Publié le 28 Juillet 2019

L'information est la conversation à distance. 
 
Elle vient remplacer le bouche à oreille, en se diffusant et se destinant à un large public.
Fini les copistes, fini les fresques dans les églises. Loi p
L'imprimerie à remplacer l'emploi de copiste. 
Un homme par une machine.
Les capitalistes nous dirons c'est une "destruction créatrice".

Rien n'est plus faux.
Si nous devions mettre derrière chaque écrit qui sont été diffusés, un copiste, il n'y aurait pas assez d'hommes sur la terre.
C'est donc l'information qui véhicule ce biais pour justifier un concept économique qui n'est que la recherche d'un bénéfice au moindre effort.
Ce qui c'est gagné c'est un gain de productivité.
L'on a produit plus avec moins de personnes en moins de temps.

Il y a là deux grilles de lecture pour un même événement. 
Prendre l'une ou l'autre est déterminant. 

C'est pourquoi une grille de lecture émotionnelle est venue en remplacer une intellectuelle, inversant des sentense, philosophiques. 

VII siecle avJC Cléodule de Lindos écrivait : "la mesure est ce qu'il y a de plus excellent". Bias de Priène ; " la plus part des hommes sont malhonnêtes". 
Thalès : "fais des promesses, la faute n'est pas loin".
Une plus large de Cicéron : "nous sommes venus d'une autre vie, d'une autre existence pour entrer dans une  grande foire, les Uns pour chercher la gloire (la puissance), les autres l'argent.
Seul un petit nombre dédaignant tout cela, s'appliquent à étudier la nature des choses. 
C'est là la partie la plus noble. 
L'étude et la connaissance sont préférables à tout le reste.
Il parlais des jeux, comme pratique intellectuellement invalidante.
Il suffit d'observer la place qu'ils ont pris aujourd'hui, et la pantomime électoraliste de nos presidents

Nous avons Régressé.

Parménide établi VI siecle av JC l'ontologie positive. l'être (l'humain), ce qui est pensé (l'orgine de nos émotions), s'oppose radicalement au non être que sont les réalités naturelles, objets de l'OPINION et non de l'INTELLECT (intelligibilité).
On ne peut plus court pour connaître la place de notre intellect dans le temps.

Revenons à aujourd'hui.

De fil en aiguille, l'évolution des découvertes sont venus s'implanter dans le domaine de la communiquation, jusqu'à la démocratisation des moyens individuels avec la Bouche posée sur le net pour arriver aux Oreilles des réseaux.
Nous ne faisons que commencer une ère nouvelle dont la destruction des emplois sera l'équivalent à celle de la disparition des copistes.
Donc en cela rien de bien neuf si ce n'est que nous nous Accrochons au Travail, au lieu d'assumer sa raréfaction.

Nous sommes entrés dans les Bavardages de Masse. L'Insignifiance Où l'essentielle à notre quotidien devient de L'Insignifiance sur la toile, sauf pour les annonceurs.

La liberté d'expression via le net consultable à tout instant. 
La mémoire de nos échanges, de nos papotages, de notre égo numérisé.

C'est le net qui va demander l'usage une nouvelle grille de lecture de l'existence.
Les dérapages qui s'y mesurent, qui en résultent, se règlent par les bonnes vielles méthodes qui ont démontré quelles étaient obsolètes au fond,
 l'interdit et la punition. 
 
Elles se substituer à une Incurie Éducative dont nous connaissons la Source. 
Quand l'homme n'a plus de Mots il en vient aux Mains.

Les Bavardages sont le propre de l'homme. 

Le réglementer prouve une faiblesse de la maîtrise mesurée de l'émotion. 
L'on fait taire par la force Individuelle ou publique.
C'est exact pour les individus comme pour les nations. Sauf que l'individu il va en prison et la nation se couvre de gloire.

Nous avons vu ses dernières années se réglementer de plus en plus la liberté d'expression.
Dès que quelqu'un ouvre la bouche une plainte lui tombe dessus, car il y a toujours une association qui se sent blessé par un propos.
Cet appel de plus en plus fréquent à la loi, à la justice, est significatif d'un glissement.
Il est connu sociologiquement comme l'abandon du contrôle interne au bénéfice du contrôle externe.
C'est pire quand par la satire l'on ne peut se moquer de tout. Que se développe une police de la bien séance, les anathèmes laïcs.

Contrôle INTERNE.

Or le contrôle interne, c'est celui de l'éducation, c'est celui qui parvient à appréhender le juste à propos de toutes choses. 
C'est celui qui peut se battre, donner cours à ses émotions colériques sans avoir besoins d'armes, que ce soit de Mots ou de Canons. 
C'est la démonstration d'un SUCCÈS éducatif.

Le contrôle EXTERNE.

Le contrôle externe est l'usage de la répression, les interdits, le recours à la police, la justice, l'armée pour réprimer la violence verbale injurieuse, haineuse, mortifère. L'augmentation de prisons ou de plaintes, n'est pas un signe de bonne santé sociale. 
Elle est la démonstration d'un ÉCHEC éducatif.

Un glissement.

Ces 30 dernières années ont été marquées par un glissement de l'un vers l'autre, du contrôle interne vers le contrôle externe. 
Ce que j'ai appelé en 1999 la judiciarisation et la policiarisation de la vie. 
Là, où tous les citoyens y trouvent plus de sécurité, encore aujourd'hui, c'est en fait un renoncement au contrôle interne pour une dictature sécuritaire externe, qui ne peut pas être là liberté.

Comment en sommes nous arrivé là.

Il y a eu plusieurs facteurs dont deux essentiels. 
1/La stratégie de l'émotion depuis 1990.

Un processus simple et efficace, encadrer la réflexion politique (l'INTELLECT)par des événements émotionnels qui ne font pas appel au contrôle interne. 
D'où le sentiment d'insécurité, le ressenti qui demeure totalement suggestif en fonction de l'empathie et la compassion des uns et des autres. 

La technique consiste à choisir parmi plus de 3 millions de crimes et délits, celui réel et sensible sur lequel s'appuyer.
Sachant que ce sera autour de lui que se cristalisera l'émotion Individuelle et la cupidité des Médias, pour faire passer une loi qui aurait été inacceptable.
Sarkozy fut celui qui en joua le plus.
C'est toujours en place aujourd'hui, ce fut largement utilisé dans la jacquerie des gilets jaunes.

L'objectif était imminenment politique (je ne développe pas). 

Les hommes politiques y ont joué et perdu tout leur CRÉDIT (bien fait pour leurs gueules). 
Le dernier en date à avoir succombé à ce avec quoi ils jouent et mistifient les citoyens depuis trente ans, c'est Rugy.

2/ La démultiplication des médias pour faire circuler une information de masse.
Ils ont permis une diffusion verticale et horizontale par une pluralité médiatique, de radios, télés, journaux diffusant les Mêmes Informations.
Ils ont véhiculé et construit une raison, une pensée unique. 
Cette pensée, elle se connait par les sondages d'opinions.
Une opinion publique sondageaire que diffusent ces mêmes réseaux.
Elle alimente les analyses individuelles des réseaux sociaux sur lesquels nous trouvons les opinions brutes.
Celles faites de rumeurs, de ragots, de complotistes, d'injures, de trolls, de prosélytisme.
Une démultiplication de l'effet loupe médiatique tombé dans "boue" de la rue pour éclabousser la toile.

Car que l'on ne s'y trompe pas la toile n'invente pas les fausses nouvelles, les ragots, les rumeurs, les haines.

Elles n'existaient DÉJÀ, se passaient de bouche à oreille, lentement dans l'intimité d'une discutions, au bureau, à l'atelier, avec le voisin. 
C'est à dire dans un environnement quotidien aux rebonds limités.
Nous connaissions donc la "boue" de la rue, faites de toutes les ignorances, de toutes malveillances. 
Aucune association, aucun parti pour nous entendre le salir, le vomir.
Aucun espion pour lire nos injures, nos mensonges.
L'on pouvaient tranquillement se présenter comme monsieur Propre, l'Honnête Citoyen Personnifier.

Soudain avec la Toile toutes nos déjections verbales toutes nos ignorances nous sautent à la figure et font écoles. 
Nous nous voyons comme nous sommes menteurs, tricheurs, escrocs, voyeurs.

Nous mesurons alors l'échec du contrôle INTERNE.

Affolé par tant de médiocrité le pouvoir nous balance son contrôle EXTERNE.
Des lois pour contrôler la liberté de tout homme de dire ce qu'il pense.
Les capitalistes ne sont pas en reste et revendent votre vie privé.

Même si l'homme ment, s'il est grossier, nazi, facho, irrévérencieux, menaçant etc c'est à celui qui s'en sent affecté de demander réparation. 

L'état doit veiller à lui en donner les moyens et non de designer ce qu'il est interdit de dire. l'État doit protéger l'intégrité de l'humain.

J'écris cela pour que nous touchions du doigt que tous les comportements dit asociaux s'élaborent dans un milieu sociologique de Naissance construit par l'histoire de leurs Ascendants.

Il devient plus facile de comprendre qu'avec la stratégie de l'Émotion nous avons fait sauter des Gardes Fous du contrôle interne, qui cachait muselait ce qui existait déjà.
Laissé la place au ressenti face à un psychologue ou autres et une chose.
En faire une analyse sociologique une autre chose.
En débattre entre soi naturel, mais en faire un ressentis collectif par sondage, appelé l'opinion publique, c'est débile. 

C'est une guillotine à laquelle nous nous sommes habitués, une pratique utilisé dans le développement commercial pour estimer un marché qui est passé dans le politique. 

Le marché de l'opinion.

Nous avons participé à son développement autour des thèmes sécuritaires qui ont remplacé le débat idéologique. Nous conduisant même à inscrire dans la constitution le principe de précaution autour d'une paranoïa collective.
Prendre la mesure de  l'opinion des citoyens ne peut pas se faire autour de questions fermées qui s'impose pour faire un choix 
Il ne peut pas y avoir une température collective ressentis.
C'est comme si nous demandions à des maçons de bâtir une maison en fonction de leur ressenti.

Que vient donc remplacer ce ressenti individuel qui est la seule réalité de chacun.

Il vient se substituer à  l'affaiblissement des espaces démocratiques où chacun pouvait débattre avec d'autres au sein d'une association syndicale, politique, d'intérêt général.
Chacun ajustant son ressenti pour en dégager une mesure collective une opinion par une synthèse.
Ce comprend des lors que moins de gens s'y rendent, moins l'opinion sera représentative si elle n'est pas portés par un intérêt de classe. Si elle n'émane pas de la réalité des stratifications socio économiques.

Le client roi.

L'intérêt de classe, remplacé par celui de client a conduit les salariés à creuser leur propre tombe.
Or ils ne possèdent pas la clé pour faire le lien, la relation, le comprendre.

Comment en réclamant des prix bas ils construisent les délocalisations, favorisent les importations des pays pratiquant le dumping social, supprime des emplois, et favorisent la robotique. 
Il leurs a été expliqués qu'ils devaient mettre les producteurs en compétitions, ignorant en fait que c'était leur propre salaire et bien être qu'ils mettent en compétition.

Nous avons dans ce domaine comme dans d'autres choisi d'étouffer la réflexion pour l'envie, le besoin irraisonné de posséder gratuitement.

Nous en avons vu le net être submergé de pub comme la télé, un paiement indirect qui repose sur l'exploitation des émotions.

La stratégie de l'émotion à  envahi l'espace politique et économique, là où l'intellectuel est nécessité.
La voiture c'est personnifiée on l'appelle Clio ou Axara. Et les salariés portent le nom de leur entreprise, comme hier des seigneries. 
La stratégie de l'émotion à plus encore laissé libre cours à nos souffrances en les apaisants sur le dos de tiers.
Si l'évacuer est une bonne chose, sur le  mauvais tiers construit des boucs émissaires.
Être fascisant ne fait plus peur, on appelle cela se décomplexer.

Alors chacun s'épanchent sur la toile agitant son bouc affublé de quolibets. Chacun se plaignant d'y trouver autant de médiocrité, comme si c'était l'outil qui en était la cause.

En fait il en est le révélateur, ce n'est pas lui qui  inventé le ragot, l'insulte, la rumeurs, la niaiserie, l'égoïsme, la bêtise insondable où nous sommes sollicités de téléphoner pour répondre à une question pour gagner une somme par tirage au sort.

Puissions nous comprendre que ce processus est l'élixir, le summum, le point culminant de l'exploitation émotionnelle de ce que nous avons de plus con en nous l'absence de reflexion.

Le jour où ces jeux, l'offre de gratuité disparaitront nous pourrons considérer avoir grandi.
Il a suffit de trente ans d'encadrement de la réflexion pour qu'elle génère le pire, un retour vers la dictature tout azimut au nom de la liberte.

Le plus scandaleux de ces résultats se situe dans le domaine de la justice.
Nous avons assisté à un revirement complet de la notion de deux principes essentiels en matière de justice, la présomption d'innocence et le bénéfice du doute.
Les citoyens ne passent plus par des grilles de lectures structurées. 
Ils laissent libre cours à leurs émotions dirigées par des affaires scabreuses, et ils réclament toujours vengeance quoi qu'il advienne.

Si sur le fond le comportement est on ne peut plus humain. 
La vengeance réclame toujours une punition supérieure aux faits subis.

La place de plus en plus grande du désir d'aller voir dans la culotte des autres si elle est propre ne peut pas faire bon ménage avec le respect de la vie privé.

Être un homme public n'emporte pas de fouiller dans sa poubelle.
L'on ne peut prendre que l'information que l'autre veux délivrer. Ceux qui s'épanchent sur le net y consentent tacitement, sauf les images ou l'abus de diffusion et d'utilisation.
Or les moyens technologiques permettent de s'infiltrer discrètement et des journalistes se substituer aux inquisiteurs. 
Nous finissons par accepter ces intrusions, ces indiscrétions qui transgressent la loi en toute impunité.
Celle qui dit que l'on ne peut photographier autrui sans son autorisation.

L'on en arrivé à transgresser le principe républicain d'égalité en obligeant les élus de divulguer leur patrimoine., Comme si nous, nous divulguions le nôtre.
Circuler libre n'est pas circuler sous le contrôle d'une caméra, puisque qu'a tout moment notre vie privé peut être suivit.
Depuis quand lorsque nous sortons de chez nous notre vie qui se déroule dans un espace publique ne serait plus notre vie privé.

Ce long commentaire pour illustrer tous les glissement qui ce sont opérés sous l'impulsion de la stratégie de l'Émotion.

Les juifs il y a 5780 ans décretaient la loi du talion. L'objectif était de mettre un terme à la justice Émotionnelle qui s'exerçait toujours au détriment de l'agresseur.

La sentence était toujours disproportionnée par rapport aux faits. 
Un comportement un peu plus humain commandé par l'Émotion, qui conduit non à un besoin de réparation, mais à la Vengeance.
Par la loi du talion les juifs imposaient à la victime de ne pas exiger plus qui ne lui a été fait.
3761  plus tard Jésus Christ reformait la loi du talion par la parabole de la femme adultère. 
Que celui qui n'a pas fauté lui jette la première pierre.

Cette parabole est un peu plus d'actualité. 

Nous avons abandonné l'INTELLECT pour l'émotion, il est donc naturel que notre sens de la justice devienne vengeance, expression des rancoeurs,  et que la malveillance, la suspicion prédomine.
Non parce qu'elle n'existait pas, mais parce qu'elle a servi de support politique répandu par la toile et conduite l'Inquisition permanent que nous appelons la transparence.

Alors que celui qui est transparent jette la première pierre.


Un monde Chrétien qui pratique la loi du talion a encore de la route à faire avant de comprendre que l'existence fonctionne sur le mode ÉCHEC.
 Corriger les erreurs de celui qui en est l'acteur, n'est pas le rendre responsable, là ou nous le sommes tous au travers du mimétisme, pour lui avoir fabriqué les routes de ses choix.

Alors comme dans la parabole, va et ne recommence pas.
C'est le pardon, mais là encore notre grille de lecture c'est inversée. Nous demandons que ce soit l'agresseur qui le demande alors que Jésus Christ demande que ce soit la victime, qui trouve la force du pardon,  pour ne pas laisser libre cours à la vengeance.

Nous ne sommes pas encore prêt de changer de grille de lecture.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 22 Juillet 2019

Le Revenu Universel est un mort né.
L'idée et généreuse, mais pas adapté à la réalité des besoins du monde qui va se développer et dont les plus démunis, les non Travailleurs subissent les effets.
Ceux qui œuvrent au quotidien pour assurer toute l'activité social humaine pour laquelle ils ne reçoivent pas de revenus. Pour ceux et celles qui dépendent économiquement de leurs familles ou de la redistribution, qui retourne au capital par la consommation.

Dire cela n'est pas insulter, les capitalistes.
Mais leur dénier le droit de déterminé l'avenir des Peuples au nom de leurs seuls intérêts.

Pour comprendre l'intérêt du RUMI il faut poser quelques préalables, un cadre.p 0

Le capitalisme en lui même est mortifère.

Soit il transforme l'homme en outil de travail.
Soit s'il est contraint de redistribuer, il remplace l'homme par des machines et les laisse à la misère.
Chacun convient d'un processus existentiel de compétition, pour vivre et pour se multiplier.
 Il n'y a pas dans la nature une espèce qui soumet ses semblables au travail pour se faire nourrir.

Cela repose sur deux principes.

1/ Que la RARETÉ demande un effort. 2/ Que biologiquement la recherche du moindre effort soit une composante innée. Ce que économiquement nous appelons le meilleur rapport qualité prix.

Un tel schéma ne se rencontre que dans les situations de RARETÉ de la nourriture. 
Situation dans laquelle nous vivons, depuis le néolithique où ce que l'histoire biblique nous rapporte, par la sorti du jardin de l'Éden.

Nous devons travailler pour nous nourrir et nous nous entre tuons pour cela.
 C'est là aussi l'enseignement biblique d'Abel et Caen.

Si je fais ce rapprochement avec l'histoire biblique, c'est qu'elle n'est pas un livre qui rapporte de l'imaginaire populaire ni celle d'un dieu bavard.
Mais l'histoire écrite d'hommes qui avaient compris ce que nous nous n'avons pas toujours réussi à comprendre pour la grande majorité. Même parmis les croyants qui perpétuent des supertissions.
Là où il y avait à traduire des représentations métaphoriques ou symboliques au milieu d'événements réels rapportés

Et fier de notre ignorance nous croyons que nos ancêtres raconter des histoires, même s'ils les ont distordu.

Je fais cet aparté biblique, car le fait qu'il est existe l'Éden,e exemple d'une situation d'abondance, inclus sa possible RÉALISATION, et non un mythe.

Et la le RU à sa place, mais à une condition que je développerai. 

Rien ne vient de Rien.
Il y a comme cela des milliers de choses à Savoir qui sont répertoriés dans des spécialités scientifiques dans des spécialisations professionnels.
Par exemple la psychiatrie, la psychologie ou les neurosciences qui nous apprennent comment fonctionne un cerveau avec lequel nous devons passer notre existence, et comprendre pour quoi certains en exploitent d'autres.


Nous ignorons son fonctionnement à ce jour, alors que c'est lui qui DÉTERMINE comment nous allons accéder aux désirs que nous formulons et que nous satisfaisons aujourd'hui avec une organisation Capitaliste CRIMINOGÈNE.

Personne n'ose le présenter sous cet aspect. 

Ça le descend un peu de son pied d'estal, bien qu'il soit connu qu'il conduit à des cycles conflictuels.
Il est la source de tous les crimes est délits qu'il suscite en valorisant la rareté, comme objectif de désirs pour se distinguer en tant que dominant envié. 
Cela conduit à ce que nous nommons, les canailles, les mafieux, les voyous, les bandits que la morale n'arrive pas à faire rentrer dans les rangs.
Que malgré des siècles de sévices, de tortures, de bûcher, d'emprisonnement seule les punitions ont changer sans plus de succès.

Pourtant, au lieu de nous interroger nous persévérons, en demandant plus de prisons, plus de juges, plus de police, plus de surveillance, plus de contrôle, plus de délation. 
Nous constatons la permanence de la corruption, le détournement d'impôts etc. 

La raison invoquée est toujours parce que des citoyens ne sont pas honnêtes. 
Jamais n'est accablé l'organisation capitaliste qui les met en situation d'indélicatesse ou de cupidité.

La différence entre les deux c'est que ce n'est pas les soumis qui ont fait les lois, parce qu'ils en sont incapables, sinon ils ne seraient pas soumis.
La Boétie l'a explicité dans son Discours sur la servitude volontaire.

C'est de cela dont nous devons sortir.

Pas NOUS les hommes contemporains, car nous en sommes bien incapables.

Même LFI ne nous sortira pas de cela.
Notre soumission est comme une seconde nature.
Nous avons été si longtemps soumis (10 000 ans) que si l'on nous en libérer du jour au lendemain nous retournerions nous VENDRE.

Je dis n'importe quoi pas si sur. 

En Union Soviétique, qu'on fait les serfs du Tsar une fois libéré.
Ce soumettre à une autre dictature. 
Est ce une nouveauté ? absolument pas !

J'en reviens à la bible. 

Dans la genèse Dieu donne la liberté au peuple hébreu soumis à d'esclavage dans l'Égypte.
Il leur donne la liberté de choisir leur destiné, c'est à dire il leur donne la démocratie. 
Qu'en font ils RIEN, il suivent un guide Salvateur. 
Et ne sachant que faire de la liberté et de la démocratie ils de choisissent ROI.
Si jamais vous y voyez une ressemblance avec notre situation contemporaines, ce doit être une illusion.

Nous passons notre temps à rechercher ce roi pour pouvoir consommer tranquillement sans responsabilités. 
Ne me dites pas NON, prendre ses responsabilités n'est pas voter une fois tous les 5 ans.
C'est remplir de notre présence les partis, les syndicats, et autres associations ou notre destinée se discute, se débat.

Ne croyons pas que les hommes qui s'en écartent n'en aient pas les moyens.

Nou serions peu être surpris d'y trouver parmis eux des hommes bien plus intelligents que les élites qui nous gouvernent.
La plupart d'entre elles n'ont eu que la chance d'être bien né. 
Sauf que la sélection des taches ne donne pas une égalité de chance si l'on ne né pas dans la bonne "caste". Désolé, nous, nous appelons cela l'endogamie, mais c'est la même chose un peu plus perméable, grâce à l'instruction.
 
 Bien, bien mais le RU dans tout cela.
 
Et bien celui de Benoît Hamon ne changera rien au tableau que je viens de dresser succinctement.
Le capitalisme est une organisation culturelle. 
Si la compétition est innée , elle ne conduit pas obligatoirement au capitalisme.
 
Nous nous le transmettons d'une génération à l'autre par l'éducation et l'instruction. 

Si bien, que si nous changeons tout, par une révolution.
Sans changer les esprits et l'éducation. Les hommes reconstruiraient
sous d'autres formes la servitude dans laquelle ils ont été ÉDUQUÉS et INSTRUITS.
 
Ainsi ce qui devait être leur LIBÉRATION devient une dictature, car ils ne savent rien faire d'autre que de se soumettre.

J'en viens donc au RU. 

Je ne vais pas discuter de son montant ni de la manière de le récupérer pour gérer l'inflation, bien que.

Mais avant toute chose de la même manière que j'ai fait toucher que le capitalisme n'était pas irréductible, le capital repose sur une organisation de la production qui le consolide.
Il n'est qu'un paradigme du moindre effort. 
Obtenir ce que l'on désire, l'aisance, l'abondance sans avoir à le produire.

Je l'ai souvent expliqué une clé de compréhension.

L'employeur verse un salaire à un salarié pour faire un travail.
 Revend son propre travail au salarié, plus cher que ce qu'il a reçu pour le faire.
 si bien que le salarié doit s'endette auprès de son employeur pour acheter son travail, et en plus verser d'intérêts
 
L'employeur récupérer ainsi le salaire, plus sa marge et les intérêts de celle-ci.
S'il a versé 100 et 100 de marge , le salarier achètera son travail 200 plus les intérêts de la marge empruntée.
Dans l'exemple le capital aura plus que doublé en revendant le travail à celui qui l'a fait.

Le RU va donc se développer dans ce cadre structurant

Le revenu universel distribuer pour une activité sociale ira nourri la consommation et se portera sur les productions les moins chères, généralement produite à l'étranger.

Nous aurons donc le même phénomène que la relance de 82.
Si l'on finance par l'impôt le RU, ce seront seulement les salariés  qui le paierons comme le montre mon modèle. 
Là où le bas me blessé c'est que tout cela se fait sans contre partie utile à la société pour la sortir du marasme dans laquelle elle se trouve, ni pour la préparé à l'avenir.

Il ne s'agit pas pour moi de dénier la redistribution de la richesse à laquelle tout homme sur le territoire participe du seul fait d'exister, indépendamment des activités qu'il remplie.

Mais de me situer dans le futur au regard des évolutions envisageables et des moyens pour s'y préparer.

Tous les analystes qui se penchent sur la ligne qui se dégage de ce qui se met en place aujourd'hui, témoignent du développement en cours de l'économie de la CONNAISSANCE..

C'est à dire que les savoirs techniques et les savoirs humains vont être nécessaire pour vivre dans une société où le travail humain se rarefiera.
Où toute activité confié à l'intelligence artificielle va fragiliser la société, si elle ne devient ou reste comprise que d'initiés ou de spécialistes.
Où que les nouvelles l'aptitudes, ou techniques à multiplier ses capacités cognitives ne deviennent que la propriété de quelques uns( lire hydriss Aberkan sur le sujet ou le trouver sur le net).

Déjà des groupes comme Google sont dans le coup, alors que nous en parfait abruti médiatique nous ne pensons qu'à imposer une taxe au Gafa, dont j'espère que grâce au modèle nous comprenons que ce seront les salariés clients qui la paieront.

À aujourd'hui aucun état ne c'est lancé dans cette course, laissant le choix au capitaliste de s'y inscrire.
N'ayons aucune illusion ils s'y préparer déjà.
Les seuls qui resteront en route  deviendront de la graine d'esclaves béats.
Ce seront toujours les salariés ceux des classes moyennes et pauvres, tandis que celle supérieure viendra les encadrer comme c'est le cas depuis la mise en place de la scolarite et l'enseignement de 1882.

L'enseignement.

Celui ci n'est plus adapté à l'explosion des connaissances disponibles. 
Si bien que nous renonçons à les démocratiser et les rendre disponibles aux citoyens qui sont sortis de la scolarite.

Le développement des savoirs ont pris de cours tous les pays, sauf les entreprises de pointes.
Celles qui n'ont aucun intérêt à démocratiser les connaissances qui demain leurs permettront de dominer les états. s'entend leurs populations.

C'est contant de notre crasse intellectuelle que nous surfons sur les teewts de la haine, de la délation, de l'injure, de la suspicion, de la grande lessive anti corruption, tandis que s'installe la dictature des Savoirs.
Dans l'hombre de notre imbécilité et notre suffisance.

Alors oui le RU peut être une chance.

Comment? 
En instituant un revenu d'enseignement.
En créant tout au long de l'existence un enseignement pour adultes dans la continuité de celui en place insuffisant.

Chaque ville dispose d'un stade, d'une salle des fêtes, d'école qui les empêcheraient de disposer d'un  ou de centres d'enseignement pour adultes.

Les pays qui feront cela se donneront les moyens de sortir de la servitude où va les maintenir,  voire enfoncer un peu plus les groupes qui en disposeront.

NOUS en doutons.

Alors examinons 30 ans de restructuration de l'information axé sur un lavage de cerveau par la stratégie de l'émotion. 
Une confusion sans précédant du rôles des partis, des syndicats un l'amalgame de tout chose pourvu que le dénigrement l'emporte.
Au bout une démocratie en danger à la recherche d'un ROI.
30 ans de capitalisme absolues ont réduite à néant 142 ans de socialisme qui avait apporté la prospérité en s'opposant au capitalisme.

Demain le seul opposant sera ce qui sortira du cerveau des citoyens.
Mais à une condition qu'on les remplissent de connaissance.
Si l'on n'y met Rien il n'en sortira Rien.

Car NOUS le mesurons aujourd'hui.

Du cerveau lobotomisé par les médias et abusés par les éléments de langage des hommes politiques n'en ressort que de la défiance, et les moyens d'un suicide politique, en rejetant les élites.

Créer un enseignement pour adultes relancerait le bâtiment et s'ajouterait à celle de l'écologie.
Mais à une condition que l'on ne garde pas le modèle de formation du capital car tout travail fait dans l'un ou dans l'autre irai grossir le capital.

Pour terminer sur le sujet.

Le pays qui mettra en place un enseignement rémunère pour adultes prendra une longueur d'avance face à la compétition de deux blocs capitalistes qui se développent.
Enfin remplir le cerveau des citoyens de Savoirs, c'est être assuré que chacun mettra son acquis au service de son intérêt ou de la société.
Et plus il y aura de têtes bien remplies plus nous auront de chances que surgisse des innovations dans tous les domaines, et forcément demain. 

Cela s'appelle un investissement dans l'Humain et non dans de la graine d'esclaves.
Aujourd'hui il n'est plus possible de laisser s'accroître l'abîme intellectuel entre les découvreurs et leurs collaborateurs.

 


 
 

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Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

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Publié le 19 Juillet 2019

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Faut-il que les salariés soient anesthésiés.
Une véritable calamité. De vie de militant je n'ai connu aussi pensée perdu par un lavage cérébral de 30 ans.

Quand en 90 j'expliquais qu'il fallait se doter d'une télé, Blondel aurait du écouter.
Ce sont les médias qui font l'opinion des citoyens, même si seulement 23 % leurs font confiances.
La stratégie de l'émotion qui c'est élaboré à partir de 1990 à profondément déstructuré l'information politique pour la ramener à une affaire de corruption de tous ceux qui oeuvraient dans l'intérêt de la classe salariale. 
Résultat seulement 27% des salariés font confiances aux syndicats, sont prêts à faire grève et 42 % à manifester.
Il faut imaginer que cette tendance est aussi connu du gouvernement et du patronat. ils savent qu'ils peuvent faire passer ce qu'ils veulent comme loi une fois la parade de la consultation des partenaires terminer.
Nous sommes dans un pays où seul le conflits ou la peur du conflit rend les consultations et négociations efficaces. Les manifs brésiliennes ont jamais rien données

53 %des citoyens pensent qu'ils n'ont pas besoin des syndicats.
Alors quand l'on pense cela, l'on va voir son patron ou son employeur en lui disant que l'on renonce aux avantages de la convention collective,  parce que ce sont les syndicats qui les ont obtenu de longues luttes.

Je crois qu'à un moment il faut être intellectuellement Honnête avec soi même. Surtout quand l'on pense à 62 % que c'est ce qu'il faut attendre des hommes politiques. Alors on se l'applique.

La retraite c'est développé après la révolution de 1848 pour diverse profession, l'armé, les agents publics de l'État, pour fidéliser. 
Se développe également divers régimes de mutualisations. 
Elle concernera les ouvriers en commençant par les mineurs, et à partir de 1910 s'étendra.
Son principe est de ne pas obliger l es ouvriers de travailler toute leur vie et de pouvoir cesser le travail avec une pension.
La loi ne concerne pas le patronat, elle vise seulement les ouvriers qu'il emploie.
Un patron, un employeur, une profession libérale peuvent travailler jusqu'au seuil de leur mort s'ils le veulent. Aucune loi ne les obligent à prendre une retraite. Les auto entrepreneurs c'est pareil. Nous comprenons pourquoi il y a un forcing de l'État vers ce type d'emploi.
En 1910 les employeurs considéraient que donner la retraite à 65 ans était une charge et incitaient les ouvriers à la paresse. La CGT d'alors soutenait que la loi donner la retraite à des morts. 

En 1912 la possibilité de la prendre anticipé à 60 fut accordé...
En 1875 ce sont Paul Émile L'aviron et Édouard Vaillant tout deux Socialistes qui oeuvrérent pour développer un régime de retraite pour les salariés. La CGT créé en 1884 prendra le relais.
En 1930 le financement posera des difficultés suite à la récession, et l'allongement de l'espérance de vie.

Nous comprenons que ce qui se passe avec les retraites n'est pas une nouveauté. 
Et je ne vois pas ceux qui veulent se passer des syndicats à 53% manifester dans les rues à 42% changer le cours des choses

Il y a 24 millions de salariés nous devrions donc avoir  10 080 000 dans les rues. Où sont ils ?
 A moins qu'ils soient d'accord. 
 Mais alors je ne comprends pas pourquoi ils sont 74 % à dire que le gouvernement est déconnecté de la réalité, 69% qu'il sert les puissants, 69% qu'il faut prendre au riche pour donner au pauvre, 52 % que c'est au peuple de prendre les décisions importantes.

Là au moins avec la réforme sur les retraites ils sont au pieds du mur.
La décision est importante.

Et que croyons nous qu'il va se passe, ils vont se dégonfler, car s'ils étaient courageux,  cela se serait déjà avec les gilets jaunes. 
Qui même s'ils sont à côté de la plaque ont le mérite de tenir.

Comment sont financés les retraites par les prélèvements sur les salaires par salariale et salaire indirect de l'employeur, j'écris bien salaire indirect et non pas part patronale qui est une fumisterie pour naïf.

LA CLÉ pour comprendre.

Un employeur verse 100 à son salarié.
Celui ci verse 10 à la caisse de retraite.
L'employeur verse 20 sur sa trésorerie.
Dans son compte de classe 6 des charges, il inscrit charges salariales
100 + prélèvements obligatoires 20.

Comment il va récupérer ces charges?
En les faisant entrer dans le prix de vente du travail du salarié qu'il va vendre. 
Le prix de vente sera égal à 100+20+ 100 de marge = 220.
Qui est le client ? 
Le Client est celui qui a reçu 100 du "capital" et seulement celui là.
 Tous les autres salariés qui recevront leurs revenus des prélèvements sont des Clients Indirects, agents de l'État, des collectivités locales, de la Secu, des mutuelles, des assurances obligatoires. 
 Au total cela fait environs 5 millions de salariés qui vivent des prélèvement et taxes.
 Il y a en France 24,5 millions de salariés.
 Ce sont donc seulement 19,5 qui sont mdes clients directs.
Les employeurs sont aussi des clients indirects. Ils reçoivent leurs revenus du travail de leurs salariés. 
On regarde cela.
 Pour acheter son travail il faut au salarié client disposer de 220. 
 Or il n'a  que 100 de salaire -  dix de prélèvement retraite reste 90. 
 Il ne peut pas acheter le produit de sont travail que l'employeur vend 2820.
 Soit il s'en contente, ce que nous faisons depuis 1804, et ne bénéficiera que d'une fraction de son travail.
 Soit il emprunte les 130 qui lui manquent.
 À qui ?
 À celui qui détient le capital, qu'il soit en bourse ou en dépôt dans une banque, c'est l'employeur.
Il rendra cet emprunt avec un intérêt de 13.
Ainsi pour pourvoir acheter son travail il aura dépensé 90 + 130 + 13 = 233.
Dans ces 233 il y a les 20 de prélèvement retraite opéré chez l'employeur.
Les 19,5 millions de salariés aurons financé, leur retraite, les revenus de l'employeur et ceux des clients indirects.

Il vient un temps où il faut comprendre ces choses là. Elle ne seront démentis par aucun économiste.

1/ il appartient aux salariés seul de gérer ce qu'ils financent, Secu mutuelle assurance.
Encore heureux qu'ils ne demande pas de gérer le capital qu'ils produisent.
2/ il faut que les syndicats sorte de la "charité".
Il est noble est humain de vouloir défendre les intérêts matériels et moraux des salariés. 
Mais encore ne faut-il pas comme remerciement de se faire cracher sur la gueule.

Les salariés pour défendre leurs intérêts ont eu le choix entre le syndicalisme et les partis politiques.
Ils ont déserté les syndicats pour se rapprocher des partis PS et PCF et plus.
C'était leurs droits. 
Sauf qu'ils ont élu des partis qui leurs permettaient d'oeuvrer à leur avenir,  et à l'exception de la cinquième semaine de congé, ils leurs tout repris.

La  retraite est le dernier bastion.

Il serait temps que les syndicalistes se révoltent et qu'ils reclament que l'adhésion à un syndicat de leur choix et obligatoire, où seul les syndiqués reçoivraient le bénéfice de ce qu'ils revendiquent avec une protection en supplément en cas de licenciement.

Je ne vais pas reprocher aux patrons et aux partis de droite "d'enfader "les salariés, ils n'oeuvrent pas pour eux, mais pour leur compte.

Tous les programmes politiques devaient changer l'avenir. Ce fut fait le dernier acte se joue avec les retraites
Touts  promettaient des mesures pour redresser le pays et faire une France forte. 
Ils ne sont pas cons au point de dire que c'est pour les capitalistes.
Bien que Fillon s'y est risqué.
Merci
Ceux qui portent la responsabilité de cela, ce sont le PS et des syndicats qui se sont confondus avec les partis.
La CGT avec le PCF, la CFDT avec le PS, tandis que les autres n'ont pas été à la hauteur et sont passés sous l'éteignoir.

Maintenant ils n'ont face à eux qu'une seule alternative. Offrir un front collectif et clair pour redonner du baume au coeur.
Mais ce n'est pas gagné sur ce sujet car les jeunes estime à 58 % avoir moins de chances de réussite.

Ce sont les salariés qui paient.
C'est eux de décider de leurs avenirs.
Il faut pour cela qu'ils récupèrent une part de la richesse qu'ils gagnent.

90  % des citoyens veulent réformer le capitalisme.
Mais ils n'ont aucune idée de comment se forme le capital.
69 % pensent qu'il faut prendre au riche pour donner au pauvre, c'est le moment à condition de ne pas se tromper de riche.
65 % considèrent que le gouvernement doit améliorer les salaires. 
Avec le projets sur la réforme des retraites ils l'ont. 
À condition qu'ils travaillent plus long temps en prenant la retraite à 64 ans. 

En conséquence de tout cela, non content de ce faire tondre, et ne pas aller vers les syndicats pour être plus fort, ils éliront encore Macron en 2020.

 car à ce jour aucun indiquateur ne permet d'envisager le contraire, en déplaise au RN.

Sur le long terme le gouvernement ne tire aucune perspective si ce n'est de réduit le déficit, de passer au privé le bien public et de taxer l'écologie.

Or toutes projections sur le futur montrent qu'en l'état de l'investissement par le capital privé, il n'y aura pratiquement plus de création d'emplois.
Le numérique et la robotique vont s'y substituer et c'est une bonne chose que épargner la peine des hommes quand on le peut.

Mais cela pose le problème des revenus, qui ne pourront reposer sur une classe productive qui se restreindra. 
Déjà Bergeron avait posé le problème de la taxation machine pour résoudre en partie le financement social qui repose sur le travail. 
En 70 je ne savais pas, que quoi que l'on prélevé à l'entreprise elle le revend au client.
 Elle le réinjecte dans le prix de vente et c'est le client Salarié qui finance tout.
Le développement technologique est souhaitable, mais il fragilise d'autant toutes les sociétés. 
Il exige un nombre accrue de possesseurs des compétences à adéquates et non seulement seulement ce qui rentre dans les comptes de charges.
Nous en avons l'exemple avec la médecine et le "numéro closus" aujourd'hui se faire soigner pose problème, ne serai-ce que pour passer un scanner, et à avoir des soins dans certaines spécialités, pour n'avoir voulu comme critères que des budgets serrés. 
L'espérance de vie s'allonge, le travail se "dépeinibilise",  il se raréfiera si l'on reste en l'état. 
Parce que la compétitivité de ceux qui jouent avec le dumping social va continuer.

Les intenses syndicales internationales c'est du flan, elle n'ont aucun pouvoir de mobilisation,peut être une espérance avec le net.
Les pays comme la Chine vont continuer le dumping pour s'imposer sur le marché mondial et établir le Yen comme référence monétaire internationale.
 À aujourd'hui nous n'avons que le choix du maître qui nous proposera les mêmes solutions, puisqu'ils utilise la même clé pour la formation du capital. Celle que je vous ai décrite et que personne ne me contestera.
 
La circulation monétaire et la valeur de la monnaie cache ce processus. 
Lorsque l'argent devient trop cher il n'est plus accessible si l'on n'en créé pas. 
Ce fut comme l'or, si nous l'avions gardé en référence plus personne ne pourrait s'en acheter 1g.
Mais la monnaie, c'est du vent, elle a aucune valeur que celle de notre imaginaire.
La seule valeur intrinsèque est celle de l'homme et elle se mesure énergie dans une durée pour exécuter un travail.
Il a fallu de 2700 ans AVJC à 1804 pour passer de l'asservissement au Salariat, avec une estimation à la louche il faudra 2000 ans de plus à l'homme pour comprendre ce qu'est la valeur réelle et mesurable du travail.

Si un parti décide contre rémunération d'obliger les adultes à s'instruire, ça peut aller un peu plus vite.
Aujourd'hui nous pourrions distribuer le salaire mensuel tous les 15 js.
Même, soyons fou avant de l'avoir gagné, le 1e de chaque mois.
À y être autant que je me lâche, le premier janvier toucher le salaire de l'année.
 Là si vous ne me prenez pas pour un illuminé, c'est que je n'y connais plus rien dans les hommes.
 Et bien ça ne changerait rien à notre situation, si non ne résout pas la problématique que pose la clé.
 Cela ne ferait que créer un décalage de consommation. 
 Et pour changer cette clé 2000 ans ne seront pas de trop.
 
 Qu'y pouvons nous ?
 Theodore Monod l'a dit et je le réitère l'homme à un cerveau lent et débile. Mais il faut faire comme moi quand on le sait l'on ne s'en veut pas l'on espère.
 
Mais, ce serait mieux d'adhérer à un syndicat.
Sinon comment aller vous faire pour dire ce que vous voulez.
Recommencer les Gilets jaunes. Trouvaient moi une convention ou un accord qui soit sortie d'une Jacquerie.
Je pense qu'avec la clé, chacun a compris que les augmentations qu'à concède le gouvernement ce sont les salariés qui les paieront.

J'ai pris l'exemple des retraites, mais cela vaut pour tous les prélèvements obligatoires.

 
 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 18 Juillet 2019

Ce n'est pas l'identité, la langue, les usages, les religions, les philosophies, les idéaux qui font la solidité d'une nation, c'est la confiance réciproque des citoyens les uns dans les autres qui fera accepter tous les particularismes d'où la tolérance de l'expression et l'entraide économique nécessaire qui débouche sur la solidarité intergénérationelle.

D'accord, d'accord je parle d'un monde qui existe pas, mais qui est possible puisque je le pense.
Et si je le pense, c'est que toutes les informations que je reçois de l'environnement me conduisent à le formuler, car je suis bien incapable, de par ma nature humaine, d'inventer quoi que ce soit qui ne puisse pas exister.

Je fonctionne comme cela, vous fonctionner comme cela, nous fonctionnons comme cela. L'Humain et toutes les espèces sur cette planète animales, végétales, même le minéral fonctionnent comme cela.  
Nous analysons les informations que nous captons pour vivre.
Qui donc veut prendre le parie du contraire ? Juste pour s'amuser.

Alors l'on peut rétablir les conditions de confiance entre les citoyens d'un même pays, Nation, patrie, territoires délimités par un passé géohistorique vécu par d'autres, qui n'existent plus, et dont il ne reste que Nos Frontières et Nos Souvenirs.
Les conditions de leur développement ont disparu.
Aussi reprocher aux générations présentes le passé de leurs ascendants est une absurdité absolue qui cache un intérêt névrotique. 
Vouloir faire revivre ce dont les informations qui l'ont constitué n'existent plus est tout aussi dément.

C'est comme si un adulte voulait retourner dans l'utérus de sa mère.

Ce n'est pas pour autant que ce qui demeure n'a pas d'utilité. Sinon cela aurait disparu.

Il y a donc un problème chez tous ceux qui veulent reconstituer un passé qui ne peut pas l'être. Ils se bercent d'illusions, car Ils ne construisent qu'un présent avec d'autre éléments. 
Et même ceux qui nous viennent du passé ont subi l'usure du temps, même si nous nous ne le voyons pas.
Il n'y a jamais d'effets rétroactifs

Cela est aussi juste pour ceux qui disent de mon temps. Leur temps n'est plus et le présent les tirent.
Vivre et apprendre ce n'est pas pareil.

C'est pourquoi nourrir des émotions par rapport aux souvenirs que l'on a vécu et ceux appris d'un temps que l'on n'a pas connu n'est pas la même chose.
L'empathie et la compassion qui peut en découler n'est le fruit que de notre vécu et ne peut être celui d'événements passés que l'on ne peut plus reconduire. 
Toute reconstruction sera fausse. 
C'est seulement notre intellectuel qui sait faire cette diference.
.
Alors nos frontières c'est quoi, un creuset dans lequel l'on peut se développer, comme une famille se développe chez elle. 
Et comme elle, on n'y vit pas reclus. L'on sort pour rencontrer ses voisins, se faire des amis, voir des étranger.
C'est un creuset où l'on se sent bien.
Un lieu pour s'épanouir, pour grandir et s'agrandir en accueillant des Gendres et des Brus. 
Ils ne seront rien de moins ou de plus que nos voisins, nos amis, ceux qui circulent et les étranger qui passent.

Alors ou en est la société française.

Dans l'économie : 60℅ pensent qu'elle c'est dégradé. La politique du gouvernements inspiré de l'inquiétude à 75%, de la colère à 64%.
74% considèrent jj que l'état ne gère que dans l'intérêt de quelques uns.
70% ne font pas confiance dans l'état pour résoudre les problèmes, et 63% pour prendre les bonnes décisions.
85% estiment que état ne tient pas compte de leurs avis.
73% pensent que le gouvernement devrait changer de politique en fonction de leur avis.
73% pensent que la droite et la gauche ne veulent plus rien dire.
74%pensent que les hommes politiques sont déconnectés de la réalité.
90% veulent réformer le capitalisme.
69% pèsent qu'il faut prendre au riche pour donner au pauvre.
72 %pensent que le personnel politique est corrompu.
62% attendent des hommes politiques qu'ils soient honnêtes.

72% sont fier d'être français.
Leur vision des institutions
53% sont intéressés par la politique.
70% pensent que la démocratie va mal.
L'homme politique le plus en vue est le maire avec 58%.
De février 2015 à décembre 2018 les institutions dans leurs ensembles sont passées de 68% à 54%une perte de 14% . 
Union Européen de 44% à 28% sur la même période.
84% demande que les partis proposent des alternatives claires.
68% pensent que les partis servent les puissants.
52% pensent que c'est au 
peuple de prendre les décisions importantes.
53% pensent Que les citoyens non plus besoins de partis et de syndicats pour exprimer leurs demandes.

Les citoyens entre eux.

La confiance dans les gens était de 70% en 2009 et est de 60% en 2018.
68% pensent qu'avec les gens l'on n'est jamais assez prudent.
93% font confiance dans la famille.
92% à ceux qu'ils connaissent
71% à ses voisins.
62% aux autres nationalités.
59%  à une autre religion que la leur.
41% aux gens que l'on rencontre pour la première fois.
59% n'ont pas confiance dans l'avenir.
5% que les jeunes ont moins de chance de réussite.

Différentes affirmations.
74% pensent que les gens peuvent changer la société par leur actions
58% pensent qu'en France les gens ont la possibilité de choisir leur propre vie.
48%  pensent qu'ils ont un contrôle total sur leur propre avenir.
28% pense que ce qui se passe dans le monde n'a pas de réelle importance sur sa vie.

Et je vais terminer par là.
23 %des gens font confiance dans les médias.
C'est cocasse, Rugy à démissionné pour rien puisque 77 % des citoyens se foutent de ce que racontent les médias.
Il aurait du lire cette étude avant (cevipof).

Cette étude est désastreuse en ce qui concerne la démocratie et les institutions qui la font vivre.
Également dans les organisations dont la fonction est d'être leurs portes paroles, les partis politiques et les syndicats.
Les Gilets jaunes ont fait la démonstration de incapacité à se structurer pour porter la voix des gens comme le pensent 53% des citoyens.
Le grand débat démontre contrairement à ce qu'affirme les citoyens à 74% qu'il peuvent par leur actions changer la société.
La réforme sur les retraites, démontre que le gouvernement ne les consulte pas sur ce qui est important pour leur vie.
 Je dirais que peu de citoyens participent à une activité politique qui leur permettrait d'avoir un jugement en connaissance de cause,  parce qu'ils partageraient des informations fiables.
Sauf que même s'ils ne se fient pas aux médias ils les entendent et les messages, les informations passent et s'infiltrent dans leurs cerveaux.
Il n'existe pas d'informations diffusées au hasard. 
Toutes les enquêtes d'opinions fabriquent celles de ceux qui n'ont que les médias comme source d'informations.
Des infos qui ne circulaient qu'entre les mains d'acteurs au faîtes de la vie économique et politique sont disponibles sur le net, mais peu de citoyens vont les consulter 8%.
La seule note positive c'est leur relation entre eux qui même s'ils pensent à 60% qu'il y a trop d'immigrés, 60% considèrent que c'est un danger pour la France, 53% que c'est un enrichissement, et 38%  qu'un enfant d'immigrés né en France n'est pas français.
Cette étude indique que les citoyens vivent dans une illusion de la réalité du monde.
Ils veulent modifier le capitalisme et ils votent pour ceux qui le souhaitent.
Ils veulent être entendu et rejette toutes les structures où ils peuvent le faire
Il disent vouloir changer les choses par leurs actions, mais à 55%par le vote, à 42%. En manifestant, et 28% en faisant Grève.
Globalement le comportement des citoyens à quelques événements forts est stable depuis 2009.
La méfiance prédomine tout comme leurs méconnaissances politiques et économiques, ceux qui les conduits sur une réelle perception de difficultés de ne pas prendre la bonne cible et le bon moyen.
Macron peut dormir sur des deux oreilles, si la France Insoumise ne se bouge pas le cul, en 2020 Macron sera réélu.

                 Bbb b

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 15 Juillet 2019

L'homme a longtemps habité des grottes pour trouver refuge, quand il du quitter son biotope naturel, où vivent encore des peuplades arborigenes, que ce soit en Amazonie ou en Indonésie.

Ces régions humides qui offrent l'autonomie nourricière, n'ont pas poussé ces peuples développer au delà de leurs besoins, la capacité d'adaptation dont nous, hommes immigrés, faisons preuves.

Bien qu'Ils possèdent les mêmes capacités innovatrices. 
Nous comprenons d'ores et déjà que nous en ferons usage, que si l'environnement n'est pas propice à notre développement, et qu'il recèle de quoi nous satisfaire.

Dans les déserts, il y a vie, là, où une se développe et dont nous retirons avantages.
Ce n'est donc pas nous qui choisissons librement nôtre développement.

Si toute sédentarisation ou tous groupes nomades développement des cultures sociétales pour s'identifier,  elles deviennent tributaires du mimétisme.
Fait pour enseigner les moyens de survivre dans un environnement connu,  il peut être un handicap dans un autre. Cela en étant trop intégré, en le percevant comme irréductible et absolu parce qu'il nous rassure, calme nos angoisses et nos peurs par des référentiels normatifs utiles pour développer une cohésion de  concentration humaine, qui variera suivant l'étendu du groupe.

Plus le groupe sera concentré, plus il faudra de référentiels normatifs pour compenser l'espace vital nécessaire à chaque homme, qui s'épanouira différenment s'il est en ville où à la campagne, s'il est dans un village ou une métropole.

Ce cadre posé, il est plus aisé de comprendre comment nous sommes devenus des hommes béton.

Également que l'âge de pierre où sont apparus les premiers outils de silex,  il y a 3,3 millions d'années, marque le début de l'usage de la pierre qui deviendra un matériau de construction,  nôtre Béton.

Cela démontre bien l'importance de l'environnement, s'il est propice ou non au développement humain pour favoriser ou non son aptitude  à l'observation et à la créativité qu'il en découle.
Dans un biotope favorable nous n'aurions jamais taillé un silex, pour cela il faut que l'environnement nous l'offre, le possède,  et nous contraigne à son usage. (La pression environnementale,  le dictateur, opinion publique,etc)

Sauf que l'homme n'est pas un innovateur spontané, il peut passer mille fois à côté d'une chose avant que chez lui se développe ou s'agrégent les, la situation propice.
Ce n'est donc pas avec des pierres dont ils faisaient des outils et des armes qu'ils créèrent le premier habitat, 

Mais il y a 400 000 ans avec du bois des feuilles et des peaux.
Les premiers matériaux du sol furent l'argile et suivant les régions l'empilement de pierres pour faire des murets. L'usage de la pierre prenait son essor. Nous sommes autour de  12 000 à 6000 avant JC.

Il a donc fallu 2,9 millions d'années pour que l'homme sorte de sa grotte, et 3,288 millions pour l'usage de la pierre comme matériaux de construction.
D'aucuns qualifient l'homme moderne d'homeconomicus, visiblement l'homo constructeur aurait été plus judicieux. 

Si des méthodes de liants été utilisées depuis fort longtemps Égyptiens Romains. L'invention du ciment au 19 siècle ouvrait l'heure des grattes ciel.
Mais pas seulement le ciment, le métal également, et la maîtrise des fondations.
Pourtant cela n'aurait pas suffit sans le rouet, car personne n'imagine que l'on puisse y vivre en montant à pied.

 Ce sont les puits qui vinrent à la rescousse. 
 
L'extraction de l'eau se faisait par balancier, par crémaillère à gobelets ou rouet, pièce de bois où s'enrouler une corde. 
 Une invention du 16/15 ieme siècle. C'est ce dernier qui devint le principe de nos ascenseurs.
Les premières maisons à plusieurs étages apparaissent en 1870.
C'est l'afflux de population économique dans les villes qui commanda l'habitat vertical.

Et avec lui des problèmes de concentrations humaines que tous les habitants de Tours connaissent,
Contrainte de vivre en intérieur, promiscuité qui pousse à l'isolement, nuisances sonores, et surtout perte de contact avec la nature. 
Des études existent à foisons sur le sujet qui varient suivant la taille des villes et le temps nécessaire pour retrouver un espace humain, pour retrouver un espace biotopique.

Cet habitat concentrationnaire va marquer l'histoire humaine pour former les Nations, les révoltes et les inventions en tout genre.
Mais également la vie des humains, la vie dite citadine, en opposition à celle des campagnes.
Un citadin supportera  les bruits de la cité, ils servirons même de neurostrasmetteurs, et ne supportera pas  le chant d'un coq ou le son d'une cloche. 
Mais en réalité c'est le silence auquel ils ne sont pas habitués.
Cela a conduit un élu à demander que les bruits de la compagne soient  classés au patrimoine de l'humanité. 

Je ne sais pas si vous mesurez le poids symbolique de cet acte.

Traduction les citadins sont tellement intégrés dans leurs espaces bétonnés qu'ils sont capables de se conduire au suicide en ne reconnaissant plus ce qu'est la vie.

De fil en aiguille l'homme de béton en est arrivé à ester en justice contre la vie, contre ce qui le nourrit.  Car sans la campagne tous les citadins crèveraient de faim, comme cela a été observé durant des conflits.
Des enfants lancés dans la nature ne trouveraient même pas à se nourrir, certains non jamais vu une basse cour de leur vie.
Les cités coupent les humains de la réalité de existence. Pas celle que l'on apprend, celle que l'on Ressent.

L'avenir devrait consister à éclater toutes ces mégalopoles, et c'est l'inverse que nous faisons dirigés par la rationalité économique qui commande de ne pas s'installer là où les infrastructures de circulation font défaut.
C'est à tors que nous croyons que la rationalité économique est humaine.

L'exemple des citoyens qui se plaignent des bruits de la campagne, ne sont pas des humains, mais des hommes de béton, prés à tuer la vie, car ils sont plus en contact avec.

 


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 14 Juillet 2019

Son nom aura au moins donne lieu a de nombreux jeux de mots, faute d'être un sujet sérieux de débat.

Comment une presse peut s'emparer d'une insignifiance pareille et tenir la une avec. Sommes nous dans un état de décrépitude intellectuelle aussi avancé.
Sommes nous des censeurs patentés.
Sommes nous un tribunal inquisitorial, qui protège la vie privé des citoyens sous réserve que nous puissions les filmer pour savoir comment ils baisent.
Sommes nous jaloux de ceux qui ont par leurs places dans la société, de disposer d'avoir les moyens d'une verge plus grosse que celle du peuple.
Pour moi la lutte pour l'égalité à toujours été que les pauvres accèdent  à ceux qu'ont les riches.

Un jour dans un congrès à Lyon, je faisais observer à mon secrétaire général qu'il nous avez logé dans un hôtel de classe. 
Il me répondit les bonnes choses ne sont pas que pour les riches.
Y a t'il  une difficulté à ce que chacun vive à la hauteur des moyens dont ils disposent.

Sommes nous des inconscients.

Chaque fois que les citoyens ont eu des candidats ouvriers, il ne les ont jamais élu.
Si nous trouvons qu'ils mangent trop, il faut élire des pauvres, ils sont habitués
 à jeuner, un homard leur ferait mal.

Et la jet société ce ne sont les salaires des ouvriers qui remplissent leurs poches.

C'est l'Éternel questionnement des indemnités au libre usage des parlementaires pour remplir leurs mandats . Doit il être soumis à contrôle.
Il l'est de fait puisqu'il a une destination. 
La seule chose qui doit être rechercher c'est s'il est détourné de ses fins.
Je verrai bien un député dans un repas protocolaire demander à ses invités de régler leurs parts.
Cela aurait été marrant que lors de la célébration du débarquement, le président n'invite que les chefs d'États dans leurs épouses au Mac Do pour faire des économies.

C'est pas immérité que Rugy soit pris à son propre piège. Il a voulu se présenter comme monsieur Propre, dans une campagne de délation lancée par le FN qui se faisait le chancre de la probité. 
Un parti facho qui croit que c'est en lavant les hommes à la délation, en montrant du doigt les trous du culs qui planquent quelques sous, (qui pour nous qui gagnons des clopinettes sembles énormes,) que nous allons redresser l'économie.
Nous voulons l'argent que nous avons gagné, alors fermons les paradis fiscaux. Une résolution de l'ONU suffit au moins nous saurons quels pays s'y opposent. 
Nous voulons de l'argent prenons la BCE, le FMI.
Nous voulons de l'argent, imposons les marchés financiers
Depuis 1984, le FN à ramené le débat Politique dans la soue, et trop d'hommes politiques et de médias ont suivit, les uns pour des voix les autres pour des sous.
Je serais tenté de dire bien fait pour leurs gueules,  à eux qui ont construit ce qui leurs revient à la figure. 
Sauf qu'il y a les citoyens, l'opinion publique que l'on transforme en censeur, en inquisiteur, en juge forcément inique.
Eux qui doivent inventer demain passent leurs temps à creuser des tombes de dénigrement.

Que pensons nous que nous ferons de la France à ce rythme. Si ce n'est qu'un cimetière.

Que le premier citoyen qui a le slip propre lance la première pierre.

S'il est même souhaitable que les débats d'idées existent, il ne peut y avoir de démocratie sans confiance.
Nous avons cédé au discours fasciste du FN/RN. TOUS POURRIS, il dit pour des citoyens qui détournent tous des sommes du fisc, ils doivent avoir le nez bouché pour ne pas se sentir.
 Cet absence de discernement dans lequel nous nous sommes laissés entraîner par aigreurs, est Inquiétant sur d'aptitude des citoyens à faire des choix politiques.
 S'ils en avaient l'aptitude toute cette soue que déballent les journaux existerait plus.
 Il y a 24 millions de salariés qui voient et exécutent les malversations auxquels ils assistent.
 Comment pouvons nous ignorer, le sel qui se rajoute dans le jambon, les poulets qui s'étouffent, les produits nocifs utilisés, les étiquetages abusifs.
Je n'ai jamais eu besoins des journaux pour cela les salariés se le passaient de bouche à oreille, d'un syndicat à l'autre
EN quoi avons nous besoin d'apprendre ce que nous savons.
Tous les matins en se rendant au travail ma radio inique le bouchon au même  endroit à la même heure, et ma femme me dit chut j'écoute, et pourtant durant trente ans elle a pris ce boulevard.
Gaffe si quelqu'un dit du mal de ma femme, c'est un rubis sur l'ongle.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 13 Juillet 2019

La longue histoire de tabous et de préjugés.

Il faut comprendre avant toute chose que la nature autorise toute chose que nous faisons. 
C'est à nous qu'il appartient d'en comprendre les sources. Mais rien n'est plus difficile car cela suppose aussi d'avoir conscience d'où nous parviennent les informations que nous allons traiter pour vivre en faisant des choix qui sembleront nous appartenir librement.
Pourtant les hommes se sont interrogés sur la source de leur être et d'un esprit qui les habitait. 

Toute la philosophie c'est penché dessus.

Globalement tous ont convenu avec des représentations différentes que nous vivions au sein d'une perception diffuse qui nous reliait à quelques chose de plus grand que nous, que nous ne pouvions connaître au delà des perceptions de dépendance que nous ressentions; et dont les peurs d'en être séparée ou abandonnée nous  conduisent à toutes les formes de reconnaissances et d'adorations.

Ces aussi vrais pour mes cartésiens

Même aujourd'hui en disposant de toutes les capacités pour vivre, nous avons le sentiment de mourrir si nous n'avons pas de Monnaie. 

Cet attachement à la reformulation d'un "Dieu" dont ceux qui s'en inspirent, sont les prophètes des théories économiques. Et ceux qui les divulguent, les appliquent constituent les théologiens d'un magistères.
La différence repose seulement sur l'usage du langage utilisé. Les premiers utilisé la sémantique pour écrire leur conte de la vie.
Les autres les mathématiques sans comprendre qu'il s'agit d'un conte aussi.
Chacun d'eux mesurent leur exactitude au nombre de mort qu'il font.
P
l'incompréhension des raisons de nos existences à nécessité de nous rassurer. 

Tous les dieux ont servi à cela en éditant des commandements.
Le plus significatif est celui qui se traduit par la représentation de l'Esprit Saint sur la terre donné à tout le monde par la création, et qu'il appartient au hommes de découvrir.

Cela signifie que si chacun doit comprendre qu'il est sur terre pour vivre jusqu'à son changement d'état qu'est la mort.
La compréhension de cette représentation exclu de fait de se donner la mort.

Ce processus, induit, perçu, dicté par cet étrange perception avec plus grand que nous. Ne peut être le fruit du hasard. C'est le moteur du développement de notre espèce en conscience de cela, sans en avoir la maîtrise par ignorance du monde objectif. 

Mort d'une illusion.

Donc quid du libre arbitre qui est qu'une leurre pour nous pousser à l'action et croire que nous choisissons nos existences parce que l'information doit transiter par nous.

Nos choix ne sont pas libres. Ils sont induits par les informations que nous avons mémorisées pour notre propre compte. Elles passent par une relation avec les autres obligatoirement.
 c'est la nécessité de mangé et procréé conduit nos choix sur une planète ou l'on doit se réunir pour vaincre la RARETÉ. 
 L'on ne modifie pas nos comportements si l'on ne parvient pas à en connaître les sources. 
 Leurs ignorances nous conduisent inévitablement à la punition.
 La punition est donc le symptôme d'une ignorance, d'une insuffisances éducative. 
 La punition n'est donc que le signe d'une affection sociale qui ne sais pas répondre à la socialisation d'une concentration humaine,  qui ne dispose plus de son espace vital nécessaire à son épanouissement. 
 En compensation pour ne pas en souffrir nous développons des nevroses, des refoulements, des angoisses qui vicient, polluent nos jugements.

Les déterminismes.
 
Tout doit être apprécié dans ce cadre qui semble être commun aux espèces.
Donc celles qui vivent en concentration développement des déterminismes, fourmis, abeilles etc.

Pour les humains les déterminismes sont les Tabous et Totems et à la différences d'autres espèces comme celles citées, ils ne sont pas INNÉES.

Les hommes ont voulu donner ce caractères innées déterministes à leurs tabous et totems en les Déifiants.
Les Dieux qu'ils soient païens, monothéistes, ou théoriques, valident le déterminismes de leurs hypothèses ou phénomènes.

Les hommes ont invité les Dieux sur terre et les ont installé dans des lieux de recueillement où la FOI, salutaire,  se consolide avec des absolues. Ce que ne pouvaient détenir ceux qui s'inspiraient des informations qu'ils recevaient de la "terre u du ciel" les hommes.

Nous savons combien ces immobilistes ont été meurtriers.

C'est encore la source de nombreux conflits religieux, de préjugés qui s'y attachent.
 La position et le rejet de la part des athées qui nient ce qu'ils sont, des êtres sensibles, donc spirituel, est source également de conflits pour ne vouloir analyser nos relations qu'en termes de rationalité sémantique ou mathématique qui ne sont que des moyens de décryptage de cet "esprit",  cette sensation d'appartenance à un plus  grand.
L'ensemble universel auquel nous sommes rattachés et dont nous retirons subsistances.

C'est ainsi que vouloir définir ce qui est normal sous notre regard,  exige de ne pas avoir esprit BLOQUÉ par toutes les peurs, les craintes qu'il nous faut comprendre, sans en avoir toujours les moyens, ni ne serait-ce qu'un début d'interrogation.

Le visage de la mort

Cette compréhension ne nous est pas acquise, elle n'est pas INNÉES.  Elle est une de ces multitudes de possibilités d'adaptations. C'est l'apprentissage, l'analyse, la remise en cause des Savoirs, les erreurs commises que nous recommençons inlassablement qui nous conduisent à définir des fondements stables, tel "tu ne tueras pas," et "aimez vous les uns les autres".

Sous de nombreux paradigme ces fondements sont universels, mais appliqués souvent sélectivement autour de nombres biais
La Nation, la religion, l'indépendance, les attachements, les souffrances, l'ignorance, les absolues, l'immobilisme, les peurs, les découvertes technologiques, les certitudes, tout ce qui nous permet de progresser de devenir un Humain Accompli. 
Un Citoyens du Monde c'est construit sur des dépouilles, des Morts.

Toutes les nations vont se prosterner sur la conséquence de leurs ignorances, sur les croix de leurs suffisantes, devant les statuts de leurs abominations sans le comprendre, au point de faire de l'art de donner la mort un Métier. Une horreur humaine qui ne nous effleuré même pas.
Nous sommes à un tournant de notre civilisation. 
Toutes les civilisations ont disparu sous leurs propres déchets. 
Ou  dit autrement, elles portent leur propre auto destruction. 
Aucune intelligence humaine ou artificielle n'échappe à cela. 
Nous ne pouvons pas connaître notre existence avant d'être né, même si les parents peuvent, sur la base du connu imaginer ce que sera le parcourt du nouveau né. 
Nous faisons cela tous les jours en déterminant le futur de toute chose sans jamais avoir raison. En tombant au fils du "hasard" sur des découvertes des compréhensions inconnues.
Un processus que nous ne maîtriserons jamais, sauf en mutant ou changeant  d'état ou en devenant dieu.
Chacun comprend la métaphore, l'on ne devient Dieu qu'en mourant.
L'on s'intègre à un cercle de vie dont nous subissons les directions par nos choix seulement,  sans être capables de découvrir les déchets qu'ils produirons, pour mettre un terme à notre civilisation, si elle ne peut sortir de son immobilisme par des cerveaux BLOQUÉS. 

L'outil qui existe pour cela et qui a toujours été délaissé et l'enseignement et l'interrogation.

Alors n'est il pas judicieux de s'interroger sur la détention d'armes de destructions massives, car si notre orgeuil nous pousse à  croire que nous les maitriserons, que nous sommes capables de maîtriser le monde, alors nous devons d'ore et déjà commander notre cercueil (ça fera des emplois).

Le seul pas vers l'humanité, vers la volonté de placer l'Humain d'abord et de considérer la guerre comme un Crime contre l'Humanite.

Et le risque que l'humain court à moyen et long terme et l'usage qui sera inévitablement fait de l'arme nucléaire.

Quand je dis que tout à une raison d'être, cela concerne également ces armes de destruction massive.
Tous ce que nous créons génèrent des effets pervers ou secondaires. 
Nous les acceptons si leurs bénéfices est supérieur à leurs  nuisances, qui se calculent en durée. 
Qui se calcule tant que nous pouvons, comprendre.
Mais ce que nous pouvons comprendre, c'est qu'il n'y a pas de communes mesures entre risquer la vie de quelques personnes, de quelques espèces et l'humanité entier

Cela devrait nous faire comprendre que ne pas maîtriser le Savoir au service de l'Humain, rend FOU. Son symbole en sont ces armes de destruction massive, car le Fou est le résultat d'une distorsion de son psychisme qui n'est pas adapté à l'existence et dont il disparaîtra sous ses propres folies, car la nature ne le retiendra pas comme viable.

Et moi qui me pensais Normal.

Je remercie Théodore Monod qui dans son ouvrage Reverance à la vie à aussi conduit ma pensée à partir de 1999.

"La Terre est un jardin bordé de nuit. Tels des aveugles nous avançons, mais sûrs de nous, fiers, cruels, consommateurs, assoiffés de profit. Modernes ?
Que restera-t-il à nos enfants de cette oasis si humaine ?  
Seront-ils seulement là pour contempler nos méfaits ? "
Théodore Monod.

Pourrons nous sortir de cette nuit qui enveloppe nos cerveaux

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 12 Juillet 2019

Il n'aura pas fallu longtemps que nous ayons peur de ce que nous avons créer.
Tant que la parole se passait de bouche à oreille comme depuis que l'homme existe, nous savions que l'information se délitait, se déformer naturellement en passant d'une oreille à une autre.
Dans les formations de communiquant, c'était toujours le jeu plaisant de voir un général qui invitait la troupe à assister à une éclipse dans la cour,  d'être quelques 10 oreilles plus tard éclipsé par l'adjudant sous le préau. Ou bien lors d'un crash d'enterrer les survivants.
En 73 ça nous faisait bien marrer, on avait encore du pain blanc que cuisaient les boulangers maghrébins.

Cela avant que quelques années plus tard, de dé charges en dé charges,  d'allégement en allègement ce sont les boulangers qui cuisent du maghrébin.
Les fours ont changer de main mais reste des fours.
En mars 2011 j'écrivais  "le musulman remplacera t'il le juif". La lente histoire du bougnoul de 1882 resté dans la mémoire collective, distribué par le bouche à oreille.
Ensuite résumé par l'histoire des maures qui épuisent les cordes vocales de Roland avant d'être arrêté à Poitiers.
Les Chrétiens ont été les plus grands travestisseurs de l'histoire de leurs prédécesseurs.
Les fak news chrétiens ont la vie dure. Des nostalgiques se réunissent encore sous la merveilleuse statut de la bergère de Domremy, et ce fak news figure encore dans le dictionnaire.

À l'époque dire que c'était la bâtarde de Charles Vl ne faisait pas très chrétien.

Mais les meilleurs furent sans nul doute les bolchévistes. L'on accorde à Lénine l'art du mensonge politique décliné en trois niveaux.
1/ le blanc par omission, l'on oublie l'élément nécessaire pour induire en erreur dans un récit.
2/ le rouge où l'on ajoute un mensonge dans un récit.
3/ le noir où le récit est un mensonge de bout en bout.
Dans notre société c'est le blanc qui est le plus courant.
L'on appelle cela les phrases sorties de leurs contestes.
L'on omet ce qui donnerait la pensée réelle du recit.
Quasiment tous les journalistes font cela, et les télés avec l'appui d'images. Cela porte un nom le story steeling.
Arrêt sur images, une émission critique de la chaine 5 y été consacré et fut supprimé etc.
Aujourd'hui il faut aller sur le net pour le retrouver

Globalement toutes les émissions qui développaient le sens critique ont été supprimés au bénéfices des, télés réalités, des émissions d'entre soi, peoples, infantilisantes ou d'apologie de la police.

Aujourd'hui quelques émissions satiriques font leur choux gras avec la mise en scène de comportements d'hommes politiques, le dernier en date fut Mélenchon.
La peoplelisation des hommes politiques à discrédité globalement leurs fonctions.
Chacun se prenant pour un Cabu,  ils sont devenus une diversion.
Pendant que les médias s'emparent de leurs déboires, et que les citoyens s'en gaussent pour laisser libre cours à leurs frustrations, des lois passent telle celle du CETA.
Il aurait mieux valu que les journalistes s'intéressent au CETA qui coûtera la peau des couilles aux salariés qu'a un homard communiste.

Par manque de courage durant 14 ans, les citoyens ont imaginé changer leur vie par le vote et ont reconduit les mêmes politiques.
Alors le débat politique c'est fait autour de l'invalidation des politiciens autour de leur vie privé, de leurs revenus, de leurs choix vestimentaires, des pompes qu'ils portent, des costards qu'ils endossent,  des repas qu'ils font, bientôt on s'intéressera à la manière dont ils baisent.
Le débat politique est devenu un fleuve de ragots, de déballage d'obscénités, de rumeurs délétères qui plongent l'essence de la démocratie, la politique, dans une mer de merde.
La grande mode ce sont les enquêtes, ces chevaliers qui pourfendent les salauds en caméra caché.
Les médias sont devenus le marché du grand déballage.
La course est lancé dans la gueule du monde médiatique. Le Scoop c'est, qui va pouvoir se payer un homme politique. C'est un jeu de quille.

Et il a TOUJOURS existé.
La république de Venise disposait d'une gueule de Lion, où chacun pouvait déposer ses lettres de délation.

Le problème n'est donc pas là.
La difficulté vient de l'éducation d'une population qui n'a pas les moyens d'une réflexion politique et quasiment ignorante économiquement.

C'est un choix que nous avons fait que de ne pas Cultiver la population, de ne pas l'instruire à hauteur de la complexité du monde.

Avant 90 cela ne posait pas trop de difficultés, il y avait les mêmes dénonciationd, sauf qu'elles ne faisaient pas la Une, et ne s'enflaient pas sur le net, sur la TOILE.
Disposer d'informations en un clic est prodigieux, pour moi comme d'autres qui avons du courir les universités et bouffer des tonnes de papiers et de livres pour apprendre un peu.

Mais l'on ne s'instruit pas sur le net, l'on s'informe, et ces informations s'incorporeront dans la structure de la pensée de chacun.

Quand sur le net, la toile, c'est de la merde qui survole, au lieu d'essayer d'empêcher les gens de chier, ce qui est impossible, apprenons leurs à s'essuyer ou se laver le cul.

Mais il ne faut pas se méprendre sur mes propos, il ne s'agit pas de les plonger dans un politiquement correcte qui est un anesthésiant du langage et de l'humeur.

L'on doit dire ce que l'on pense, mais sans s'avilir ou avilir l'autre.

L'on ne peut pas en arriver où tout mécontentement, toute colère, toute manifestation soit un acte ou une action Sacrilège.
Mais également que tout manquement  à toute liberté de faire, soit soumise à un contrôle inquisitorial  d'instruction de la presse , et à la partialité d opinion de la toile qui juge au mépris de l'équité, qui prend partie sans souci de judtice et de vérité.

La rumeur, les ragots, les insanités, les préjugés, la corruption, les gens abjecs.

De tout temps cela a EXISTÉ.

La seule chose nouvelle, c'est que cela se diffuse à grande vitesse,  et est proportionnelle aux Savoirs des citoyens, aux ressentiments qui les induisent.
Nous naissons tous "propres" . Alors qui apprend les Gros Mots à nos enfants.
Demandons nous alors qui aprend la radicalité aux citoyens, qui apprend l'intolérance, qui apprend la haine.

Un ami me disais que le meilleur cochon est le cochon Suédois car il est élevé avec humanité.
J'ai répondu que si les Salariés étaient traités comme cela, ils n'auraient pas besoin d'un mediapart pour se venger des hommes politiques parce s'ils ont peur de s en prendre à ceux qui les exploitent.
Et toute cette frustration qui circulait de bouche en oreille déformante,  circule à grande vitesse sur le net multiplicateur de biais .
Il ne faut pas se tromper, le net n'est pas garant de la probité de ses utilisateurs.
C'est l'aptitude au discernement et à la critique qui donne les moyens de navigation. Mais encore faut-il avoir apprit.

Ce n'est pas l'interdit qui est nécessaire, c'est d'apprendre à discerner ce qu'est un Gros mots.

Aujourd'hui la fracture intellectuelle s'affiche sur le net.
Le net en est le révélateur.

140 000 textes régulent notre sociabilité. Même celui qui ne fait rien transgresse la loi que nul n'est sensé ignorer.
Alors, n'allons pas en rajouter pour parler, s'habiller, se chausser, dejeuner.
Je n'aurais jamais autant douté du bons sens des citoyens.
Faut-il donc qu'ils aient bien souffert en silence pour laisser surgir tant de haine en la qualifiant de contrôle démocratique.

C'est parce que c'est ce que vous fait subir l'économie capitaliste.?
http://ddacoudre.over-blog.com/article-le-musulman-remplacera-t-il-le-juifs-70363168.html

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 11 Juillet 2019

L'on repart pour un tour de manège.
Tous pour un un pour tous, PRG, PCF, PS, Génération. S.

À croire que l'expérience ne sert à rien dans le monde politique.
Après avoir discrédité le socialisme, c'est à dire l'exploitation de l'homme par l'homme, avec l'échec de toutes les unions dites de Gauche. 

Ceux qui ont échoué face à la difficulté historique de lutter contre l''asservissement, remette le dîner de Cons. Je sais c'est pas sympa, mais putain ce que ça y ressemble.

La confusion autour du Socialisme qu'ils ont entretenue durant 35 ans, excusez du peu, ne semble pas leurs poser soucis.
Les PRG, le PS, le PCF,  Génération.s veulent resservir du réchauffé, les restes d'un repas que les citoyens ont jeter à l'abstention, au blanc et au RN. à tord ou raison.

Ce n'est pas la Sincérité des uns est des autres, qui est à mettre en cause, ni le souci, de représentativité, ni celui d'intérêts financiers, car tous les partis en ont besoin pour exister.
Pas plus que le discrédit pour des malveillances ou négligences de certains de leurs membres, qui font la joie des irresponsables qui aiment l'Inquisition et la délation,
à qui le sectarisme, le radicalisme, la haine les poussent à jeter le bébé avec l'eau, détruire la démocratie et tracer la route aux dictatures, parce que ils ne savent pas faire le ménage.
Ils se plaignent des quatre sous qu'ils donnent à l'état, et Rachètent par  billion leurs travails aux capitalistes.

Entre nous, ils méritent rien d'autres qu'un dîner de Cons auquel ils sont invité tous les jours.

Tous ont joué aux incendiaires,  ceux qui visent le pouvoir en jouant sur la peur, tous comme ceux qui y sont et qui pour se maintenir joue avec une surenchère de la peur, à qui protégera le mieux la population en la mettant en prison par des lois liberticides qui n'arrêtent pas de se succéder. VTT
Le contrôle de la liberté d'expression, le contrôle de la mort, le contrôle de la sexualité, le contrôle de la vie privé, le contrôle de la santé. 
Pris à leur propre piège la société va s'auto suicider.
25 ans d'union de la gauche pour en arriver là, et à droite ils ne sont pas mieux car ils ont pris leurs part en courant après le RN, leurs propres oeuvre.

Si définir des règles est nécessaire pour ne pas vivre dans un cloaque. Leurs acceptations ne peuvent plus être un sujet à punition autre que par l'éducation.
L'on ne peut supprimer la fessée pour les enfants pour causes de traumatismes et la donné aux adultes par une prison qui serait salutaire pour apaiser le besoin de vengeance de la victimisation de la société qui est une évidence.
Tous les choix de gestion humanistes ont été considérés comme laxistes, seule la répression à pignon sur rue, disons plutôt pignon télévisuelle pour entrer chez chacun.
Ces partis de banc de gauche ont failli économiquement en gérant le capitalisme et se réfugiant derrière la reconnaissance de la loi du Marché, et le libéralisme béat.

Ils s'étaient imaginés que restant au pouvoir y atténuerait les déboires Economiques du capitalisme. 
Le goût du pouvoir l'a emporté sur l'analyse lucide. 
Hollande à mis un terme au crédit du socialisme historique. 
Et les voilà réparti dans ce marché de dupe aux voix.

L'on n'est pas Socialiste parce que l'on va nourrit, amusé, vêtir le salarié asservi, mais parce que l'on va le SOUSTRAIRE à son MAÎTRE.

Il n'est pas indécent de tenir compte de la réalité, de ce que les hommes ont accepté par mimétisme.
Mais il ne faut pas usurper par la confusion un idéal Socialiste qui s'identifier à la notion de Gauche.

Si les Sociaux démocrates s'approprient ce mot, qui 'n'est la propriété de personne, alors aux autres, à ceux qui d'identifient par la lutte contre l'exploitation de l'homme par l'homme de se trouver un autre déterminant politique.

Ce qui caractérise les relations économiques des hommes est, le maîtres et le serviteurs. 
C'est la réalité  socio économique millénaire, deux groupes, deux classes sociales.
Le fait d'appartenir à la même Nation, pays, culture, religions n'emporte pas aux uns le droit d'exploiter les autres ou vice versa.
Que la détermination des uns l'emporte sur la faiblesse des autres, ne doit plus être un moyen d'asservivssement.

Si l'interdépendance des moyens de production engagent les uns et les autres dans une collaboration, il convient au nom de l'égalité républicaine que chacun reçoive sa part de la richesse dégagée à hauteur de celle qu'il a engagé.

Faut-il être un génie pour comprendre cela. 
Si nous pouvons admettre que la nature humaine recherche le moindre effort, cela ne justifie pas que la position  du bien moins nantis à l'effort soit d'être asservis.

Ce n'est pas aux œuvres que se mesure l'humanisme , mais comment on les a réalisé pourqui ou quoi

Alors c'est bien autour de cela qu'il faut  se reconnaître.
Quand le travail d'un homme lui est revendu à son double de ce qu'on la payer, et doit s'endetter pour se l'offrir. C'est qu'il y a une problématique humaine.

C'est le comble de l'exploitation.

Faire s'endetter un salarié pour acheter ce qu'il fait.
L'interrogation demeure comment,  au nom de la liberté d'entreprendre et le droit à la propriété, pour que chacun puisse disposer d'une autonomie économique qui lui assure cette liberté en collaboration avec les autres pour ne pas dépendre d'un Maître comme par le passé, nous soyons arrivé  à en accepter encore plus qu'avant.

À la fin de l'ancien régime la noblesse était estimé entre 80 000 et 360 000, qui employaient des gens en Servitudes. 
L'équivalent aujourd'hui est de 1,8 millions d'employeurs. La classe de la noblesse est devenus celle des entrepreneurs. Ne voyons en cela rien de péjoratifs. La noblesse inégalitaire géraient leurs patrimoines et fréquentaient la cour. 
Ils étaient là classe économique, comme l'est aujourd'hui celle des entrepreneurs et rentiers aussi inégalement repartir.

Depuis 1789, nous n'avons fait que démocratiser la noblesse monarchique en noblesse républicaine en conservant la relation de Servitude qui uni le maître au Serviteur.
En renommant la servitude contrainte en servitude volontaire.

Il a fallu le code civil d'un dictateur napoléonien pour contraindre les nouveaux nobles dit Bourgeois à verser un salaire à ceux qu'ils employaient.
Le crouton de pain et devenu pièce de monnaie et après une lente métamorphose, un salaire incertain courant 19 siècle,  pour finir en salaire garantie au 20 siècle avec le SMIC et le SMIG.
Les acteurs de cette évolution furent ceux qui allait devenir les Socialistes.

L'on peut choisir de soutenir une monarchie ou une dictature auxquelles beaucoup de révolutions ont abouti.

Mais l'on ne peut pas détricoter l'histoire, même si beaucoup l'on fait.

Une classe sociale en nourrissant une autre qui l'a soumise au fait du prince. durant plus d'un siècle, ne peut pas être une collaboration équitable.
Quand un PS favorise la formation du capital privé, c'est un acte contre nature. La décence veut que l'on ne garde pas le nom politique qui a défini tous ceux qui depuis 1878 combattent le capital.

Et les voilà qui se réunissent pour ressuscité ce qu'ils ont tuer en 25 ans de démocratie social.

L'on sait que les municipales ne sont pas à proprement parlé des élections politique, car les habitants des municipalité à l'exception de grandes villes restent attachés à la relation de proximité que lie les administrés à la personnalité des candidats.
Elles donneront au moins une indication sur l'ancrage  du RN et permettront d'analyser comment des citoyens sont affectés par une information qu'ils ne vivent pas, l'insécurité ou l'immigration qui est territorialement ciblé.

Pour ce qui vont ce taper ce dîner d'union ils risquent de n'avoir que du bouillon   . Ce sera la surprise car l'abstention et les blancs voterons.


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 8 Juillet 2019


Se projeter vers l'avenir, n'est pas une décisions volontaire de l'Humain et d'aucune espèce. Globalement nous sommes encore des Cancres intellectuels et ce n'est pas de notre faute. Nous naissons, pour tout bagage afin d'occuper une place dans l'existence, avec un cerveau reptilien codé chargé de soupeser et laisser passer toutes les informations qui seront traitées par les zones différenciées du Cortex.
Une valise d'innée.

Puis des échanges d'informations
entre organes et de cellules entre elles. 
Voire depuis la physique que quantique aux informations que se partagent les particules de Dieu qui nous composent. 

J'ai volontairement utilisé ce mot ,Dieu, car généralement je parle de l'indéfinissable ou du monde objectif auquel nous n'avons pas accès, et dans lequel l'univers se déploie et nous en conséquence qui y sommes installés sur un petit élément de son système, la terre.

Nous pouvons penser que tout vient de rien et rien de rien. Nous poserions alors seulement la question indéfiniment, tandis que Dieu l'arrête.
À l'origine dieu été innommable.
Essayons donc de nous attacher à l'innommable, l'indéfinissable, au monde non objectif. Même un fou qui tire une brosse l'appelle Médor.
L'avoir nommé a focalise la recherche de RIEN autour de lui.
C'est la fonction essentielle de Dieu, être un attracteur, capter la spiritualité,
la conscience d'une dépendance, d'un attachement, de la perception d'un manque, autour duquel se développe la foi et tous ses sortilèges naïfs pour arriver à quelque chose  d'important avoir confiance en la vie.

Tout ce que je viens d'écrire, n'est qu'une perception faussé, distordue, partiale du traitement des informations que j'ai reçu de mes sens.
Ils définissent la mesure des informations que j'ai capté de mon environnement. 
J'en garderais le souvenir. afin que les suivantes, mon cerveau reptilien, ma boîte de contrôle sache me commander une émotion adaptée
Celle ci assurera mon existence, ma survie en réactivant mes souvenirs.

Je n' imposera jamais cela car personne n'a pu vivre mon existence, poser ses pieds où j'ai mis les miens, en même temps. 
Mais je pourrais l'ajouter au monde des autres et vivre ce que nous partagerons.

Et les autres ?

Celles qui nous affectent qui circulent entre elles, dont les effets seront certains sans que nous sachions à qui, à quoi les attribuer. 
Celles dont les hommes avaient pris conscience, et que nous retrouvons dans des pratiques, médicales (soin par la circulation des énergies, les transes, les incantations, celles de l'âme, les prières, les psalmodies  les chants, les supplications etc.)

Elles ont nourri la superstition, la divination, la spiritualité, la fatalité, l'inconscient, l'ignorance, l'incertitude, la peur, l'irrationnel, le paranormal, le bon sens, le juste à propos, le septisisme, le doute, l'irraisonnee.

Tout cela n'existerait pas si nous détenions UNE SEULE vérité.

La vision "mégalomaniaque" de nous même est un filtre sélectif.
Elle est plus fort que le narcissisme. C'est penser que nous sommes au sommet de la chaîne de vie, par nos œuvres. 
Le narcissisme nous conduis à nous attacher à la forme, à la superficialité, au paraître qui quand il concours à la séduction et source d'union procréatrice, elle n'est en rien source de survie. La mégalomanie serait une forme aigu, sur dimensionner du narcissisme.

La survie est attaché à ce que nous sommes capables de comprendre.

Cela rentre tout doucement dans nos têtes que notre existence dépend de toutes nos perceptions dont les plus importants sont celles que nous ne traduisons pas. 
Non parce que nous n'avons pas un outil cérébral pour cela, mais parce que il est trop lent de nature. 

Tout le monde comprend que nous recevions des informations avant de les traduire en pensée et en actes. 

Quand nous les avons traduites et reliés,  celles qui nous ont servi de références n'existent plus.
Seule notre hypocampe  à mémorisé les traductions du Cortex, car les informations de bases initiales ont changées.  D'autres lui ont succédé et notre cerveau est incapable de discerner ces changements réels.

Nous vivons donc toujours sur les bases d'événements passés.
Si nous pouvions mesurer la vitesse de l'écoulement du temps entre deux événements infinitésimaux qui nous échappent, nous comprendrions que parce que nous sommes lents nous n'assemblons que des informations "mortes" encrée dans notre Cortex séparément comme les pièces d'un puzzel.
Nous les rassemblons pour former nos souvenirs. 
Le rassemblement d'informations sensoriels indépendantes demande un certain temps avant d'être regroupés, reliés dans l'hypocampe où elles s'encrent pour former la mémoire cohérente.

Celles qui vont guider nos existences dans notre incapacité à saisir l'instant réel dans lequel nous vivons et dont  nos actes et nos œuvres seront la trace qui commencera à s'effacer, dés le premier mot, la première pierre.

 Nous construisons nos existences dans l'effacement, la disparition de l'élément précédent.

Qu'est donc qui nous permet d'exister?

La vitesse où tout se déroule

Comment pourrions-nous identifier une chose se déplaçant à la vitesse supérieure à notre regard.
Quand nous percevons le coucher du soleil, alors qu'il a disparu depuis 8 minutes

Et nous nous ébahissons de bonheur face à certains, nos présentoirs sont remplis de cartes postales d'une illusion.

Et bien sachons que des traders grâce à la vitesse de circulation de l'information construisent des fortunes   par des échanges spéculatifs qui sont une illusion de richesse de gens vivant avec les placements financiers  de cet illusion, comme nous achetons une carte postale d'un coucher de soleil qui existe plus.
Il faudra bien un jour revenir à la réalité qui est évanescente. 
La seule constante est l'énergie que l'on consomme pour produire notre bien être. Car c'est chacun de nous qui la dépensons. En mesurant son effacement faire à mesure que le temps T s'écoule entre deux événement en heure.
C'est la consommation d'énergie, et elle s'efface, disparaît, se transforme en quelque chose de simple, la sueur.

Or la sueur c'est cette autre mesure dont nous ne tenons pas compte en conscience comme guide de nos actions, au profit d'une illusion "boursicotique" qui nous conduit à la superstition, la divination, l'irraison, cette mégalomanie qui s'empare de ceux qui se croient les maitres de la vitesse et qui gonflent d'illusions des portefeuilles de capitalistes.

Ne pas comprendre cela sera être en retard d'un débat où la machine prendra la main à la place de l'Humain.

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Rédigé par ddacoudre

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