Publié le 31 Mars 2019

Il est pas un jour qui n'apporte sa taxe. Vous savez compris il n'y a pas une faute d'orthographe, mais ceux qui en font une ce sont tous ces élus Lrem qui croient au Dieu monnaie comme tous les hommes de la planète et en ont fait un sarcophage meurtrier pour qui s'y intégre au delà de son utilité échange. S'instruire et comprendre l'existence ne se "mathematise" pas.  Quand nous faisons cela nous réduisons nos capacités d'innovations de créativités en chaque citoyen pour produire des élites politiques nourris au même sein.

Ce gouvernement, face au ras le bol déclanché par les taxes qui se substituent aux impôts continu dans cette voie entre promesses de réduction des impôts et création de taxes en compansation.
Pourtant les gilets jaunes ne sont pas en reste. Ils refusent de financer le coût de leur existence qui se traduit par la réalisation de services qu'ils réclament tout en acceptant une organisation monétaire qui les "Plume".
J'aurais aimé lire ou entendre renversons la bourse ou la BCE, ou bien créons de la monnaie. En réponse le pouvoir pour financer leurs demandes va leur prélever ce qui leur donne. Qui donc voulons nous qui paient les riches ne le sont pas devenus par leur travail, mais par ceux qui l'exécutaient. Cela n'a pas changé. L'entreprise ne crée ni de la richesse ni des emplois. Seul l'homme qui travaille ou fabrique les outils qui le remplace créer son bien-être. Mais encore faudrait il qu'il soit au fait de la connaissance de son existence, ce qui n'est pas le cas, sans cela nous ne serions pas dans une organisation capitaliste du travail.
En douterions-nous ? Quand un  employeur versé un salaire a celui dont il loue les services, il doit vendre le produit du travail de son employé augmenté de sa marge.
Ainsi si l'employé reçoit un salaire de 100 € son travail sera revendu avec une marge en plus, admettons 10 €, cela portera, le produit, le bien, le service à 110 €. Qui donc est le client ?  Celui qui dispose d'un revenu, du foyer fiscal. Il y en à combien ? Sur une population française de 67 millions d'habitants  28 mils disposent d'un revenu, 6 mils comme employeurs et 22 mils comme salariés. Ce sont donc les  salariés qui compose
 le groupe social familial qui consomme le plus. C'est groupe social qui en consommant achete toutes les charges et prélèvements qui est réclamé aux entreprises. Ex, l'entreprise verse 100€ de salaire, 10 € de charges salariales, 10 € d'impôt, plus 10 € d'autres taxes, et 20 € de tous frais de production, au total la production du salarié revient à 150 €. A cette somme l'entreprise y ajoutera sa marge, 10 € , l'entreprise devra vendre le travail réalisé 160 €. Il est donc aisé de comprendre qu'avec seulement 100 € de revenu le salarié ne pourra pas acheter son travail qui est vendu à 160 €.

Mais plus loin dans la réflexion que sont les 20 € de frais de production ?
Ils ne sont que le coût du travail des hommes qui ont été rémunéré avec ces 20 €. Continuons, que sont les 10 € de charges, les 10 € d'impôts, les 10 € d'autres taxes ?
Je pense que chacun à déjà compris que ce sont des sommes qui serons reversé en revenus pour payer tous les agents des services publics et des services réglé par le budget de l'État.
Que faut il comprendre de tout cela, que personne d'autre que les salariés et en moins grands nombres les employeurs ne paieront le coût de l'existance humaine. L'ENTREPRISE ne paie rien, l'ÉTAT ne paie rien : que faut il pour ne pas comprendre cela si ce n'est retourner s'instruire et en retour recevoir un revenu de 60 € à fin de créer de la monnaie hors du seul travail et enrichir nôtre intelligence pour construire une société à inventer pour sortir de cette dualité de l'exploitation d'hommes par d'autres, pour qu'entreprendre, être entrepreneur ne soit pas synonyme d'exploitation.

Les gilets jaunes n'ont pas avoir peur de revendiquer, maintenant l'on sait qui paiera.
Pour nous diriger l'on sait maintenant pour qui il ne faut pas voter, bon courage.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 29 Mars 2019

 

Les organes du corps se disputaient la place de dominant essentiel. Le cœur, les poumons, le foie, le cerveaux, tous avec un mépris affiché pour le trou du cul quand ce dernier prétendait à son rôle primordial. Fâché d'être la risée de tous, il décida de se mettre deux doigts dans le trou pour l'obstruer. Fini l'évacuation des déchets. Accumulé dans les intestinsarg ceux-ci se gonflaient a vue d'œil tant la bouche se gabarit sans souci. Le cerveau perçu la souffrance et se chargea de médicaments pour l'estomper et consulta        les autres organes qui affirmaient bien aller. Alors le cerveau condescendit d'abaisser son regard vers les partis les moins nobles. Apercevant le cul bouché il  ajoint à l'anus doter les doigts. Devant tant d'orgueil et de suffisance il en mit un troisième en renfort pour resiter à l'injonction du cerveau qui voulait maintenir l'ordre des choses.

Ce n'est que quand l'occlusion intestinale menaça d'éclater que le cerveau se fit consensuel et s'engagea à moins gaver la bouche n'importe comment pour seulement jouir du palais sans autre vision que sa satisfaction. 
Alors reconnu pour son utilité et par l'importance de son rôle organique , le cerveau pu enfin convaincre les autres organes de la nécessitée majeure de ne pas périr sous leurs propres déchets. Tous furent d'accord pour s'oter les doigts du trou du cul.

Sortons donc nous les doigts du cul. Arrêtons de croire que la monnaie nous manque pour détruire, recycler, transformer, réduire nos déchets économiques. Pour trouver des consommations de substitutions hors de l'échelle comptable capitaliste qui marchandise la Vie.
Nous avons l'intelligence nécessaire, les capacités techniques, la main d'oeuvre disponible, que nous manque t il, que ce qui est le plus facile à "produire", à  "créer" la monnaie d'échange. C'est cette peur, cette incapacité à passer à l'acte, à passer vers un autre ordre monétaire qui nous Bouche Le Trou Du Cul.

Nous savons que traiter nos déchets économiques coûte entre 50 et 70% de plus dans la production les revenus du travail n'y resiteraient pas, compte tenu que déjà un salarié ne peut racheter son travail.
Nous devons donc faire preuve d'imagination et envisager un compte monétaire pour l'activité écologique.
Franchir ce pas c'est ouvrir un espace nouveau. Nous ne craignons pas d'assembler des km de tuyaux pour acheminer gaz et pétrole, pourquoi serait il plus difficile d'avoir à cheminer du CO2 ou autre vers des lieux de stockage ou de transformation.

Cela n'est possible que si ceux qui vivent au milieu des déchets y obligent leurs mandants, si nous prenons au pouvoir d'émettre de la création monétaire pour ce faire et non pas utiliser les fonds disponibles des riches qui le vendent au prix de l'intérêt pour l'être encore plus, ou utiliser l'épargne populaire qui serait insuffisante compte tenu des sommes qu'il faut engager pour un tel projet.

Ce que les générations qui viennent nous reprocherons ce ne sera pas de leurs laisser une dette, mais d'avoir eu peur de créer de la monnaie pour maintenir la puissance de ceux qui dominent en maintenant sa rareté pour qu'on l'acheter.

Alors sortons nous les doigts du cul !

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 29 Mars 2019

Parfois l'on peut avoir l'impression que les citoyens, tenus par leurs instincts ont toujours besoin d'un dominant vers lequel se tourner, alors que chacun d'eux dans une démocratie est de plein droit decisionnaire. 

Il n'y a pas d'Etat, ce n'est qu'un concept que nous avons conserve d'un temps révolu. Nous nous en sommes accommodés pour saisir le lieu où se centralise le pouvoir de décision confié par le peuple a une organisation statutaire. Se centralise par ce choix statutaire l'ensemble des aspirations de la population au travers un débat sélectif de représentation.

Ces représentations par délégation se chargent de la gestion du pays et leurs actions indifférenciées nous les qualifions ou nous y substituons l'Etat. Nous finissons par perdre de vue que ceux qui gèrent les services que nous lui confions et mes aspirations sont celles du peuple avec aspirations divergentes.

Sauf que la nécessitée de produire génère des inégalités d'où se dégagent des gestionnaires publics dont celui qui représente la gestion omnipotente de l'état a une tendance jacobine autocratique. Lentement la complexité du monde d'après-guerre a distendu les écarts entre classes sociales dans la compétition mondiale économique et socio-politique. Les moins instruits, les biens moins nes confient leurs sorts a ceux qui s'engagent a les guider.

S'en suis sous de nouveaux paradigmes la recherche de l'être salvateur celui qui fera a notre place que nous devrions faire ou comprendre. C'est un peu comme une course ou les distances se creuses entre les compétiteurs. 

Ce sont donc les premiers qui rythment la marche tandis que les autres suivent ou se font exclure. Pour autant ils n'en sont pas moins vivants et les premiers doivent les aider sans devoir ralentir. C'est même dans cette course en avant qu'ils y trouverons les moyens de réduire les écarts pour que les trainards ne soient pas exclus, faute de voir le second devenir dernier et d'en mourrir en demeurant seul.

Ainsi aujourd'hui des écarts sont tel que nous parlons de fractures en très les classes sociales. De ce fait faute de pouvoir se faire entendre des premiers (l'élite oligarchique), ceux qui prennent quelle qu'en soit la raison, se tournent vers l'Etat par le bruit de la force faute d'avoir été écoute au son des manifestations paisibles. Malgré cela ils doivent faire face a une contradiction de taille, celle de réclamer la réduction de leurs prélèvements obligatoires  tout en réclamant plus de services qu'ils devront financer compte tenu de leur choix politiques antérieurs, entaillant renonce a la création monétaire par l'Etat pour disposer des moyens de leurs choix politiques.

A quoi cela tient, peut être au fait historique que l'impôt et taxe sont le vestige d'un prélèvement monarchique qui ne laisse pas voir d'où viennent les sources financières. D'aucuns pensent que mes riches devraient être plus soumis aux prélèvements, mais eux soutiennent que leur capital est créateur d'emplois. En y regardant de plus près il n'y a pas de richesse en dehors du travail de l'humain. Avec celui-ci il s'échange toute chose avec une référence monétaire virtuelle.

Là où une difficulté de fait jour c'est qu'en imposant l'entreprise d'aucun pensait équilibrer la charge de l'impôt et taxes, c'était sans compter que ceux-ci étaient payés par le client lors de ces achats. Si bien qu'il en résulte que seul le client paie les impôts et taxes au titre de citoyen soit sur ses revenus du travail pour les salariés ou des revenus du capital pour les employeurs.

Compte tenu qu'il y a 6 millions d'employeurs et 22millions de salariés il n'est pas compliqué de comprendre qui finance le plus les sevices confiés a lEtat. Ne serait-il alors pas plus simple de lever cette hypocrisie afin que chacun sache se que lui coûte réellement les services dont ils chargent l'Etat.

Ou se situe la difficulté, l'employeur qui rémunéré un salarié pour un travail doit vendre ce salaire plus son bénéfice. Delors avec son seul salaire le salarié ne pourra pas acheter le produit de son travail, puisque celui-ci coûte son salaire plus le bénéfice de l'employeur. Soit il devra moins consommer, c'est comme si pour une heure de travail nous ne pouvions acheter que demi-heure puisque l'autre est au bénéfice de l'employeur. De la sorte pour consommer a auteur de son travail il faut s'endetter, il faut donc créé de la monnaie a hauteur de l'endettement.

De fait quand l'organisation monétaire propose que l'endettement soit règle par lac mise a disposition des fonds d'épargnes ou de placement, en les achetant au prix du crédit nous enrichissons un peu plus le fruit du capital. Pour l'Etat qui fait appel aux fonds disponibles nous enrichissons toujours plus le capital qui est supposé creer des emplois, alors que l'entreprise recherche a réduire le coût du travail qui ne peut être atteint que si l'humain ne consomme pas. C'est le point de l'absurdité auquel nous conduit notre organisation quand nous y regardons de plus près. S'il n'est pas stupide de se faire remplacer au travail pour produire il nous faudra trouver une nouvelle source de référence monétaire que celle qui suggestivement rémunéré le travail sur la base du conflit permanant.

 Si donc les gilets jaunes veulent voir aboutir leurs demander comme celles des écologistes il faudrait recouvrer le droit d'émettre de la monnaie pour planifier l'avenir avec de grands projets et redonner au salarié le fruit de leur travail sous un autre paradigme que celui du communisme.

La monarchie se situait dans un rapport de maître a sujet avec une classe de privilégiés il me semble que ce soit ce que nous avons reconstruit sous une autre appellation. L'Etat c'est le peuple s'il n'a pas forcément raison, c'est lui qui aura a financer d'une manière ou d'une autre ce qu'il réclame. Suivant, non la monnaie disponible, mais suivant les ressources renouvelables qu'il saura imaginer.

 

 

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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