Un Projet de société.

Publié le 28 Janvier 2011

 

 

Les élections en perspectives offrent l’occasion de s’adresser aux postulants, et eux de faire connaitre leurs projets.

En la demeure les  primaires, même si j’étais contre, engagent un débats d’idées si longtemps absent  de notre pays. Certes il y a peu d’innovations tant chacun circulent dans les mêmes sentiers, et tant nos difficultés sont récurrentes d’un système capitaliste tricentenaires modifiant son paradigme. Je m’en suis expliqué dans un article « les aveugle de Breugle ».

Ce n’est pas un reproche en l’espèce, nous sommes instruits dans un même moule, donc difficile par la réflexion de sortir d’un seul modèle de pensé. C’est l’Être bloqué et nos élites n’y échappent pas.

Il nous faut donc des électrochocs pour sortir de notre ronronnement. Souvent des conflits ou des difficultés nous obligent à nous retourner sur nous même et en émergent des audaces.

C’est le débat d’idées qui devrait si substituer, pour ne pas être obligé de passer par des conflits militaires, car il est mobilisateur de conflits moins meurtriers.

Or les oligarchies au pouvoir imposent par le marché leurs pouvoirs aux états, ne laissant aux hommes politiques que celui du contrôle de la pensé, des populations et de la maitrise de la contestation. Aussi en muselant toutes tentatives de « conflictualisassions » des relations sociaux-économiques par la répression policière, meurent dans l’œuf toutes possibilités d’innovations.

 

La situation est à ce point grave qu’au niveau de la communauté européenne il est envisagé une définition du terrorisme économique qui enterrerait définitivement toutes formes de contestation par le boycott et à cour terme y ferait entrer le droit de grève.

Ainsi toutes les portes de possibles innovations se ferment.

Il faut comprendre en cela quelque chose de fort simple.

Par la comptabilisation de l’existence humaine  nous avons fabriqué et élaboré des outils mécaniques traitant de milliards de données, dont le service n’est pas contestable, mais nous avons également formé des milliers d’hommes à leur utilisation, à tel point qu’ils sont devenue eux aussi des outils performants que nous avons portés en toute logique aux commandes de toutes les oligarchies.

Il devient donc peu probable que d’elles viennent des nouveautés ou des audaces, car elles les mesureront avant toute chose à des outils mécaniques prés programmés qui ne pourront rien déterminer d’autre que ceux pourquoi ils ont été construit.

En résumé si chacun comprend que dans une entreprise l’on ne donne pas le pouvoir aux machines, il serait temps que nous comprenions que celui du monde nous l’avons confié aussi à des machines, ou des modèles, ou des systèmes qui cooptent tous, des hommes pour les gérer, et auxquels ils retirent toutes créativités ou innovations autres que celles qui leurs sont consubstantielles et musellent toutes critiques de leurs imperfections.

Ce sont ce que j’appelle les « dominants systémiques » au sein desquels l’humain disparait.

 

 

 

 

A l’écoute des propositions, nous entendons toujours les mêmes, le partage de la richesse, une meilleure répartition la lutte contre ceci ou cela etc.

Si cela est déjà une bonne chose, et n’est pas négligeable, ce ne sera pas suffisant pour innover dans les relations économiques d’une économie capitaliste qui a conquis le monde en restant sur la base d’un truisme animalier, dominant dominé, qui n’a vécu qu’une courte évolution en 1804.

C’est le passage passé de la servitude contrainte de l’antiquité à la contrainte volontaire par le louage de sa force de travail à partir de 1804.

Nous sommes donc toujours sous l’égide du dominant et dominé, nous sommes toujours dans l’ordre des comportements animaliers que nous imaginons par outrecuidance avoir laissé derrière nous, comme si cela était possible.

Nous n’avons pas franchie le seuil de partenariat économique, étape indispensable pour ériger un nouvel âge économique que nous pouvons définir ainsi : 

Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.

Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans l’aides des tiers, il ne parviendrait pas à ses fins.

De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers.

 

C’est déjà un peu ce qui se pratique dans les scops, leur structure n’empêche nullement la formation de capital, seulement il n’est plus entre les mains de quelques particuliers.

Cette forme d’organisation productive est reprise dans certaine proposition sans être pour autant une innovation. Elle change le rapport dominant à dominé et offre une nouvelle forme de relations économiques dans l’entreprise, qui dans le cadre d’un mode de production répandu influencerait à n’en pas douter les relations humaines dans la « coresponsabilisation », contrairement à l’esprit d’entreprise, qui vassalise les salariés et par extension les états par le jeu de la démocratie, car ils votent pour ceux dont ils se sentent solidaires. Existent autour de cela des difficultés que je n’aborderais pas.

 

D’autres proposent des renationalisations de certains secteurs, bien, c’est un choix politique, il n’y a aucune contre indication technique, seulement un débat public privé essentiellement dogmatique.

Tous n’ont pas encore compris que l’axiome d’Adam Smith et mort sous la pollution que n’a pas perçut le seul intérêt particulier.

 

Pourtant croire que tout ceci suffira pour le futur n’est pas suffisant, cela résoudrait un certain nombre d’inégalités, nouerait de nouvelles relations économiques, sans nous rendre plus compétitif sur les marchés des moins disant qui se réalisent sur la base d’une exploitation de la main d’œuvre des pays d’Asie, dont l’on nous propose d’adopter leur conditions pour être à égalité de compétition.

Certes les tenant de cette option ne le disent pas clairement, mais réunissent les conditions de son exécution, et prônent un seuil social universel, dont l’on voit mal qu’il soit sur la base du mieux disant. Pour ceux qui ont de la mémoire M Chirac parlait de « moyennisation » d’un seuil social.

 

L’équation à solutionner est la suivante, la population mondiale augmente, heureusement pas exponentiellement, elle se regroupe essentiellement dans les métropoles engendrant une concentration humaine source de difficultés, d’autant plus que l’empilement est vertical.

Corrélativement la circulation de l’information fait se propager une aspiration des populations au bien être occidental basé sur le consumérisme et les solidarités.

Dans ce même temps les productions basées sur l’extraction du pétrole représentant environ 70% des productions aux quelles aspirent les populations ne pourront pas être remplacées à hauteur égale par leur substitue, d’où l’intérêt que nous avons pour la récupération etc. malgré la recherche de nouvelles sources de gisement que rentabilise le prix de vente du baril qui couvre les coûts.

Brièvement la possession de la rareté source de motivation est à se répartir entre plus de personnes, et forcément dans cette compétition certains restent et resteront sur le pavé, et tous les pays se battent pour que ce ne soit pas eux, y compris dans l’UE.

En fait une redistribution des rôles et des productions c’est réalisé et de nouvelles puissances prennent leurs essors ayant aspirées ou importées le Savoir et savoir faire occidental, et les oligarchies multinationales occidentales ont trouvé dans ces pays les conditions d’exploitation digne du  19 ième siècle pour y réaliser leurs marges, il nous est quasiment devenu impossible d’arrêter cela, car toutes les innovation qui critique la Machine sont tués dans l’œuf par les forces du maintient de l’ordre, que ce soit dans les démocraties ou les dictatures.

 

Je ne veux pas dire par là qu’il serait impossible que par la résistance des populations se développes des conflits, mais ceux-ci ne rempliraient pas les puits de pétrole ni les mines de matières premières.

Au contraire ils accéléreraient leur épuisement et accroitraient la rareté et toutes les dérives et déviances qui en découlent pour se l’approprier, d’autant plus que les populations seront concentrées sur des espaces restreints (mégalopoles et urbanisations verticales).

Simultanément la recherche, si elle innove dans les productions de substitution n’offrent pas les moyens d’une relève à la hauteur de la consommation, ni l’orientation des productions vertes étranglés par la profitabilité.

Nous consommerons donc toutes nos ressources et accroitrons de ce faits les rejets polluants, même s’ils constitueront une activité de remplacement, sous réserve de les sortir de la loi du marché qui ne favorise que les innovations lucratives.

Il faut comprendre simplement que les détenteurs de capitaux, duquel les populations participent par leurs placements de l’épargne, n’investissent que dans des projets rentables à leurs intérêts particuliers pour couvrir des frais et distribuer des dividendes.

Ce n’est donc pas sur leurs fonds qu’il faut conter pour mener des politiques d’intérêts collectifs, comme celui de la dépollution de la lutte contre la délinquance etc., sauf à leur emprunter cet argent contre remboursement.

C’est ce que nous faisons depuis 1973 et la crise de l’endettement montre ses limites.

Aujourd’hui face à la crise de l’endettement  désarmant tous les états dans leur logique entrepreneuriale, il n’y a que deux alternatives soit organiser la régression des moyens d’intervention de l’états et l’austérité sociale, soit recouvrer le pouvoir régalien de battre monnaie, que ce soit dans chaque états ou au niveau de la BCE, parce que la croissance qui permettrait d’alléger la dette de reviendra pas, d’autant moins que nous restons dans la poursuite du consumérisme que réclament les exclus et les classes moyennes au nom de l’égalité et de la répartition des richesses, et cela accroitra la rareté.

 

Tous les états se trouvent devant cette situation sans disposer des moyens d’en inverser le cours, d’autant plus, que tous, conscients de cette impasse ont développé la lutte contre toutes les initiatives alternatives qui pourraient se faire jour en développant la policiarisation de leur société, en faisant naitre ce désir chez leurs concitoyens, sur les deux bases les plus connues, la lutte contre le terrorisme et l’insécurité.

Le fait que tous les états aient développé la même structuration, dans le contrôle de leurs populations, démontre une stratégie d’acteurs, démontre une organicité volontaire consubstantielle des « dominants systémiques » (même si elle est complexe) afin de museler toutes contestations en l’encadrant par les forces de police et en criminalisant toutes agitations belliqueuses.

Enfin un dernier élément en l’état, la croissance permanente d’une immigration ne se jugulera pas, même par un replie sur soi ou quelque politique d’immigration que ce soit.

 

J’ai essayé de résumer l’équation complexe que nous avons à solutionner, et nous pouvons la résumer en une phrase : où trouver une nouvelle source de richesse capable de maintenir une croissance source d’emploi et de socialisation afin de redonner une consommation de biens durables renouvelables, assurer une promotion sociale, rompre la spirale sociale de la délinquance, et permettre aux états de garder chez eux leurs populations.

 

Cette source existe, nous l’utilisons depuis la naissance de l’homo-sapiens, c’est notre intelligence, elle s’est développé difficilement par l’empilement de savoirs réfutables toujours laissés au bon vouloir des nécessités nourricière et sociétale dont elle est indivisible.

 

Si l’industrialisation à fait exploser les Savoirs, nous demeurons accrochés à la valeur travail et attendons du savoir qu’il débouche sur un emploi.

Mais nous ne nous sommes jamais interrogés s’il pouvait être en lui-même une source d’activité rémunératrice. Nous n’avons jamais imaginé si l’éducation permanente de la société de Delors et Chaban Delmas pouvaient devenir une activité à part entière au même titre que les services le sont devenus, que les emplois tertiaires le sont devenus élargissant la notion du travail à toutes activités rémunérés en dehors de la seule acception marxiste.

 

De quoi imaginer que permettre un enseignement permanant rémunéré des populations, actives ou non, pourrait être un élément moteur de la croissance générant son propre dynamisme comme l’on été les congés payés, la réduction du travail, générant les loisirs et le bricolage (le faire soi même). En quoi cette activité serait moins porteuse de croissance que le football par exemple, ou tous les championnats du monde.

 

Quelle est la ville qui n’a pas son ou ses stades, son ou ses gymnases, qui les empêcheraient d’avoir des centres d’enseignement pour adultes.

Imaginer la masse d’emploi mobilisable en matière de travaux public et du bâtiment, en formation de formateurs, en création de fournitures pour la construction de ces centres d’enseignements pour adultes.

 

Dans une estimation rapide en 1999 j’avais évalué l’engagement financier à auteur de 1400 milliard d’euros, et le revenu distribué pour un enseignement à mi-temps sur la base du smic en complément au revenu du travail  ou en remplacement suivant les situations à 772 milliard d’euros.

Nous avons là à la fois les moyens de développer l’intelligence des populations, et celui d’accroitre la possibilité que surgisse dans les cerveaux des uns où des autres, la ou les innovations qui demain seront peut-être notre futur.

 

Occuper les populations à une activité éducative dans des lieux réservés à cet effet créera forcément une émulation et une compétition reléguant à l’archaïsme le paraitre consumériste. 

Encore aujourd’hui beaucoup ont du mal à comprendre que le « libéralisme capitalistique» dont certains nous assurent les mérites, en référence à son historicité distordue, n’est que de l’archaïsme animalier.

Certes ils ont la certitude de savoir que nos comportements grégaires enfouis seront prompts à ressurgir, mais delà à expliquer qu’il s’agit d’une modernité il y a un pas qu’ils ont allégrement franchi, niant sans cesse que c’est du conflit et de l’émancipation que sont sortis toutes nos réalisations grâce à des découvreurs, et non à un dogme.

Ou alors il faut accepter que les imperfections du dogme génère du sens, d’où le comportement régressif de la pensé unique.

 

Une telle perspective d’enseignement rémunéré pour adultes rencontrera inévitablement des handicaps. Le premier et celui du permanant refus de s’instruire, il nous affecte déjà enfant, il repose sur un comportement biologique qui fait que nous pensons à toutes les étapes de l’existence disposer du savoir nécessaire pour comprendre notre environnement. Je l’ai dit nous ne pouvons pas nous extraire de l’animal humain, mais nous pouvons le guider.

Nous pouvons lui expliquer que les éléments constituant la compréhension du monde d’aujourd’hui n’est plus à la porté de nos seuls sens, je l’ai écrit, ils sont si limités que nous utilisons des machines, alors ces centres serait un moyen de refaire ce retard.

Ensuite les populations considèrent l’enseignement des savoirs seulement comme un moyen d’accession au travail concernant une période classé comme adaptation au monde adulte.

Or il est plus que cela il est la substance qui a nourri notre évolution pour sortir de l’âge de pierre. C’est pour cela qu’il est nécessaire de disposer d’un savoir faire correspondant aux nécessités et d’un enseignement général à poursuivre tout au long de l’existence, assuré que nous n’en viendront jamais à bout et qu’il sera une source de croissance limitée que par notre propre existence.

La période de construction des centres d’enseignement constitueront un investissement productif pour les entreprises, donc permettrait des investissements et fournirait des placements aux fonds qui nourrissent la spéculation.

Mais nous pouvons comprendre deux chose, l’une que ce n’est pas un projet à la porté des individus, deux qu’il ne peut que poursuivre un intérêt collectif dont les individus retireront diversement leur intérêt.

Toute fois à terme le financement d’un revenu pour un enseignement rémunéré ne peut se réaliser que par l’investissement de l’état dans un projet d’intérêt collectif se mariant aux intérêts individuels représenté par le capitalisme qui s’en réformera de fait mieux que si nous avions voulu le faire.

Ajuster les deux ne présente pas de difficultés particulières qui soient en dehors de nos moyens.

Certainement cela fera bouger les lignes des pouvoirs comme celles de l’offre et de la demande, bien sur notre relation au travail évoluera, il en découlera forcément l’abandon d’activités ostentatoires que nous développons pour maintenir l’emploi et d’autres naîtrons.

Dans un tel scénario la relation du travail deviendra une relation partenariale, genre scops (mais ce n’est pas limitatif tout le monde ne souhaitera pas partager les profits et les pertes), ce qui n’empêchera nullement la formation de capital, sauf qu’il ne sera plus dépositaire de quelques oligarchies, de fait elles se dissoudront sans qu’ils besoin de lois anti trust, redonnant ainsi le pouvoir aux politiques et de ce fait à la démocratie.

Les stratifications sociales qui en découleront en fonction du mérité seront moins contestables, même si nous savons ne pas pouvoir supprimer les distensions humaines car le monde idyllique n’existe pas.

La compétition demeurera une émulation et non un moyen d’élimination  des plus faibles en les renvoyant dans des ghettos d’où émanent les dérives et les déviances pour survivre.

Importé dans les états, l’immigration s’inversera les populations les moins prolifiques la réclamerons où délocaliseront leurs productions (désolé pour ceux qui font leur commerce sur ce thème)

 

Est-ce une innovation de se diriger dans cette voie, pas tout à fait, nous y sommes en permanence depuis des siècles, c’est une des capacités essentielles des facultés humaines, nôtre aptitude à l’apprentissage et à l’inventivité qu’il en émane.

C’est d’elle que sont sortis toutes nos réalisations, même les pires chez ceux qui croyaient détenir la vérité.

Nous y avons pensé, c’était le « capital humain », l’association en dit long sur la restriction quelle emporte.

 

En fait nous ne ferions que démocratiser les savoirs tout au long de l’existence en franchissant une étape supplémentaire, un saut dans la civilisation que nous mesurons en possessions, dont nous savons qu’elle est productive, car c’est au savoir des élites d’antan et à la scolarisation obligatoire des populations que nous devons notre prospérité d’aujourd’hui.

Si nous ne détruisons pas tout dans une troisième guerre mondiale qui se dessine, nous seront obligé de nous engager dans cette voie, ce n’est pas celle des hommes aux esprits bloqués qui hantent les instances de décision fier de réduire l’existence à une mesure comptable, et sans projet humain autre que s’auto-éliminer.

 

Je ne pense pas un seul instant que nos élites ne soient pas consciente de cette impasse, sauf qu’elles se tiennent par le revers de la veste comme les aveugles de Bruegel, ou ne sortent pas de l’autoroute que leur trace la loi du marché.

 Donc ils n’auront jamais connaissance qu’en dehors d’eux ils puissent exister des sentiers différents, ou d’autres paysages au delà des barrières de sécurité de leurs autoroutes.

 Certes ils vont vite, arrivent à destination, surveille tout le trajet, mais en définitive quand survient un incident il devient dramatique car elles ne vivent que dans un couloir.

Fort de leurs faits (machine), imbus de leur Être, ils sont pour beaucoup entrés en religion, c’est pour cela qu’au travers de la gouvernance mondiale ils en appellent à un Pape.

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

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