Publié le 31 Janvier 2020

 

C'est une actualité dont l'on ne parle pas. Elle n'intéresse pas les médias, il n'y a pas de drames à la clé, il n'y a pas de crime pour tenir en alêne, il n'y a pas une magouille sous-jacente, il n'y a pas une élite à descendre de son pied d’étal, il'y a pas une jolie histoire quotidienne anesthésiante.

 

Pourtant C'est une histoire, même une histoire de taille, le genre d'histoire que l'on ne suit pas tant elle est longue. Imaginer celle-ci a durée 70 ans, autant dire une vie.

 

Si mais souvenir sont bons l'ex union soviétique voulait créer un soleil artificiel pour réchauffer les terres de Sibérie ; les scientifiques se lancent dans la recherche des moyens de contenir des millions de degrés, c'est l'origine du Tokamak en 1950.

Un anneau torique de confinement magnétique pour l'étude du plasma afin de réaliser la fusion nucléaire.

C'était encore le temps où l'écologie était inconnu et l'espérance dans la science sans mesure, en tout sens. Aujourd'hui nous savons que cette réalisation d'un soleil artificiel, vrai ou fausse faite pour la gloire du communisme aurait entraîné un désastre en libérant les gaz à effet de serre contenu dans le permafrost.

Il en est ainsi dans la vie, nous ne disposerons jamais de toute la connaissance, mais ne pas s’en instruire multiplie les risques d'erreurs.

Nous devons donc à ceux qui recherchent des outils de mesures, au delà du débat stérile de politicien comptable financier, les moyens intellectuels d'envisager l'avenir.

 

Nous n'entendons rarement parler de l'efficacité de la recherche, sauf quand survient un drame comme celui du Coronavirus. Et pourtant c'est tout juste si l'angoisse que distribuent les médias ne nous fait pas critiquer les scientifiques d'une certaine lenteur.

La science ne fait pas de miracle, elle rend compte d'un travail laborieux d'hommes et de femmes qui s'investissent dans une passion.

C'est à la recherche que nous devons de devenir vieux, c'est à elle que nous devrons de subvenir aux besoins de l'humanité dans le futur, pas à UNE GESTION COMPTABLE DE LA VIE.

Or c'est cela que nous proposent l'UE et les politiques et politiciens qui s'y adossent.

En France le budget de la recherche est de 24,5 milliards, celui de l'armée 37,5 en comparaison, pourtant le besoin en doctorat est une garantie pour l'avenir. Si ceux qui travaillent créaient la richesse et son en droit de revendiquer leur part, ils ne sont qu'acteurs de mise en œuvre des innovations de la recherche. Même si le concourt Lépine donne la parole aux plus humbles.https://fr.statista.com/

 

Pourtant les candidats aux doctorats en France stagnent, alors que le futur regorge de ce besoin de connaissances dont la durée de réalisation se compte en années et non en monnaie.

 

Ce n'est pas une fois l'an la nuit des étoiles qui stimule les vocations en tombant dans l'oublie jusqu'au nouvel ans. Il ne s'agit pas de minimiser ce domaine dont l'intérêt n'est pas d'aller se promener autour de la Lune mais de réponde à la création et trouver de la vie ailleurs.

 

Pourtant qui sait quelles seront les imperfections et les défauts cachés aujourd'hui à nos savoirs qui en découleront.

Vivre avec cette incertitude lié à nos limites cérébrales, malgré l'apport considérable des machines qui nous suppléent dans nos calculs et réalisations, est inévitable.

Notre besoin de transparence n'est que psychique et vient compenser cette angoisse atavique de comprendre que l'on ne peut maîtriser l'existence, sans cela nous serions des dieux.

La recherche de cette maîtrise par une organisation comptable de la vie est la preuve de notre faiblesse à contenir, soupeser, mesurer, choisir les voies de notre avenir.

Il est dramatique que nous nous apprêtions à confier nos destins à des machines dont le seul intérêt est de démultiplier nos sens pour percevoir un monde invisible issus de notre intelligence.

 

Vivre avec les outils issus de cette dimension nous rend plus fragile et nous impose de démocratiser les savoirs qui y ont conduit. Ce que malheureusement nous ne faisons pas en spécialisant par nécessiter. Sans devenir des spécialiste en toute chose qui demanderait 70 ans d'études nous pouvons accéder à leurs compréhensions pour ne pas vivre dans l'obscurantisme et développer des préjugés, des superstitions et toutes interprétations erronées.

 

Combien de fois dans les débats autour du renouvellement des énergies avons nous entendu parler de la fusion nucléaire, D' ITER.

Un projet qui se réalise et qui aura durée 70 ans. La quête d'une décennie. Une recherche dans laquelle c'est jeté le monde entier sur la base de trois technologies, confinement magnétique le choix de ITER,magnéto-inertielle, et la compression.

Il s'agit ni plus ni moins d'utiliser le Deutérium contenu dans l'eau des océans égal à 40 000 milliards de tonnes.de quoi fournir de l'énergie au monde pendant des millions d'années.

1 litre d'eau de mer égale 250 l de pétrole et 350 kilos de charbon et les déchets dû à cette fusion rejette de l'hélium 4, un élément stable sans danger ni effet de serre.

 

Trop beau pour y croire me diriez vous, pourtant dans quelques jours dit Bernard Bigot directeur général du projet initié en 1985 , va commencer la phase critique du chantier.

Ce tokamak européen va chauffer à plus de 150 millions de degrés Celsius un plasma confiné dans un champ magnétique en forme de tore. Les russes en avaient rêvé les européens le font, le soleil sera sur terre.

Naturellement il y a des avis divergents ce qui est une bonne chose, mais sous cette forme ou sous une autre, demain se construit dans le plus grand des silences médiatiques et des interrogations que soulèvent inévitablement de telles réalisations.

Exit ou pas les centrales nucléaires et autres productions d'énergies dont nous faisons la promotion écologique, mieux ou pas que le solaire, quelles incidences sur l'emploi, à quel coût compte tenu de la gestion comptable actuelle.

 

Que dire si ce n'est que l'avenir se dessine sans les citoyens entre élites scientifiques, là et dans bien d'autres endroits comme le changement d'alimentation, les nouvelles sources de protéines etc.

dans tous les laboratoires où la recherche avance lentement dans la quasi ignorance des citoyens du monde, tous occupé à lutter contre, soit la pauvreté soit la gabegie de l'organisation capitaliste du travail dans la perspective d'un rapport immédiat de bénéfices en tout genre.

 

Hormis s’instruire pour disposer des moyens de se porter à la auteurs des savoirs et réalisations complexes le citoyen lambda sera toujours écarté des décisions essentielles.

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 16 Janvier 2020

L'HEURE DU COMBAT.

 

La retraite a été créée pour que les travailleurs aujourd'hui dénommés essentiellement SALARIES ne MEURENT PAS AU TRAVAIL.

L'abandon de la notion de classe crée la confusion des genres. Il n'y a pas égalité entre un EMPLOYEUR ET UN SALARIE, même s'ils sont complémentaire momentanément, car l'employeur essaiera toujours de se passer de l'aide du travailleur s'il doit la rémunérer (les charges)

En quoi les comptes de la sécurité sociale et les comptes des retraites regardent le gouvernement et le patronat.

Les comptes de la Sécu et ceux de la retraite regardent ceux qui les FINANCES.

ET ce qui les financent ce n'est NI L'ETAT , NI LE GOUVERNEMENT, NI LE PATRONAT.

Il serait tout de même temps que cela nous rentre dans la tête. SEUL les Salariés FINANCENT TOUT

 

Les salariés, pour l'un et l'autre, S'OUVRENT leurs droits à la prestation des services de l'un et de l'autre qu'ils FINANCENT par leurs COTISATIONS.

Est-ce que le patron finance OUI, mais avec l'argent des SALARIES QUANT IL DEVIENENT LEURS CLIENTS. C'est à dire que les employeurs REVENDENT aux salariés CLIENT le montant des COTISATIONS SOCIALES incorporé dans le prix de vente.

Ce n'est pas comme s'ils les prélevaient leur cotisations sociales sur les dividendes, alors ils pourraient prétendre avoir leurs MOTS à DIRE.

Est- surprenant ce que je dis, NON.

A l'ONU, les USA (je n'ai plus en mémoire sous quelle présidence) réclamaient d'être suivit car ils estimaient le devoir à leur financement de l'ONU sans laquelle celle-ci ne serait plus viable.

En 1978 j'ai connu une scission Patronale dans une fédération car les grandes entreprises, qui payaient le plus, devaient accepter une politique archaïque d'une multitude de petites et moyennes entreprises (c'était dans la période de la réforme du Taylorisme).

 

Ainsi, il n'y a que les salariés pour être assez « ce que vous voudrez, mais avec bienveillance » pour payer sans jamais être entendus, ni comprendre comment, tout en sachant qu'ils sont exploités.

Mais chut il ne faut pas le leurs dire. Ils sont comme ces petites et moyennes entreprises qui étaient attachées à leurs archaïsmes réconfortants, BOULOT CONSO DODO, le triptyque de la croissance qui a suppléé les trente glorieuses, boulot métro dodo.

 

L'intelligence pour eux c'est QUOI, savoir consommer, suivre le feuilleton météo et tous les anesthésiants qui lui succèdent, OU comprendre comment ils se font ROULER.

 

Je me demande ce qu'elles ont de si compliqué les quatre lignes explicatives que je développe pour qu'elles ne soient pas comprise depuis des siècles et s'étend aux salariés du monde entier, c'est encore expliqué plus simplement que ce que l'a fait Marx.

 

Cela signifie clairement que ce n'est pas seulement un problème de compréhension, mais une relation étroite de nos comportements ataviques réorganisés par le mimétisme culturel en organisation systémique dominante régulatrice de la concentration humaine que nous croyons maîtriser pour satisfaire nos besoins et que certains parmi nous y sont sélectionnés ou cooptés pour les diriger, peu par le mérite, beaucoup par le milieu endogamique dans lequel ils naissent au hasard de l'existence.

 

Le choix actuel d'une gestion comptable de nos existences est LE PIRE que nous puissions faire, il ETOUFFE les initiatives et RALENTI le bénéfice que nous pourrions retirer de la science, de la connaissance. Seule les initiatives lucratives sont retenus, même si d'autres seraient nécessaires parce qu'elles ont une place sociale ou utilitaire.

 

Toutes analyses de nos difficultés nous ramènent à la disponibilité de financement qui est limité à l'utilisation de la richesse des possédants ou des épargnants seulement, dont ils retirent un bénéfice qui renchérit le coût de toutes choses.

Souvent nous critiquons ceux qui croient en dieu au prétexte qu'il organisent leur vie autour d'un imaginaire, souffrons donc de comprendre que nous faisons la même chose avec la monnaie

 

Revenons à nos patrons et gouvernement.

Le travail est une nécessité incontournable encore aujourd'hui. Si nous pouvons espère que les productions soient assurées par un temps de travail humain de plus en plus réduit grâce aux « robots » et autres car la révolution numérique en fait que commencer.

Que permettra l'ordinateur quantique, dont un élément a fonctionné 75 secondes dans un laboratoire et enregistré une quantité fabuleuse de données (lire science et vie de décembre).

 

Plus aucun système social ne pourra survivre sur la base de cotisations salariales si cette classe s'amenuise.

C'EST A CELA QUE LE PATRONAT ET LE GOUVERNEMENT LIBERAL CAPITALISTIQUE EST ENTRAIN DE NOUS PREPARER un ajustement permanent à l'économie salariale par le BAS

 

Ils veulent l'un et l'autre des références, âge pivot et valeur du point, qui s'adaptent aux seules finances salariales disponibles du travail salarié, dont nous savons qu'elles irons en se réduisant par rapport à la progression des besoins dus à l’accès aux soins et à la retraite, avec un vieillissement qui s'allonge ou s'allongera.

NOUS vivons VIEUX parce que nous nous soignons.

Le seuil pivot n'est qu'un seuil comptable d'une recherche d'équilibre des comptes, absolument inadapté au futur qui se prépare.

La valeur du point sera l'AS de ce jeux de dupe qui est entrain de ce jouer.

La CFDT y tient car elle imagine pouvoir en maîtriser son évolution bénéfique, alors que le patronat c'est pour l'inverse.

L'universalisation de la retraite à long terme conduira à faire financer les régimes professionnels de certains d'employeurs par le régime des salariés. Les autoentrepreneurs en serons le cheval de Troie.

 

 

J’espère qu'avec mes quatre lignes nous avons compris que combler le déficit, par l'augmentation de la cotisation salariale ou seulement celle de l'employeur ou celle du budget de l'état, ce sera toujours le SALARIE qui PAYERA, que ce soit directement, par le prélèvement de sa cotisation, indirectement en achetant le produit qu'il fabrique au prix de vente contenant la cotisation patronale ou indirectement en finançant le budget de l’état par ses impôts et taxes (TVA),

 

Toutes les branches et tous les métiers ne sont pas égaux et c'est en fonction d'eux que l'on doit envisager, le départ à la retraite à taux plein, le métier impacte la durée de vie de ceux qui l'exercent.

 

Nous sommes à un moment charnière de notre vie. Si nous libérions la monnaie, il y aurait du travail a ne pas avoir assez de mains d’œuvre. Les gardes fous en seraient la recherche de productions renouvelables et les retombées écologiques.

Si nous restons sur la comptabilisation et le revenu du travail, alors il faut taxer les Machines ou trouver par le développement des Savoirs un revenus complémentaires à l'insuffisance de celui du travail pour conserver des régimes sociaux dignes d'une civilisation du profit.

 

Actuellement seulement 21 millions de salariés produisent la richesse sur l'initiative d'environ 2 militions d'employeurs qui en retirent leurs richesses parfois en y participant eux aussi mais certainement pas en étant actionnaires.

Or ces dernières années ce sont eux qui ont reçu la meilleure part du partage, et ce sont eux qui réclament un processus d'alignement des salaires par les bas.

Le financement salarial va diminuer de fait par la concurrence du moins disant et le développement du numérique.

Comment peut-on accepter que ceux qui produisent la richesse et nourrissent 46 millions de citoyens, en fin d'activité entre dans la pauvreté s'ils n'y sont pas déjà.

Cela n'est bien sur pas une réflexion comptable que nous devrions nous poser.

 

Encore une fois les citoyens seront roulés dans la farine par d’habiles communicants.

J'en veux pour preuve le discours qui conduit à parler des syndicats réformistes, comprenant la CFDT qui est devenu la courroie de transmission du PS, donc social démocrate.

Alors que le réformisme syndical aujourd'hui lutte contre l'exploitation de l'homme par l'homme, illustré par la CGT-FO historiquement depuis 1884 et la CGT après la réformation du PCF menée par Robert HUE, pratique aussi la politique conventionnelle que ce pouvoir entend réduire ou limiter.

Historiquement les commentateurs présentent la CFDT, CFTC, USA comme les seuls réformistes, renvoyant la CGT-FO et La CGT aux extrêmes.

Comme les communicants du pouvoir le font avec les partis politiques qui luttent contre le libéralisme capitalistique.

 

La charte d’Amiens réunit idéologiquement la CGT-FO, la CGT et d'autres syndicats qui s'en inspirent. Si à partir de 1920 les moyens de réformation ont différé entre-eux, la charte n'en reste pas moins l'appel à l’abolition du salariat et du patronat pour mettre un terme au capitalisme, mais qui encore l'apprend.

Extrait.

La Charte d’Amiens

Article 2, constitutif de la CGT,

modifié par le IXe Congrès de la Confédération,

Amiens, du 8 au 16 octobre 1906

Le Congrès confédéral d’Amiens confirme l’article 2, constitutif de la CGT. La CGT groupe, en dehors de toute école politique, tous les travailleurs conscients de la lutte à mener pour la disparition du salariat et du patronat… ; Le Congrès considère que cette déclaration est une reconnaissance de la lutte de classe, qui oppose sur le terrain économique, les travailleurs en révolte contre toutes les formes d’exploitation et d’oppression, tant matérielles que morales, mises en œuvre par la classe capitaliste contre la classe ouvrière , https://www.google.com/search?safe=active&sxsrf=ACYBGNQqWF8AtIa66HsoWFC071zWrqCzsg:1579030061636&q=charte+d%27amiens&tbm=isch&source=univ&sa=X&ved=2ahUKEwjXh6ev6YPnAhVE7eAKHYfQDRYQsAR6BAgKEAE.


 

Ce petit rappel fait pour indiquer que dans cette lutte c'est le capitalisme qui a gagné.

Par la voix des gouvernants élus il dicte l'application des voies auquel il s'est adapté pour réaliser un profit permanent et favoriser la demande par l'offre pour s'assurer une croissance rémunératrice, en prêtant ou investissant ses capitaux qu'il récupère majorés, en revendant les produits ou services à ceux qui les ont produit ou les rendent.

C'est il me semble une évidence que le syndicalisme a perdu la lutte de classe et l'émancipation salariale pour ne pas dire ouvrière.

L'émancipation ce n'est pas l'instruction, l'école n'émancipe pas elle enseigne ce qu'il faut savoir pour exercer les différents métiers dont nous retirons nos produits, nos services et nos administrations.

Nous exerçons une sélection discriminante professionnelle après une instruction générale inadapté a l'évolution des connaissances nécessaires pour s'émanciper dans le respect de la liberté de penser, qui ne peut être riche, que si l'intelligence humaine se nourrit de Savoirs et d'esprits critiques. C'est absolument l'inverse que nous développons.

Ce caractère que l'on accordait au citoyens français d'être ronchonneurs était l’exercice de l'esprit critique entretenu par un esprit de classe qui a disparu et avec lui l'émancipation exaspérante qui ne se plie pas à la normalisation.

C'est terminé, les citoyens sont rentrés dans le rang importé made USA et les quelques opposants reconnus et avoués sont jetés aux extrêmes.

Sauf qu'aujourd'hui les effets négatifs du capitalisme sont visibles, nous appelons cela l'écologie.

Et que fait le capitalisme il se trace sa voie à l'intérieur pour réaliser encore du profit.

Cette absence de vision globale qui ne s’acquiert que par les savoirs, ne bénéficient qu'à ceux qui sont dans des postes élitistes d'où la fracture intellectuelle qui nous a apporté les Gilets Jaunes avec des propositions archaïques qu'ils paierons en croyant les faire payer à d'autres et ce retour au local essentiel pour notre quotidien mais insuffisant pour une compréhension globale et solidaire de l'humanité.

Dans ce registre la réforme des retraites ne vise que l'immédiat, je pourrais dire le local, alors qu'il faut répondre à une interrogation que ce pose les jeunes générations qui se disent qu'ils ne savent pas s'ils bénéficierons d'une retraite.

Ils posent une interrogation existentielle à laquelle le pouvoir répond que comptablement, »vous auraient pour ceux qui le pourront les assurances privés ». C'est à dire l’égoïsme atavique au détriment de l’égoïsme solidaire fruit de la culture et de l'émancipation socialisante différente de la charité caritative aléatoire vers laquelle nous tendons comme au USA.

Que les syndicats veuillent préserver leurs acquis me semble sain puisque chacun organise sa vie avec et ont leur demande de les abandonner au profit d'une universalité qui n'est qu'un leurre dont la finalité est caché sous le vocable de la recherche d'un équilibre financier qui n'existera jamais car le montant des salaires dépendent de nos consommations et ce sont nos cotisations qui financent les retraites, même si nous prenons une assurance privé, elle coûtera seulement plus cher du profit des actionnaires.

Un dernier point.

Macron envisage de recevoir des citoyens tirer au sort pour écouter leurs propositions.

Je pense qu'il est tombé sur la tête comme ceux qui veulent tirer au sort les élus. Si les citoyens n'élisent pas des ouvriers c'est peut être qu'il y a une raison.

Une position de plus qui dénote que une majorité de citoyens sont dans la panade.

Si les salariés manquent l'heure du combat qui a commencé avec les Gilets Jaunes ils se préparent un avenir sombre.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 2 Janvier 2020

Ces tisserands ont cassé les machines à tisser lors d'une révolte. Leurs révoltes a influencé la pensée sociale du XIX siècle et ne rappeler que Fourrier, Proudhon et Karl Max.

Ils ont rendu célèbre l'adage « vivre en travaillant ou mourir en combattant ». Il est vrai qu'en ces années ce n'est pas la police qui réprime les manifs, mais l'armée les révoltes.

Ils étaient moins instruits que nous aujourd'hui et pour il ont su pour améliorer leurs conditions de vie, créer le Mutualisme, les coopératives, les conseils des prud'hommes.

 

Il créaient des coopératives de consommations, une presse ouvrière, et un outil de propagande caricatural les Guignols.

En fait si nous suivons l'actualité depuis 1989 tout ce que nous détruisons au nom du libéralisme capitalistique.

ILS TRAVAILLAIENT 18 HEURES PAR JOUR tant salariés qu'artisans.

Mais ce n'est pas cela que je veux traiter. Ce sont des points que je rappelle pour qu'ils raisonnement à nos oreilles en échos, à la presse, aux grandes surfaces, aux assurances tous ce qui depuis longtemps est passé aux mains des capitalistes au nom du libéralisme.

 

Ce qui m’intéresse est de faire le parallèle entre la révolte où les canuts cassaient les machines à tisser, source d'appauvrissement et de pertes d'emplois, et notre actualité qui traitait de supers marchés qui mettent en place des services sans personnels, grâce à la technologie numérique.

 

Il y a eu une levé de bouclier contre cela de la part des organisations syndicales bien compréhensible, d'autant que c'est là que j'y ai appris l'histoire des canuts.

Elles s’élèvent donc contre ce qu'elles m'ont appris qu'il ne fallait pas faire.

Nous pouvons comprendre cela chaque emploi perdu est un salarié en difficulté.

Pouvons nous donc en tirer la leçon.

 

Il me semble que NON.

 

Des années que j'écris que les entreprises n'ont pas vocation à CREER DES EMPLOIS.

Au moins aujourd'hui l'on ne peut plus me le contester.

Des années ou j'écris que les réductions de charges DETRUISENT DES EMPLOIS.

Depuis 1980 je dis qu'il faut se trouver une autres source de revenus que le SEUL TRAVAIL.

LA CGT-FO qui réclamait en 1970 une taxation machine avait RAISON DANS L'ESPRIT.

 

Que nous propose le pouvoir face à cela RIEN, si ce n'est d'augmenter le temps de travail.

Pourquoi pas dix huit heures, il y a des chauffeurs routiers qui n'en sont pas loin, ni des agriculteurs.

 

Le seul parti qui ait donné une solution, quoique boiteuse, c'est le SALAIRE UNIVERSEL.

La France Insoumise Propose une création d'emplois par l’organisation économique autour de l'écologie et de la MER.

 

Tous les autres partis s'accrochent à la réduction des charges et à l’investissement.

 

OUI, sous réserve que l'on trouve une NOUVELLE source de revenus pour les salariés. C'est à dire une création monétaire. Ce que nous le savons n'est pas le cas, tenu par l'UE et la BCE.

 

Alors à part la révolte que reste-il. Elle a lieu depuis UNE ANNEE, les gilets jaunes, sans résultat autre, que celui de devoir payer le double de ce que leur a octroyé le pouvoir.

Parce que ce sont les salariés qui financent TOUT.

 

Si sans comparer la violence des révoltes (qui pourrait être faites au début) nous observons qu'a quelques siècle de distance, la technologie est destructrice d'emplois, tout en améliorant le bien être, par la mise à disposition de ses productions et services, même s'il nous faut corriger les conséquences écologique et sanitaires qui en découlent.

 

Pouvons nous l'arrêter ?

 

NON ! L'évolution technologique du à nos savoirs booster par l''envie et la fainéantise, (je reformule par les désirs et la recherche de la facilité pour les avoir) n'a pas été arrêté par les Canuts et ne le sera pas par nous. Nous ne sommes pas maître de nos destins mais c'est une autre histoire.

 

Face à cette difficulté les Canuts salariés ou artisans ont mis en œuvre des solutions, ce que j'ai rappelé au début de mon article, c'est ce que nous sommes IINCAPABLES DE FAIRE.

Ce que sont INCAPABLE DE FAIRE LES GILETS JAUNES.

 

Il ne s'agit pas là de trouver des mesurettes qui ne changeront rien à la disparition programmer des emplois dans la ligne économique qui est la notre, c'est à dire attaché à la quantité de monnaie disponible mise à disposition par les riches.

Mais de trouver ou une nouvelle source de revenus, ou créer de la monnaie pour développer tous les emplois disponibles du au développement des conséquences de l'écologie et de l'économie de la MER,

Je le réitère dans un désert, IL NE MANQUE PAS DE TRAVAIL il manque de la monnaie DISPONIBLE.

MAIS, devons nous passer notre existence au travail, la réponse est NON. Nous développons des ROBOTS pour nous remplacer.

 

C'EST CON, MAIS SE POSE UN QUESTIONNEMENT EXISTENTIEL AUQUEL LA COMPTABILISATION DE L'EXISTENCE NE PEUT PAS REPONDRE, tc'es aussi cela rester HUMAIN.

 

Alors, et bien REVENDIQUONS comme l'on fait les Canuts, EXIGEONS de vivre digne et N’ELISONS plus ce qui nous tond la laine, l'organisation libérale capitalistique du travail.

 

Alors émergerons des penseurs et des intellectuels plutôt que des COMPTABLES.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 1 Janvier 2020

Supprimer l'impôt sur les Sociétés que paient les Salariés.
 


La fiscalité fait débat depuis des lustres.
Les impôts ont toujours mauvaise presse.
Les citoyens réclament que l'on impose le capital.
Cela nous conduit à pester contre la diminution de la fiscalité des Sociétés pester contre celles qui pratiquent l'optimisations fiscales ou celles qui fraudent dans vergogne.

Cela nous cause t-il réellement du tors ?
Qui la paie ?
C'est que je nous invite à regarder.

Les économistes ou les infos nous présentent toujours des analyses fragmentaires par élément ou groupes éléments retenus.
Commentés séparément et dissocié de l'ensemble ils ont peu d'intérêts, ils ne livrent pas ce qui s'y cache.

Ex, le taux de prélèvement est calculé sur tous les revenus qui y ont été soumis, moins les sommes redistribuées en prestations. C'est un calcul qui en vaut un autre,  c'est un choix politique.

L'on comprend que cela semble logique puisque ces prestations sont du Prélèvement. (Bien que certaines indemnités  y soient soumises)

Or le salaire des personnels du secteur public, du président aux élus, armée, police, éducation, sécurité sociale, collectivités territoriales et tous autres services ont leurs revenus salariaux ou non rémunérés par les PRÉLÈVEMENTS constituant le budget de l'état et celui des collectivités territoriales.

De plus tous ces personnels qui reçoivent comme salaire des prélèvements y contribuent également.
Cela revient à dire que les PRÉLÈVEMENTS sont imposés une fois de plus. Impôt sur l'impôt.
C'est comme si ces personnels remboursaient une partie des prélèvements perçu, s'auto finançaient.

Je poursuis avec un schéma d'ensemble d'école.

Une entreprise rémunére  100  son salarié pour un travail.
Ce salaire s'inscrit comme charge dans le plan comptable.
Sur ces 100 le salarié paiera la TVA, l'impôt sur le revenu,  les impôts des collectivités territoriales et les cotisations obligatoires.

L'entreprise sera également soumise à ces prélèvements.

Elle paiera l'impôt sur les Sociétés, IS, les impôts locaux, IL, et tous les PRÉLÈVEMENTS obligatoires, plus la TVA sur sa consommation de produits finis.

Au total  la somme des deux représente 45% de prélèvement sur le PIB. Soit 1077 milliards € en 2018
le lien https://www.lesechos.fr/.
Pour le cas d'école que je vais présenter leurs valeurs seront indicatives.

L'entreprise agit comme un filtre.

Tout l'activité économique passe par les structures de production réglementées par le plan comptable .
C'est le filtre d'où s'extrait le Bénéfice individuel de leurs propriétaires.
L'entité juridique à une Personnalité Morale,
Les citoyens une Personnalité Physique.

L'entreprise retirera ses moyens de fonctionnement de la vente des productions issus du TRAVAIL HUMAIN, et seulement de cela, quels que soit les intermédiaires technologiques ou animaliers.

Savoir qui est leurs clients est essentiel.
Car ce sera l'Humain, LUI, rien que LUI et toujours LUI.

La formation du Capital.
C'est la capacité à échanger de gré ou de force, produite ou volée,  développé au fil des siècles en accumulant les produits du travail Humain.
Cela quelle qu'en soit l'équivalent référentiel monétaire.

La rareté.

C'est la RARETÉ qui a forcé l'homme au travail, c'est à dire PRODUIRE ce que la planète ne DONNE pas sans un effort de travail humain de Transformation.

L'abondance.

C'est le désir "d'ABONDANCE" qui l'a pousser à l'exploitation de ces semblables et au développement technologique. ( Lien)

L'universalité.

Il y a pas au monde un CAPITAL qui ne vienne pas du travail Humain, quel qu'en soit le détenteur ou les modalités pour l'obtenir, ( tels les rapports financiers)

Ceci posé, pour ne pas croire que la richesse est créé par l'entreprise (PM) ou la technologie ou les animaux.
Ils ne sont que des prolongements de nos bras et de notre cerveau.

Le client.

Le client de l'entreprise sera celui qui possède un revenu. Un moyen d'échange.
L'histoire humaine en ayant nanti les possédants.

Le SALARIÉ.

C'est par là force que les possédants ont consenti à partir de 1804 de rémunérer les Humains qu'ils tenaient dans l'asservissement.
Ils sont devenus des hommes recevant un salaire, des SALARIÉS.

Le salarié sera le client essentiel de l'entreprise dans laquelle il travaille.

Il achetera ce qu'il produit avec le capital que l'entreprise lui verse comme salaire.

Une circulation simple.

Le capital verse un salaire pour produire,.
Ce salaire s'échange contre ce qu'il a produit quand le SALARIÉ qui la reçu, devient client et acheté son travail
Par cet achat le salaire retourne  au Capital majoré des besoins des propriétaires du Capital Investi pour créer une entreprise, dans le but de dégager des Bénéfices, et non de créer des emplois.

Je poursuis le cas d'école pour situer qui paie IS et IL

Le salarié Prélève obligatoirement, la TVA, l'impôt sur le Revenu, les versements obligatoired, soit au total 45 %.
L'on se souvient que l'entreprise lui a versée 100. En retirant 45 de PRÉLÈVEMENTS il lui reste 100 - 45 = 55 pour achèter son TRAVAIL.

L'entreprise nous l'avons vu soumise aux prélèvements verse au trésor public 45 comprenant IS et IL.

L'entreprise va devoir vendre à ses clients le salaire 100 + ses 45 de prélèvements, soit  145 de  versements obligatoires.
Elle transfère ainsi le Salaire et ses PRÉLÈVEMENTS, comportant IS + IL, sur les clients.

Frais de fonctionnement.

L'entreprise devra également vendre ses frais de fonctionnement et de structure.

Ils se composent de rien d'autres que les salaires et versements obligatoires + frais+ structure + dividendes des employeurs fournisseurs.
Ce n'est qu'une fraction de travail humain, augmenté d'une marge bénéficiaire, disons 55.

L'entreprise devra au minimum vendre son produit de 100 de Salaire + 45 de PRÉLÈVEMENTS incluans IS et IL + 55 de frais généraux et de structure = 200.

L'entreprise va calculer une marge qui lui assure en réalisant son chiffre d'affaire de couvrir tous ses coûts afin de dégager un Résultat Bénéficiaire. Admettons qu'elle envisage un resultat après impôts de 100.

Le chiffre d'affaire nécessaire sera égal à 100 de salaires + 45 de prélèvements + 55 de frais de fonctionnement + 100 du résultat espéré = 300.

L'entreprise devra vendre le travail de son salarié 300 pour espérer son résultat de 100.

Les l'employeurs ou les actionnaires, qui recevront ce résultat de 100 comme revenu,  verseront la TVA, l'impôt national et celui des collectivités locales, plus les versements obligatoires de leurs statuts d'employeurs ou de leurs rapports financiers.Disons 40.

Sur ces 300 l'état et les collectivités auront prélevé 45 du salarié + 45 de l'entreprise comprenant IS et IL, + 40 des employeurs = 130 de versement obligatoires.

Ces 130 rémunéreront les salaires des personnels des service publics, les indemnités des élus +  les frais de fonctionnement et accords internationaux pour rendre aux citoyens les missions qu'ils leur ont confié.

D'une certaine manière nous achetons les services de l'état et des collectivités, en rémunérant ses agents pour qu'ils les exécutent.
Nous indemnisons les élus pour que ce ne soient pas que les riches qui puisdent être élus.
Si nous pouvons trouver anormal que les salariés soient exploités, ce n'est pas qu'en tant que citoyens nous exploitons les salariés des services publics, ce à quoi nous souscrivons dans notre absolue crétinerie depuis 1995 en écoutant les discours lénifiants des Capitalistes qui veulent toujours réduire les charges, comme si elle n'avait pas une vie, humaine de surcroît.

Réduire les impôts, c'est réduire les services publics s'ils ne sont pas remplacer par une évolution technologique ou une obsolescence.
C'est réduire une obsession lié à un atavisme Monarchique, c'est nourrir une illusion que nous allons toucher du doigt

Dans le cadre d'une privatisation au lieu de verser 130 aux services publics à but non LUCRATIF, qui retournent au CAPITAL quand ses agents consomments.
Ces130 retourneraient toujours au CAPITAL majorés d'une marge pour dégager un Résultat Bénéficiaire plus important dans une société à but LUCRATIF.

Nous comprenons donc dans ce processus que le client salarié qui a versée 45 de PRÉLÈVEMENTS sur son Salaire de 100.
Quand il achète son travail que l'entreprise lui vend 300, il achète en même temps l'IS et IL.
C'est comme si le SALARIÉ avait paye directement au trésor public l'IS et IL avec son Salaire.
L'entreprise ne sert que d'intermédiaire comme pour la TVA.
Pour le schématiser, le capital verse 100 de Salaire, le SALARIÉ verse au trésor public 45, puis achète les 45 de l'entreprise.
Au total de manière directe et indirecte il finance 45 + 45 = 90. Et ce n'est pas finit.

Nous nous souvenons que le résultat Bénéficiaire est soit distribué aux actionnaires, soit directement encaissé par l'employeur.
Mais sous une forme ou une autre il est soumis à l'impôt sur le Revenu et à la TVA dans le cadre de la consommation.
Le SALARIÉ CLIENT achètant aussi le résultat Bénéficiaire, il achète l'impôt et la TVA qui seront réglés avec, de manière indirecte.

Il paie donc directement ses PRÉLÈVEMENTS, puis il finance ceux de l'entreprise et de l'employeur, pour rémunérer les agents de l'État et ses services qui les rendrons aux CAPITAL par leurs consommations. Soit 100 - (90 + 40) =  - 30.
J'espère que chacun mesure que le Salaire paie quasiment les PRÉLÈVEMENTS.

Pour le mesurée réellement, vous déduisez de votre salaire net  les charges patronale qui y figurent. Vous allez sur le net à gouV vous rechercher montant de l' impôt sur les société vous le divisé par le nombre d'actif moins les agents de l'État et des collectivités et vous obtiendrez approximativement ce que vous financer indirectement à soustraire aussi du salaire net, également moins votre propre impôt. Vous pouvez faire le même processus pour les impôts locaux, c'est un peut plus compliqué.
Vous approcherez votre pouvoir d'achat réel suivant votre rémunération.

Le prix d'un produit.

J'espère que chacun comprend que le prix d'un produit pour sa valeur intrinsèque ça N'EXISTE PAS.
Nous n'achetons que du travail humain rémunéré en fonction de l'utilité suggestive ou réel d'une production plus ou moins rare, comprenant une partie sociale le SMIC et une partie professionnelles, un revenu binôme.
À cela s'ajoutera le train de vie de l'employeur.

J'espère que chacun comprend aussi qu'il peut resituer les récriminations des employeurs qui se plaignent de payer L'IS et L'IL., Ils ne manquent pas de toupet.

C'est pas finit. L''emprumt.

L'on va oublier un instant que l'on se fait abuser par un état de vulnérabilité intellectuelle des salariés.

Nous avons vu que le TRAVAIL du salarié doit être revendu 300 par l'entreprise.
Or le SALARIÉ ne dispose que de 100 moins les prélèvements 45 soit 55.

Il va devoir emprunter pour bénéficier de son travail. Pour bénéficier de la valeur d'échange correspondant au travail fournit.
Son travail est vendu 300  et il ne dispose plus que de 55 nous l'avons vu.

Si nous tenions compte des paiements de PRÉLÈVEMENTS indirecte qu'il finance, il faudrait ajouter 45 + 40 = 90, il serait à moins 35.
Pour achèter son travail le SALARIÉ devra emprunter 55 - 300 = - 245.
À qui ? au CAPITAL contre un intérêt nous allons l'estimer à 20.
Le SALARIÉ rendra 245 + 20 = 265.
Son travail lui aura coûter 300 + 20 = 320 pour en disposer.
Nous voyons bien que ce que nous achetons n'est pas un objet, mais seulement du travail, de l'énergie humaine.

Il faudra un jour intégrer cette donnée d'énergie qui est une valeur universelle, comme le temps, pour calculer le prix réel du travail car l'énergie est mesurable.
Ainsi le produit du travail devient mesurable, le temps passé multiplié par l'énergie consommée divisé par le nombre de produits réalisés et c'est universellement comparable.

Nous avons fait la boucle. Nous avons compris j'espère qu'aucune entreprise ne paie d'impôts, elle n'est qu'une boîte à lettre.

Pour l'essentiel c'est le client salarié qui achète tout, le coût de l'entreprise et des ressources de l'état et des collectivités.

Quelques valeurs indicatives.

Des 28 millions d'actifs 26 sont salarié et parmis eux 5 millions dont des personnels de l'état et des collectivités.
En conséquence seulement 21 millions financent à peut près tout.
Cela n'est qu'un schéma caricatural car de nombreuses variations ont lieux, mais il est irréductible.
Le salarié touche 100 - 45 de charge reste,55 pour acheter son travail qui lui sera revendu 320, dans lesquels sont compris les impôts sur les sociétés qui sont l'objet de l'optimisation fiscale, l'évasion ou la fraude fiscale.

Si nous avons suivit le cheminement ce sont les salariés qui ont financé par leurs salaires et leur emprunt le montant de cette évasion fiscale ou de cette fraude.
C'est leur travail et pas celui de l'entreprise.

Je pense que nous pouvons concevoir que ce schéma serait un problème que compendrait un enfant de 12 ans si ont l'énoncé de la sorte; qui finance l'évasion fiscale et à qui elle profite ?

Un SALARIÉ ne peut pas ACHTER son travail qu'elle que soit le salaire qu'il reçoit.
L'organisation économique n'est pas faite pour qu'il en Bénéfice mais pour être exploité.

C'est aussi vrai pour les stars salariés du foot-ball où autres que l'on envie tant.
Leur club revend leur salaire à leurs supporters et aux télés qui elles revendent le tout à leurs clientèles (télés payantes) ou aux publicitaires.
Ces derniers rentreront ce coût dans le prix du produit du travail du salarié client, auquel il sera revendu même s'il n'aime pas le foot-ball.

Quel que soit l'élément ou groupe d'éléments que nous analyserons, remis dans l'ensemble cela nous ramène toujours au salarié client qui produit.

Si nous voulons savoir quelle est la valeur monétaire référentielle en vigueur de son travail nous prenons le PIB et nous le divisons par 21 millions d'actifs salariés.
Le PIB 2018 environs 2,660 billions de dollars US sur 21 millions de salariés égale 127 000 dollars US soit 114 300 € par salarié
Avec la prise en compte des employeurs actifs 24 millions au total , cela donnerait 114 000€ par actif.
L'on voit que noyé dans la masse moyenne leur travail actif n'est pas déterminant. Mais ce n'est qu'une vision, un regard, une mesure mathématiques, ce n'est pas la réalité, car les masses monétaires qui circulent dans le monde forment leurs capitaux,v sans qu'ils aient eu une seule fois envie de les partager si ce n'est que contraint.

L'evasion fiscale.

Elle est estimé entre 25 et 100 milliards, et seulement 16 de récupérer.
L'estimation n'est pas une donné fiable, mais rapporté au 21 millions de salariés environ 1190 à 4761€ par salariés qui sont à comparer au 114 300 € de production de richesse.
Tout ce qui peut être dit sur cette évasion fiscale c'est qu'elle ne bénéficie pas directement à la collectivité publique.
C'est à dire seulement à sa destination.
Car quel que soit sont usage elle est financé par le salarié et retourne au CAPITAL.

Ce sont des éléments comparateurs sans valeur réelle des inégalités patentes entre revenus, même au sein des employeurs actifs.

Dernier point.

La SA Personnalité Morale.

Plutôt drôle pour des entreprises qui exploitent leurs SALARIÉS.
Cela poursuivait un objectif que l'on impute pas sur les biens personnels des propriétaires le passif.
Les conséquences en sont maintenant, qu'il est, je l'espère plus facile de comprendre, quand une entreprise est juridiquement pénalisé nous savons qui PAIE.
Quand au nom du CETA une entreprise demandera des dommages à l'État nous savons qui PAIE.
Depuis 1976 j'ai intégré ce schéma quand un employeur m'avait répondu : je veux bien vous payer un millions si je peux vous le revendre.

Alors pourquoi ceux qui gagnent la richesse du pays sont ils incapables de réclamer leur dû ?
Sommes nous irrévocablement des Crétins ?

Cela nous laisse je l'espère interrogatif sur l'usage de nos capacités de réflexions et d'analyses.
Cela doit nous interroger ?
Comment des citoyens que nous instruisons, avec des capacités intellectuelles reconnues appartenir aux élites, acceptent le déroulement d'une exploitation d'évidence
qu'un enfant de 12 ans comprendrait ?
Comment nous même ne comprenons nous pas cela ?
Comment continuer à réclamer des salaires  que nous rachetons au double ?
Comment accepter encore qu'entreprendre emporte le droit d'exploiter les autres ?
La question qui tue !
Comment une PLANÈTE entière peut accepter cela sans se révolter ?
Ce questionnement nous renvoie, non pas au mathématiques mais à notre organisation psychique émotionnelle malléable, adoptable, c'est a dire a HUMAIN d'abord.

Chacun peut refaire ce cheminement  avec des taux de prélèvements exacts, mais c'est un casse de tête chinois sur lequel planche les ordinateurs du fiscs et du trésor public hors de portée de mes capacités et de ma calculette.

Tout ceci ne remet pas en cause la place des DÉCOUVREURS ni des ENTREPRENEURS, mais ils n'ont une PLACE que dans celles organisées par le groupe, dans la recherche atavique de l'abondance, qui n'apparait pas sans une analyse historique.

C'est cette même recherche de la facilité, du moindre effort qui nous conduit à n'être que des salariés soumis ou des entrepreneurs habiles pour cumuler l'abondance.
J'ESPÈRE que nous comprenons que notre organisation est culturelle, que la capitalisation de toute chose ne l'est pas pour sa valeur qui n'existe pas en dehors de notre imaginaire nourri par un atavisme innées.

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Rédigé par ddacoudre

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