Publié le 27 Avril 2019

T

C'est à se demander si le président ne veut pas créer une catharsis thérapeutique pour trouve une solution après une conférence d'auto satisfaction.
La catharsis risque de venir ce mercredi 1e Mai.
La situation est quasiment bouché.
Un président expliquant que sa politique avait été incomprise, car elle allait dans le sens des demandes formulées par le GJ.
En conséquence du Grand débat, il a listé une série de mesures, qui évidemment serons bien reçu par leurs bénéficiaires qu'ils paierons en partie en réglant la TVA. 

J'invite tous ces bénéficiaires de calculer ce qu'ils paient à chaque achat en TVA, éventuellement d'y ajouter les impôts s'il y sont soumis et de comparer ce total au montant qu'ils recevront.

Le smig annuel est de 18 254 € le taux de TVA est 20%, un smicard verse au budget de l'état 3650 € par ans.
C'est comme cela que 28 millions de citoyens concourent au financent indirect et indolore du budget. 
Ce n'est pas nouveau, c'est pour que vous n'imaginiez pas que ce sont les entreprises ou tout autre organisme moral qui participent au financent de ce que les GJ ont reçu comme satisfaction financière.
C'est seulement nous, le contribuable à responsabilité physique, ou le client, de manière bien inégale en fonction des revenus ou ressources de chacun des actifs, qui financont le budget de la nation. 
Tous les groupements à responsabilité morale reventile tous les prélèvements.
Avons nous déjà vu des pierres de rendre aux trésors public pour s'acquiter des impôts sur les sociétés.
Il serait tout de même temps qu'instinctivement quand nous réclamons quoi que ce soit au budget national ou au patronat nous ayons ce réflexe de penser combien cela va ME coûter.

Alors maintenant que nous le savons nous pouvons, non demander, mais exiger.

 Puis décider quelle part de vos revenus nous voulons consacrer à ceci ou cela. Ne soyons pas inquiet pour le patronat, si nos exigences le concerne il nous les fera payer.
 En plus de trente ans de militantisme je n'ai jamais vu un actionnaire mettre la main à la poche pour régler les factures sociales.
Croyons-nous que si c'était le cas il y aurait autant de grands Groupes, autant de milliardaires, autant de chômeurs.

Mettons donc en perspective les annonces du président, du moins deux

La lutte pour l'emploi. 
Aucune entreprise ne cré un emploi si elle ne peut revendre plus cher le salaire versé à celui qu'elle a employé. 
Je sais que pour beaucoup cela paraît incompréhensible, mais c'est cela l'exploitation capitaliste. Je suis preneur si vous trouvez un économiste qui dément cela. 
Dans l'avenir le numérique va détruire un emploie sur deux d'ici une vingtaine d'années.
Si donc il ne faut compter que sur les salaires pour financer les retraites et les prestations sociales, les actifs vont devoir travailler combien de temps.

 Devinons ?

 Le double du temps actuel.
Sur la base moyenne actuelle de 42 h semaine cela conduirait d ici 20 ans à travailler 84h semaine.
Ou bien travailler plus longtemps. Actuellement l'on travaille en moyenne jusqu'à 62 ans, dans 20 ans avec l'allongement de l'espérance de vie nous pourrons travailler 35 h semaines jusqu'à 124 ans. 
Voilà l'exemple type ou conduit une comptabilisation de l'existence.

Pourtant le président nous à bien expliquer mettre l'humain au centre de ses préoccupations.
Il nous a bien expliquer que du fait de l'allongement de la vie nous pouvions travailler plus longtemps.

Les impôts.

Si j'ai encore bonne mémoire plus de 60% du budget est financé par la TVA. Disons 20% par les impôts directs, (les chiffres justes sont sur le site Gouvernemental) plus d'autres taxes au total  l'impôt et taxes représente 90% du budget.
C'est donc seulement 28 millions d'actifs qui versent ces sommes donc 22 millions les retirent de leurs salaires.
Nous comprenons que tous les financements par  le budget viendra des Actifs. L'état reverse les 100%, l'état épargne pas, l'état ne fait pas de bénéfices.
S'il s'engage à réduire les impôts, il va de fait détruire des emplois. Les 100% du budget sont consommés. Ils entrent dans la bourse de quelqu'un. Disons en salaire de fonctionnaires. Réduire les impôts c'est réduire ces 100% .
S'il veut conserver les emplois de fonctionnaires et réduire leurs coût d'environs 5 milliards par la baisse d'impôts sans créer de la dette, OÙ va t il trouver ces 5 milliards?
 En réduisant certains avantages accordés en matière de fiscalité aux entreprises à hauteur de 5 milliards. Question, à qui les entreprises feront elles payer ces 5 milliards d'impôts de plus ?

A leurs clientèles.   

Résultats, c'est 5 millards que l'on ne nous aura pas prélevés pour les transfére sur l'entreprise, nous les réglerons comme client d'une maniére indirecte et indolore avec la satisfaction d'avoir mis le patronat à contribution. C'est seulement de la circulation monétaire.

UN exemple de circulation monétaire. 

La France doit 100 milliards à l'Italie, l'Italie à l'Espagne, l'Espagne au Allemand, les Allemands au Belge, fallait bien y arriver, car les Belges doivent à la France. Chouette on aura des sous. C'était 100 milliards.
La France les verse à l'Italie qui les reverse à l'Espagne et ainsi de suite avec 100 milliards l'on a rembourser  500 milliards de dettes. C'est de la circulation monétaire. Mais pourtant dans chaque Etat ces 100 millards auront rémunéré des salaires avec lesquels les fonctionnaires auront acheter des biens aux entreprises qui paieront avec leurs impôts, leurs salaires, leurs dividendes. Chercher l'erreur ?


Je n'ai pas trop grossi les caricatures, l'on se fou de la justesse des chiffres, c'est le mécanisme par lequel l'on se fait promener qu'il faut saisir. Circuler il n'y a rien à voir. Si ! Tout système à un point où il s'écroule sur lui même s'il ne reçois rien de l'extérieur. Le notre a besoin de retrouver le pouvoir d'émettre de la monnaie par une banque de France où la BCE car les "riches" ne redistriburont rien,

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 27 Avril 2019

O rage O désespoir, n'ai je donc tant vécu que pour cette inertie.
Les pôles fondent sous la chaleur du soleil que retient la terre, comme nôtre intelligence sous avarice et la cupidité d'une espérance dans les miracles de la monnaie. 
Me suis je blanchi sous des siècles de savoirs compilés que pour voir en quelques années se noyer tant de foyers.
Au clair de la lune mon ami écolo trouve mois des tunes pour retirer mes pieds de l'eau.
Ces peuples qui ont chanté tous les étés dans le bien être de leurs cités chauffées et électrifiées, s'en allaient pleurer leur infortune auprès de la nation sa voisine.
L'état leur répondit d'aller la haut siffler sur la colline. Ces peuples ont siffler tant qu'ils ont pu et rien n'est jamais venu.

Nous savons déjà.

Sur le net chacun y trouvera une cartographie des zones innodables dans le cadre d'une estimation prévisionnelle de la montée du niveau des mers d'ici la fin du siècle. Cela en fonction de la production de gas à effet de serre.
Entre nous, l'on s'en fout. Sur 7 millards
d'humains combien ont en urgence me souci de se nourrir, de s'assurer un bien être à effet de serre.
En 1789 sur x millards d'humains combien avaient en urgence de se nourrir quittent ba rester soumis à leur condition.

Un petit peuple toujours les pieds dans la merde et qui fait Coquerico. C'était le peuple, non seulement les élites instruites sous le savoir de tous les philosophes et scientistes de l'époque des lumières.
La bourgeoisie naissances à nourrir le désir d'en retirer avantage pour s'épanouir en commerçants suivant les usages de production en vigueurs. 
Il n'y a en celà de procès à faire à personne, seulement d'avoir la clairvoyance d'une analyse partisane ou non.
Je suis anti capitaliste et je ne vais pas reprocher à la bourgeoisie naissante de remplacer la noblesse de robes pour devenir aujourd'hui l'élite possédante, biens, financés, pouvoir.

Ce court rappel pour signifier que cette minorité agissant pour ses intérêts, c'est glissée dans les savoirs disponibles pour réalisé impensable, pour réaliser l'impossible.
Pourquoi les maîtres (les monarchies avec leurs élites courtisanes) de l'époque ne l'on pas fait. Les Savoirs étaient autant disponible pour eux. Si nous répondons a cette question nous répondons à celle pour laquellenous n'arrêterons pas le réchauffement climatique et serons incapables d'entre prendre des mesures de sauvegardes.

A chacun d'apporter sa réponse.

Personnellement je suis assuré que nous consommerons toutes les réserves fossiles. Nous pouvons d'ores et déjà savoir grâce aux ordinateurs quel va être le niveau d'élévation des mers et océans pour notre pays au fil des ans. Sans prendre en compte les autres gaz à effet de serre pour mon raisonnement.
Nous pouvons d'ores et déjà savoir quel effets aurons élucubrations écologistes de 60 millions d'humains sur 7 millards.
Faut il renoncer à poursuivre non comme pour l'installation de la République.
Mais il faut poursuivre de manière efficace. C'est à dire comment préserver ou déplacer des populations et les surfaces cultivables.
Ce ne sont pas les orientations du président qui nous y conduirerons.
Pour cinq raisons.
1/ il ne dispose pas du moyen de créer de la monnaie pour faire face à la dépense gigantesque que cela représente. 
2/ Il ne pourra pas non plus prendre cette monnaie dans la poche des citoyens. 
3/ les riches particulier ou entreprises qui dispose d'épargne ou de fonds disponibles, n'en dispose pas non plus.
De plus eux les engageraient avec intérêts.
4/ il n'y a pas assez de main d'oeuvre disponible pour accomplir nos productions et prendre des mesures pour lutter contre la montée des eaux.
5/ psychologiquement les citoyens ne se sentent pas solidaire de cela s'ils ne sont pas concernés. Comme le peuple des manufactures et des champs en 1789.


Alors comptons sur les minorités agissantes.
Il faut créer un budget spécifiques écologie. 
Choisir le mode de protection réalisable.
Puits à Carbonne, plantation stokage etc
Réductions des sources de pollutions de gaz  à effets y compris élevage intensif (le challenge psychologique le plus difficile, car il ne se solutione pas avec de la monnaie ni avec la force comme les Vegans.
Sélectionner les zones et structures de protection.
Trouver la main d'oeuvre nécessaire ben plus de celles disponible des chômeurs.

Enfin la plus facile, celle qui n'a aucune empreinte écologique, juste des clics de souris. Emettre la monnaie nécessaire pour réaliser un projet à la hauteur de la nuisance de nos déchets.

Ce n'est donc pas l'homme à l'origine du capitalisme qui va le faire tomber, mais la prise de conscience que les déchets qu'il a généré ne peuvent être solutionné par lui.
C'est donc la pollution qui aura raison du capitalisme.
Si nous faisions cela, aurions nous pour autant résolu les conséquences du réchauffement, certainement pas.

Nous aurions seulement Montré au Monde que Rien n'est Impossible quand dans son Intérêt Solidaire l'on peut autour d'une Union Républicaine réalisé de plus Grande choses que ne le permet me Capitalisme qui Compte Seulement la Vie.

Et l'histoire fera le reste comme pour la révolution.


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 26 Avril 2019

Chaque être qui né est neuf. Il n'a aucun passé, il n'a aucune patrie, il n'a aucune langue, il n'a aucune instruction, il n'a aucun métier, il n'a pas un sou.
Pourtant il survivra, s'il ne nait pas où l'homme  moderne a rasé la terre. Ces espaces sont rares, nous devons donc les préserver. l'Amazonie et autres terres vierges.

Que déduire de cet entame. 

Que tout ce qui manque à un nouveau né, qu'il devra apprendre, n'est que culture.
La culture circule par le mimétisme et l'apprentissage. De rudimentaire nous en sommes arrivés à un peu plus loin.
Et chaque civilisation croit que ce plus LOIN et un aboutissement qu'il faut immobiliser jusqu'à ce qu'elles en meurent. 

Le conservatisme.

A chaque pas ceux qui l'on vécu voulaient le conserver en l'état. Ce désir est essentiel pour constituer des organisations évolutives stables. C'est à
dire, qui progressent sur des références conservées d'une génération sur l'autre. Nous qualifions souvent cela de conservatisme.
Nous comprenons bien qu'aucun nouveau né ne pourrai vivre ou survivre dans nôtre monde culturel, si nous n'avions pas conserver des structures organisationnelles. 
Leurs fonctions n'est pas de s'installer ad vitan eternam dans une monde planétaire qui évolue en permanence. C'est de constituer des étapes qui ont une raison d'exister (puisque nous les accomplissons) pour servir de support à l'étape suivante générée par l'usage qu'en ferons chaque nouvelle génération.

Être conservateur, ne conduit pas à l'immobilisme, ne conduit pas à la stagnation. Être conservateur c'est s'assurer de fondements solides sur lesquels prendre appuie. Dont l'objet, (indépendamment de nôtre volonté) est s'adapter à demain. 

Comme un maison.

Leurs connaissances nous donne les moyens d'édifier l'avenir.
Nous donne même, et cela est important à comprendre dans notre monde secoué par une vague d'intégrismes, que nous pouvons et devons consolider nos fondements s'ils ne peuvent pas porter demain.
Ceci parce que leurs places planétaire, n'est pas de rapporter la vie à eux mais d'être des appuies à  la vie humaine.

Je vais tâcher d'illustrer cela par notre histoire occidentale.

Elle commence par l'organisation politique, économique et sociale dispensée par la foi et l'adoration à ceux à ou en qui nous pensons devoir nos existences.
C'est à dire tous les DIEUX que la terre a portée quelqu'en soient les dénominations, les rituels de reconnaissances, d'allégeances, de sacrifices, de prières.

L'histoire Biblique en est un condensé.

Le Conservatisme Evolutionnel l'a écrite d'étapes en étapes, nous conduisant celles déclinées par les sciences spécifiques d'aujourd'hui.
Ce sont ces étapes que je vais souligner par les représentations symboliques ou métaphysiques. En ignorant l'histoire de la nuit des temps.

1/ Adam et Ève prennent connaissance de leur nudité et quittent l'Eden. L'humain accède à la conscience et à la production d'outils pour se nourrir par le travail car la cueillette n'y suffit plus.

2/ Caen tue Abel. Ils sont frères. L'espèce humaine est une, c'est l'égal d'une fratrie. L'humain s'entre tue par envie de ce que possède l'autre, pour la reconnaissance ou la puissance.

3/  l'homme est "mauvais " dit dieu, il les noie. c'est un nouveau départ Symbolisé par Noé. L'humain évolue vers un mieux être, un nouveau départ sur le fondement que représente Noé. L'on ne saura rien d'autre. L'humain cré des nations, des pays, il bâti, commerce, se sédentarise, et croit en une multitude de dieux.

4/ Un dieu unique prend corps dans son esprit. C'est Abrahams qui symbolise cette évolution, et ses fils (Issac et Ismaël) les divergences sur la suite à donner à cette évolution.
L'humain innove en se réorganisant autour d'une morale qui se dessine. en renonçant à tuer de sa propre autorité.

5/ Moïse et les tables de la loi modifient les fondement qui organisaient les humains depuis Abel et Caen suivit de Noé.
Le déluge ne vient pas noyer les "mauvais"cette fois-ci. 
Mais ce Dieu monothéiste vient passer une alliance avec un peuple.
Un peuple de berger venu de l'autre côté, de la Mésopotamie qui en période de famine ou de conflit trouve refuge en Egypte. Ces hommes se regroupent dans une communauté hébraïque exploitée par les Egyptiens et se révoltent.
Ce peuple représente la, première ou non tentative d'humains à ne pas vouloir se soumettre à un pouvoir. Cela au nom d'un Dieu qui leur offre la liberté de décider de leur avenir sur la base de fondements moreaux pour préserver leurs existences.
Ces fondements conduisent vers une terre promise. Les humains sont toujours dans cette quête, c'est la constitution des droits de l'homme.

6/ Canaan et la symbolique du désir humains de disposer de fondements moreaux leurs assurant une vie heureuse sur terre. Là où coule le miel et le vin. L'humain continue cela en recherchant son bien-être par le matérialisme.

7/ Ce désir ne se réalise pas car ce peuple est rebelle à dieu nous dit l'histoire Biblique et il vit en entre soi. C'est le symbole de l'impossibilité à l'humain de s'enfermer, de vivre en autarcie. C'est la maxime suivant laquelle une cellule qui ne reçois rien de l'extérieur meurt sous ces propres déchets.

8/ L'arrivée du Christ symbolise cette ouverture en prônant l'universalisme. Il dit venir appliquer la loi de Moïse. Il faut entendre par là qu'il s'appuie sur ses fondements qu'il adapte aux évolutions du monde dans lequel vivaient les Hébreux devenu juifs, malgré leurs désirs "autarciques". L'humain s'universalise.
 
9/ Jésus est le dernier sacrifice humain rituel pour racheter les fautes des hommes une fois pour toute.
C'est le constat que l'humain est condamné à toujours de tromper, et qu'il ne pourra jamais accéder à dieu de son vivant ou à la vérité ou au monde objectif.
Dire cela donne la mesure de ceux qu'étaient les connaissances de l'existencielle à cette époque.
La conséquence en est que l'humain doit pardonner, car c'est de son ignorance de dieu ou du monde objectif qu'il est conduit à toujours de tromper.
Pour parvenir à vivre dans la promesse de Canaan, (le pays promis pour retrouver le bonheur sur terre,) il faut s'aimer les uns les autres pour retrouver la fratrie de l'espèce humaine mise à mal par Caen et Abel.

10/ Le christianisme donne la liberté aux humains universalises,  dans la continuité de celle offerte aux Hébreux. Sous la réserve de l'application de deux fondements essentiels nécessaires pour palier à son ignorance qui le conduit à entre tuer, Aimer, Pardonner. L'humanité n'a toujours pas su en faire application salvatrice.

11/ Vient dans la suite un nouveau prophète fruit d'un développement parallèle depuis Abrahams par son fils Ismaël. Pour faire court en émergera  l'Islam avec une codification précise pour éviter aux hommes de devoir se tromper de route. Ce sera le Coran. L'esprit n'en est pas de dominer le monde, mais d'aider Les aux hommes à ne pas se tromper de route également.
Cette vision, qui repose sur le déterminisme culturel, s'oppose nécessairement au christianisme libéral. Mais avec le catholicisme les chrétiens s'installent dans le déterminisme. Le Coran et le catholicisme représente l'immobilisme.

12/ La réforme protestante vient exécuter un retour aux fondements chrétiens du pardon des fautes humaines. Par le Christ ressuscité tous les hommes ont reçu la grâce de dieu, sans devoir en faire la preuve par des Œuvres. 
Ce retour aux fondements chrétiens ouvrira la porte au libéralisme et à la République.

Cette caricature évolutive des fondements de l'Occident, montre les étapes qui de sont enchaînées.
L'humain poursuit malgré cela un conflit fraticide avec l'Islam sur fond de modernité technologique.

C'est toujours l'histoire de Caen et Abel version moderne.
En fait s'oppose le conservatisme et l'immobilisme sur fond d'ignorance.
L'aléatoire et le Déterminisme.
La science par la mécanique quantique est sur le point de démontrer "mathématiquement" que notre existence est en fait déterminer.
Sauf que ce déterminisme ne constitue pas un fondements de l'immobilisme de l'existence puisqu'il inclus une évolution prévisible de la vie planétaire.
Ainsi, contrairement à la crainte ambiante de circonstances face à l'islam, celui-ci devra se trouver un nouveau prophète. Non parce que son intuition d'un déterminisme été erronée, (puis qu'aujourd'hui il observable par la science) mais pour qu'il ne conduise pas en un intégrisme mortifère contre l'Occident.
 Parce-que chacun la compris les judéo-chrétiens et les musulmans continuent de se tromper.
Les uns ne savent pas appliquer les fondements hérité du christianisme, en continuant de tuer, en ne sachant pas aimer l'autre, en ne sachant pas pardonner. 
Les musulmans en vivant dans l'immobilisme Coranique.
Enfin ce trompent aussi tous ceux qui nient la notion de "Dieu" tout en reconstruisant des structures idéologiques, philosophiques, politiques semblables exigeant la même foi, la même croyance, les mêmes rituels appeler pratiques.

Nôtre espèce est une.

Dieu n'est que le monde objectif que nous ignorons en l'état de notre condition humaine. C'est pour cela que toutes les civilisations avait leurs au-delà bien heureux, nous avons tous le même cerveau. Seul ce de quoi nous le remplissons varie.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 25 Avril 2019

J'entame mon article, alors que le président répond aux journalistes.
Il fait une excellente prestation, il est à l'aise comme un jeune premier. J'imagine qu'il aura séduit.
Sur le fond il assure vouloir  remettre l'humain au centre de la République et de la solidarité qu'elle emporte, sans oublier avec beaucoup plus de finesse qu'un Sarkozy, un glissement vers les électeurs du RN.

Il a donné du grain à moudre aux journalistes qui ne manqueront pas  de commenter toutes ses déclarations, sans débattre du fond. Nous aurons donc de leurd parts rien de neuf que du blabla. 

J'avais dans un article pris le parie qu'il ferait comme Sarkozy et Hollande face au mécontentement : j'ai entendu votre colère et j'ai compris que vous désiriez que j'accélère les réformes. 
Dans l'essentiel il a affirmé que ses choix politiques étaient les bons et qu'il continuerai en ce sens. 

Sur le fond et pour ce qui changerai nos existences, il compte sur les investisseurs privés pour générer la solidarité républicaine et créer des emplois. 
Il est dans le droit fils des politiques qui ont conduites à l'explosion de cette bulle sociale.
J'ai donc déjà écrit dans un autre article que la réponse du grand débat ne ferai qu'aggraver la situation.
C'est bien entendu ce qui se produira.

Le président compte sur la redistribution salariale, qu'il accompagne par des réductions d'impots.
C'est la négociation entre partenaires sociaux  qui doit y aboutir.
Or nous savons qu'elle n'est efficace que lorsque les organisations syndicales salariales disposent d'un rapport de force favorable. Ce n'est plus le cas depuis 1995. Tous les gouvernements successifs ont concouru à leurs affaiblissements.
Ceci afin que les investisseurs trouvent chez le patronat les meilleurs dividendes, pour aboutir à des créations d'emplois.
Des deux gouvernements précèdent les citoyens ont versé par la redistribution budgétaire, fruit de leur impôts et taxes, 160 milliards.
Le président a assuré lui aussi vouloir gagner la bataille de l'emploi sur les mêmes principes, nous savons ce qui nous attend.

Donnez moi une seule raison pour qu'ils changent de stratégie.
Le président en a formulé une, travailler plus longtemps.
C'est à dire aller à contre sens de l'histoire humaine qui se dessine. Celle où l'humain se fera remplacer par des robots.
Allons nous croire que par solidarité républicaine les employeurs vont renoncer à cette future manne.

Sur l'écologie, à vivre dans la capitale il doit y respirer de gaz d'échappement.
C'est à l'exemple du débat ambiant totalement nul, car il n'a aucun plan d'envergure pour que le pays serve d'exemple au monde. Non pour arrêter le réchauffement, mais pour faire face à des conséquences.

Si je me tromper qu'on me le dise. Avec le sourire svp.


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 24 Avril 2019

Sortons donc du capitalisme. Nous sommes capables de faire mieux sans pourrir le monde avec nos déchets. 
Grandir c'est franchir des étapes.

Notre cerveau est maleable, élevé par un canard nous ferions coin coin en bougeant du cul.
Nous ne sommes donc pas condamné à nous entre-tuer pour de la richesse ou exploiter ceux qui la détiennent.

Regarder les régularités.

Il y a des régularités qu'il faut observer. L'homme utilise tout ce qu'il réalise. Nous réutiliserons donc l'arme atomique parce qu'elle existe.
Il ne faut pas oublier que l'histoire est longue. Elle n'est pas a la durée d'une vie. La notion de Race apparaît au 15e siècle. Hitler sera son point culminant avec l'industrialisation de la mort. Il a mis 500 ans à naître, à être façonné par l'histoire. Il a été précédée au 16e siecle par l'extermination des indiens d'Amérique, qui furent remplacés par la traite des noirs. Tous étaient considérés comme sous race, (il n'est pas acceptable de considérer ces événements comme du génocide, car c'était dans l'ordre des conceptions et connaissances intellectuelles de ces temps). 
Ils ont utilisé les moyens de destructions et d'asservissements à leur disposition.
Idem pour toutes les autres guerres.
Chaque événement a construit les suivants et Hitler s'inscrit dans cette suite. Il n'est pas né *genocideur* il est le produit d'une continuité de l'histoire. Il a utilisé tous les moyens à sa disposition et a même innové. Dans la continuité de son histoire nous avons réalisé les armes atomiques. Puis il y a eu un
Truman pour l'utiliser, sous les vivas de l'arme dissuasive.
Il n'y a donc aucune raison que l'histoire de l'arme nucléaire s'arrête avec lui.

N'ayons aucune illusion à ce sujet.

Le racisme est toujours présent, le nationalisme aussi. Seul les représentants ont changé, c'est le Musulman qui remplace l'indien, le noir, le juif. La même organisation économique qui a conduite à l'extermination des indiens, l'exploitation des noirs et l'extermination des  boucs émissaires juifs ou la création de goulags dans toutes les dictatures est toujours à l'œuvre avec la bénédiction de tous ceux qui votent pour eux dans les démocraties.

Aucun signe n'indique que l'on change l'histoire. 

Alors, il ne nous reste plus qu'à attendre l'arrivée d'un énième Hitler ou Truman.
Il ne s'agit ni de divination, ni déduction géniale. Il suffit de lire les régularités de notre histoire et envisager ce qui peut en changer le cours. Non parce qu'un être génial salvateur va surgir du néant. Mais parce que nous auront, les uns après les autres, supprimé les causes que nous connaissons par l'histoire conduire à un désastre.
La seule question c'est quand.

Pour ne pas avoir à se la poser.

il faut détruire les armes de destructions massives atomique ou chimique ou bactériologique. Puis réalisé la mise à disposition des masses monétaires pour qu'elles ne soient pas un sujet d'exploitation, parce que le canard qui nous a élevé s'éduque lentement. 

Il ne manque pas de travail pour réaliser nos désirs. Si le canard est trop lent il faut changer de volatile ou l'envoyer étudier.
Il n'y plus aucune raison culturelle pour que le savoir demeure le privilège de ceux qui avec, dans leur grande majorité, soumettent les ignorants.
Tous ceux qui croient que parce que la monnaie n'existerait plus, ils ne pourraient plus travailler, plus vivre.
Il confondent allégrement pouvoir et survie ou simplement se réjouir de ce que nous sommes capables de réaliser pour le bien être de l'humain.
Pour cela il n'est pas nécessaire de courir après la puissance, le pouvoir, encore moins dans une démocratie ou par principe c'est celui du peuple.

Les premiers.

Il est important de comprendre que les DÉCOUVREURS serons toujours les premiers. C'est donc à partir d'eux que s'élaborerons les savoirs successifs à se transmettre pour réguler la complexité du monde qui croit au rythme de la circulation de ceux-ci.

L'on ne peut plus ne pas Savoir. 

Cela donne les Gilets jaunes. Si je trouve leur jacquerie juste, leurs revendications n'apportera aucune solution aux mécontentement qui a fait éclater cette bulle sociale. Au contraire elles vont l'aggraver. Car depuis longtemps ils ne sont abreuvés que d'informations émotionnelles qui ne vise qu'à les détourner de la politique, qui est la seule chose qui organisent leur existence et dont ils devraient être les maîtres.
Alors que les maîtres effectifs, ceux du pouvoir Financier et économique ne les guide qu'à être des boyaux sans tête.

Tandis que ceux qui ont les Savoirs se regroupent en entre soi. Ils forment des oligarchies ou des ploutocraties qui, avec leurs connaissances sur les comportements humains, persuadent ceux qui les élisent que c'est dans leurs intérêts. Ceux là ne lisent l'histoire que dans les banques.
  
Les Gilets jaunes en sont le comble.
'
Ils veulent renverser ou obtenir du pouvoir des avantages évidents et nécessaires, cela est incontestable.
Pourtant ils ignorent que ce sont eux qui financeront ce qu'ils réclament. 
Ex : c'est comme s'ils voulaient avoir 10 € dans la poche droite, en ignorant totalement qu'ils devront retirer de leur poche gauche 15 € pour financer les 10 € qu'ils gagneront en criant victoire.
Un proverbe : dit plus con que ça tu meurs
Je sais que mes écrits sont durs. Mais à un moment il faut appeler un chat un chat. Ce n'est pas seulement un problème de circulation monétaire qui nous empêche de voir le chat.
C'est que ça ne Change pas l'Histoire. Ça l'aggrave pour que l'on en vienne à avoir une réponse à Quand ?
Or ce quand ne sera peut être pas aujourd'hui mais il viendra.

Il faut donc que les Gilets jaunes poursuivent leur action dans e temps tout en se donnant les moyens de mesurer, auprès de ceux qui peuvent les aider de porter les revendications qui changerons l'histoire  qui va les broyer.

Le grand débat est du même acabit ils n'en sortira rien qui ne soit une continuité de l'histoire que font les puissants en y condamnant ceux qui y sont soumis.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 23 Avril 2019

C'est la fête des travailleurs, de ceux sans lesquels les milliardaires existeraient pas.

C'est, quoi la liberté ?

C'est, naître libre en Droits et Devoirs.
Cela semble exclure qu'un homme  puisse retirer ses ressources du travail d'un autre.
Commercer c'est opéré des transactions de quelques natures que ce soit pour faire circuler des produits et des services, suivant les besoins formulés et proposés par les hommes.
 
Peut-on devenir milliardaires par son seul travail ?
La réponse est NON.

Dans notre économie devenue complexe cette perception disparaît, car nous ne réfléchissons plus.
Nous sommes devenus instruits sans plus et seuls quelques hommes s'interrogent. Or ceux-ci sont en voie de disparition. Ils sont remplacés par des monaietistes, des bugetistes, boursicotistes, des stradistes, banquistes, des bilantistes, des Capitalistes. 

La propriété.

Dieu est-il comptable, la nature est-elle comptable, l'univers est-il comptable.
Si compter notre existence avec des chiffres était inné je ne me poserais même pas la question. Nous savons compter naturellement, c'est à dire évaluer une quantité en nombre, volume et poids, une distance en temp. Nous savons prendre la mesure de toute chose naturellement.

Alors pourquoi est-il si difficile de prendre conscience que l'organisation Capitalistes du travail revient à priver celui qui est employé comme salariés de la valeur de ses efforts.
L'artisan bénéficie de la totalité de son travail. Il sera riche ou pauvre en fonction de la vente du produit de son travail. Il le vendra suivant la demande et l'offre Commercer n'est donc pas un paramètre capitaliste.
Ajouter sa marge pour obtenir le niveau de vie que l'on désire, n'est que vouloir accéder aux biens, produits et services auxquels tous ceux qui ont une activité socioéconomique concourent dans la communauté humaine, restreinte par des territoires (état, pays) ou étendues par le commerce international.
Être propriétaire des moyens de production, être employeurs, disposer de la propriété intellectuelle sont-ils des critères capitaliste. Je ne le pense pas

L'existence aléatoire.

Tout le monde ne peut pas innover, tous le monde ne peut pas entreprendre.
La raison en est simple : si aucun de nous n'est égal à l'autre, ce n'est pas pour qu ils s'opposent, mais pour que suivant la situation où chacun évoluera ou se développera il puisse s'en trouver un qui pourra observer dans son environnement ce qu'il juge utile dans son intérêt et dont les autres pourrons retirer à leur tour un avantage.  Nous utilisons la roue qui date  des Babyloniens. Ainsi chacunn dans sa singularité dispose d'atouts pour être à un moment de sa vie, de son histoire, celui qui circulera dans un espace, un lieu d'où il retirera une innovation.
Il n'y a pas la une inégalité, seulement une rencontre aléatoire. Celle entre un humain qui poursuit l'usage des moyens de sa condition et l'environnement. Celui dans lequel il évolue tout aussi aléatoirement du fait de sa naissance dans une histoire humaine. Dans laquelle il n'a aucun libre arbitre si ce n'est de faire les choix que lui présente la diversité du monde. Aucun humain n'a choisi de faire une découverte.

L'Innovation.

Nous avons intégré l'innovation comme étant une activité à laquelle nous pouvons nous livrer pour soulager la pénibilité de notre existence et satisfaire nos besoins. Cela en soi n'est pas du capitalisme. Et ce n'est pas être capitaliste d'en retirer une  ressource en se reconnaissant ce droit.
Ainsi que l'on soit propriétaire d'un moyen de production, d'un moyen intellectuel que l'on soit un découvreur ou un employeur, cela n'emporte pas le capitalisme. 

Pour cela il faut accumuler suffisamment de richesse pour entreprendre des réalisations que notre seul travail ne pourrait suffire dans un temps donné. 

Ou bien comme c'est le cas actuellement disposer d'épargne au delà de sa seule consommation, hérité de son histoire, que les autres empruntent.

Prenons une base de référence.

Pour disposer d'un milliard par son travail personnel il faut gagner par heure : 1 000 000 000 / 60 ans / 12 mois / 365 jours /10 heures = 380 €. 

A partir de là l'on peut pondérer suivant les désirs que veulent d'offrir les hommes, et les sommes qu'ils veulent y consacrer, tel des joueurs sportifs ou autres artistes. 
Ce n'est plus leur travail qui les rend milliardaires, mais le désir des autres.

Ce n'est pas pour autant du capitalisme. Ce n'est pas du capitalisme que de parvenir à vendre son travail à un prix exorbitant si des milliers de consommateurs l'achetent sans y être contraints.

Où le bas blesse ?
 
Quand le capital s'obtient non par le fruit de son travail, mais en ne rémunérant pas le travail des autres pour qu'ils puissent l'échanger à hauteur de sa valeur sur le marché. J'ai déjà caricaturé cela.
Un employeur versé 100 € à un salarié pour 8 h de travail, l'employeur ajouté ses 8 h de marge à 100 € et vend 16 h à 200 € à son salarié devenu un client.
Le client doit donc faire un emprunt de 100 €. Si l'employeur dispose de fond ou d'épargne disponible il prêtera 100 € contre un remboursement de 110 € avec les intérêts.
Au total le salarié aura acheté son travail de 8h 210 €.
Un pouvoir Capitaliste c'est quoi, c'est un pouvoir (parlement sénat) qui renonce avec l'accord du peuple ( qui vote pour ses élus) d'utiliser son droit souverain d'émettre de la monnaie.
Cela pour obliger les salariés qui ne reçoivent pas un revenu suffisant pour acheter leur travail, d'emprunter le surplus de monnaie que l'employeur à gagner en vendant au salarié client sa marge.

La différence de création de capital, entre celui cumulé par un employeur et celui mis à disposition par le pouvoir, c'est que les gains de l'employeur lui appartiennent. Il n'est pas responsable du choix des citoyens qui lui remettent le pouvoir économique et monétaire.

Le 1e Mai

Ce jour là choisissons le bon slogan.
Les patrons, les créateurs, les entrepreneurs, les innovateurs, les élites, les intellectuels sont indispensables, même s'ils ne sont que des hommes avec leurs travers.
Les entreprises ne créent pas des emplois, mais des biens et services.

Ce sont les Hommes qui financent tout, dont 22 millions de Salariés et 6 d'Employeurs.
28 millions de Clients dont 22 millions Salariés (j'espère qu'il est compris, que retraite et autres prestations sont financés par les 28 millions d'actifs devenus clients).

L'impôt et les taxes sont des Archaïsmes Monarchique. 
Les citoyens ne payent pas des taxes ou des impôts ils ACHÈTENT les services de leur pouvoir.
L'on ne gouverne pas avec des policiens de comptoir, même s'ils ont aussi du bon sens.
Avoir le pouvoir ce n'est pas élire son Autocrate tous les cinq ans. C'est disposer du pouvoir Economique et Fpinancier.
L'UE n'est pas un handicap, c'est son organisation capitaliste qui l'est.
La mondialisation n'est pas un handicap, c'est son organisation capitaliste qui l'est.
L'homme n'est pas un loup pour l'homme, c'est son ignorance qui l'est. ETC.

La Liberté c'est aussi.

La Liberté c'est dire ce à quoi l'on ne veut pas se soumettre.
Alors ne nous trompons pas disons non au capitalisme qui afflige le Monde. 
Seul l'humain existe pas la monnaie.

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Publié le 18 Avril 2019

Nous devrions savoir que l'observation d'événements rythment nos existences, et qu'aucun ne surgit spontanément.  
Tous ont une histoire événementielle dans un temps geohistorique dont nous ne mesurons la durée qu'entre deux événements et nôtre mémoire s'en souviendra. 
Nous vivons donc dans un passé qui n'existe pas, mais dont les effets sont effectifs. Ils nous permettent de dérouler nos existences avec comme toute mesure les peines et les joies qui en découle ent.en retenant les évènements.

 Les philosophes d'Asie l'ont compris depuis fort longtemps et parlent dans le bouddhisme d'evanessance de l'existance. Seul les savoirs issus d'observations transmisent par l'enseignement mimétique puis scolaire comblent nôtre ignorance inné.

Si bien que toute analyse évenementielle requiert de considérer la place où nous sommes et les savoirs compiler dans nos souvenirs. Cette analyse sera unique, comme toutes celles des autres. Leurs points de convergences résulteront de nos possibilité à échanger.

Il en va toujours ainsi ce qui nous impose de devoir composer les uns avec les autres. De former des regroupements et des organisations régulatrices de la concentration humaine sédentarisé pour assurer sa sudsistance.
Il en résulte ce que j'ai qualifié de "dominant systémique".
 C'est à dire tous les totems et tabous qui tiennent à la connaissance ou à l'ignorance de nos observations reconnues comme nécessaire pour faciliter la sociabilité, l'organisation économique et la confiance en des certitudes rassurerantes.

Cette assurance, retiré de 'l'organicite" de groupes humains sur des territoires connus, a évolué au fil des conflits politicos économiques et de recherches existentielles par une interrogation surgit de la conscience humaine et des divergences d'observations dans l'interprétation d'événements observables, tel le ciel, la mort etc.  

Cette évolution c'est toujours trouvée confrontée à l'intégrisme, la radicalité, au dogme, à la dictature, à l'autocratie des guides ou des dirigeants qui se sont imposés par la force tyrannique du groupe, la persuasion prolesytiste ou qui ont été choisis par diverses formes d'expression du groupe. 

Chacun d'eux qu'elles qu'en soit les raisons a été coopté par l'organisation systhémique sans jamais détenir sa légitimité de ses seuls caractères innés, CEUX qui désignent le dominant géniteur. Ce sont les lieux d'existences la famille parentale ou sociale qui feront naître son destin.
De fait ce dominant systémique parvenu, est un dominant aléatoire déterminer par son environnement culturel. Il s'imposera suivant l'organisation systémique en place, de gré ou de force avec l'assentiment taisant ou exprimé des autres. C'est a dire tous ceux qui entrerons dans la régulation qui émane du système construit par la compilation de ce qu'ils auront jugé devoir être transmis pour le bien être du groupe quel que soit sa taille.

Nous voyons clairement que les hommes se sont soumis à un ordre, à une organisation issue de la complexité généré par leur environnement faire à mesure qu'ils réduisaient le capital ignorance de leur existence.

Pourtant ils ne s'en sont pas moins
 opposés par rapport à la place d'où ils observaient leurs vies pour l'imposer aux autres et leur convoiter ce que leur territoire ne leur donnait pas ou ce qu'il n'avaient pu en retirer. 
Ou tout simplement, envier, convoiter ce dont disposait l'autre, car il observait sa place sociale desirer en retirer les mêmes bénéfices reconnus par la communauté.

Quand nous examinons quelles règles nous appliquons pour agir, faire des choix, désirer, éviter, écarter, évaluer, communiquer, nous voyons bien que cela arrive à l'âge de discerner et d'analyse de l'environnement, qui nous a été transmis par mimétisme.
Et c'est tout d'abord le comportement de ceux qui nous ont élevé et éduqué puis instruit.
La psychanalyse simplifié cela par la notion de Tabou et Totem. Elle signifie par là que tout humaine à son existence  ordonnée et coordonnée par autant de comportements, qu'il y a de possibilités d'analyses de l'environnement dans lequel il c'est installe seul, à plusieurs ou en communauté plus moins étantdue.
Cela donne la diversité.

C'est donc de leur concentration que les hommes vont retirer par l'inné les moyens d'une adaptation, afin de réguler leurd existences et la pérenniser chaque fois qu'ils en retirerons de quoi survivre.

 De cette pérennité naîtra la reconnaissance de l'ordre qui en découle pour remplir toutes les tâches qui s'avèrent utiles et nécessaires. 
Cela en  liaison étroite avec ce qui peut être compris du monde, d'où surgiront autant de modèles socio politiques et cultuels. Nous les nommons la culture.

Et d'eux vont émerger les Dominants Systhémiques. Ils s'adresseront aux hommes de la même espèce que ceux qui les ont structuré dans les siècles précédents.
Sur cette base des hommes s'imposeront par les moyens à leurs dispositiond en s'inscrivant dans les places de commandements, de pouvoir où toutes celles qui conduisent à y prendre part.

L'on peut dire alors qu'ils sont cooptés par l'organisation qui c'est élaboré en fonction des territoires où des hommes se sont installés à plus ou moins grand nombre, plus ou moins concentré.

Coopté signifie qu'il ne fait plus usage de ses seuls caractères innés, mais de ceux s'inscrivant dans le système. Celui correspondant au totem et tabou.
Hier un homme s'imposant par la force pouvait dominer un groupe, aujourd'hui il va en prison.
Qui suivons nous, les hommes ou le système, "(les totems  et les tabous)

L'homme est-il accepté pour ce qu'il est ou parce que il s'inscrit comme garant du système ?
Il domine pour ce qu'il est ou pour son aptitude à perpétuer le système. ?
Qui suivons nous alors, l'homme ou le système ?

Lors des élections nous elisons celui qui est jugé le plus apte, le plus approprié à gèrer le pays où le programme qu'il propose. 
Son programme est-il celui de son seul fait ou celui qui s'inscrit dans la pérennisation d'un système auquel il identifie. Nous votons donc bien pour un homme qui s'inscrit dans un système.

 Quand il ne s'inscrit pas dans le système, il ne peut même pas se présenter à sa cooptation.
Le système le rejette. Nous voyons bien qu'une idée individuel ne peut prospérer que si elle trouve un creuset où prendre corps et devenir un projet, devenir une perspective, devenir un but, devenir un système, avec un ou des guides ou des dictateurs.

C'est bien notre histoire humaine, régulée pour coordonner notre concentration avec comme finalitée produire notre nécessaire pour perpétuer notre espèce, qui détermine un système qui coopte un ou des hommes comme guide.

Mais celui qui est le dominant n'est pas l'homme, mais le système.
Ce sont : Les dominants systèmiques.
Dieu, le libéralisme, le communisme, le socialisme, le capitalisme, les droits de l'homme, tous ces mots en isme.

Alors si j'ai essayé de définir ce que tous nous connaissons d'une manière ou d'une autre. C'est parce qu'il c'est construit un autre dominant systèmique base sur l'individualisme, l'egologisme.
"Parce que vous le méritez bien" dit la pub. Peu ont pu y résister, c'est merveilleux, je suis le client Roi. 
Le ROI des CONS qui ne voit même pas qu'il paie TOUT, et réclament que ce soit les riches qui paient pour lui alors que c'est lui qui redonne son salaire.
Et parmi ces clients Rois certains le sont, les  millions d'employeurs (sauf ceux qui n'ont pas plus de revenus que des salariés). Sinon ce sont les 22 millions d'actifs clients qui paient tous.

L'autre intérêt de prendre conscience, qui est le dominant systèmique. C'est de ne pas voter, comme nous l'avons fait depuis trente ans, pour un "dominant parvenu" grâce au dominant systèmique en espérer qu'il va le changer.

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Publié le 17 Avril 2019

Notre Dame de Paris elle souffle le chaud.
Qui mettrait en doute la nécessité de conserver pour notre mémoire historique l'œuvre de la pensée et de l'adresse, de l'habileté humaine à accomplir de grande chose, quand elle a la foi, l'espérance.
Elle est capable accomplir de grands projets, de réaliser de grands desseins.

Nous qui gémissons sous les fardeaux d'une société qui ne mesure les hommes qu'en poids de papier monnaie.
Nous ne pourrions aujourd'hui réalisé de tel chef œuvre humains, du fait du temps qu'il nécessite pressé par la rentabilité. Pourtant elle n'est rien par rapport à des réalisations comme le cyclotron du CERN en terme de technologie.
Bien que comme la cathédrale loge dieu, le CERN chasse la particule de dieu sans soulever autant de dévotion, car aucune n'est venu parler à l'oreille d'un Abraham.

Des ouvrages comme toutes les cathédrales et autres mosquée, temples, témoignagent de ce que les hommes peuvent accomplir quand Ils ont la foi, quand ils sont pétris de confiance d'espérance, quand on leurs assigne un autre BUT. Un autre but que d'être un boyau et un anus. Nous savons aussi que toute foi n'est pas bonne l'EID la démontré à près bien d'autres. Car donner un but aux hommes pour qu'ils réalisent des chefs d'œuvre de vie, demande de savoir pour qui nous les réalisons
Si nous les réalisons pour l'humain d'abord ils y a des chances de ne pas se tromper sur les messages "Divins" ou simplement sur le développement de la connaissance humaine, plus que sur son poids en monnaie.

C'est chaud.

Ceci dit l'émotion a amené des milliardaires à faire des dons.
L'on peut comprendre la relation qui peut être établi entre un état qui a supprimé l'impôt sur la fortune au service des hommes et des milliardaires qui font des dons pour de la matière inerte aussi belle soit elle.

C'est une fois de plus un débat des sots, des imbeciles, des niais de comptoir, d'aigris, d'envieux, de nuls, bons j'arrête je ne sais plus quoi ajouter.
Ou alors je râle après moi acar je me vois dans l'obligation de soutenir des personnes qui, si je dirigais le pays ne manquerai de rien mais ne serai certainement pas milliardaires.
 Et pour rebâtir Notre Dame de Paris on créerait un budget, ou un appel à l'épargne, puisque elle appartient au patrimoine de tous les Français.

En quoi il y a problème qu'en leurs noms ces milliardaires retirent de leurd revenus imposables, de leurs ressources, le montant de leurs dons. 

Ils ont acquis leurs revenus dans le cadre d'une organisation économique libérale capitalistique. Dans laquelle ils peuvent entreprendre librement pour commercer comme tout citoyen. Est-ce qu'ils sont responsables des inégalités de fortunes et de conditions sociales dans lesquelles ils sont nés. 
Est-ce que le capitalisme grâce auquel ils ont pu prospérer en retirant un bénéfice du travail des autres est interdit. 
Depuis que nous disposons du droit de vote nous avons toujours élus des citoyens qui le defendaient.
Il fut un temps où l'on prétextait le vote censitaire puis celui bourgeois. Aujourd'hui ce n'est plus le cas. Ceux qui sont opposés au capitalisme peuvent choisir le parti adéquate. 
Les citoyens sont donc libres de leurs choix. S'il existe un débat pour faire ces choix, il appartient à chacun de ne pas se laisser leurrer s'il pense être dupe ou abusé. 
Il me semble que ceux qui tirent bénéfices du travail des autres ne vont pas leurs fournir les moyens de leurs révoltes 

Alors ces milliardaires sont libres de faire ce qu'ils veulent de leurs argents, en faire un don ou le brûler comme Guainsbourg.
Par contre si ces sommes sont prélevés sur l'entreprise et quelles donnent droit a des remises d'impôts conformément à la loi fiscale.
L'on peut alors retenir qu'ils s'approprient un mérite qu'ils font payer par d'autres.

C'est la seule chose qu'il faut savoir.
S'ils le sortent de leurs poches ils dépensent leurs argents comme ils veulent.
Si c'est l'entreprise qui finance ce sont les salariés. Parce que c'est avec leur part de travail que revend l'entreprise pour prospérer.
Ce n'est alors pasTotal par exemple qui finance, mais tout le personnel qui à moins qu'il soit démontré que ces sommes sont retirés des dividendes qui devaient être versés aux actionnaires.
Et les actionnaires font ce qu'ils veulent de leurs argents.
Si l'on ne veut plus de milliardaires ou d'actionnaires il faut modifier le capitalisme. Or depuis presque 2006 92%
Des citoyens veulent réformer le capitalisme et pour se faire ils vitupèrent contre libéralisme
 En se trompant de cible l'on n'en est pas sorti, surtout quand je vois des partis, dit d'extrême droite, arriver en masse en fustigeant le libéralisme qui est un des critères du fascisme et soutenir le capitalisme qui exploite leurs adhérents, à moins qu'ils soient tous rentiers.

 


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 14 Avril 2019

Difficile d'accepter cette réalité ou cet Absolue. C'est bien une des rares fois  où j'admets l'existance d'un absolue, car il n'est pas de notre fait. 
Nous n'en sommes que les acteurs agissants. Cet absolu se place au sein d'un dispositif dont nous sommes, en l'état, dépendant. L'ayant compris chacun la nommé comme il le perçevait.  
Cette perception propre à l'inconscient, résulte de la lenteur de notre cerveau. Nous en avons retiré l'espérance d'un monde salvateur et éternel.
De la conscience de notre dépendance nous en avons extrait l'existence d'un évènement supérieur dont nous serions issus qui nous aurait permis de disposer des moyens de survivre.

Parmi ceux-ci celui de déchiffrer l'histoire de l'existence et celle de  l'humain. Ceux qui se souviennent du film "le cinquième élément" de rappellent que la vedette féminine regarde défiler tout les atrocités dont l'humain est rendu acteur.

Quelles sont les raisons d'être de celles-ci. 

Nous avons comprise celles liées à la répartition de la rareté. Celles de trouver un espace pour produire nos besoins que d'autres nous environs par facilité, car c'est dans la nature humaine.
De ces observations nous en avons retiré la morale définissant le bien et le mal, qui n'existe pas en l'état naturel. L'on vit et l'on meurt, un absolu observable que nous contestons par la prolongation de l'existence par un changement d'état. Cela toujours par les moyens d'une perception lié à l'inconscient que nous interprétons.
Il n'est pas le résultat d'un hasard il est le ressenti des informations que nous recevons et que nous n'avons pas le temps de traduire en langage et qui nous ayant affectées seront imagés par des mots qui ne traduiront pas la perception d'un évènement inconscient, mais par des mots dont l'usage définit la réalité observable.

Nous avons aucun langage pour définir les perceptions inconscientes. 

Seulement l'observation de comportements erratiques dont nous nommons les effets perçus, quand ils entrent dans le conscient.
Comment mesurons nous ou prenons nous conscience de l'inconscient, par nos réflexes. Nous sommes touchés par une ou des informations que notre cerveau ne nous donne pas le temps de traduire verbalement dans notre langage codé. Seul un cri peut en ressortir, nous les identifions alors comme se rapportant aux réflexes,

Y a t'il une vérité.

Pouvons nous intégrer toutes les raisons de ce qui existe. Il semblerait que ce soit peu probable, car nous ne pouvons séparer dans les évènements relatés qu'elle part appartient à l'inconscient ou au conscient pour les commenter, les analyser sans possibilité d'erreurs de leurs provenances.
Cela pose une interrogation essentielle, peut-on retirer une vérité qui seraient absolue des évènements que nous relatons par l'histoire et le souvenir.
D'évidence la réponse est Non.
La transmission d'une information de l'environnement prend, de mémoire 500 mil/s. Nous mettons environ 1s pour la travailler avec notre magasin de souvenirs. Ainsi le temps de définir une perception nous en reçevons une autre. Nous sommes toujours en retard d'un train.

Est-ce gênant.

Cela ne nous gêne en rien pour continuer de parler de vérité là où il n'y a qu'une réalité observable. La réalité est indiscutable, c'est ce que l'on perçoit même si c'est une illusion. Est elle vrai au point d'être absolu. Non puisqu'elle dépend de nos perceptions.
Qu'est-il donc important de rechercher. 
Il semblerait que ce soit les régularités qui surviennent. D'elles nous en retirerons la permanence d'informations inconscientes qui nous échappaient.
Or ce n'est absolument pas ce que nous faisons pourtant c'est l'enseignement que nous pouvons retirer de tous ces événements que nous relatons,  pour nous en assurer la raison fondamentale qui les a généré.
Pourtant nous nous trompons à deux niveaux.
 1/ quand nous les relatons à partir d'écrits, car eux mêmes sont une réduction du conte de l'évènement.
2/ quand nous en retirons une certitude sur la base d'une analyse incertain.
Ayant autant de chance de nous tromper sommes nous certains d'être responsables de nos actes et de nos existences pour nous assurer avec certitude que nous devons punir des humains qui ne maîtrisent pas leur destiné.

Être auteur de ses actes est une chose, en être responsable en est une autre.

Pourquoi malgré la régularité que nous observons dans la répétition de l'existence des raisons d'être de toute
 chose. Nous n'arrivons pas à comprendre que croire maîtriser nos existences est une perception ignorante des raisons qui ont généré toutes choses.
Faut il renoncer à le croire, Non.
Il faut seulement le savoir, parce-que nous ne sommes pas dans la relativité d'Einstein, mais seulement dans un théâtre ou chacun tient son rôle.

Pour en donner une analogie, imaginons un Pluzze  où toutes pièces qui façonnent l'image chargent de formes, de couleurs, de places pour s'assembler en une nouvelle image qu'aucune des pièces n'a de chance de voir. Pour deux raisons

1/ les pièces ne sont pas au dessus de l'image pour une vue d'ensemble, même si nous nous élevons puisque notre Pluzze est rond.
2/ nous n'avons pas encore le don d'ubiquité pour être dans la composition de l'image  et être au dessus pour comprendre et voir ces changements permanants.

C'est en cela que tous les évènements ont une raison d'être mais qu'elles nous échapperont toujours.
C'est pour cela que dieu existe il est supposer être celui au-dessus et celui qui guide les pièces. Mais chacun et libre d'interpréter comment maîtriser son inconscient.
Alors pensons nous qu'en remplaçant dieu par la comptabilisation rationelle de la vie nous verrons l'image.


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Publié le 14 Avril 2019

Nous savons ou nous ne savons pas que l'économie repose sur une appréciation suggestive de la valeur qui n'est que celle de nos désirs. Il est donc dangereux d'enfermer nos existences dans des comptes hermétiques à la vie humaine. C'est pour cela que cycliquement nous avons des ajustements colériques, guerriers ou explosifs.
 A vivre enfermer dans nos bulles il y a un moment où elles explosent.

Nous avons un test psychologique pour vérifier nos prises de risques, pour mesurer dans l'incertitude la suggestion du désir, jusqu'où nous pouvons aller.
Il y a une série de ballons à gonfler en appuyant sur un bouton aussi longtemps que l'on veut. La difficulté vient que chaque ballon a une résistance différente au gonflement.
Ainsi chaque fois qu'un ballon éclate c'est comme une colère une guerre une explosion.
Si le ballon n'explose pas nous ne saurons jamais si nous aurions pu aller plus loin. Ainsi nous disons de ces situations quand elle nous affectent
 Je t'avais dit que tu exagérais, que tu allais trop loin trop fort etc. A l'inverse l'on de dit que l'on aurait pu insister, que l'on avait peur, étions timorés etc.
Que font les 'boursicoteurs", ils spéculent sur la chance qu'ils ont d'espérer un gain, idem pour le joueur.

Nous vivons celle d'une bulle.

Dans notre économie il en est de même. La distribution inégalitaire des tâches, de la naissance nous pousse à rechercher un ascenseur social. Cet ascenseur n'est rien d'autre que le désir d'assoir son existence dans la certitude. Mais pour chacun elle sera comme les ballons le résultat de la suggestion, avec les données que l'on a, jusqu'où l'on peut "gonfler" sa vie. Individuellement nous appelons cela les accidents de l'existence quand bien ballon explose. 

Quand il s'agit une organisation collectivite comme l'état, comme des classes sociales, comme des classes professionnelles, comme ceux qui disposent d'un pouvoir, que ce soit monétaire ou politique, l'accident s'emplifie.
Nous le nommons guerre, révolution, émeutes, insurrectionnel, gréve, jaquerie, manifestations. Tout va dépendre de la résistance des ballons, dictatures monarchies, oligarchies, ploutocraties, démocratie, autocratie.

Nous comprenons tous que les gouvernants quels qui soient sont dans la situation de suggestion jusqu'où ils peuvent maintenir les désirs d'ascenseur social qui anime tout individu et qui sont tout aussi suggestif sur où s'arrêter.
Prendre la mesure de nos existences est donc utile pour savoir qu'elle est la résistance du ballons, de la société.

Plus la résistance du ballon est faible plus les forces de police, de l'armée, de la loi augmente sa résistance.
Dans nos sociétés démocratiques ce sont les moyens mis à l'écoute des citoyens qui indiquent si le ballon s'affaiblit. Ce sont toutes les associations, confessionnelles, sydicales, professionnelles, politiques, qualitatives, les lanceurs d'alertes politiques, scientifiques, sociaux qui donnent l'état du ballon. Si donc le pouvoir, quel qu'il soit n'en prend pas la mesure, et attends ou considére qu'il peut aller plus loin, comme le joueur ou le bousicoteur, alors la bulle n'explose.
C'est ce à quoi nous assistons avec les gilets jaunes et à quoi le gouvernement reste sourd. Il cherche à renforcer le ballon par la force, la police, la justice et manifeste un mépris profond pour les gilets jaunes.
Alors que s'il avait écouté tous les lanceurs d'alertes qui le mettaient en garde contre les effets des précédents gonfleurs, il n'aurait pas donné l'impulsion qui l'a fait exploser le ballon.


 


 

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