Publié le 3 Avril 2019
La planète absorbera absolument tous nos déchets, tout le fruit de nos erreurs, toutes les conséquences de nôtre cupidité, tout l'orgueil de nos ignorances, tous les paraître de nos vanités.
Serions nous dieu ?
Quelle prétention, ce n'est pas la planète que nous devons sauver, c'est nôtre peau.
Il n'y a que face aux dangers que nous comprenons qu'il faut nous sauver.
Pourtant il ne nous est pas acquis de mesurer et connaître ma place de notre environnement.
Pour le moment nous n'avons que nôtre être doté d'un cerveau lent et de sens limités. C'est donc la chaine de vie qu'il nous faut préserver, mais nous ne pourrons pas reboiser le monde, pour cela il faudrait que l'humain disparaisse, car c'est lui qui l'a rasé. En avons nous disparu, il semble pas. Ce que nous n'avons plus pu tirer du bois nous l'avions extrait du sol. Alors allons nous rasé le sol.
C'est quoi qui fait la différence ?
Nous le savons, la capacité de la planète à résorber nos déchets. Nous connaissons l'échelle des valeurs d'absorption, les déchets nucléaires c'est 25000 ans par kg. Ouf ! Même Mathusalem n'en verrait pas la fin.
Nous polluons depuis l'usage du feu, c'est sa chaleur qui nous à permis de craquer la matière pour nôtre bien être et notre malheur. Sauf que celui-ci n'est pas du au feu, mais à son usage.
Nous n'avons pas choisi de disposer de la capacité d'adaptation ni d'apprentissage par le mimétisme.
Son développement suit la difficulté à survivre. Nous pensons la maîtriser, alors que c'est l'erreur qui guide nos choix.
Qui c'est combien humains sont morts avant de comprendre que l'amanite tue-mouche est vénéneuse.
Combien de temps a t-il fallu au Grec avant de comprendre que leurs moments de débordements étaient le résultat d'un champignons de formation dans leurs silo à grains. La liste serait longue.
Nous n'avons pas à culpabiliser d'avoir pollué. Car c'est en l'observant que nous en prenons conscience, mais toujours trop tard. Quand nous la mesurons c'est qu'elle a produit ces effets et l'on ne peut plus revenir en arrière. Seule nôtre mémoire connaît le passé.
L'industrialisation.
Elle nous a apporté le confort et la sécurité alimentaire.
Comme des vautours ses précurseurs sont allés puiser autour du monde la matière première, jusqu'à l'accélération apportée par les produits fossiles, le pétrole. Il entre pour plus de 70% dans nos productions. C'est dire, en songantà aux réserves que nous consommerons, en polluant à hauteur de leur quantité, que réduire la consommation ne changera pas la quantité de pollution produite.
Lavoisier.
Il a dit : rien ne perd tout se transforme.
Nous l'apprenons qui ne savais pas cela.
Alors nous pouvons nous interroger, afin de comprendre pourquoi nous avons glisser dessus. Nos élites, nos initiés, nos vaillants entrepreneurs, nos fiers innovateurs, nos repus consommateurs, le savais. Tous nous le savions, nous avons et polluons en connaissance de cause. Même tous ceux qui la denoncent comme moi. Nous y sommes condamnés pour longtemps encore.
Les sots.
Alors n'ecoutons pas les sots qui vont nous dire, et qui nous disent que nous allons y parvenir grâce à des taxes.Virons les du pouvoir, ils ont rien compris.
Ou soyons honnêtes, ils le savent, mais il faut qu'ils incorporent le coût de la transition écologique dans l'économie capitaliste, c'est a dire que ces derniers puissent retirer un profit de cette orientation sans devoir la financer.
Pour ceux qui ont lu le Taxateurs ils savent que ce sont les clients qui paierons tout, donc les 22 millions de salariés.
Les raisons.
Elles sont avant tous psychologiques.
J' en ai fait la liste. Depuis les Grec antiques nous essayons de faire entrer de la raison dans nos comportements, en vain. Nous prenons la rationalisation comptable pour de la raison, et nous lui laissons diriger nos existences. Depuis longtemps j'ai écris que l'humain ne survivrait pas à une comptabilisation de l'existence. Sachons que ceux que nos élites copie, moment, les usa, ils ont évalué la planète en dollars, je laisse chacun méditer cela.
Donc si nous recherchons les raisons psychologiques pourquoi en sachant nous laissons faire, peut être trouverons nous. Par exemple que nous croyons décider de nos existences alors que ce sont des dominants systémiques qui nous dirigent dont nous avons intégré les règles, ce que Freud nommait les tabous et les totems. Sauf que nous avons depuis longtemps dépasser ce stade en faisant du langage mathématique le maître de nos vies.
Nous mourrons.
Et oui ! C'est cruel pour ne pas dire con. Mais c'est moins la mort qui nous souci que la manière dont nous nous sommes octroyer le droit de la donner. Chacun se souvient des décapitations de l'EID jugés barbares et y préférons la guillotine comme le réclame certains citoyens.a
Il est exact de reconnaître que l'ignorance des effets polluants de nos transformations pétrochimiques pour subvenir à nos besoins pour ne parler que de cela a tué, heureusement moins d'hommes que d'autres existences . Le midi s'en souvient-il avec la demoustication à la DDT. Une chaîne alimentaire a été détruite pour le plaisir de nos vacances. Je l'ai vécu et je n'ai pas protesté, nous allions avoir des emplois par milliers. Tampis pour la chaîne alimentaire elle ne produit pas de monnaie. Nous avons tous vécus comme cela et l'on nous propose de continuer pour l'emploi ici ou ailleurs et ceux qui font prévaloir les emplois que peuvent créer la transition énergétique et écologique sont entendus au compte gouttes.
D'autres sources de revenus.
Est-ce interdit par la pensée unique d'imaginer, de créer, d'envisager d'autres sources de revenus que celui du travail.
Que ferons nous quand nous aurons mis les robots à nos places. Poser donc la question à ceux qui vont nous sauver avec l'Europe entrepreneurial.
Il est curieux qu'ils ne conçoivent l'innovation que dans le cadre d'un travail lucratif, d'où la transition publique vers le privé.
Et c'est d'eux que nous espérons la transition écologique.
Pourquoi croyons-nous à tout cela.
Les regardons nous comme nos mandants ou comme nos maîtres élus dont nous attendons d'eux ce qui ne feront pas, nous imaginer de nouvelles sources de revenus. Comme être rémunéré pour aller s'instruire, car ce sont nos savoirs qui apporteront la solution à ces déchets qui vont changer nos existences. C'est lui qui nous permettra de ne pas attendre 25000 ans pour supprimer un kilo de déchets radioactifs.
Oui le savoir nous tue aussi.
Nous le savons. Quand nous ignorons ses effets secondaires nous savons que nous ne pouvons y échapper et c'est acceptable jusqu'à ce que nous le sachions.
Sauf que quand nous le savons, ceux qui en retirent un revenu ne veulent pas le perdre et nous continuons en pensant combien de morts sont acceptables pour bénéficier de nos addictions consuméridtrs. Car toutes restrictions nous sont cruelles. Alors nous attendons que çà craque.
Nous ne sommes pas des victimes.
Non nous ne sommes pas des victimes de la pollution nous l'avons engendré pour de la monnaie et nous n'en prenons pas la mesure pour la même raisons.
Nous ne sommes pas les victimes de nos ignorances nous la maintenons pour la même raisons.
Il en sera ainsi tant que nous croiront que l'intérêt individuel vaut mieux que celui collectif.
Si nous mettons tout en œuvre dans notre seul intérêt naturellement, celui-ci ne conçoit pas à l'intérêt collectif comme le soutiennent ceux qui érigent encore l'axiome d'Adam Smith en vérité absolue.
La pollution lui a donné tors.
Il serait peut être sage d'évaluer ce que nos connaissances, nos techniques nous permettent de réaliser sans recherche de coût mais dans le cadre d'une faisabilité, d'une empreinte écologique pour créer les masses monétaires nécessaires.
Sachant que d'ici que cela se mette en place je serai mort, et la grande motte sera sous l'eau.
Tampis si nous sommes les seuls à le faire et que ce soit un coup d'épée dans l'eau, si nous ne sommes pas suivi par les élites
Mais il n'y a aucun espoir d'y arriver en restant seul enfermer dans notre bulle égologistes et même si c'est lent parce que notre cerveau l'est.