Publié le 27 Avril 2019
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C'est à se demander si le président ne veut pas créer une catharsis thérapeutique pour trouve une solution après une conférence d'auto satisfaction.
La catharsis risque de venir ce mercredi 1e Mai.
La situation est quasiment bouché.
Un président expliquant que sa politique avait été incomprise, car elle allait dans le sens des demandes formulées par le GJ.
En conséquence du Grand débat, il a listé une série de mesures, qui évidemment serons bien reçu par leurs bénéficiaires qu'ils paierons en partie en réglant la TVA.
J'invite tous ces bénéficiaires de calculer ce qu'ils paient à chaque achat en TVA, éventuellement d'y ajouter les impôts s'il y sont soumis et de comparer ce total au montant qu'ils recevront.
Le smig annuel est de 18 254 € le taux de TVA est 20%, un smicard verse au budget de l'état 3650 € par ans.
C'est comme cela que 28 millions de citoyens concourent au financent indirect et indolore du budget.
Ce n'est pas nouveau, c'est pour que vous n'imaginiez pas que ce sont les entreprises ou tout autre organisme moral qui participent au financent de ce que les GJ ont reçu comme satisfaction financière.
C'est seulement nous, le contribuable à responsabilité physique, ou le client, de manière bien inégale en fonction des revenus ou ressources de chacun des actifs, qui financont le budget de la nation.
Tous les groupements à responsabilité morale reventile tous les prélèvements.
Avons nous déjà vu des pierres de rendre aux trésors public pour s'acquiter des impôts sur les sociétés.
Il serait tout de même temps qu'instinctivement quand nous réclamons quoi que ce soit au budget national ou au patronat nous ayons ce réflexe de penser combien cela va ME coûter.
Alors maintenant que nous le savons nous pouvons, non demander, mais exiger.
Puis décider quelle part de vos revenus nous voulons consacrer à ceci ou cela. Ne soyons pas inquiet pour le patronat, si nos exigences le concerne il nous les fera payer.
En plus de trente ans de militantisme je n'ai jamais vu un actionnaire mettre la main à la poche pour régler les factures sociales.
Croyons-nous que si c'était le cas il y aurait autant de grands Groupes, autant de milliardaires, autant de chômeurs.
Mettons donc en perspective les annonces du président, du moins deux
La lutte pour l'emploi.
Aucune entreprise ne cré un emploi si elle ne peut revendre plus cher le salaire versé à celui qu'elle a employé.
Je sais que pour beaucoup cela paraît incompréhensible, mais c'est cela l'exploitation capitaliste. Je suis preneur si vous trouvez un économiste qui dément cela.
Dans l'avenir le numérique va détruire un emploie sur deux d'ici une vingtaine d'années.
Si donc il ne faut compter que sur les salaires pour financer les retraites et les prestations sociales, les actifs vont devoir travailler combien de temps.
Devinons ?
Le double du temps actuel.
Sur la base moyenne actuelle de 42 h semaine cela conduirait d ici 20 ans à travailler 84h semaine.
Ou bien travailler plus longtemps. Actuellement l'on travaille en moyenne jusqu'à 62 ans, dans 20 ans avec l'allongement de l'espérance de vie nous pourrons travailler 35 h semaines jusqu'à 124 ans.
Voilà l'exemple type ou conduit une comptabilisation de l'existence.
Pourtant le président nous à bien expliquer mettre l'humain au centre de ses préoccupations.
Il nous a bien expliquer que du fait de l'allongement de la vie nous pouvions travailler plus longtemps.
Les impôts.
Si j'ai encore bonne mémoire plus de 60% du budget est financé par la TVA. Disons 20% par les impôts directs, (les chiffres justes sont sur le site Gouvernemental) plus d'autres taxes au total l'impôt et taxes représente 90% du budget.
C'est donc seulement 28 millions d'actifs qui versent ces sommes donc 22 millions les retirent de leurs salaires.
Nous comprenons que tous les financements par le budget viendra des Actifs. L'état reverse les 100%, l'état épargne pas, l'état ne fait pas de bénéfices.
S'il s'engage à réduire les impôts, il va de fait détruire des emplois. Les 100% du budget sont consommés. Ils entrent dans la bourse de quelqu'un. Disons en salaire de fonctionnaires. Réduire les impôts c'est réduire ces 100% .
S'il veut conserver les emplois de fonctionnaires et réduire leurs coût d'environs 5 milliards par la baisse d'impôts sans créer de la dette, OÙ va t il trouver ces 5 milliards?
En réduisant certains avantages accordés en matière de fiscalité aux entreprises à hauteur de 5 milliards. Question, à qui les entreprises feront elles payer ces 5 milliards d'impôts de plus ?
A leurs clientèles.
Résultats, c'est 5 millards que l'on ne nous aura pas prélevés pour les transfére sur l'entreprise, nous les réglerons comme client d'une maniére indirecte et indolore avec la satisfaction d'avoir mis le patronat à contribution. C'est seulement de la circulation monétaire.
UN exemple de circulation monétaire.
La France doit 100 milliards à l'Italie, l'Italie à l'Espagne, l'Espagne au Allemand, les Allemands au Belge, fallait bien y arriver, car les Belges doivent à la France. Chouette on aura des sous. C'était 100 milliards.
La France les verse à l'Italie qui les reverse à l'Espagne et ainsi de suite avec 100 milliards l'on a rembourser 500 milliards de dettes. C'est de la circulation monétaire. Mais pourtant dans chaque Etat ces 100 millards auront rémunéré des salaires avec lesquels les fonctionnaires auront acheter des biens aux entreprises qui paieront avec leurs impôts, leurs salaires, leurs dividendes. Chercher l'erreur ?
Je n'ai pas trop grossi les caricatures, l'on se fou de la justesse des chiffres, c'est le mécanisme par lequel l'on se fait promener qu'il faut saisir. Circuler il n'y a rien à voir. Si ! Tout système à un point où il s'écroule sur lui même s'il ne reçois rien de l'extérieur. Le notre a besoin de retrouver le pouvoir d'émettre de la monnaie par une banque de France où la BCE car les "riches" ne redistriburont rien,