Publié le 23 Février 2019

C'est un non croyant qui l'écrit. Pouvons nous parler de quelque chose qui n'est pas en potentialité d'être, d'exister. Si vous répondez à ce questionnement, vous aurez accédé à la reconnaissance d'une capacité de réflexion cognitive, que nous ignorons le plus souvent, que tout ce qui existe à une raison d'être. Cela même si nous ignorons pourquoi et que nous dussions élaborer, imaginer, théoriser ce que nous pouvons en définir par notre langage.

J'ai déjà écrit que vouloir faire entrer l'humanité dans un plan comptable comme nous le faisons en élisant une élite bornée et bloquée par lui, alors qu'elle dispose des capacités intellectuelles ouvertes sur les savoirs, est un handicap sociétal.

L'humanité, l'univers, la vie ne peuvent se contenir dans nos mots.  C'est l'élite qui devrait demander à ceux qui ne savent pas ou qui n'ont pas eu le temps d'apprendre parce qu'ils passent leurs temps au travail ou dans les temples de la consommation et du loisir, de dire ce qu'ils veulent ou non, même s'ils n'ont pas le savoir suffisant pour dire comment faire. Nous avons inversé le mécanisme. Ce sont ceux que nous avons nourrit et initié qui nous offrent des programmes clé en main pour nous astreindre au travail quand vient même nous pourrions nous en soulager. Pire ce sont les moins instruits qui le réclament pour avoir un moyen monétaire d'échange.

Nous reconnaissons par là, non que nous désirons du travail, mais la monnaie qu'il procure. Il est donc pas anormal que nous soyons attachés à un plan comptable qui ventile qui a droit à quoi. De ma sorte nous en arrivons à dire que les entreprises sont créatrices d'emplois, alors que le plan comptable lui, dît que les salaires sont une charge dont il faut se passer. Irons nous comme les Canuts qui ont brisé leurs métiers détruire nos machines et nos robots. Continuerons-nous à produire dans le seul but, consommer sans autres soucis. N'y a t il que cette manière de disposer de monnaie d'échange, même s'il reste acquis que nous devons produire pour vivre sans demander à d'autres populations de la faire a notre place (Ce qui reviendrait à disposer"d'esclaves"), l'exercice d'une contrainte volontaire pour avoir compris de quoi dépendait nos existence.

Ce Plan Comptable est l'Évangile de l'entreprise, il règle comment la richesse doit se créer au bénéfice de particuliers ou d'actionnaires anonymes.

 

Pourquoi ai-je associée dieu à mon propos sur l'économie. Dieux serait il autre chose que la compréhension de l'humain que sont destin et lié à un indéfinissable processus dans lequel il poursuit sa destiné en découvrant au fil des millénaires les moyens cognitifs dont il dispose pour définir, apprendre, modeler son environnement en progressant par l'échec.

Nous ne pouvons percevoir les choses sue quand leurs dimensions est accessible à nos sens. Pour cela s'exerce un phénomène d'attraction et d'agrégation. Nous passons au dessus d'un grain de sable, quand il forme un tas nous le contournons, quand il forme une dune nous passons dessus.

Quand les humains ont compris d'où il retiraient leur existence, ils sont tombés en adoration. De cela en sont ressortis les pratiques de l'offrande qui a été jusqu'aux sacrifices humains, non par barbarie, mais pour offrir ce qui avait le plus de valeur, la vie. Ce sont élevés alors des idoles, relais entre l'indéfinissable matérialisé et les humains dont la communication été assuré par un personnage reconnu pour cela ou un magistère structuré et hiérarchisé. Nous sommes passés du polythéisme 'figuré" au monothéisme transcendant dont un prophète inspiré était l'intercesseur pour rapporter les recommandations à suivre. Afin  de rester dans l'occident et le moyen orient "Abrahameen", juif, chrétien, musulman ont réactualisé, réajusté, réaligné, adapté les préceptes "Abrahameens" pour les ajuster par les intercesseurs prophétiques successifs aux évolutions sociales, politiques dans les territoires du moyen orient pour s'étendre aux pays dit aujourd'hui occidentaux. Tous pays dans lesquels, la religion était et gérait l'organecité sociale, économique et politique de ces états. La laïcité et la loi de 1905 sur la séparation de l'église et de l'État, n'a pas changer les fondements religieux qui structurent ces états car les humains ne peuvent vivre sans croire. C'est seulement la taille du grain de sable qui les divise, entre ceux qui imaginent le grain, ceux qui ne le voient qu'en tas et ceux qui marchent dessus sans le savoir. La représentation de dieux a évolué au fil des millénaires, et ne pas y croire ne le fait pas disparaître comme le grain de sable (ou la particule pour les armateurs de mécanique quantique ). Même si les prophètes n'avaient pas existé dieux ou l'indéfinissable n'aurait pas disparu. Nous aurions seulement vécu en l'ignorant, comme l'ignorance du monde objectif ne nous empêche pas de vivre la réalité à notre mesure

Ceci précise le fait de tenir les prophéties pour immuables n'a pas empêché d'autres prophèties de se développer. Car que d'aucuns les tiennent d'inspirations divines, elles le sont par des humains à leurs mesures, même si ont les divinises. La difficulté que pose cette divinisation est de comprendre que si les prophéties ont leurs nécessités pour rassurer et structurer la société humaine sédentarise en concentration laborieuses, les rendre immuables ne s'inscrit pas dans un monde en perpétuelle évolution. Si cette évolution n'est pas  accessible à nôtre regard, elle l'est a nos perceptions puisque nous en avons fait la démonstration. Comprendre que l'indéfinissable est, a entraîné la production d'appareils, de technologies et de sciences qui n'ont fait sue conforter l'opinion d'une création ou d'un instant initial. Notre ignorance actuelle nous impose de sépare l'esprit et la raison, le cultuel et le culturel, comme si notre systeme émotionnel faisait cette difference. C'est une stupidité sans pareille élevé à son tour en "religion laïque' (car c'est une nécessité pour l'humain de croire).

Faut il pour autant croire en les formes immuables des messages des religions "Abrahameenes".  Certainement pas. Le fait que ceux-ci soit infantilisant et inadaptés à nos savoirs actuels, (même si elles éditent des fondamentaux de la connaissance des comportements humains pour vivre heureux et en harmonie, comme tu ne tueras pas, tu pardonnera, tu aimeras ton semblablement), elle développe son rejet si elle se "litteralise", se radicalise, se fondamentaliste au lieu d'en rechecher l'esprit fait pour développer la sociabilité humaine mise à mal par l'ignorante connaissance du grain de sable, alors que les initiés, les élites de ces temps ancestraux n'étaient ni plus ni moins intelligente que nous.

Mémoriser notre histoire  c'est disposer des événements qui se sont déroulés et en rechercher les fondements une fois dépouillé des distorsions de l'oralité et des pensées magiques ou des superstitions d'époque. Ainsi si les religions structurent l'existence des hommes, leurs évolutions imposés aux hommes par le monde objectif et indéfinissable sue nous ignorons, démontre que nous ne pouvons pas faire entrer l'HUMANITE dans aucun livre d'inspiration humaine. Cela ne doit pas nous faire peur, empêcher ceux qui croient en dieux d'avoir la foi, si c'est comme cela qu'il nomment l'indéfinissable. Rie' donc ne les sépare des athées et des laïques.

Que faut-il conclure de tout cela ?

Si les religions ne peuvent contenir toute l'humanité, pour quoi ai nom d'une rationalité encore plus étroite voulons nous au nom du libéralisme capitalistique faire entrer l'Humanité dans un Plan Comptable.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 22 Février 2019

 Moi, je suis anti tâches, comme les dentifrices. J e vais pas entrer dans les explications de la signification de chaque qualifiant, il a été déjà beaucoup écrit dessus, il suffit aller lire.

La curiosité historique depuis prêt de cinq milles ans est que la population hébraïque qui a marqué le passage du polythéisme au monothéiste pratique un ostracisme séculaire à l'encontre des juifs qui se sont distingués comme un peuple choisit par Dieux. Et particulièrement par les groupes sociaux qui ont adapté leurs lois, leurs philosophies, leurs principes issues de la parole de dieux ou inspire par celui-ci. Ce sont les chrétiens avec toutes leurs tendances et les musulmans qui se sont distingués entre eux, chacun pour coller à la réalité de la vie des hommes pour métisser leurs pratiques et tenir compte des évolutions apportées par le renouvellement de leurs propres populations. 

Ce sont chez ces variétés monothéistes que nous observons les ostracismes les plus développés, qui ont conduit l'Occident  Chrétien vers le racisme (Vacher de Lapouge).

Pourtant le monde entier suis des fondamentaux issus de la loi dites de Moïse. Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas et les chrétiens de poursuivre l'évolution en énonçant tu aimeras ton prochain comme toi même, tu pardonneras car dieux sait que tu ne peux que te tromper de route, sur quoi les musulmans ont précisé que dieux voyait tout et qu'il fallait suivre ces dernier commandements parvenu par le dernier des prophètes Mahomet.

De toutes ces visions du monde nous avons façonné une morale pour distinguer le bien du mal afin d'essayer de vivre harmonieusement. Alors commence fat il se des des siècles les juifs subissent l'opprobre des membres issus de sa propre histoire. Les différences rituelles ne justifient pas cela, nous ne jetons pas l'opprobre sur le reste du monde. Alors nous pouvons nous interroger si dieux est vécu régler les affaires du monde ou apporter la discorde.

Quand l'on cherche une réponse a cette interrogation il apparaît vite que nous en sommes encore à un âge archaïque de l'évolution humaine, même si nous sommes capables d'aller sur d'autres planètes ou d'ajouter des lettres au génome. Nos vivons dans un instant T insaisissable et tous les choix que nous imposent notre environnement se font sous notre impulsion émotionnelle traduite dans un langage qui consignent nos souvenirs avec lesquels nous élaborerons une réponse afin d'agir. Nous qui n'avons pas vécu l'histoire de nos ancêtres pour quelles raisons épousons nous leurs mémoires si ce n'est pour nous construire une fausse identité là où il n'y a que la nécessité d'emmagasiner des savoirs des marques dont ils ont imprégné la terre pour transformer son environnement.

Que cache alors tout l'ostracisme, tout le sectarisme, tous les racismes, toutes les haines que nous développons. Nous ne pouvons aimer tout le monde, mais ce la emporte pas la détestation pour un passé qui n'existe plus ailleurs que dans nos souvenir et par les oeuvres que nous lisons, apprenons, voyons ou decouvrons. L'universalité occidentale a été apportée par le christianisme. Les juifs continuent à se définir comme le peuple choisit de dieu, comme si cela n'était pas une vision archaïque. Ils dont peuple de dieux, de la création, de la nature du monde, de l'univers au même titre que tout les humains et tout  ce qui existe par ailleurs est-ce cela ou seulement servent ils de boucs émissaires parce qu'ils n'arrivent pas à définir ce qui les rongent, les, minent, les exaspèrent ignorant que l'Occident en sont les héritiers historique, de la même manière que nous avons hérité du feu maîtrisé par nos ancêtres et réaménagé par toute une lignée s'éclaire d'humains malgré tous les mesusages que nous avons pu en faire. Les juofsne sont donc pas une tâche pour l'humanité même s'ils sont sectaires dans leurs pratiques comme tous ceux qui ont peur du monde, de sa variété, de sa complexité, de la conquête de l'incertitude avec seul bagage nos souvenirs. Nous les accusons d'être les dirigeants du monde, et financer en particulier, est faire injure au reste du monde. L'Orient philosophique n'a rien à leur envier, leur sagesse est bien plus grande est il n'en a pas fait un meilleur usage. Cela indique pour le moins que l'acceptation d'autrui que l'environnement a modelé en tenant compte de la génétique humaine qui organise nos instincts pour développer nos destinés et bien difficile à accepter dans sa variété qui ne dépend pas d'un dieux quelconque mais de la longitude et de la latitude géographique, des océans et mers qui bordent les territoires et des ressources disponibles, comme des moyens de circulation. Ce que nous aurons réalisé et fait circuler d'une génération à autre forme nôtre mémoire "Geohostorique" avec laquelle chacun doit composer pour vivre au milieux des autres.

Si chacun gratte son vernis ritualiste, nous nous rendrons compte qu'il n'est qu'une morale pour sociabiliser des animaux qui se nomment humain sans arriver à y parvenir   justifiant de toutes les violences en n'etant avares d'aucune atrocité parmi lesquelles mes Nazis se sont distingués, non en massacrant des juifs et autres sur la base de raisons développées par notre cerveau débile, mais pour avoir organisé L,Industrialisation de la mort comme nous le faisons pour le bétail. S il y a là matière à réflexion et à établir des parallèles avec des armes de destructions massives qui industrialise la guerre e' créant des métiers militaires comme nous créons celui de boucher dans les abattoirs, pour la même raison conquérir des territoire ou des marchés afin de s'approprier les ressources que nous ne savons pas nous repartir, car l'abondance ne nous permet pas de nous distinguer, de nous donner les moyens de séduire pour conquérir l'autre en suciitant le désir ou en nous donnant les moyens de le soumettre .

  Y à t il là  de quoi se poser en victime perpétuelle et susciter par le désir de vengeance, la haine. Les nazis étaient chrétiens, faut il croire que malgré Luther ils n'avaient pas entendu parler du pardon développé par me christ. Cela peu d'autant mieux se comprendre que pour s'assoir sur le pouvoir que donnait la connaissance ignorante de l'époque nous n'avons pas lésiné sur les systèmes punitifs qui ne sont sue de la violence sur autrui, que du dressage au fouet, malgré les échecs séculaires sue nous pouvons mesurer.

Son fondement ne se comprend que par le Temps. Il est plus facile de donner un coup de bâton que de prendre le temps de lire, d'écouter, de comprendre. Si le but recherché est de se nourrir ou comme aujourd'hui d'amasser de la monnaie nous sommes en retard d'une évolution. Hier les initiés instruisaient les initiés, aujourd'hui il en est de même. Les sciences sociales, les sciences humaines, les scienced politiques,les sciences biologiques ne sont réserves qu'aux "initiés" qui aujourd'hui sont comme hier ceux qui appartiennent à des classes sociales déjà instruites. Ouvrir l'éducation au delà de l'âge obligatoire n'est pas un luxe mais une nécessité, sinon ceux qui ont besoins de boucs émissaires pour se soulager de leurs souffrances nourrit par leurs ignorances d'une connaissance insuffisante pour s'incorporer dans un monde complexe, parce que dans le cadre de la compétition économique ils sont écartés ou exploités, désigneront toujours un groupe responsable pour cultiver leur réminiscence. La remenissence c'est comme la rémanation qui nous donne les  fantômes qui hantent tous les vieux châteaux, tous les espaces que l'homme a empreint de son passage au fil du temps, et qui ressurgit quand le temps s'y prête.

Nous pouvons bien y réfléchir ?

 

 

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 22 Février 2019

C'est la punition divine pour ne pas avoir respecté un interdit.  Fini le jardin d'Éden. A-t-il existé un jour ? Quel souvenir humain s'y rattache ? C'est la période durant laquelle les humains vivaient de la cueillette, où ils n'avaient qu' à tendre le bras pour trouver sur la terre ce que leur donnait la nature pour se nourrir.

Quels changements terrestres ont du se produire dans certaines parties de la planète pour qu'aujourd'hui vivent encore de cette manière quelques tribus aborigènes, tandis que tous les autres humains TRAVAILLENT.

Cela est moins important que de comprendre que ces changements ont conduit l'humain à retirer par sa force de travail, ses capacités cérébrales et sa faculté d'adaptation les ressources nécessaires pour se nourrir et essaimer de par le monde en toute ignorance jusqu'à nos jours.

Cette obligation de devoir extraire de la terre, du sol, de l'eau les produits dont l'humain a besoin pour se nourrir, s'abriter, se, protéger afin de copuler pour assurer le renouvellement et le développement de son espèce, constitue la RARETE.

La rareté, c'est moins celle de devoir se répartir ce qui n'est pas abondant, que de devoir produire ce que la planète ne nous donnera pas sans l'effort d'un travail. La première des raretés est celle-là. Nous vivons donc sous le principe de la rareté. Nous devons produire ceux que nous voulons consommer, utiliser, avoir, toujours dans la même perspective originelle. De la sorte retrouver le jardin d'Éden, est moins de s'enrichir par l'obtention de monnaie que de produire l'abondance,  même si pour cela, après avoir usé au travail des animaux, nous envisageons de nous faire remplacer par des machines et des robots.

Nous savons que tout n'est pas abondant et que nous devrons faire les choix les plus judicieux pour y parvenir. Déjà certains hommes, des scientifiques posent et réfléchissent sur cette problématique. Pour l'instant nous y sommes encore sourd, car depuis l'industrialisation, grâce aux mathématiques la rationalité comptable, qui permet de rêver d'avoir que pour soi le jardin d'Éden en accumulant de la monnaie, dirige nos vies. C'est le dominant systémique qui conditionne nos existences sans autres soucis qu'une rentabilité financière, avec tous les dégâts que les scientifiques mesurent avec la pollution planétaire.

L'humain est-t-il donc incapable de faire les choix qui lui sont vitaux. N'y a t il que le travail pour combler nos vies, n'y a t il que la compétition et nôtre incurie dans l'usage d'un cerveau débile d'avarice, d'égotisme et en plus lent pour réaliser ce jardin d'Éden qui est à la porté de nos facultés cognitives pour le peu que nous consacrions un peu de temps à apprendre, puisque nous aurons a moins travailler.

Aujourd'hui en agriculture nous pouvons créer d'abondance. Sauf que la surproduction en diminuant les prix ne permet plus aux agriculteurs de dégager un revenu pour vivre. Alors on organise la rareté afin qu'ils puissent vivre de leur travail. Ce faisant nous développons la misère pour ceux qui ne pourrons acheter leurs productions, alors ils se dirigeront vers le secours catholique ou les resyeaux du coeur. En ce domaine nous manquons totalement d'imaginations en restant accolés au système comptable capitalistique.

Un autre exemple, le monde scientifique a anticipée le réchauffement climatique, nous connaissons toutes les surfaces qui serons recouvertes par la monte des eaux. Avons nos pris une seule décision pour anticiper cette évolution inéluctable ? Que faudrait il faire, cela est il de la décision des citoyens, ont ils les moyens et la volonté de se concerter, attendent ils une décision politique d'un pourvoir qui n'a plus de plans  si ce n'est de demander aux riches d'investir. Les citens sont ils capable de prélever sur leurs revenus les fonds nécessaires pour relever un défit qui n'atteindra que certain d'entre eux, ou vont ils attendre que le pouvoir prélève un impôt ou une taxe solidaire pour pallier à l'incurie d'un cerveau "débile" repu d'égotisme comptable. Oseront ils devant la masse financière colossale que cela représente, créer un compte écologique et émettre la monnaie nécessaire aux défis écologique, plutôt si de forcer une population qui n'en a pas les moyens financiers, ou attendre des rentiers, des riches qu'ils investissent dans un projet plein d'incertitudes quand à une rentabilité espérée. Il est plus rentable pour ces masses financières disponibles de faire des gains a toutes les secondes en jouant en bourse grâce aux traders.

Toutes les sociétés développent des dominants systémiques dans lesquels leurs dirigeants veulent faire rentrer la vie humaine comme si celle-ci était une marchandise.

Les religieux veulent faire rentrer la vie humaine dans leurs  livres saints, d'autres dan leurs pratiques limitées, d'autres dans leurs philosophies , dans qu'au bout du compte l'humanité n'y tienne. Or aujourd'hui les capitalistes essaient de faire entrer l'humanité dans leurs plan comptable. Pour qui y réfléchi nous avons là la preuve de ce cerveau débile quand il pense 'un humain e résume à un chiffre. Un chiffre qui grossit d'autant plus que l'homme dans un monde de rareté veut disposer d'un jardin d'Éden par la monnaie raréfie pour qu'elle soit désirée. Cela nous empêche d'y accéder car ça paralyse nôtre cerveau, ça le bloque et cela le fait avancer lentement pour la majeure partie de tous ceux qui doivent se courber sur leur travail sans prendre le temps d'apprendre et d'envisager d'être aussi rémunérés pour cela.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 21 Février 2019

Parfois les caricatures valent mieux qu'un long discours. Dans les forêts tropicales les arbres se font la course pour le soleil afin d'exposer leurs feuillages. Ils vivent tellement en concentration, les uns accolés aux autres sur et dans un même espace, que celui qui né à l'ombre d'un autre doit se battre suivant son espèce pour exposer ses feuilles au soleil. Dans cette compétition pour s'élever au dessus des autres et étaler son elite, ses feuilles, celles-ci en oublient de nourrir le tronc qui les portent, pour qu'il soit fort afin de porter ses ramures et leur feuillage. 

Feuilles et tronc sont donc inter dépendant chacun concours à l'existence de l'autre. Sauf que dans cette compétition pour être le plus beau, le plus fort, le plus riche l'élite laisse derrière elle, néglige, exploite celui qui la porte, celui sans lequel elle arriverait pas au sommet de la canopée.

Dans ce cas serré les uns contre les autres, se nourrissants au même substrat, la meilleure nourriture va, est aspirée par les feuilles que lui distribuent les intermédiaires que sont ses ramures. Ainsi négligé, voire épuisé, le tronc donne des signes de faiblesse, il plie quand souffle un simple vent ou la tempête. Si cette situation dure des années sans que le tronc se revitalise, ou que des concurrents lui enlèvent la nourriture nécessaire, à la moindre bourrasque, au moindre coup de vent, encore plus en cas de tornades, les racines s'arrachent du sol et l'arbre si majestueux, qui se croyait intouchable s' écrase au sol, en emportant d'autres avec lui et meurt.

Alors ceux qui s'exposaient au soleil, ceux qui se croyaient parvenus sont les premiers à pourrir pour servir de nourriture à ceux qui vont grandir, s'élever sur leurs restes.

C'est de la sorte que le mouvement des gilets jaunes c'est développé.  Nul ne pensait que l'abandon du pouvoir régalien d'émettre de la monnaie pour lutter contre l'inflation conduirait les élites à s'approprier le pourvoir politique et économique, tant en France qu'au sein de l'UE, s'appropriant les richesses utiles à la consommation des ménages citoyens et non de celle des entreprises qui les factures à ces derniers.

La fracture politique c'est consommé en 2005 avec l'entour loupe sur le referendum. A chaque élection cela été visible par l'accroissement de l'abstention et le vote blanc politique. La perte de confiance dans l'élite qui n'a fait que vendre électoralement des éléments de langage, depuis 1990 ou l'information a été réorganisé sur le mode anglophone des États-Unis ,ainsi que le renforcement du régime présidentiel, ont contribué à créer en plus, une fracture intellectuelle faite de faits divers émotionnels, tandis-que les puissants, sans défrayer la chronique ou faire les pages des journaux et des médias, prêtaient leurs richesses au peuple en les obligeant d'acheter leurs fortunes disponibles au prix des intérêts, et leur tendre le capital soit à la banque soit à l'État. Incapable de voir cela la population c'est cherché des boucs-émissaires, les fraudeurs, les immigrés, la fonction publique, ces gouttes d'eau dans une mer de BILLIONS dont la population n'a aucune notion ni vision dans son ensemble car ils comparent leurs boucs-émissaires à la valeur de leur maigre salaire.

Sans création monétaire par la banque de France ou la BCE pour prêter directement à l'État, les demandes des gilets jaunes aussi justifiées soient elles conduiront à continuer d'enrichir ceux qui ont de l'argent ou des fonds disponibles.

Faute de visions politiques claires d'où viennent les difficultés que nous avons créé par nos choix politiques obscurcis par les débats politiciens, ceux qui disposent d'une claire vue de l'économie libérale capitalistique leurre la population avec leurs loi du marché, là ou il n'y a que la puissance de celui qui détient la monnaie et sa création.

Alors je ne sais pas si les feuilles sont prêtes à tomber ? Mais le grand débat n'est qu'un leurre de plus. Ils ne sont pas élites pour rien. Il n'y a que les sots pour croire qu'elles se trompent.

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 20 Février 2019

Que ce soit l'impôt ou une taxe, nous avons toujours le sentiment d'être ponctionné.  La collectivité citoyenne dans une démocratie décide par sa représentation quel montant elle veut consacrer aux services qu'elle confie à son gouvernement dont elle a fixé ses missions. Armée, polices, solidarité, engagements internationaux, enseignements, santé, voie publique etc. etc. etc., c'est le pouvoir du peuple.

Alors comment ce fait-il que nous soyons d'accord pour régler des achats de biens et de services quand nous sommes un client consommateur d'une réalisation exécutée par un particulier ou une entreprise, et que nous nous plaingnions quand il nous faut financer nos propres décisions exécutés par nos services publics à buts non lucratifs, est à dire qu'il ''y a pas d'actionnaires qui en retire nt des bénéfices.

Quand nous réalisons un achat, l'on nous remet une facture. Le gouvernement lui nous envoie une feuille d'impôt directement, et tout au long de l'année sur le montant de nos revenus mensuels ou pas il prélève sur tous les achats la TVA et les diverses taxes afférentes à divers produits. 

Mais me direz-vous les entreprises paient aussi des impôts sur les bénéfices. Certes dans les textes, mais dans la réalité absolument tout ce que l'entreprise dépense pour produire elle le retire du prix de vente de ses productions ou services. En fait ce sont les clients qui paient les impôts, les salaires, les bénéfices, ses taxes, ses intérêts, ses investissements, des assurances, ses augmentations de capital, même ses pénalités judiciaires (comme dans l'affaire de L'erika), bref les citoyens paient tout ce que consomme l'entreprise. Donc en plus de ses impôts et taxes le citoyen doit y ajouter ceux de entreprise, mais cela il ne le voit pas. Alors pourquoi les entreprises se plaignent de payer des impôts, des taxes, des salaires, des prélèvements qu'elles facturent aux citoyens. Voilà une intégration que chacun devrait se poser.

Alors au 21ieme siècle, ne serait-il pas plus clair de ne plus imposer les entreprises et que le gouvernement par ces services adressent aux citoyens disposant de ressources la facture de ses services au prorata de la richesse de chacun ou suivant la répartition que décideraient les citoyens. Il serait temps que les citoyens comprennent qu'il y a rien de gratuit, qu'il faut toujours nourrir et assurer le bien être de sa population. Or ce sont parmi les 28 mls d'actifs, les 22 mls de salariés qui sont les plus nombreux à payer. Nous voyons bien que l'impôt monarchique ne s'accommode pas avec la responsabilité citoyenne. A moins que les citoyens aient envie de vivre comme des autruches, la tête dans le sable, ou comme un monarque égotiste, après moi le déluge.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 19 Février 2019

Quand l'on est ignorant, on ne peut tenir compte de ce que l'on  n'a pas appris. Tout ce que réclament les gilets jaunes ce sont eux qui auront a le payer, car l'État c'est eux. Pourquoi ? Parce que il y a en France 28 millions d'actifs, dont 22 mls qui sont des salaries depuis 1804, et 6 mls qui sont des employeurs.

6 millions disposent des moyens de production seul ou en SA. Pour réaliser la production dont ils retirent leurs ressources ils peuvent louer le  travail d'autres citoyens sans possessions. Ils sont alors tenus de leurs verser un salaire, d'où le salaria qui est le groupe social productif le plus important avec 22 MIs comprendre si un employeur qui se fait aider pour réaliser les productions ou services dont ils retirera ces ressources, doit verser un salaire qui peut aller de manière inégale du SMIG au salaire d'un GHOSN PDG de Renault. Si bien que employeur pour retirer des ressources doit revendre le salaire de ces salaries plus ses ressources clients. Or il y a 28 MILS de clients qui font vivres 67 millions de citoyens, soit 39 MILS qui ont seulement une activité sociale. L'on peut facilement comprendre que le client salarie ne peut acheter son salaire plus les ressources de l'employeur. Ex 22 mls de salaries a 1€ = 22 mls €. 6 mls employeurs a 2€ = 6 mls, la production ou le service seront vendus a 22 + 6 = 28 mls. Le salarie  ne pour à acheter comme client la production ou le service. Il devra endetter a hauteur de 6 mls. Idem pour l'employeur s'il ne peut dégager une ressource égale a 22 mls. Cette caricature simpliste pour comprendre la necessite de créer de la monnaie. La dette est donc de la création monétaire. Aujourd'hui ce sont les banques qui créaient de la monnaie contre intérêts, et depuis que les citoyens n'ont plus le droit d'avoir une banque d'État, ils sont obliges d'emprunter , l'argent de ceux qui ont de l'épargne ou des fonds disponibles contre interets. Ainsi ceux qui possèdent des fonds disponibles les prêtent aux citoyens (etat) pour financer les services qu'ils ont charge l'etat s'accomplir et de gérer. Chacun peut donc comprendre que ce sont les clients qui paient absolument TOUT, que ce soit pour acheter les productions et services des employeurs ou ceux qu'ils ont eux mêmes, décidés lors des élections. Dans notre organisation du travail les salariés produisent la richesse des employeurs en leur rendant le salaire qu'ils ont reçu plus l'endettement qu'ils ont du faire parce que ce sont les plus nombreux 22 millions. A lors les gilets jaunes s'ils ne demandent pas ou n'ordonnent pas a l'État de créer de la monnaie ou de demander a la BCE de le faire, ce sont eux qui paieront addition en devant s'endetter auprès de ceux qui ont de l'argent, les riches.

 

d.

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