Publié le 3 Avril 2019

La planète absorbera absolument tous nos déchets, tout le fruit de nos erreurs, toutes les conséquences de nôtre cupidité, tout l'orgueil de nos ignorances, tous les paraître de nos vanités.

Serions nous dieu ?

Quelle prétention, ce n'est pas la planète que nous devons sauver, c'est nôtre peau.
Il n'y a que face aux dangers que nous comprenons qu'il faut nous sauver.
Pourtant il ne nous est pas acquis de mesurer et connaître ma place de notre environnement.
Pour le moment nous n'avons que nôtre être doté d'un cerveau lent et de sens limités. C'est donc la chaine de vie qu'il nous faut préserver, mais nous ne pourrons pas reboiser le monde, pour cela il faudrait que l'humain disparaisse, car c'est lui qui l'a rasé. En avons nous disparu, il semble pas. Ce que nous n'avons plus pu tirer du bois nous l'avions extrait du sol. Alors allons nous rasé le sol.
C'est quoi qui fait la différence ?
Nous le savons, la capacité de la planète à résorber nos déchets. Nous connaissons l'échelle des valeurs d'absorption, les déchets nucléaires c'est 25000 ans par kg. Ouf ! Même  Mathusalem n'en verrait pas la fin.
Nous polluons depuis l'usage du feu, c'est sa chaleur qui nous à permis de craquer la matière pour nôtre bien être et notre malheur. Sauf que celui-ci n'est pas du au feu, mais  à son usage.
Nous n'avons pas choisi de disposer de la capacité d'adaptation ni d'apprentissage par le mimétisme.
Son développement suit la difficulté à survivre. Nous pensons la maîtriser, alors que c'est l'erreur qui guide nos choix.
Qui c'est combien humains sont morts avant de comprendre que l'amanite tue-mouche est vénéneuse.
Combien de temps a t-il fallu au Grec avant de comprendre que leurs moments de débordements étaient le résultat d'un champignons de formation dans leurs silo à grains. La liste serait longue.
Nous n'avons pas à culpabiliser d'avoir pollué. Car c'est en l'observant que nous en prenons conscience, mais toujours trop tard. Quand nous la mesurons c'est qu'elle a produit ces effets et l'on ne peut plus revenir en arrière. Seule nôtre mémoire connaît le passé.

L'industrialisation.

Elle nous a apporté le confort et la sécurité alimentaire. 
Comme des vautours ses précurseurs sont allés puiser autour du monde la matière première, jusqu'à l'accélération apportée par les produits fossiles, le pétrole. Il entre pour plus de 70% dans nos productions. C'est dire, en songantà aux réserves que nous consommerons, en polluant à hauteur de leur quantité, que réduire la consommation ne changera pas la quantité de pollution produite.


Lavoisier.

Il a dit : rien ne perd tout se transforme.
Nous l'apprenons qui ne savais pas cela.
Alors nous pouvons nous interroger, afin de comprendre pourquoi nous avons glisser dessus. Nos élites, nos initiés, nos vaillants entrepreneurs, nos fiers innovateurs, nos repus consommateurs, le savais. Tous nous le savions, nous avons et polluons en connaissance de cause. Même tous ceux qui la denoncent comme moi. Nous y sommes condamnés pour longtemps encore.

Les sots.

Alors n'ecoutons pas les sots qui vont nous dire, et qui nous disent que nous allons y parvenir grâce à des taxes.Virons les du pouvoir, ils ont rien compris.
Ou soyons honnêtes, ils le savent, mais il faut qu'ils incorporent le coût de la transition écologique dans l'économie capitaliste, c'est a dire que ces derniers puissent retirer un profit de cette orientation sans devoir la financer.
Pour ceux qui ont lu le Taxateurs ils savent que ce sont les clients qui paierons tout, donc les 22 millions de salariés.

Les raisons.

Elles sont avant tous psychologiques.
J' en ai fait la liste. Depuis les Grec antiques nous essayons de faire entrer de la raison dans nos comportements, en vain. Nous prenons la rationalisation comptable pour de la raison, et  nous lui laissons diriger nos existences. Depuis longtemps j'ai écris que l'humain ne survivrait pas à une comptabilisation de l'existence. Sachons que ceux que nos élites copie, moment, les usa, ils ont évalué la planète en dollars, je laisse chacun méditer cela.
Donc si nous recherchons les raisons psychologiques pourquoi en sachant nous laissons faire, peut être trouverons nous. Par exemple que nous croyons décider de nos existences alors que ce sont des dominants systémiques qui nous dirigent dont nous avons intégré les règles, ce que Freud nommait les tabous et les totems. Sauf que nous avons depuis longtemps dépasser ce stade en faisant du langage mathématique le maître de nos vies.

Nous mourrons. 

Et oui ! C'est cruel pour ne pas dire con. Mais c'est moins la mort qui nous souci que la manière dont nous nous sommes octroyer le droit de la donner. Chacun se souvient des décapitations de l'EID jugés barbares et y préférons la guillotine comme le réclame certains citoyens.a
Il est exact de reconnaître que l'ignorance des effets polluants de nos transformations pétrochimiques pour subvenir à nos besoins pour ne parler que de cela a tué, heureusement moins d'hommes que d'autres existences . Le midi s'en souvient-il avec la demoustication à la DDT. Une chaîne alimentaire a été détruite pour le plaisir de nos vacances. Je l'ai vécu et je n'ai pas protesté, nous allions avoir des emplois par milliers. Tampis pour la chaîne alimentaire elle ne produit pas de monnaie. Nous avons tous vécus comme cela et l'on nous propose de continuer pour l'emploi ici ou ailleurs et ceux qui font prévaloir les emplois que peuvent créer la transition énergétique et écologique sont entendus au compte gouttes.

D'autres sources de revenus.

Est-ce interdit par la pensée unique d'imaginer, de créer, d'envisager d'autres sources de revenus que celui du travail.
Que ferons nous quand nous aurons mis les robots à nos places. Poser donc la question à ceux qui vont nous sauver avec l'Europe entrepreneurial.
Il est curieux qu'ils ne conçoivent l'innovation que dans le cadre d'un travail lucratif, d'où la transition publique vers le privé.
 Et c'est d'eux que nous espérons la transition écologique.
Pourquoi croyons-nous à tout cela.
Les regardons nous comme nos mandants ou comme nos maîtres élus dont nous attendons d'eux ce qui ne feront pas, nous imaginer de nouvelles sources de revenus. Comme être rémunéré pour aller s'instruire, car ce sont nos savoirs qui apporteront la solution à ces déchets qui vont changer nos existences. C'est lui qui nous permettra de ne pas attendre 25000 ans pour supprimer un kilo de déchets radioactifs.

Oui le savoir nous tue aussi.

Nous le savons. Quand nous ignorons ses effets secondaires nous savons que nous ne pouvons y échapper et c'est acceptable jusqu'à ce que nous le sachions.
Sauf que quand nous le savons, ceux qui en retirent un revenu ne veulent pas le perdre et nous continuons en pensant combien de morts sont acceptables pour bénéficier de nos addictions consuméridtrs. Car toutes restrictions nous sont cruelles. Alors nous attendons que çà craque.
Nous ne sommes pas des victimes.

Non nous ne sommes pas des victimes de la pollution nous l'avons engendré pour de la monnaie et nous n'en prenons pas la mesure pour la même raisons.
 Nous ne sommes pas les victimes de nos ignorances nous la maintenons pour la même raisons.

Il en sera ainsi tant que nous croiront que l'intérêt individuel vaut mieux que celui collectif.
 Si nous mettons tout en œuvre dans notre seul intérêt naturellement, celui-ci ne conçoit pas à l'intérêt collectif comme le soutiennent ceux qui érigent encore l'axiome d'Adam Smith en vérité absolue.

La pollution lui a donné tors.
Il serait peut être sage d'évaluer ce que nos connaissances, nos techniques nous permettent de réaliser sans recherche de coût mais dans le cadre d'une faisabilité,  d'une empreinte écologique pour créer les masses monétaires nécessaires.
Sachant que d'ici que cela se mette en place je serai mort, et la grande motte sera sous l'eau.
Tampis si nous sommes les seuls à le faire et que ce soit un coup d'épée dans l'eau, si nous ne sommes pas suivi par les élites
Mais il n'y a aucun espoir d'y arriver en restant seul enfermer dans notre bulle égologistes et même si c'est lent parce que notre cerveau l'est.


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 2 Avril 2019

Je vais en écrire quelques unes qui ne manqueront pas de surprendre.

L'ENTREPRISE créait des emplois.
Le travail a une valeur.
Il faut rembourser la dette de l'état.
l'État peut être en faillite.
La monnaie est indispensable.
L'humain est feineant.
La morale vient d'un "dieu".
Les hommes disposent d'une libre arbitre.
Les hommes sont libres.
Les hommes sont égoïstes.
La vérité existe.
Je peux être impartial.
J'en termine avec le meilleur d'entre eux : pour développer l'économie et l'emploi nous avons besoin de l'argent des Riches.

Je ne vous invite pas à philosopher.

 Non je ne vais pas développer chaque point. Si nous les avons défini et ils reposent sur nos observations qui accréditent leurs certitudes sur lesquelles  nous allons organiser notre existence.
On aperçoit déjà l'enchaînement.
L'observation de nos existences nous font définir nos organisations et ce que nous comprenons et nous en poursuivons  lusage qui conforte nos certitudes dans
 la place que nous y avons trouvé. Je fais pareil, pas moyen d'y échapper.
Il faut bien que je puisse croire sinon le doute me tuerait.
Sauf que l'existence de déroule par des actions dont  nous ne voyons leurs réalisations que lors que nous pouvons en mesurer leurs effets dans l'instant où a vetan eternam. Mais durant l'ecoulement de cette durée resté dans nos memoires nous construisons des souvenirs pour nous adapter au monde en ignorant qu'il change a tous instant.
Alors toutes ces affirmations nous permettent de stabiliser nos existences même si elles sont fausses.
Nous comprenons que si elles étaient absolument vraies nous serions dans un déterminisme le plus absolu et ces définitions n'existeraient pas.

Est-ce triste.

Leurs existences est la preuve que ce sont des "fawk-News", et donc nous pouvons en changer, ouf nous sommes sauvés pas tout à fait, car au lieu de réfléchir nous allons attendre que quelqu'un nous délivre une Vérité, et nous repartons pour un nouveau tour fait de '"fawk-News". C'est triste, non ! Ce n'est pas triste, c'est même essentiel pour que les civilisations se succèdent pour s'adapter à l'évolution de la planète.

Cela permet de comprendre que l'organisation dans laquelle nous vivons nous pouvons en changer.
Mais comment si par mimétisme et enseignement nous consolidons ces fawk-News news en nous. Par le conflit inter-générationel car nous ne pourrons pas tout passer aux générations futures.
C'est par ce moyen que la nature ou dieu pour les croyants s'assure que nous évoquerons en corrélation avec un environnement auquel nous participons.
Je ne vais fournir que l'exemple de Copernic qui a remis en cause l'héliocentrisme face à un pouvoir autocratique divin.

Ils n'ont pas écouté.

Je n'écris pas cela pour inviter à philosopher, mais parce que mes gilets jaunes sont l'expression d'un ras le bol d'un pouvoir autocratique élitiste qui leur soutient à l'aide des fawk-news que j'ai listé que l'on ne peut pas changer les choses.
En 1995 dans une réunions des maîtres de la planète à Davos en Suisse, b
Bill Gates disait à ces semblables qu'il fallait qu'il ne pratique pas un capitalisme vainqueur à outrance sous peine de voir ressurgir une opposition idéologique.
Nous n'avons pas encore trouvé une opposition idéologique, car après l'effondrement du communisme, le PS a suicidé le socialisme et  Mélenchon a bien de la peine pour trouver une nouvelle voie humaine d'abord.
Ainsi les Gilets J'ai s'il s'apparante à une jaquerie ils n'en sont pas moins le résultat de ce capitalisme débridée qui c'est caché toutes ces années sous l'Europe, la loi du marché, la mondialisation, le libéralisme pourrissant nos existences par la prolifération des déchets.
Cela me rappelle quand je participais à la fabrication d'abris nucléaires durant la guerre froide, ils n'etaient pas fait pour le peuple.
Si je me félicite de la détermination des gilets jaunes, ils n'en sont pas moins dans une impasse pour avoir avec beaucoup de leur concitoyens participer à la détérioration de la représentation populaire car leurs aînés n'ont pas su résister au consumérisme et ont laissé dépérir ce qui leur aurait permis d'être écouté par le rapport de force en son temps.
Nous avons vu que le pouvoir est resté sourd aux défilés au son des tambours comme s'ils allaient au carnaval. Le pouvoir avait chaque fois l'opportunité de satisfaire les revendications. Quid l'Europe exigeait la réduction des charges, c'est à dire clairement la baisse du niveau de vie des citoyens pour qu'ils s'alignent sur ceux des pays plus pauvres.

Il faut penser plus loin.

Mais réfléchissons y qui dirige l'Europe le pouvoir politique ou la BCE et les lobbyistes, même si l'on ne peut leur reprocher de défendre leurs intérêts.
Alors pourquoi faudrait il le reprocher aux Gilets Jaunes, en seraient ils indignes parce que c'est le peuple et que parmi eux il y a des citoyens de l'ex FN.

Ainsi faute d'une nouvelle société qui  se met en route et que les capitalistes veulent contrôler, c'est le fascisme qui se développe, pas le nazisme comme certains mentent en faisant l'amalgame à cause d'événements racistes, mais pour ce que nous en connaissons pour l'avoir vu dans divers pays, même s'il ne présente plus le même paradigme qu'e par le passé, lui aussi évolue, c'est bien pour cela que certains ne le reconnaissent pas.
Je n'ai pas une solution miracle, au lieu d'aller dans les universités comme je l'ai fait un mois par an, chacun préfère se promener dans les temples de la consommation. Et alors, il n'est jamais trop tard pour comprendre quand l'on se trompe, nous ne sommes pas les maîtres du monde, nous le croyons quand nous naissons, sauf qu'il faut s'élever, apprendre ce que l'on ignore, ce n'est pas un péché qu'être ignorant, c'est notre état naturel, c'est pour cela que nous avons besoin de la liste des fawk-News que j'ai écrite. Mais sachons qu'elle est fausse sinon nous ne pourrons jamais changer nôtre existence.

Chacun  aspire vivre où il est né.

Pourtant pour y parvenir ne nous appuyons pas sur ceux qui s'en servent pour dominer les peuples parce que chacun dans notre égoïsme le plus enfoui nous espérons en être.
Je vous invite à penser l'humain d'abord et nous trouverons la solution à nos problèmes sans devoir s'enfermer par peur des autres qui n'ont aucune envie d'aller chez les autres car l'on d'attache heureusement à la terre où on né. 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 1 Avril 2019

Depuis les années mi 1980 nous sommes entrés dans ce que le sociologue Gérard Mermet nommait "L'Egologisme" la flatterie constante l'individualisme consumériste.
Comme toute chose, y compris la morale, l'organisation pour accéder aux ressources nourricières fondent nos comportements
 C'est sur ce socle que l'offre c'est substituée à la demande en s'appuyant sur l'individualisme, posseder pour soi seulement. L'élite et les initiés n'ignoraient pas cela ce fut un choix délibéré pour favoriser la croissance et l'emploi. Il fallait suppléer à la fin de l'essor de l'économie d'après guerre.
Certes l'humain ignore qu'il a plus de besoins potentiels que de temps nécessaire pour les réaliser, mais nous savons que les ressources minières ne sont pas extensibles sauf en quittant la planète ou s'enfonçant sous les océans. 
C'est dans cet environnement critique que le capitalisme a trouvé dans l'analyse des comportements cognitifs les bases de l'addiction  à la consommation  par un chantage constant à l'emploi. En observant l'essor ce sont de grands groupes, des oligarchies, des ploutocrates qui ont profité au mieux de la consommation humaine en récupérant le double des sommes qu'ils redistribuaient pour satisfaire les besoins jouissifs du paraître, sans se soucier des fractures conséquentes qui s'elaborraient (gilets jaunes).

La publicité a envahi nôtre espace social et flatté l'ego de celui qui le mérite bien. Tout ceci a débouché sur le jetable aguicheur source de pollution pétrochimique car plus de 70% de nos produits en sont issus.
En 1974 René Dumont un verre d'eau à la main disait : demain l'eau potable sera rare. En 1999 j'écrivais que l'air le deviendrait. La nature humaine fait que l'homme ne d'attache qu'à ce qui est rare car cela le rend enviable et désirable.

Il y a des siècles que l'humain sait qu'il doit rapporter toute chose à lui pour exister ( nos bébés portent tous à la bouche), mais il sait aussi qu'il doit partager car se sont les autres qui le nomment et lui disent qui il est. Sauf que l'absence de limites ouvrent vers tous les horizons, y compris "l'égologisme". Notre estomac a un agent de satiété qui lui dit stop, nous n'en avons pas pour la possession de biens, tout comme le "boursicoteur"  qui sait qu'il ne peut espérer des gains indéfiniment et qui attend que la bulle éclate pour s'arrêter.
Et en ce qui concerne notre accumulation de biens sans aucune mesure de restrictions tant nôtre addiction est forte, c'est la pollution qui vient nous dire Stop, en peine perdue car ceux qui sont à l'origine de la pollution ne s'y engagent qu'avec retour de profits.
La culture de l'égologie est bien implantée , elle nous rend aveugle au point de ne pas vouloir regarder le coût de notre existence, recherchant toujours qui pourrait payer a notre place. La publicité joue ce rôle en finançant tout ce dont elle espère tirer un profit au bénéfice de quelques-uns. Ce sont les 22 millions de salariés sur 28 millions d'actifs qui l'a paient le plus dans le savoir et ils en sont contents. Ils ont l'impression de bénéficier d'une gratuité, car cela s'appuie sur nôtre attavisme inné du cueilleur, celui qui n'a qu'à se servir avec un minimum d'efforts dont nous sommes toujours à la recherche en réduisant la pénibilité du travail et en réduisant son temps. Comment peut on imaginer développer notre société en imaginant que nous n'avons qu'à cueillir nos biens. Vouloir réduire la pénibilité et le travail c'est substitué des robots et non d'autres humains. S'il appartient à nôtre nature de retirer meilleur rapport efforts consommation, c'est en mutualisant notre interdépendance sur d'autres critères que l'exploitation d'autrui.  
L'egologisme a opposé l'égoïsme inné, sans lequel il n'y a pas d'existence  possible, à la solidarité égoïste qui repose sur la mutualisation de ce dont nous avons un besoin indispensable et des choses dont nous savons que nous seront atteints, comme la maladie, afin que tous puissent en bénéficier quelle que soit sa place dans la répartition des taches, qui génère des inégalités sociales et des exclus.
L'egologisme est source d'atomisation de la cellule familiale après avoir recentré l'entraide sur celle-ci face au chômage structurel par le seul fait que le coût des logements est tel que parallèlement  à l'augmentation des prix les surfaces habitables diminuent et ne peuvent loger des familles nombreuses encore moins plusieurs générations, d'où les maisons pour vieux exclus de leur famille. 
En ne recherchant la vie que pour soi nous avons sapé des socles de l'expression sociale de la démocratie au bénéfice d'oligarchies autocratiques.
S'affirmer dans l'existence c'est mettre les aptitudes dont la société nous a instruite, à son service singulier mais aussi en collaboration avec les autres dont l'on dépend pour toute chose.

Dans un espace uniforme l'homme seul meurt. Si nous lui mettons une fleur il organisera son existence autour, il fera la même chose si c'est du caca.
Comment fait on pour choisir ?

Deux amis marchent dans la rue. L'un d'eux s'arrête et en fixant un point sur la route, questionne l'autre. Tu crois que ça en est ? Je ne sais pas, met le doigt dedans et goûte. Ça est dit il !

Alors allons nous devoir nous aussi mettre le doigt dedans, alors que nous disposons des savoirs pour la reconnaître et l'éviter.
Si ceux qui se présente n'en sont pas capables alors ne les elisons pas.


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 31 Mars 2019

Il est pas un jour qui n'apporte sa taxe. Vous savez compris il n'y a pas une faute d'orthographe, mais ceux qui en font une ce sont tous ces élus Lrem qui croient au Dieu monnaie comme tous les hommes de la planète et en ont fait un sarcophage meurtrier pour qui s'y intégre au delà de son utilité échange. S'instruire et comprendre l'existence ne se "mathematise" pas.  Quand nous faisons cela nous réduisons nos capacités d'innovations de créativités en chaque citoyen pour produire des élites politiques nourris au même sein.

Ce gouvernement, face au ras le bol déclanché par les taxes qui se substituent aux impôts continu dans cette voie entre promesses de réduction des impôts et création de taxes en compansation.
Pourtant les gilets jaunes ne sont pas en reste. Ils refusent de financer le coût de leur existence qui se traduit par la réalisation de services qu'ils réclament tout en acceptant une organisation monétaire qui les "Plume".
J'aurais aimé lire ou entendre renversons la bourse ou la BCE, ou bien créons de la monnaie. En réponse le pouvoir pour financer leurs demandes va leur prélever ce qui leur donne. Qui donc voulons nous qui paient les riches ne le sont pas devenus par leur travail, mais par ceux qui l'exécutaient. Cela n'a pas changé. L'entreprise ne crée ni de la richesse ni des emplois. Seul l'homme qui travaille ou fabrique les outils qui le remplace créer son bien-être. Mais encore faudrait il qu'il soit au fait de la connaissance de son existence, ce qui n'est pas le cas, sans cela nous ne serions pas dans une organisation capitaliste du travail.
En douterions-nous ? Quand un  employeur versé un salaire a celui dont il loue les services, il doit vendre le produit du travail de son employé augmenté de sa marge.
Ainsi si l'employé reçoit un salaire de 100 € son travail sera revendu avec une marge en plus, admettons 10 €, cela portera, le produit, le bien, le service à 110 €. Qui donc est le client ?  Celui qui dispose d'un revenu, du foyer fiscal. Il y en à combien ? Sur une population française de 67 millions d'habitants  28 mils disposent d'un revenu, 6 mils comme employeurs et 22 mils comme salariés. Ce sont donc les  salariés qui compose
 le groupe social familial qui consomme le plus. C'est groupe social qui en consommant achete toutes les charges et prélèvements qui est réclamé aux entreprises. Ex, l'entreprise verse 100€ de salaire, 10 € de charges salariales, 10 € d'impôt, plus 10 € d'autres taxes, et 20 € de tous frais de production, au total la production du salarié revient à 150 €. A cette somme l'entreprise y ajoutera sa marge, 10 € , l'entreprise devra vendre le travail réalisé 160 €. Il est donc aisé de comprendre qu'avec seulement 100 € de revenu le salarié ne pourra pas acheter son travail qui est vendu à 160 €.

Mais plus loin dans la réflexion que sont les 20 € de frais de production ?
Ils ne sont que le coût du travail des hommes qui ont été rémunéré avec ces 20 €. Continuons, que sont les 10 € de charges, les 10 € d'impôts, les 10 € d'autres taxes ?
Je pense que chacun à déjà compris que ce sont des sommes qui serons reversé en revenus pour payer tous les agents des services publics et des services réglé par le budget de l'État.
Que faut il comprendre de tout cela, que personne d'autre que les salariés et en moins grands nombres les employeurs ne paieront le coût de l'existance humaine. L'ENTREPRISE ne paie rien, l'ÉTAT ne paie rien : que faut il pour ne pas comprendre cela si ce n'est retourner s'instruire et en retour recevoir un revenu de 60 € à fin de créer de la monnaie hors du seul travail et enrichir nôtre intelligence pour construire une société à inventer pour sortir de cette dualité de l'exploitation d'hommes par d'autres, pour qu'entreprendre, être entrepreneur ne soit pas synonyme d'exploitation.

Les gilets jaunes n'ont pas avoir peur de revendiquer, maintenant l'on sait qui paiera.
Pour nous diriger l'on sait maintenant pour qui il ne faut pas voter, bon courage.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 29 Mars 2019

 

Les organes du corps se disputaient la place de dominant essentiel. Le cœur, les poumons, le foie, le cerveaux, tous avec un mépris affiché pour le trou du cul quand ce dernier prétendait à son rôle primordial. Fâché d'être la risée de tous, il décida de se mettre deux doigts dans le trou pour l'obstruer. Fini l'évacuation des déchets. Accumulé dans les intestinsarg ceux-ci se gonflaient a vue d'œil tant la bouche se gabarit sans souci. Le cerveau perçu la souffrance et se chargea de médicaments pour l'estomper et consulta        les autres organes qui affirmaient bien aller. Alors le cerveau condescendit d'abaisser son regard vers les partis les moins nobles. Apercevant le cul bouché il  ajoint à l'anus doter les doigts. Devant tant d'orgueil et de suffisance il en mit un troisième en renfort pour resiter à l'injonction du cerveau qui voulait maintenir l'ordre des choses.

Ce n'est que quand l'occlusion intestinale menaça d'éclater que le cerveau se fit consensuel et s'engagea à moins gaver la bouche n'importe comment pour seulement jouir du palais sans autre vision que sa satisfaction. 
Alors reconnu pour son utilité et par l'importance de son rôle organique , le cerveau pu enfin convaincre les autres organes de la nécessitée majeure de ne pas périr sous leurs propres déchets. Tous furent d'accord pour s'oter les doigts du trou du cul.

Sortons donc nous les doigts du cul. Arrêtons de croire que la monnaie nous manque pour détruire, recycler, transformer, réduire nos déchets économiques. Pour trouver des consommations de substitutions hors de l'échelle comptable capitaliste qui marchandise la Vie.
Nous avons l'intelligence nécessaire, les capacités techniques, la main d'oeuvre disponible, que nous manque t il, que ce qui est le plus facile à "produire", à  "créer" la monnaie d'échange. C'est cette peur, cette incapacité à passer à l'acte, à passer vers un autre ordre monétaire qui nous Bouche Le Trou Du Cul.

Nous savons que traiter nos déchets économiques coûte entre 50 et 70% de plus dans la production les revenus du travail n'y resiteraient pas, compte tenu que déjà un salarié ne peut racheter son travail.
Nous devons donc faire preuve d'imagination et envisager un compte monétaire pour l'activité écologique.
Franchir ce pas c'est ouvrir un espace nouveau. Nous ne craignons pas d'assembler des km de tuyaux pour acheminer gaz et pétrole, pourquoi serait il plus difficile d'avoir à cheminer du CO2 ou autre vers des lieux de stockage ou de transformation.

Cela n'est possible que si ceux qui vivent au milieu des déchets y obligent leurs mandants, si nous prenons au pouvoir d'émettre de la création monétaire pour ce faire et non pas utiliser les fonds disponibles des riches qui le vendent au prix de l'intérêt pour l'être encore plus, ou utiliser l'épargne populaire qui serait insuffisante compte tenu des sommes qu'il faut engager pour un tel projet.

Ce que les générations qui viennent nous reprocherons ce ne sera pas de leurs laisser une dette, mais d'avoir eu peur de créer de la monnaie pour maintenir la puissance de ceux qui dominent en maintenant sa rareté pour qu'on l'acheter.

Alors sortons nous les doigts du cul !

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 29 Mars 2019

Parfois l'on peut avoir l'impression que les citoyens, tenus par leurs instincts ont toujours besoin d'un dominant vers lequel se tourner, alors que chacun d'eux dans une démocratie est de plein droit decisionnaire. 

Il n'y a pas d'Etat, ce n'est qu'un concept que nous avons conserve d'un temps révolu. Nous nous en sommes accommodés pour saisir le lieu où se centralise le pouvoir de décision confié par le peuple a une organisation statutaire. Se centralise par ce choix statutaire l'ensemble des aspirations de la population au travers un débat sélectif de représentation.

Ces représentations par délégation se chargent de la gestion du pays et leurs actions indifférenciées nous les qualifions ou nous y substituons l'Etat. Nous finissons par perdre de vue que ceux qui gèrent les services que nous lui confions et mes aspirations sont celles du peuple avec aspirations divergentes.

Sauf que la nécessitée de produire génère des inégalités d'où se dégagent des gestionnaires publics dont celui qui représente la gestion omnipotente de l'état a une tendance jacobine autocratique. Lentement la complexité du monde d'après-guerre a distendu les écarts entre classes sociales dans la compétition mondiale économique et socio-politique. Les moins instruits, les biens moins nes confient leurs sorts a ceux qui s'engagent a les guider.

S'en suis sous de nouveaux paradigmes la recherche de l'être salvateur celui qui fera a notre place que nous devrions faire ou comprendre. C'est un peu comme une course ou les distances se creuses entre les compétiteurs. 

Ce sont donc les premiers qui rythment la marche tandis que les autres suivent ou se font exclure. Pour autant ils n'en sont pas moins vivants et les premiers doivent les aider sans devoir ralentir. C'est même dans cette course en avant qu'ils y trouverons les moyens de réduire les écarts pour que les trainards ne soient pas exclus, faute de voir le second devenir dernier et d'en mourrir en demeurant seul.

Ainsi aujourd'hui des écarts sont tel que nous parlons de fractures en très les classes sociales. De ce fait faute de pouvoir se faire entendre des premiers (l'élite oligarchique), ceux qui prennent quelle qu'en soit la raison, se tournent vers l'Etat par le bruit de la force faute d'avoir été écoute au son des manifestations paisibles. Malgré cela ils doivent faire face a une contradiction de taille, celle de réclamer la réduction de leurs prélèvements obligatoires  tout en réclamant plus de services qu'ils devront financer compte tenu de leur choix politiques antérieurs, entaillant renonce a la création monétaire par l'Etat pour disposer des moyens de leurs choix politiques.

A quoi cela tient, peut être au fait historique que l'impôt et taxe sont le vestige d'un prélèvement monarchique qui ne laisse pas voir d'où viennent les sources financières. D'aucuns pensent que mes riches devraient être plus soumis aux prélèvements, mais eux soutiennent que leur capital est créateur d'emplois. En y regardant de plus près il n'y a pas de richesse en dehors du travail de l'humain. Avec celui-ci il s'échange toute chose avec une référence monétaire virtuelle.

Là où une difficulté de fait jour c'est qu'en imposant l'entreprise d'aucun pensait équilibrer la charge de l'impôt et taxes, c'était sans compter que ceux-ci étaient payés par le client lors de ces achats. Si bien qu'il en résulte que seul le client paie les impôts et taxes au titre de citoyen soit sur ses revenus du travail pour les salariés ou des revenus du capital pour les employeurs.

Compte tenu qu'il y a 6 millions d'employeurs et 22millions de salariés il n'est pas compliqué de comprendre qui finance le plus les sevices confiés a lEtat. Ne serait-il alors pas plus simple de lever cette hypocrisie afin que chacun sache se que lui coûte réellement les services dont ils chargent l'Etat.

Ou se situe la difficulté, l'employeur qui rémunéré un salarié pour un travail doit vendre ce salaire plus son bénéfice. Delors avec son seul salaire le salarié ne pourra pas acheter le produit de son travail, puisque celui-ci coûte son salaire plus le bénéfice de l'employeur. Soit il devra moins consommer, c'est comme si pour une heure de travail nous ne pouvions acheter que demi-heure puisque l'autre est au bénéfice de l'employeur. De la sorte pour consommer a auteur de son travail il faut s'endetter, il faut donc créé de la monnaie a hauteur de l'endettement.

De fait quand l'organisation monétaire propose que l'endettement soit règle par lac mise a disposition des fonds d'épargnes ou de placement, en les achetant au prix du crédit nous enrichissons un peu plus le fruit du capital. Pour l'Etat qui fait appel aux fonds disponibles nous enrichissons toujours plus le capital qui est supposé creer des emplois, alors que l'entreprise recherche a réduire le coût du travail qui ne peut être atteint que si l'humain ne consomme pas. C'est le point de l'absurdité auquel nous conduit notre organisation quand nous y regardons de plus près. S'il n'est pas stupide de se faire remplacer au travail pour produire il nous faudra trouver une nouvelle source de référence monétaire que celle qui suggestivement rémunéré le travail sur la base du conflit permanant.

 Si donc les gilets jaunes veulent voir aboutir leurs demander comme celles des écologistes il faudrait recouvrer le droit d'émettre de la monnaie pour planifier l'avenir avec de grands projets et redonner au salarié le fruit de leur travail sous un autre paradigme que celui du communisme.

La monarchie se situait dans un rapport de maître a sujet avec une classe de privilégiés il me semble que ce soit ce que nous avons reconstruit sous une autre appellation. L'Etat c'est le peuple s'il n'a pas forcément raison, c'est lui qui aura a financer d'une manière ou d'une autre ce qu'il réclame. Suivant, non la monnaie disponible, mais suivant les ressources renouvelables qu'il saura imaginer.

 

 

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 23 Février 2019

C'est un non croyant qui l'écrit. Pouvons nous parler de quelque chose qui n'est pas en potentialité d'être, d'exister. Si vous répondez à ce questionnement, vous aurez accédé à la reconnaissance d'une capacité de réflexion cognitive, que nous ignorons le plus souvent, que tout ce qui existe à une raison d'être. Cela même si nous ignorons pourquoi et que nous dussions élaborer, imaginer, théoriser ce que nous pouvons en définir par notre langage.

J'ai déjà écrit que vouloir faire entrer l'humanité dans un plan comptable comme nous le faisons en élisant une élite bornée et bloquée par lui, alors qu'elle dispose des capacités intellectuelles ouvertes sur les savoirs, est un handicap sociétal.

L'humanité, l'univers, la vie ne peuvent se contenir dans nos mots.  C'est l'élite qui devrait demander à ceux qui ne savent pas ou qui n'ont pas eu le temps d'apprendre parce qu'ils passent leurs temps au travail ou dans les temples de la consommation et du loisir, de dire ce qu'ils veulent ou non, même s'ils n'ont pas le savoir suffisant pour dire comment faire. Nous avons inversé le mécanisme. Ce sont ceux que nous avons nourrit et initié qui nous offrent des programmes clé en main pour nous astreindre au travail quand vient même nous pourrions nous en soulager. Pire ce sont les moins instruits qui le réclament pour avoir un moyen monétaire d'échange.

Nous reconnaissons par là, non que nous désirons du travail, mais la monnaie qu'il procure. Il est donc pas anormal que nous soyons attachés à un plan comptable qui ventile qui a droit à quoi. De ma sorte nous en arrivons à dire que les entreprises sont créatrices d'emplois, alors que le plan comptable lui, dît que les salaires sont une charge dont il faut se passer. Irons nous comme les Canuts qui ont brisé leurs métiers détruire nos machines et nos robots. Continuerons-nous à produire dans le seul but, consommer sans autres soucis. N'y a t il que cette manière de disposer de monnaie d'échange, même s'il reste acquis que nous devons produire pour vivre sans demander à d'autres populations de la faire a notre place (Ce qui reviendrait à disposer"d'esclaves"), l'exercice d'une contrainte volontaire pour avoir compris de quoi dépendait nos existence.

Ce Plan Comptable est l'Évangile de l'entreprise, il règle comment la richesse doit se créer au bénéfice de particuliers ou d'actionnaires anonymes.

 

Pourquoi ai-je associée dieu à mon propos sur l'économie. Dieux serait il autre chose que la compréhension de l'humain que sont destin et lié à un indéfinissable processus dans lequel il poursuit sa destiné en découvrant au fil des millénaires les moyens cognitifs dont il dispose pour définir, apprendre, modeler son environnement en progressant par l'échec.

Nous ne pouvons percevoir les choses sue quand leurs dimensions est accessible à nos sens. Pour cela s'exerce un phénomène d'attraction et d'agrégation. Nous passons au dessus d'un grain de sable, quand il forme un tas nous le contournons, quand il forme une dune nous passons dessus.

Quand les humains ont compris d'où il retiraient leur existence, ils sont tombés en adoration. De cela en sont ressortis les pratiques de l'offrande qui a été jusqu'aux sacrifices humains, non par barbarie, mais pour offrir ce qui avait le plus de valeur, la vie. Ce sont élevés alors des idoles, relais entre l'indéfinissable matérialisé et les humains dont la communication été assuré par un personnage reconnu pour cela ou un magistère structuré et hiérarchisé. Nous sommes passés du polythéisme 'figuré" au monothéisme transcendant dont un prophète inspiré était l'intercesseur pour rapporter les recommandations à suivre. Afin  de rester dans l'occident et le moyen orient "Abrahameen", juif, chrétien, musulman ont réactualisé, réajusté, réaligné, adapté les préceptes "Abrahameens" pour les ajuster par les intercesseurs prophétiques successifs aux évolutions sociales, politiques dans les territoires du moyen orient pour s'étendre aux pays dit aujourd'hui occidentaux. Tous pays dans lesquels, la religion était et gérait l'organecité sociale, économique et politique de ces états. La laïcité et la loi de 1905 sur la séparation de l'église et de l'État, n'a pas changer les fondements religieux qui structurent ces états car les humains ne peuvent vivre sans croire. C'est seulement la taille du grain de sable qui les divise, entre ceux qui imaginent le grain, ceux qui ne le voient qu'en tas et ceux qui marchent dessus sans le savoir. La représentation de dieux a évolué au fil des millénaires, et ne pas y croire ne le fait pas disparaître comme le grain de sable (ou la particule pour les armateurs de mécanique quantique ). Même si les prophètes n'avaient pas existé dieux ou l'indéfinissable n'aurait pas disparu. Nous aurions seulement vécu en l'ignorant, comme l'ignorance du monde objectif ne nous empêche pas de vivre la réalité à notre mesure

Ceci précise le fait de tenir les prophéties pour immuables n'a pas empêché d'autres prophèties de se développer. Car que d'aucuns les tiennent d'inspirations divines, elles le sont par des humains à leurs mesures, même si ont les divinises. La difficulté que pose cette divinisation est de comprendre que si les prophéties ont leurs nécessités pour rassurer et structurer la société humaine sédentarise en concentration laborieuses, les rendre immuables ne s'inscrit pas dans un monde en perpétuelle évolution. Si cette évolution n'est pas  accessible à nôtre regard, elle l'est a nos perceptions puisque nous en avons fait la démonstration. Comprendre que l'indéfinissable est, a entraîné la production d'appareils, de technologies et de sciences qui n'ont fait sue conforter l'opinion d'une création ou d'un instant initial. Notre ignorance actuelle nous impose de sépare l'esprit et la raison, le cultuel et le culturel, comme si notre systeme émotionnel faisait cette difference. C'est une stupidité sans pareille élevé à son tour en "religion laïque' (car c'est une nécessité pour l'humain de croire).

Faut il pour autant croire en les formes immuables des messages des religions "Abrahameenes".  Certainement pas. Le fait que ceux-ci soit infantilisant et inadaptés à nos savoirs actuels, (même si elles éditent des fondamentaux de la connaissance des comportements humains pour vivre heureux et en harmonie, comme tu ne tueras pas, tu pardonnera, tu aimeras ton semblablement), elle développe son rejet si elle se "litteralise", se radicalise, se fondamentaliste au lieu d'en rechecher l'esprit fait pour développer la sociabilité humaine mise à mal par l'ignorante connaissance du grain de sable, alors que les initiés, les élites de ces temps ancestraux n'étaient ni plus ni moins intelligente que nous.

Mémoriser notre histoire  c'est disposer des événements qui se sont déroulés et en rechercher les fondements une fois dépouillé des distorsions de l'oralité et des pensées magiques ou des superstitions d'époque. Ainsi si les religions structurent l'existence des hommes, leurs évolutions imposés aux hommes par le monde objectif et indéfinissable sue nous ignorons, démontre que nous ne pouvons pas faire entrer l'HUMANITE dans aucun livre d'inspiration humaine. Cela ne doit pas nous faire peur, empêcher ceux qui croient en dieux d'avoir la foi, si c'est comme cela qu'il nomment l'indéfinissable. Rie' donc ne les sépare des athées et des laïques.

Que faut-il conclure de tout cela ?

Si les religions ne peuvent contenir toute l'humanité, pour quoi ai nom d'une rationalité encore plus étroite voulons nous au nom du libéralisme capitalistique faire entrer l'Humanité dans un Plan Comptable.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 22 Février 2019

 Moi, je suis anti tâches, comme les dentifrices. J e vais pas entrer dans les explications de la signification de chaque qualifiant, il a été déjà beaucoup écrit dessus, il suffit aller lire.

La curiosité historique depuis prêt de cinq milles ans est que la population hébraïque qui a marqué le passage du polythéisme au monothéiste pratique un ostracisme séculaire à l'encontre des juifs qui se sont distingués comme un peuple choisit par Dieux. Et particulièrement par les groupes sociaux qui ont adapté leurs lois, leurs philosophies, leurs principes issues de la parole de dieux ou inspire par celui-ci. Ce sont les chrétiens avec toutes leurs tendances et les musulmans qui se sont distingués entre eux, chacun pour coller à la réalité de la vie des hommes pour métisser leurs pratiques et tenir compte des évolutions apportées par le renouvellement de leurs propres populations. 

Ce sont chez ces variétés monothéistes que nous observons les ostracismes les plus développés, qui ont conduit l'Occident  Chrétien vers le racisme (Vacher de Lapouge).

Pourtant le monde entier suis des fondamentaux issus de la loi dites de Moïse. Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas et les chrétiens de poursuivre l'évolution en énonçant tu aimeras ton prochain comme toi même, tu pardonneras car dieux sait que tu ne peux que te tromper de route, sur quoi les musulmans ont précisé que dieux voyait tout et qu'il fallait suivre ces dernier commandements parvenu par le dernier des prophètes Mahomet.

De toutes ces visions du monde nous avons façonné une morale pour distinguer le bien du mal afin d'essayer de vivre harmonieusement. Alors commence fat il se des des siècles les juifs subissent l'opprobre des membres issus de sa propre histoire. Les différences rituelles ne justifient pas cela, nous ne jetons pas l'opprobre sur le reste du monde. Alors nous pouvons nous interroger si dieux est vécu régler les affaires du monde ou apporter la discorde.

Quand l'on cherche une réponse a cette interrogation il apparaît vite que nous en sommes encore à un âge archaïque de l'évolution humaine, même si nous sommes capables d'aller sur d'autres planètes ou d'ajouter des lettres au génome. Nos vivons dans un instant T insaisissable et tous les choix que nous imposent notre environnement se font sous notre impulsion émotionnelle traduite dans un langage qui consignent nos souvenirs avec lesquels nous élaborerons une réponse afin d'agir. Nous qui n'avons pas vécu l'histoire de nos ancêtres pour quelles raisons épousons nous leurs mémoires si ce n'est pour nous construire une fausse identité là où il n'y a que la nécessité d'emmagasiner des savoirs des marques dont ils ont imprégné la terre pour transformer son environnement.

Que cache alors tout l'ostracisme, tout le sectarisme, tous les racismes, toutes les haines que nous développons. Nous ne pouvons aimer tout le monde, mais ce la emporte pas la détestation pour un passé qui n'existe plus ailleurs que dans nos souvenir et par les oeuvres que nous lisons, apprenons, voyons ou decouvrons. L'universalité occidentale a été apportée par le christianisme. Les juifs continuent à se définir comme le peuple choisit de dieu, comme si cela n'était pas une vision archaïque. Ils dont peuple de dieux, de la création, de la nature du monde, de l'univers au même titre que tout les humains et tout  ce qui existe par ailleurs est-ce cela ou seulement servent ils de boucs émissaires parce qu'ils n'arrivent pas à définir ce qui les rongent, les, minent, les exaspèrent ignorant que l'Occident en sont les héritiers historique, de la même manière que nous avons hérité du feu maîtrisé par nos ancêtres et réaménagé par toute une lignée s'éclaire d'humains malgré tous les mesusages que nous avons pu en faire. Les juofsne sont donc pas une tâche pour l'humanité même s'ils sont sectaires dans leurs pratiques comme tous ceux qui ont peur du monde, de sa variété, de sa complexité, de la conquête de l'incertitude avec seul bagage nos souvenirs. Nous les accusons d'être les dirigeants du monde, et financer en particulier, est faire injure au reste du monde. L'Orient philosophique n'a rien à leur envier, leur sagesse est bien plus grande est il n'en a pas fait un meilleur usage. Cela indique pour le moins que l'acceptation d'autrui que l'environnement a modelé en tenant compte de la génétique humaine qui organise nos instincts pour développer nos destinés et bien difficile à accepter dans sa variété qui ne dépend pas d'un dieux quelconque mais de la longitude et de la latitude géographique, des océans et mers qui bordent les territoires et des ressources disponibles, comme des moyens de circulation. Ce que nous aurons réalisé et fait circuler d'une génération à autre forme nôtre mémoire "Geohostorique" avec laquelle chacun doit composer pour vivre au milieux des autres.

Si chacun gratte son vernis ritualiste, nous nous rendrons compte qu'il n'est qu'une morale pour sociabiliser des animaux qui se nomment humain sans arriver à y parvenir   justifiant de toutes les violences en n'etant avares d'aucune atrocité parmi lesquelles mes Nazis se sont distingués, non en massacrant des juifs et autres sur la base de raisons développées par notre cerveau débile, mais pour avoir organisé L,Industrialisation de la mort comme nous le faisons pour le bétail. S il y a là matière à réflexion et à établir des parallèles avec des armes de destructions massives qui industrialise la guerre e' créant des métiers militaires comme nous créons celui de boucher dans les abattoirs, pour la même raison conquérir des territoire ou des marchés afin de s'approprier les ressources que nous ne savons pas nous repartir, car l'abondance ne nous permet pas de nous distinguer, de nous donner les moyens de séduire pour conquérir l'autre en suciitant le désir ou en nous donnant les moyens de le soumettre .

  Y à t il là  de quoi se poser en victime perpétuelle et susciter par le désir de vengeance, la haine. Les nazis étaient chrétiens, faut il croire que malgré Luther ils n'avaient pas entendu parler du pardon développé par me christ. Cela peu d'autant mieux se comprendre que pour s'assoir sur le pouvoir que donnait la connaissance ignorante de l'époque nous n'avons pas lésiné sur les systèmes punitifs qui ne sont sue de la violence sur autrui, que du dressage au fouet, malgré les échecs séculaires sue nous pouvons mesurer.

Son fondement ne se comprend que par le Temps. Il est plus facile de donner un coup de bâton que de prendre le temps de lire, d'écouter, de comprendre. Si le but recherché est de se nourrir ou comme aujourd'hui d'amasser de la monnaie nous sommes en retard d'une évolution. Hier les initiés instruisaient les initiés, aujourd'hui il en est de même. Les sciences sociales, les sciences humaines, les scienced politiques,les sciences biologiques ne sont réserves qu'aux "initiés" qui aujourd'hui sont comme hier ceux qui appartiennent à des classes sociales déjà instruites. Ouvrir l'éducation au delà de l'âge obligatoire n'est pas un luxe mais une nécessité, sinon ceux qui ont besoins de boucs émissaires pour se soulager de leurs souffrances nourrit par leurs ignorances d'une connaissance insuffisante pour s'incorporer dans un monde complexe, parce que dans le cadre de la compétition économique ils sont écartés ou exploités, désigneront toujours un groupe responsable pour cultiver leur réminiscence. La remenissence c'est comme la rémanation qui nous donne les  fantômes qui hantent tous les vieux châteaux, tous les espaces que l'homme a empreint de son passage au fil du temps, et qui ressurgit quand le temps s'y prête.

Nous pouvons bien y réfléchir ?

 

 

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 22 Février 2019

C'est la punition divine pour ne pas avoir respecté un interdit.  Fini le jardin d'Éden. A-t-il existé un jour ? Quel souvenir humain s'y rattache ? C'est la période durant laquelle les humains vivaient de la cueillette, où ils n'avaient qu' à tendre le bras pour trouver sur la terre ce que leur donnait la nature pour se nourrir.

Quels changements terrestres ont du se produire dans certaines parties de la planète pour qu'aujourd'hui vivent encore de cette manière quelques tribus aborigènes, tandis que tous les autres humains TRAVAILLENT.

Cela est moins important que de comprendre que ces changements ont conduit l'humain à retirer par sa force de travail, ses capacités cérébrales et sa faculté d'adaptation les ressources nécessaires pour se nourrir et essaimer de par le monde en toute ignorance jusqu'à nos jours.

Cette obligation de devoir extraire de la terre, du sol, de l'eau les produits dont l'humain a besoin pour se nourrir, s'abriter, se, protéger afin de copuler pour assurer le renouvellement et le développement de son espèce, constitue la RARETE.

La rareté, c'est moins celle de devoir se répartir ce qui n'est pas abondant, que de devoir produire ce que la planète ne nous donnera pas sans l'effort d'un travail. La première des raretés est celle-là. Nous vivons donc sous le principe de la rareté. Nous devons produire ceux que nous voulons consommer, utiliser, avoir, toujours dans la même perspective originelle. De la sorte retrouver le jardin d'Éden, est moins de s'enrichir par l'obtention de monnaie que de produire l'abondance,  même si pour cela, après avoir usé au travail des animaux, nous envisageons de nous faire remplacer par des machines et des robots.

Nous savons que tout n'est pas abondant et que nous devrons faire les choix les plus judicieux pour y parvenir. Déjà certains hommes, des scientifiques posent et réfléchissent sur cette problématique. Pour l'instant nous y sommes encore sourd, car depuis l'industrialisation, grâce aux mathématiques la rationalité comptable, qui permet de rêver d'avoir que pour soi le jardin d'Éden en accumulant de la monnaie, dirige nos vies. C'est le dominant systémique qui conditionne nos existences sans autres soucis qu'une rentabilité financière, avec tous les dégâts que les scientifiques mesurent avec la pollution planétaire.

L'humain est-t-il donc incapable de faire les choix qui lui sont vitaux. N'y a t il que le travail pour combler nos vies, n'y a t il que la compétition et nôtre incurie dans l'usage d'un cerveau débile d'avarice, d'égotisme et en plus lent pour réaliser ce jardin d'Éden qui est à la porté de nos facultés cognitives pour le peu que nous consacrions un peu de temps à apprendre, puisque nous aurons a moins travailler.

Aujourd'hui en agriculture nous pouvons créer d'abondance. Sauf que la surproduction en diminuant les prix ne permet plus aux agriculteurs de dégager un revenu pour vivre. Alors on organise la rareté afin qu'ils puissent vivre de leur travail. Ce faisant nous développons la misère pour ceux qui ne pourrons acheter leurs productions, alors ils se dirigeront vers le secours catholique ou les resyeaux du coeur. En ce domaine nous manquons totalement d'imaginations en restant accolés au système comptable capitalistique.

Un autre exemple, le monde scientifique a anticipée le réchauffement climatique, nous connaissons toutes les surfaces qui serons recouvertes par la monte des eaux. Avons nos pris une seule décision pour anticiper cette évolution inéluctable ? Que faudrait il faire, cela est il de la décision des citoyens, ont ils les moyens et la volonté de se concerter, attendent ils une décision politique d'un pourvoir qui n'a plus de plans  si ce n'est de demander aux riches d'investir. Les citens sont ils capable de prélever sur leurs revenus les fonds nécessaires pour relever un défit qui n'atteindra que certain d'entre eux, ou vont ils attendre que le pouvoir prélève un impôt ou une taxe solidaire pour pallier à l'incurie d'un cerveau "débile" repu d'égotisme comptable. Oseront ils devant la masse financière colossale que cela représente, créer un compte écologique et émettre la monnaie nécessaire aux défis écologique, plutôt si de forcer une population qui n'en a pas les moyens financiers, ou attendre des rentiers, des riches qu'ils investissent dans un projet plein d'incertitudes quand à une rentabilité espérée. Il est plus rentable pour ces masses financières disponibles de faire des gains a toutes les secondes en jouant en bourse grâce aux traders.

Toutes les sociétés développent des dominants systémiques dans lesquels leurs dirigeants veulent faire rentrer la vie humaine comme si celle-ci était une marchandise.

Les religieux veulent faire rentrer la vie humaine dans leurs  livres saints, d'autres dan leurs pratiques limitées, d'autres dans leurs philosophies , dans qu'au bout du compte l'humanité n'y tienne. Or aujourd'hui les capitalistes essaient de faire entrer l'humanité dans leurs plan comptable. Pour qui y réfléchi nous avons là la preuve de ce cerveau débile quand il pense 'un humain e résume à un chiffre. Un chiffre qui grossit d'autant plus que l'homme dans un monde de rareté veut disposer d'un jardin d'Éden par la monnaie raréfie pour qu'elle soit désirée. Cela nous empêche d'y accéder car ça paralyse nôtre cerveau, ça le bloque et cela le fait avancer lentement pour la majeure partie de tous ceux qui doivent se courber sur leur travail sans prendre le temps d'apprendre et d'envisager d'être aussi rémunérés pour cela.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 21 Février 2019

Parfois les caricatures valent mieux qu'un long discours. Dans les forêts tropicales les arbres se font la course pour le soleil afin d'exposer leurs feuillages. Ils vivent tellement en concentration, les uns accolés aux autres sur et dans un même espace, que celui qui né à l'ombre d'un autre doit se battre suivant son espèce pour exposer ses feuilles au soleil. Dans cette compétition pour s'élever au dessus des autres et étaler son elite, ses feuilles, celles-ci en oublient de nourrir le tronc qui les portent, pour qu'il soit fort afin de porter ses ramures et leur feuillage. 

Feuilles et tronc sont donc inter dépendant chacun concours à l'existence de l'autre. Sauf que dans cette compétition pour être le plus beau, le plus fort, le plus riche l'élite laisse derrière elle, néglige, exploite celui qui la porte, celui sans lequel elle arriverait pas au sommet de la canopée.

Dans ce cas serré les uns contre les autres, se nourrissants au même substrat, la meilleure nourriture va, est aspirée par les feuilles que lui distribuent les intermédiaires que sont ses ramures. Ainsi négligé, voire épuisé, le tronc donne des signes de faiblesse, il plie quand souffle un simple vent ou la tempête. Si cette situation dure des années sans que le tronc se revitalise, ou que des concurrents lui enlèvent la nourriture nécessaire, à la moindre bourrasque, au moindre coup de vent, encore plus en cas de tornades, les racines s'arrachent du sol et l'arbre si majestueux, qui se croyait intouchable s' écrase au sol, en emportant d'autres avec lui et meurt.

Alors ceux qui s'exposaient au soleil, ceux qui se croyaient parvenus sont les premiers à pourrir pour servir de nourriture à ceux qui vont grandir, s'élever sur leurs restes.

C'est de la sorte que le mouvement des gilets jaunes c'est développé.  Nul ne pensait que l'abandon du pouvoir régalien d'émettre de la monnaie pour lutter contre l'inflation conduirait les élites à s'approprier le pourvoir politique et économique, tant en France qu'au sein de l'UE, s'appropriant les richesses utiles à la consommation des ménages citoyens et non de celle des entreprises qui les factures à ces derniers.

La fracture politique c'est consommé en 2005 avec l'entour loupe sur le referendum. A chaque élection cela été visible par l'accroissement de l'abstention et le vote blanc politique. La perte de confiance dans l'élite qui n'a fait que vendre électoralement des éléments de langage, depuis 1990 ou l'information a été réorganisé sur le mode anglophone des États-Unis ,ainsi que le renforcement du régime présidentiel, ont contribué à créer en plus, une fracture intellectuelle faite de faits divers émotionnels, tandis-que les puissants, sans défrayer la chronique ou faire les pages des journaux et des médias, prêtaient leurs richesses au peuple en les obligeant d'acheter leurs fortunes disponibles au prix des intérêts, et leur tendre le capital soit à la banque soit à l'État. Incapable de voir cela la population c'est cherché des boucs-émissaires, les fraudeurs, les immigrés, la fonction publique, ces gouttes d'eau dans une mer de BILLIONS dont la population n'a aucune notion ni vision dans son ensemble car ils comparent leurs boucs-émissaires à la valeur de leur maigre salaire.

Sans création monétaire par la banque de France ou la BCE pour prêter directement à l'État, les demandes des gilets jaunes aussi justifiées soient elles conduiront à continuer d'enrichir ceux qui ont de l'argent ou des fonds disponibles.

Faute de visions politiques claires d'où viennent les difficultés que nous avons créé par nos choix politiques obscurcis par les débats politiciens, ceux qui disposent d'une claire vue de l'économie libérale capitalistique leurre la population avec leurs loi du marché, là ou il n'y a que la puissance de celui qui détient la monnaie et sa création.

Alors je ne sais pas si les feuilles sont prêtes à tomber ? Mais le grand débat n'est qu'un leurre de plus. Ils ne sont pas élites pour rien. Il n'y a que les sots pour croire qu'elles se trompent.

 

 

 

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Rédigé par ddacoudre

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