Le rôle de la justice est-il de punir ?

Publié le 5 Octobre 2025

La justice et la punition.


 

La philo s’intéresse à l’essence de l’être et de ce qui le meut.

Tout ce qui existe à une raison d’être, même si la raison objective nous échappe.

Comment opérer une distinction entre ce qui est de nature ou de culture?

Est de nature tout ce qui est de l’inné. L’adaptation est de l’inné mais les formes qui en seront réalisées sont de la culture car elles résultent d’une création déterministe d’œuvres de l’homme et ne sont pas présente à sa naissance. Nous ne naissons pas au volant d’une voiture.

Le singe utilise une paille ou un cailloux pour se nourrir sans lui la paille resterai à sa fonction de nature, livrée à l’évolution de la planète.

Ce qui a pu être fait par la culture peut être défait.

Nos émotions résultant de nos relations à l’environnement réalisent nos désirs sous le contrôle du filtre inné, par la raison déterminée pour la nécessité de survivre et accomplir la perpétuation de l’espèce.

L’instinct n’a pas de raison. Dans ce cadre l’humain ne développe que des paradigmes acceptables par l’inné qui peut les intégrer et qui constituent l’évolution d’adaptation des espèces.

La notre a connu une révolution cognitive pour extraire du sol, de la biodiversité de quoi satisfaire sa survie face à l’évolution planétaire et celle de sa population qui en a résulté exigeant une sédentarisation productive.

Celle-ci a enchaîné l’exigence d’une régulation verticale correspondant au rapport dominant/dominé toujours en vigueur de nos jours malgré s des tentatives d’organisation horizontales dont nous connaissons au moins deux axiomes, aimer vous les uns les autres de jésus, et que puis- je faire pour toi du psychiatre Alder, héritage culturel de l’altruisme féminin et d’une organisation de partage issu de la chasse collective au gibier dans les premier temps culturel faisant suite à ceux de l’homo-habilis.

La sédentarisation a exigé en l’absence d’abondance productive une répartition de la Rareté produite. Cela est essentiel car c’est de la répartition de cette rareté que découlera tous les comportements humains qui s’en suivront jusqu’à nos jours. Donc celui particulier qui nous intéresse, la justice qui vient maintenir les différent ordres sociaux idéologiques en l’état pour maintenir une socialisation du groupe du clan de la société du monde.

La justice n'est pas juste.

Il est donc impossible de pouvoir considérer que la justice est quelque chose de juste, sinon toutes évolutions socio-économiques et politiques seraient impossibles.

Il est donc autre chose que de penser que la justice est juste, elle rétablit seulement au plan individuel ou collectif l’ordre organisationnel imposé ou accepté.

Mais les hommes ont besoin d’assurance pour satisfaire à leurs angoisses existentielles et recherche un salut dans tout une suite de représentations du dominant vertical, mythe, idéologie, dominant systémique qui désignent ou cooptent une autorité qui s’impose par une structure de commandement sous la surveillance d’officiants remplissant une fonction corrective de tous les effets pervers ou déviants de son organicité. Pour nous ce sont les forces de polices et le ministère de la justice. J’utilise souvent la notion de contes pour qualifier tous ces paradigmes sociétaux, car ils sont élaboré par notre construction psychique.

Dans l’esprit humain la justice demeure une institution

Dans l’esprit humain la justice demeure une institution qui correspondrait à ce besoin immanence source de certitudes ; or elle n’est rien de tout cela, elle se borne à soutenir l’ordre en place et rien d’autre. De part le monde existe une diversité d’organisations différents de la notre ayant les mêmes désirs car ils sont innés, ils sont une potentialité adaptative. Dans l’île de Bornéo existait encore en 1956 une tribu dénommée tribu des arbres découverte par un pasteur missionnaire. Les indigènes habitaient dans les arbres, car leur usage nécessité que l’on décapite un vieux pour s’épouser et procréer, et chacun veillait à ce que cet usage soit respecté. Ils n’étaient en rien cruel, ils avaient trouvé un moyen d’auto régulation. Y a t’il quelque chose de juste ou d’équitable. Rien bien sûr, pas plus que pour nous actuellement.

En conséquence les hommes ont toujours la nécessité de devoir s’interroger sur leur existence dans le cadre d’une vision idéaliste de leur organisation sociale économique et politique pour assurer leur survie.

Or plus la complexité des relations interpersonnelles croient sous la création technologique et plus elle exacerbent les désirs. Lobligation de disposer de savoirs croit également pour palier aux angoisses, au stress, à l’ignorance. Cela pas pour enorgueillir d’être un cador ou un génie, mais pour disposer de ce que l’on appelle le contrôle interne qui permet de vivre paisiblement et d’envisager les réformes ou évolutions qu’entraîne une existence « géohistorique ». En l’absence d’une intégration suffisante de tous les savoirs, l’on fait appel à ce que l’on appelle le contrôle extérieur qui est constitué des forces de polices et de l’institution judiciaire qui sévissent aussi bien dans les démocraties que les dictature et ne témoignent en rien d’une justice équitable inconditionnelle ; l’accroissement de ces forces est un signe de médiocrité.

A tout cela s’ajoutent les moyens de coercition qui vont de la réprimande à la peine de mort.

Ils n’ont aucune base réfutable. Ils sont le résultat d’une réponse émotionnelle suivant les priorités de l’organisation en vigueur et sont l’objet d’une évolution.

Rien qui nous assure que la punition infligé soit juste

Comme mesure nous avons le litre, le mètre cube, la longueur le mètre, pour le froid ou le chaud, la température, pour le poids le kilo, le temps l’heure etc.. Pour les émotions absolument rien. Rien qui nous assure que la punition infligé soit juste à quelque niveau que ce soit.

Elle n’est que la réponse à une insuffisance. Intégrer la culture demande une gymnastique de l’esprit qui s’apprend des le plus jeune âge et faute de prendre le temps nécessaire, en fonction des occupations familiales, sociales et économiques de chacun, nous punissons en espérant que le traumatisme provoquer sera à même de laisser un souvenir pour que l’information soit enregistrée.

La punition n’est donc que le corollaire d’une insuffisance structurelle et elle est aussi traumatisant que les comportements qui en génèrent chez autrui.

L’inadaptation des structures socio-économiques et morales de notre temps ne sont plus adaptés à l’évolution des technologies et savoirs, et de leurs moyens de circulation. Aux sources de nos comportements et nous véhiculons encore des préjugés et des fantasmes refoulés par la culture.

C’est donc en vain que nous recherchons dans le ministère de la justice et par les lois quelque chose qui serait juste dans une organisation verticale qui fabrique, par la répartition de la Rareté, les maux dont nous nous plaignons, et qui de plus échapperait à la nécessité d’une appréciation intellectuelle, afin de réguler, voire de pouvoir contrôler en partie, ou d’orienter nos réactions émotionnelles.elles n’ont qu’une seule fonction, nous assurer de survivre dans notre environnement géohistorique, et nous pouvons en admettre comme la tribu des arbres, la guerre ou la peine de mort. Penser autrement, respecter la vie, l’intégrité des humains, respecter le consentement de chacun demande des qualités que ne peuvent qualifier la philosophie, la sagesse etc, là ou il faut être capable de trouver le juste à propos des choses.

la justice sous le poids des mots politiques

La guerre contre EID, est un exemple de nos réponses émotionnelles, les quelques décapitations auxquelles ils se sont livrées nous ont ému au plus profond de nous même, qualifiant cela de barbarie. Pourtant les occidentaux en guerre lâchaient des bombes qui faisaient sans distinction bien plus de morts sans nous émouvoir et nous expliquions que nous menions une guerre propre.

Les attentats ont traumatisé les populations, alors qu’ils font partie des risques les moins étendus dans le monde, 29 000 sur 8 milliard.

Cela témoigne de ce que l’on appelle une accoutumance au risque. En Irlande ils s’étaient accoutumés aux attentats comme en Israël, comme durant le moyen âge les hommes étaient accoutumés aux pillages.

La réponse alors n’était pas la justice et la punition, mais des villages perchés et des fortifications. Là encore les hommes ignoraient que le pillage comme le vol ne dure que le temps des stocks disponibles et ensuite l’on disparaît. Il n’est donc pas interdit de voler pour des raisons morales, qui étaient au temps ou ce fut mis en vigueur un comportement fermant les portes de la vie éternelle, mais parce que notre espèce en disparaîtrait, n’étant plus à même de produire son nécessaire dans un environnement qui ne lui assure pas sans culture sa substance. Idem pour le processus de vengeance nous avons lu cela.

Transition civilisationnelle

Une transition civilisationnelle est en cours, des sociétés industrielles s’y préparent particulièrement dans la Silicon-Walley, pour se diriger vers une économie de la connaissance, qui aujourd’hui n’est que l‘apanage d’initiés, comme ce fut le cas tout au long de notre développement pour démocratiser celle-ci en fonction du temps à y consacrer. La conséquence en fut l’évolution de nos mœurs de nos us et coutumes des conventions acceptées.

Or la stabilité d’une société repose sur le consensus de soumission des faibles et c’est à cela que veillent toutes les structures d’ordres, et ralentissent de fait toute évolution ou réforme, sans cela nous ne pourrions pas produire.

Il est bien évident que ce passage intellectuel s’oppose à la stratégie de l’émotion qui caractérise notre société occidentale depuis 1990 et fait de la justice l’être salvateur supérieur que l’on souhaiterait indépendant du pouvoir des hommes, bref un autre dieu.

Y aura t-il une évolution d’ici 2100 ?

Dans l’histoire humaine l’Homme a accomplis une révolution cognitive. L’homo-habilis est daté d’entre 2 et 3 millions d’années, l’homme sapiens lui succédant enterre ses morts vers 100 000, et le début du néolithique fixe la période où se développe les premières productions agricoles, l’élevage et la domestication d’animaux, il y a plus de 10 000 ans.

Cette nouvelle activité économique née de la raréfaction des nourritures nécessaires et de la multiplication de la population humaine, privilégié par la maîtrise du feu et la chasse du gros gibier, va entraîner le développement de « Civilisations » sans précédente, autour d’une sédentarisation créatrice de villages, villes, royaumes, nations comportant un nombre important de population humaines formant des sociétés de plus en plus complexes dans leurs relations interpersonnelles.

C’est avec la maîtrise du langage, de l’écriture, et de l’apprentissage que les humains donnerons corps à leurs désidérabilités par des organicités et des créations socio-économiques satisfaisant aux comportements innés qui dirigent leurs existences depuis depuis la nuit des temps, que des auteurs, tel Jacquard ou Shapiro nous ont raconté dans la légende de la vie.

Nous possédons donc, comme tout le vivant les moyens de survivre, pour nous nourrir, nous protéger et copuler afin de multiplier l’espèce et assurer notre existence, tant que celle-ci n’entraîne pas sa propre auto-destruction (armes de destructions massives) dans son rapport à l’environnement qui lui assure son existence,comme à tout le vivant, dans la biodiversité avec la particularité pour l’homme d’extraire du sol des matériaux.

Aujourd’hui plus qu’hier nous avons des moyens de comparaisons pour comprendre qu’elle place occupe nos organisations complexes dans la biodiversité et dans l’univers.

Et dans l'histoire

Pour l’instant encore les sociétés humaines reposent leurs organisations sur des principes civilisationnels qui remontent à la civilisation Mésopotamienne, du moins pour la civilisation occidentale, appuyée sur le premier code écrit dans la pierre par Hammourabi 1750 A.J.C.

Celui-ci continue les habitudes sociales de ces prédécesseurs, d'Ur III et le règne d'Ur-Nammu (2112 – 2094 ), des rois qui compilaient des recueils de sentences juridiques. Cette tradition est récupérée par Hammourabi, il en écrit son Code pour procéder à l'organisation de l'administration de ses conquêtes. Elles sera reprise à son tour par les Hébreux et passera à la postérité avec les tables de la loi accordées à Moïse, et fondera la morale occidentale.

Le Code de Hammourabi connu par une stèle exhumés par Gustave Jéquier et Louis-Charles Watelin en décembre 1901 et en janvier 1902 à Suse. Ainsi jusqu’en 1900 notre civilisation était décrite et l’est toujours comme une civilisation judéo-chrétienne, alors qu’elle à comme source la Mésopotamie, ce que rapporte la bible avec la situation du jardin d’Éden. Les hébreux ont été une population qui a vécu sous l’administration de la Mésopotamie, et nous comprenons alors que les tables de la loi non rien de divin, et tout d’humain.

Que les croyants ne s’inquiètent pas ce n’est pas parce que, telle est l’histoire que cela fait disparaître Dieu, c’est la même chose pour le christ ce n’est pas parce que la science nous a appris qu’il ne pouvait pas y avoir de naissance divine instantanée que dieu en disparaît.

Ce préalable me paraît nécessaire pour comprendre, que malgré nos innovations technologiques, nos découvertes extraordinaires de la terre, du vivant, de l’univers et de notre cerveau, nous restons encore attachés à des préjugés, des superstitions, des barbaries qui nous paraissent aller de soi et nous pose la problématique de comprendre que notre histoire et celle d’une évolution, tout en acceptant pas de nous soumettre pour nous réformer,ne percevant pas que nous la vivons, jusqu’à ce qu’elle s’impose à nous par l’observation intellectuelle ou nos perceptions sensorielles. 

Pour autant cela n’est pas suffisant,car ensuite il faut que l’humain s’aventure alors dans l’incertitude, tandis qu’il s’accrochera, jusqu’à en mourir, à tout ce qui le rassure.

Cette difficulté est du essentiellement à notre mode d’apprentissage qui est trop lent, trop court, trop mercantiliste, trop initiatique pour engager les humains vers une société et un monde plus CIVILISÉ.

Les rapports humains à partir du Néolithique

1. Connaissances et limites Nous ignorons presque tout des relations interpersonnelles avant le Néolithique, en dehors des silex taillés, de l’art rupestre et des vestiges archéologiques. Aucune trace directe d’institutions punitives n’a été identifiée, malgré les conflits probables. Nos informations reposent souvent sur les récits des explorateurs (Cook et consorts) et sur des études contemporaines de tribus isolées (Amazonie, Papouasie), où l’on résout les différends sans peine de mort ni prison.

2. Transition écologique et démographique Deux facteurs majeurs ont transformé les sociétés :

La raréfaction des ressources alimentaires, liée à l’augmentation des populations et aux changements climatiques.

Le passage de la chasse-cueillette à l’agriculture et à l’élevage, amorcé entre 13 000 et 9 000 av. J.-C.

Ces mutations ont fragmenté les espaces (terres fertiles vs. terres d’élevage) et engendré de premières formes de conflits pour le contrôle des territoires cultivables [1].

3. Émergence de la violence organisée Si les récits bibliques (Abel et Caïn) évoquent déjà la lutte pour la subsistance, les fouilles archéologiques datées vers 4 000 av. J.-C. révèlent les premiers charniers, signes d’invasions organisées et de pillages à l’ère de la métallurgie (cuivre vers 3 500 av. J.-C., bronze vers 3 100 av. J.-C.) [2].

4. Naissance de l’institution judiciaire Avec l’usage du fer et l’invention de l’écriture, le « droit du glaive » a évolué vers des codes écrits. Le Code d’Hammourabi (vers 1 750 av. J.-C.) fixe des peines édictées « au nom des dieux » et instaure une administration chargée de les appliquer. Les lois se divinisent pour se rendre incontestables, légitimant ainsi le pouvoir en place.

5. Punition, profit et contrôle social La punition naît du besoin des dominants — peu enclins à produire — de protéger leurs biens et de contraindre les producteurs (servitude, esclavage). Au fil du temps, le commerce marchand a institutionnalisé ce pillage sous forme de plus-value économique, présentée comme « naturelle » : la recherche du gain minimal pour un effort maximal.

6. Héritage religieux et philosophique Les mythes (Baal, Samas) ont nourri l’idée que les lois et punitions sont des « dons divins » garantissant l’équité. Avec la laïcisation, la justice est redevenue « terrestre », mais le principe reste : maintenir l’ordre socio-économique existant.

7. Vers une critique moderne Les Lumières (Beccaria) ont adouci les peines et remis en question la cruauté des châtiments, mais sans abolir la peine de prison ni le principe même de punition. Les mouvements abolitionnistes contemporains plaident pour supprimer l’emprisonnement de masse.

8. Conclusion et perspectives

Aujourd’hui, 96 % de la population mondiale reçoit une information uniformisée (médias dominants, réseaux sociaux) qui légitime la perception d’une insécurité permanente. Pour dépasser la punition comme réponse unique, il faudrait :

Démocratiser l’accès au savoir et à la réflexion critique.

Introduire des mesures de justice restaurative, fondées sur la réparation plutôt que sur la répression.

Revisiter la notion de travail, en l’indexant sur une mesure biologique (calorie) plutôt que sur la valeur marchande seule.

La récidive interroge la logique punitive : faut‑il multiplier les peines pour dissuader ceux qui rechutent ? Depuis l’Antiquité, l’homme crée des règles (lois, commandements) pour faire vivre ensemble des individus étrangers les uns aux autres, unis seulement par leur besoin de survie. La justice moderne, héritière du « droit du glaive », confie à l’État le monopole du châtiment. Pourtant, récidiver n’est pas toujours le signe d’une « mauvaise volonté », mais peut résulter de la misère sociale, du manque de perspectives ou d’un apprentissage inadéquat.
Dans la tradition chrétienne, le pardon de Jésus illustre un principe alternatif : reconnaître sa faute et s’efforcer de la réparer avant toute sanction divine. Cette conception s’oppose à l’idée que la peine infligée serait un mal nécessaire, une sorte de médicament amer destiné à corriger le coupable.
Aujourd’hui, l’aggravation automatique des peines pour les récidivistes s’inscrit dans cette logique punitive, mais son efficacité reste largement contestée. Les statistiques montrent que les taux de réinsertion demeurent faibles, tandis que la surenchère répressive tend davantage à prolonger l’enfermement qu’à réduire durablement la criminalité.

Notre société contemporaine accepte les dérives socio-économiques comme le revers inévitable de la compétition capitaliste. Ses dirigeants ne proposent jamais d’en réformer les causes et préfèrent culpabiliser les citoyens qui succombent aux affres d’une répartition inégale de la rareté — comme si l’instinct de survie pouvait se résoudre à mourir de faim.
Ainsi, les populations « assises » semblent toujours redécouvrir que certains parmi elles refusent de périr et développent une économie souterraine faite de transgressions. Alors, les citoyens inquiets réclament davantage de sécurité et espèrent que la justice et la police suppléeront aux solutions politiques qu’ils n’ont pas le courage d’affronter.

Tant que la société punira les symptômes au lieu de soigner ses causes, elle confondra justice et vengeance. Une civilisation qui condamne ses exclus pour avoir voulu survivre ne punit pas le crime : elle punit la vie. Là où la justice remplace la politique, la peur devient la loi.

Nous enfermons les failles du système au lieu de les réparer.

 

 
 

 

 

 

 

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #Politique, #ritique

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