis PS plutôt que d’échouer ont préférer se convertir, coller au déroulement de l’histoire plutôt que de l’orienter, ce fut leur choix.

 

Et ce choix nous le savons conduit dans une impasse.

 

Souvent je rappelle ceci. « …/Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.

Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.

De fait une collaboration s’impose.../ »

Il n’y aura pas un génie qui apportera la bonne mesure elle viendra des conflits ou des oppositions qu’engendre le libéralisme capitalistique et non des peurs qui le conforte. Ce sont sur ces mêmes peurs qu’à du se glisser le PS pour arriver au pouvoir.

Triste de voir que la seule espérance d’un peuple est ne pas avoir peur, généralement l’on en meurt, mais c’est une autre histoire qui viendra.

 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

Repost0

Publié le 9 Novembre 2012

 

Je ne vais pas commenter tout le rapport Gallois, seulement un avis sur quelques propositions qui en dehors d’un certain nombre symbolique comme celle de la participation des salariés aux décisions ont retenu mon attention.

 

« Troisième proposition : le Commissariat à la Prospective 

Création d'un Commissariat à la Prospective, lieu d'expertise et de dialogue social. Chaque loi de finances serait accompagnée d'un rapport sur la situation de l'appareil productif fondé sur les travaux du Commissariat. »

Il existe beaucoup de commissions d’observation de la vie économique, telle la commission paritaire nationale de l’emploi, les conseils économiques et sociaux etc.

Toutes ces commissions qui pourraient aussi bien s’appeler commissariat ne fonctionnent que sur la mise à disposition de la collecte de l’ensemble de données fournies par les entreprises sur la sollicitation des agences de recueil d’information, tel l’Insse, la banque de France et tant d’autres que nous consultons parfois sur le net, y compris les fameuses agences qui ont défié la chronique avec leur AAA. En quelque sorte c’est comme si vous consultiez votre voisin qui viendra voir ce que vous faites pour vous donner son avis. C’est comme cela nous tournons en rond en nous observant les uns les autres. Au bout toutes nos observations se traduisent dans un cadre comptable défini qui ventile et soupèse toutes les différents champs d’activité et d’actions, en tire des ratios qui servent de guide, de voix aux avis et décisions qui seront formulé. En fait cette proposition crée une énième agence de notation franco française qui se servira des mêmes données. Ce qui sera intéressant est de savoir quels en seront les membres car a première vu cela ressemble au comité économique et social..

 

« Quatrième proposition : transfert des charges sociales

Transfert d'une partie significative des charges sociales jusqu'à 3,5 SMIC - de l'ordre de 30 milliards d'euros, soit 1,5 % du PIB - vers la fiscalité et la réduction de la dépense publique.Ce transfert concernerait pour 2/3 les charges patronales, et pour 1/3 les charges salariales. »

Ceci est la porte ouverte à la fiscalisation des cotisations sociales qui s’inscrit dans le cheminement de l’étatisation tant décrié, et conduira du fait de la régression à un système de couverture sociale à deux vitesses. Pour ceux qui en connaissent l’histoire elle a débuté en 1967, avorté en 1976 aux états généraux sur la sécu, fut relancé par le gouvernement socialiste qui inclura le budget sécu dans la loi des finances, et aujourd’hui c’est un début de la fiscalisation de ces recettes. Etant donné que le crédo libéral capitalistique consiste à vouloir réduire les prélèvements fiscaux ou taxation des recettes de l’état et que l‘austérité est là, il est facile d’imaginer la suite. Ce qui est amusant, c’est que ce sont toujours les socialistes qui réalisent ce que n’ont jamais obtenu ceux qui le souhaitaient. Ce qui n’est pas dit c’est qui va payer par la fiscalité, puisque tout le monde veut la réduire.

 

« Sixième proposition

Alignement des conditions de crédit et des garanties export, en volume, quotité et taux sur le meilleur niveau constaté dans les pays avancés et création d'un " prêteur direct " public. »

Proposition intéressante, si l’état avait la possibilité d’émettre de la monnaie.

Il est donc important de connaitre d’où il retirera les fonds, puisqu’il emprunte sur le marché financier et veut réduire la fiscalité.

 

« Seizième proposition : le compte individuel de formation

Demande aux partenaires sociaux de négocier les modalités de mise en oeuvre d'un compte individuel de formation, " crédité " soit au début de la vie active, soit chaque année, et attaché non au statut, mais à la personne. »

Proposition patronale qui date des années 80 et qui a vu le jour dans la réparation automobile par un accord conventionnel que personne n’a repris car il transformait la prime d’ancienneté en capital formation. Plus simplement ce sont les salariés qui finançaient leur formation.

 

« Dix-huitième proposition : allongement de l'assurance-vie

Allongement de la " durée " des contrats d'assurance vie par une adaptation de leur régime fiscal ; avantager fiscalement les contrats en unités de compte (c'est-à-dire investis en actions) et les " contrats diversifiés " par rapport aux contrats dits en euros (placements essentiellement obligataires). »

En clair orienter les masses financières des compagnies d’assurances vers les marchés financiers qu’utilisent les investisseurs industriels, plutôt que de les prêter à l’état en achetant des obligations qui servent a régler la dette aujourd’hui. En clair l’état va se passer des fonds disponibles des assurances. Intéressant pour l’investissement industriel si les entreprises jouent le jeu. Doublement si la BCE finance directement l’endettement à hauteur du critère de 60%. Dans le cas contraire il faudra que l’état se trouve d’autres préteurs, et à quel taux, ou réussir comme il l’envisage de réduire l’endettement, dans cas ils auront libéré de l’investissement.

 

« Vingt-et-unième proposition

Accompagnement de toutes les décisions européennes concernant la concurrence d'un avis d'experts économiques et industriels extérieurs à la Commission ; cet avis serait public. »

Une agence de plus, c’est dur d’assumer ses responsabilités politiques, mais notre temps est à la recherche perpétuelle du père qui sera nous rassurer, ce qui est différent de s’assurer.

Dans un domaine aussi subjectif, je me garderais bien d’y aller, car comme le démontre l’affaire d’Aquila je risquerais la prison en l’état d’une société qui croit que les experts sont des dieux qui détiennent la solution. Demander plutôt à votre voisin qui vous regardera vivre pour vous dire ce que vous devez faire.

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 3 Novembre 2012

 

Le vendredi 2 avril 2010, j’écrivais un article intitulé, « Le suicide altruiste en 2017 » http://ddacoudre.over-blog.com/article-l-suicide-altruiste-2017-47884776.html, j’y rappelais certaines tendances bien affichées de la population et l’absence de réponse de la classe politique. Réponses que les citoyens ont pensé trouver dans l’élection de François Hollande et dont l’impatience le traine vers le bas des sondages. Sa réponse à une telle chute est identique à celle que fut la réponse de Sarkozy devant les mêmes difficultés, à savoir la pulsion de mort.

 

Dans cet article j’y relatais l’élection régionale et concluait sur les perspectives de 2017. « …./On ne peut pas passer l’abstention sous silence, certes c’était une élection régionale, mais compte tenu de la porté politique qui lui fut donné, l’on ne peut pas dire que ce fut un vote régional, dire cela est se mentir, même s’il a retrouvé un peu plus ce caractère au deuxième tour. Sans cela il y a des seuils ou la valeur d’une abstention est un choix politique, c’est le cas présent, comme ce fut celui des Européennes.

Ainsi donc durant ces deux prochaines années la politique va se faire par défaut.

Défaut de disposer du pouvoir économique, le chômage croit (pour ne citer que lui).

Défaut du pouvoir financier, il a fallut renflouer les banques.

Défaut du pouvoir politique seulement, 17.3% font confiance au gouvernement.

Que restent ils à nos gouvernants que la pulsion de mort ; la gestion de tous les désastres qu’entraine ce défaut de pouvoir.

A savoir un retour sur les promesses illusoires d’un paradis après la mort énoncé en 2007et un renforcement sécuritaire liberticide vers le FN, l’on en a n’a pas fini avec les spectacles dramatiques, et la dramaturgie des faits divers.

J’espère que d’autres se poseront les bonnes questions, mais au vue de ce que pensent les français des institutions qui réglementes leur existence, je ne vois pas quel parti peut les satisfaire.

La situation est bien plus grave que ce qu’on le pense, cette abstention n’est pas un coup de tête, elle c’est construites sur les déconvenues de l’alternance et la langue de bois.

En 2007 un illusionniste à réussi encore à soulever des applaudissements, il reste encore au français un échec à vivre, celui de la reconstruction du PS (avec une interrogation), et en 2017 ils n’auront droit qu’au suicide altruiste, car je doute que tous ceux dont ils se méfient, s’amande d’ici là.

Nous avons eu cette semaine, avec l’affaire Martin, celle Hammami, un retour à l’affaire Mérhad, les règlements de comptes à Marseille, les mêmes informations sur lesquelles surfait le précédent gouvernement en baisse dans les sondages. Triste constat venant de la part d’un parti qui se dit socialiste ou clairvoyance d’un parti au pouvoir qui mesure la déchéance intellectuelle où en est réduite notre population à vivre dans la peur et qui ne s’en écarte pas pour conserver le pouvoir.

L’échec du PS que j’annonce en avril 2010 pour 2017 ne sera pas contre balancé par l’accord d’investissement européen trop insignifiant pour relancer quoi que ce soit. En fait l’Allemagne à acheté pour pas grand-chose l’adhésion du nouveau gouvernement à la règle d’or, c’est à peine croyable de voir un gouvernement PS réaliser les conditions de son suicide.

Naturellement il n’aura pas échappé aux uns et aux autres que comme le précédent il dit qu’il travaille, mais en fait, surtout il communique et ces jours-ci avec les événements que j’ai ciblé l’on se demande avec QUI, la droite Sarkozienne, le FN, ou ???

Le marché du terrorisme est semble-t-il porteur auprès de la population, bien qu’il ne fut pas suffisant à Sarkozy pour se faire réélire et ce n’est pas faute d’y avoir fait appel (affaire Mérhad). Faut-il prendre les français pour de nases pour leur faire croire qu’en augmentant les forces de polices ou de ce que vous voudrez, l’on arrivera à faire reculer une violence sociétale qui se cristallise sur certains secteurs bien connus des services de police (trafics de stupéfiants, blanchiment d’argent, et autres, tout ce qui nourri le banditisme). Ceux-ci font l’objet d’une lutte constante comme d’une organisation internationale qui n’a attendu ni Guéant ni Valls, qui en fut pour l’un et en est pour l’autre à démontrer qu’ils sont agissants, et le permanent amalgame entre incivilités et délinquances qui réjouit le FN se poursuit.

Si des citoyens en sont encore à avaler ce genre de couleuvres, ce qu’il faut en croire vu les actions symboliques qui ont fait la une, il ne nous reste qu’à rédiger notre testament pour 2017. Si nous espérons construire un avenir sur la pulsion de mort que génère la peur il ne reste aux français qu’a élire le FN car historiquement son exploitation est leur œuvre.

 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

Repost0