Publié le 28 Octobre 2016
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Chacun se rappelle cette histoire qui servait à discréditer VGM. En chasse en Afrique chez ses amis dictateurs, rentré à Paris il raconte sa chasse, j’ai tiré une gazelle et deux panous, un beau lion et trois panous. Il énumère ainsi son tableau de chasse, composé d’un bon nombre de panous. N’osant interrompre le président tous se taisent malgré DES regard ébahie à l’annonce des panous. Le ministre des affaires étrangères L'interroge, c’est quoi des panous et de s’entendre répondre : je ne sais pas mais chaque fois sortait des buissons des bêtes noires avec des bras en l’air qui criaient en les agitant Panous Panous .
Le Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip). Ainsi, l’évolution du nombre d’homicide depuis 81 baisse malgré des pics momentanés, et ce n’est pas lié à l’existence ou nom de la peine de mort. En revanche, le lien entre l'abolition de la peine de mort et l'allongement des peines prononcées aux assises semble, lui, avéré. Pour preuve, en l'espace de trente ans, le nombre de prisonniers condamnés à la réclusion à perpétuité a plus que doublé, Il faut dire que, depuis 1981, le code pénal n'a cessé de se durcir. En 1994, une « période de sûreté perpétuelle » a été instaurée pour les personnes reconnues coupables de meurtre sur mineur de moins de 15 ans doublé de viol ou de torture. Dans ce cas, un condamné ne peut être libéré qu'après avoir passé trente ans derrière les barreaux. Cette sévérité accrue des peines a été confirmée tout récemment avec l'adoption, en février 2008, des « peines de sûreté ». Elles permettent, en effet, de retenir indéfiniment les personnes considérées comme potentiellement dangereuses à leur sortie de prison. Plusieurs associations de justiciables se félicitent de cette évolution. C'est notamment le cas du délégué général de l'Institut pour la justice, Xavier Bébin, qui voit dans ces lourdes sanctions « le meilleur compromis entre, d'un côté, la nécessité de protéger la société et, de l'autre, le respect de la vie humaine via l'abolition de la peine de mort ». Une opinion que ne partage pas l'Observatoire international des prisons (OIP), qui fustige « la relégation sociale définitive qui accompagne souvent les longues peines ».
Juste pour souligner que le laxisme supposer qui justifierait le retour à la peine de mort et faux, même s’il semble séduire les citoyens que l’on effraie avec des mensonges à partir d’événement réels.
Alors, des demandes émanent pour réclamer des renforcements de peines, est-ce que nous allons en arriver à condamner à 25 ans de prison pour avoir volé une part de pizza, comme en Californie en 1995.C’est cela que d’aucun appellent la justice.
D’autres voix fustigent les remise de peine qui ont été modifiée en 1984, qui donc sait que la loi qui les régie date de 1875.
Les individus condamnés à titre définitif avant l'entrée en vigueur de la présente ordonnance bénéficieront de la réduction prévue à l'article 4 de la loi du 5 juin 1875, dans les conditions visées audit article pendant toute la durée de leur peine.
Les individus condamnés à titre définitif à la relégation avant l'entrée en vigueur de la loi du 3 juillet 1954 pourront bénéficier de la libération conditionnelle, pendant le cours de leur peine principale, dans les conditions fixées à l'article 2 de la loi du 14 août 1883.
Face à l’ignorance de la population le FN à beau jeu d’affirmer des contres vérités comme son porte parole Nicolas Bay selon lequel : l’abolition de la peine de mort en 1981 a provoqué « l’effondrement de l’ensemble de l’échelle des peines, ce qui fait qu’aujourd’hui, il n’y a plus de perpétuité réelle L'abolition de la peine de mort en 1981 a généré ce laxisme dont on fait aujourd'hui lourdement les frais. Ça fonctionne, un drame survient il vent son mensonge à la télé et aux journaux, et quand un autre arrive il recommence.
Si nous en sommes arrivé à ce que des citoyens adhérent aux thèses frontistes il a bien fallu que ça leur entre par les oreilles et les yeux pour atteindre le cerveau.
Si je fais ce crochet par la peine de mort, c’est que les actes de civilisation se caractérisent par la protection de l’existence et de l’existence de tous, même quand un tue. Dans l’échelle du développement "civilisationnel", la loi du talion fut une avancée face à la barbarie qui était d’usage et la facilité à tuer un voleur de pizza. Dorénavant l’on ne pourrait pas faire plus que ce qui nous avait été fait.
L’on ne pouvait donc que voler une part de pizza au voleur de pizza, crever un œil à celui qui vous en avait crevé un. Nous savons que cela a dégénéré à son tour en barbarie punitive, jusqu’à la révolution où l’incarcération est entrée dans le système punitif, la privation de liberté, et au lieu de voler à l’autre la pizza ou lui crever un œil, nous lui versons un dédommagement, les DI. Cela nous a fait revenir au principe de la loi du talion, alors que les DI étaient versées par les riches pour éviter la prison. Et en matière de conciliation cela se pratique encore.
Nous n’avions donc pas évolué depuis ces siècles, prés de cinq milles ans, et l’abolition de la peine de mort à introduit une rupture. Pas extraordinaire puis que nous avons introduit la perpétuité que certain ne voudrait pas voir limité à trente ans histoire de renouer avec la loi du talion il a tué nous sommes civilisé nous ne le tuons pas mais nous allons le laisser mourir à petit feu. Nous avons introduit par ce bais une persécution. C’est ainsi que les remises de peines sont un acte d’humanisation, un acte » civilisationnel » de ceux qui savent que la répression a ses limites et qu’il vaut mieux réinsérer les hommes, et que tout homme dispose d’une faculté de résilience
Alors, quand les policiers demandent la révision du droit de la légitime défense, de quoi s’agit il.
USgp police- FO. Il faut attendre. Pour le symbole, il y a quand même l'alignement des sanctions pour outrage à policiers sur celles des magistrats. Est-ce important symboliquement ? C'est important. Il faut que l'on comprendre, en France, que lorsque que l'on touche à un fonctionnaire de police, les peines doivent être absolument impitoyables. Il faut que la justice soit impitoyable. Mes collègues se plaignent d'une pression insupportable et de la politique du chiffre. Il faut cesser cette politique du chiffre qui se fait au détriment de la sécurité.
ALIANCE POLICE. Il est anormal que les policiers soient soumis à la même règle que les citoyens….un policier qui se trouve face a un homme armé qui le menace ou menace quelqu’un il doit pouvoir faire feu après deux somations, sans que ce soit pour autant un permis de tuer.
USSA police. Jean-Marc Falcone, directeur général de la police nationale promet un "plan de sécurité publique". "C’est insuffisant parce qu’on attend du concret, répond Philippe Capon, secrétaire général UNSA Police, invité de Jean-Jacques Bourdin lundi. Rien n’a changé, alors qu’il faut que ça change, ce sont les attentes des collègues. On ne peut plus se contenter de promesses. Ils ont encaissé 650 millions lire le lien ci-après) Les policiers souffrent, c’est une réalité". La mise en place d’une réponse pénale forte, pour toutes les agressions à l’encontre des représentants de l’État et des membres de force de l’ordre
Ce qui n’est pas dit aux citoyens c’est que par le protocole du 11 avril 2016, signé par l’UNSA police, s’élève pour la police et la gendarmerie à 650 000 000€. http://police.unsa.org/ . Dispositions de ce protocole que n’a pas signé USgp police http://www.interieur.gouv.fr/ . Ensuite face à la grogne le gouvernement a débloque 250 000 000€ supplémentaire. Au total cela fait 900 millions €.
Ainsi, chacun d’eux veut une réponse pénale forte, mais aucun, vous pouvez visiter leurs sites, ne dit si cette réponse forte, ces peines impitoyables, ces mesures pour citoyen anormal, est tuer le voleur de pizza.
En conclusion, nous n’avons pas à tuer un panous panous, sauf encas de légitime défense. Article 122-5.N'est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit, dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui, sauf s'il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l'atteinte.
N'est pas pénalement responsable la personne qui, pour interrompre l'exécution d'un crime ou d'un délit contre un bien, accomplit un acte de défense, autre qu'un homicide volontaire, lorsque cet acte est strictement nécessaire au but poursuivi dès lors que les moyens employés sont proportionnés à la gravité de l'infraction.
La sommation pour tuer quelqu’un n’existe pas dans le code pénal. Article R431-1
- Modifié par Décret n° 2011-794 du 30 juin 2011 - art. 1
- Abrogé par Décret n°2013-1113 du 4 décembre 2013 - art. 9
Pour l'application de l'article 431-3, l'autorité habilitée à procéder aux sommations avant de disperser un attroupement par la force :
1° Annonce sa présence en énonçant par haut-parleur les mots :
" Obéissance à la loi. Dispersez-vous " ;
2° Procède à une première sommation en énonçant par haut-parleur les mots : " Première sommation : on va faire usage de la force " ;
3° Procède à une deuxième et dernière sommation en énonçant par haut-parleur les mots : " Dernière sommation : on va faire usage de la force ".
Si l'utilisation du haut-parleur est impossible ou manifestement inopérante, chaque annonce ou sommation peut être remplacée ou complétée par le lancement d'une fusée rouge.
Toutefois, si, pour disperser l'attroupement par la force, il doit être fait usage des armes mentionnées au IV de l'article R. 431-3, la dernière sommation ou, le cas échéant, le lancement de fusée qui la remplace ou la complète doivent être réitéré
En fait la sommation que réclament les policiers n’est que le droit de tuer face à l’agression d’une personne qui le menace ou menace autrui avec une arme. C’est la boite de pandore ouverte, car en l’absence d’avoir un mort qui explique la situation il aura toujours été sommé de se rendre. Ainsi, la peine de mort ne sera plus prononcée par la justice mais exécutée par le policier. Et par ce bais nous feront rentrer dans les faits une peine de mort qui a été abolie. Quand aux peines impitoyables j’ai du mal à les imaginer. Si les citoyens sont égaux, il en est qui sont psychologiquement affaiblis, soit par leur jeune âge, soit par la vieillesse, soit par une déficience, et il est vrai que les peines sont plus sévères, mais je ne pense pas que ce soit le cas d’adultes armés dont la tâche est justement d’affronter les risques. Une société où la police a le droit de tuer hors légitime défense est une dictature. J’écris souvent que les policiers et les gendarmes n’ont pas à risquer leur vie, pour cela c’est la réponse sociale à la fracture qui existe qu’il faut modifier pour qu’ils n’aient pas pour mission de garder la misère.