Publié le 28 Décembre 2021
Sur la pandémie du COVID je me suis guère exprimer.
Elle est devenue le sujet journalier de l'information et surtout un débat d'opposition entre obligation vaccinal est ceux qui la refusent.
L'histoire du développement de la santé, de la prise en compte des causes de notre mortalité n'a jamais été le ne souci de ceux qui disposaient du pouvoir. Ces puissants s'occupaient de leur santé et n'en avaient rien à faire de celle de leur peuple.
Mais il serait acceptable de reconnaître ce souci au dieu des juifs qui preconisa des règles hygiénistes pour que son peuple reste pur.
Ce qui laisse comprendre que les hommes disposaient déjà de règles ou moyens de se soigner, comme chez les Grecs et Egyptiens et certainement l'usage de pratiques et connaissances empiriques ancestrales.
Jusqu'en 1347 à la suite d'une épidémie le pouvoir prend des mesures de santé publique jusqu'à lors assumé par l'église. 1918 suite à la grippe espagnole se regroupent tous les services de santé pour former ce qui deviendra un ministère..
Intervention de l'état n'est donc pas une première en matière d'épidémie.
Face à cette épidémie les réactions citoyennes et celles du pouvoir sont curieuses.
Au début le pouvoir fut jugé dépassé par l'événement, voire jugé incapable, être intervenu trop tardivement. Et aujourd'hui il est jugé totalitaire, voire liberticide et menteur, pire certains d'ajouter criminel.
Depuis de nombreuses années nous vivons dans des succès et progrès de la science, sans que nous ayons a nous soucier, ou avoir connaissance du temps et des échecs qui les ont précédé, comme si nous n'avions qu'à dire je veux à un génie et que cela se réalise.
Cet état d'esprit favorisé par le marqueting pollue notre réflexion soumise, dans une société maintenue dans la peur depuis 1990.
Y aurait il dû, y avoir un comportement citoyen responsable, certainement et quel aurait il dû être ?
Une fois le temps de l'hésitation relayé par la certitude d'une pandémie, ceci emporte d'avoir confiance dans des institutions mise en place, tel OMS et celles nationales
Or celles-ci sont suspectées à tors ou raisons de conflits d'intérêts.
Et d'autre part chacun a en mémoire,. de l'échec des mesures préventives de Roselyne Bachelot au sujet d'une pandémie qui n'en fut pas une.
Ceci pour dire que toute mesure est fonction également de savoir si ceu. sont ses amis ou non qui sont au pouvoir.
Actuellement la vaccination a été prise avant la réalisation de la IV° étape qui demande 10 ans d'observations suivant les préconisations française des services de santé pour la mise sur le marché. Ce qui n'est pas le cas au USA.
Cette prise de risques est reprochée au gouvernement, soit
Alors je rappellerais l'affaire du sang contaminé sous le gouvernement de Fabius.
Ces opposants, les gouvernants d'aujourd'hui, n'avaient de cessent de lui faire le procès de ne pas avoir autorisé le réchauffement du sang, mis en place au USA et de s'être plié aux règles sanitaires françaises de précautions, 10 ans avant une mise sur le marché.
Chacun voulant une mise en accusation de Fabius et Georgina Dufois pour mise en danger de la vie d'autrui.
Et aujourd'hui c'est l'inverse qui est reproché au pouvoir qui hier sur le même sujet
On t ils eu raison ?
Cela demande de répondre à plusieurs constat.
Y a t il des médicaments sans risques secondaires. NON
Parce que même une étude de 10 ans ne peut prendre en compte tous les états pathologiques et allergies des populations.
D'où une liste longue comme un jour des effets secondaires.
Certes pour préserver les patients des risques, mais également des abus de plaintes
Alors donnez moi une raison pour que ce vaccin n'ai pas d'effets secondaires.
En outre j'ignore s'il existe une étude comparative d'effets secondaires entre ceux qui ne pratiquent pas la IV° phase et nous sur d'autres médicaments.
Ensuite pensons nous que la population de manière responsable était à même de se protéger individuellement en respectant les mesures de protections individuelles pendant 10 ans.
Je réponds avec certitude NON.
Ce serait invivable.
Une incidence des nuisances psychologiques du confinement ont été mises en évidences. Quand serait il de la pratique de l'évitement.
Est-ce raisonnable s'envisager un monde où les gens de tiendraient à un mètre l'un de l'autre.
J'ai encore le souvenir du Taulé autour de l'absence de masques, comme si chaque citoyen ne pouvait s'en faire.
Enfin une évaluation des risques et des bénéfices d'une vaccination, a dû vraisemblablement être étudié.
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Ceci dit tout citoyen a sa propre mesure de sa responsabilité suivent son opinion dûment informé et c'est à juste titre que chacun aurait dû être mis face à celle-ci.
Donc rester libre de se faire vacciner ou de choisir la protection individuelle.
Il n'en demeure pas moins que la plus critique et difficile en est, de ne pas mettre en danger la vie d'autrui dans son travail où sa vie sociale.
D'où un nécessaire de se soumettre volontaire a dépistage régulier.
Je suppose que des estimations ont dû être réalisés sur les risques de prolifération de l'épidémie durant la période sans vaccin de 2020 d'où les mesures drastiques de confinement.
Sans ce risques elles ne se justifiaient pas, sauf qu'elles n,ont jamais été soumises aux citoyens pour qu'ils soient capables par eux mêmes d'une évaluation responsable de la situation.
Sans même connaître les chiffres à moins que l'on me démontre le contraire, je n'imagine pas que la situation soit pire avec le vaccin que sans.
Ce vaccin se comporte comme tous ces prédécesseurs sur d'autres maladies infectieuses que nous avons vaincu la tuberculose, le tétanos avec ses rappels, la grippe tous les ans.
Il ne couvre pas a 100%, alors qu'a écouter les débats ils donnent l'impression que chacun veut un vaccin miraculeux qui se trouverait ailleurs, dans un monde mysthique du risque Zéro. Dans notre monde ça n'existe pas.
Dans ce cas il faut attendre après les petits pas de la science, qui en l'espèce a répondu très rapidement.
Ceux qui sont habitués à lire des revues scientifiques connaissent la place du temps.
L'institut Max Planck travaille depuis des années sur un filtre du sang pour retenir les cellules cancérigènes. Cela aboutira ou pas, dans un cas le public le saura dans l'autre non, seul les abonnés à ces revues seront informés et encore pas toujours.
Ne pouvant tout savoir il y a une indéniable confiance à avoir en nos services santés.
Mais tout se déroule comme s'il était n'interdit d'avoir des avis ou opinions divergents, d'émettre des suggestions et hypothèses face à une vérité que détiendrait le pouvoir.
Cela sans tenir compte des opposants au pouvoir qui s'en sont emparés à des fins politiques.
Le gouvernement c'est montré totalitaires et répressif justifiant en cela de justes oppositions, quant à la liberté de chacun de choisir de se faire injecter dans le corps quoi que ce soit. Chaque citoyen doit le faire avec son assentiment.
C'est je pense, pour le futur, une règle à respecter face à l'homme augmenté qui avance.
Mais cette liberté à un prix, celui d'accepter le nombre de morts qu'il y aurait eu de supplémentaire dans la comptabilisation des décès par effets secondaires à celle que l'on ne peut pas faire dans le cadre de la liberté de choix.
Je pense que tous ceux qui ont dû subir les affres de leurs refus devraient déposer une plainte devant la cour européenne des droits de l'homme ou le TPI.
Car ceux qui se sont fait vacciner non pas lieu de se plaindre que l'on met leur vie en danger car le taux de couverture du vaccin n'est pas de 100% en plus des effets secondaires.
https://www.journaldesfemmes.fr/
Le dernier point à aborder est la durée de cette pandémie à variants. Va t'elle se perreniser ou pas. J'ignore si des spécialistes peuvent ou non répondre à cette question. Des épidémies sont apparues puis disparues sans que l'on sache pourquoi et comment en des temps où les hommes n'avaient pas nos moyens médicaux, mais je pense que là, se tient la réponse à une vaccination obligatoire comme ils en existent ou recommandé comme la grippe.
Dans le cas d'une prolongation sine die, la situation des non vaccinés deviendra invivable pour eux.
Mais alors je pense que malgré leurs réserves éthiques ou peureuses ils choisiront d'eux mêmes de se faire vacciner, d'autant que les chercheurs poursuivront leur quête d'un vaccin adapté à la particularité mutante de ce virus.
C'est du moins ce que me suggère ma raison qui n'est pas forcément celles de collusions d'intérêts, ce qui serait abominable et justifierait qu'on nationalise ces sociétés.
Mais que penser globalement de la situation.
Que globalement les peuples des nations dans leurs ensembles sont loin d'être des citoyens pleinement adultes sociologiquement face à la complexité du monde qui
nous a presque tous pris de vitesse dans ces 50 dernières années, face à l'évolution des Savoirs, et ce n'est pas le net avec wikipédia qui va pouvoir refaire le retard.
Avant le net c'était les prêches des curés, cela n'a pas suffit il a fallu ouvrir des écoles pour tous, nous en sommes au même rapport dans la mesure d'échelle.