Par pauvreté de la charité ne vendons pas la république solidaire.

Publié le 8 Mai 2019

Pour une volonté identique la manière diffère.
Biologiquement existe chez l'humain que la relation altruiste mère enfant.
Parfois je dis comme chez les ours, et non comme chez certains volatiles ou des couples sont pérennes et où le mâle couve à son tour. Nous ne sommes ni l'un ni l'autre, mais capables d'être les deux.
C'est à dire individualiste, près à tuer les enfants des autres pour baiser, ou s'impliquer dans la vie des autres au point d'y sacrifier son existence voire sa vie. (Suicide altruiste)
À chaque bout il'y à la mort.

Alors là question reste comment faire pour ne pas y arriver par les extrêmes.

La nécessité de produire notre subsistance nous y a conduite. Lentement l'humain c'est sédentarisées avec la contrainte de se répartir son activité économique et établir des usages et coutumes qui les relient. 
Sauf que la terre est ronde et nous ne connaissons pas ceux qui sont de l'autre côté. Face à la même nécessité ils auront développé des, religions, excusé moi,  je voulais écrire des us et coutumes pour se relier, car relier a donné religions.

C'est à dire comment faire pour vivre ensemble.

Il m'a semblé comprendre que nos sociétés se posaient la question n cs terme, le vivre ensemble.
Serions nous devenus des Ours ? 
Il y a un fils de dieu semble t'il qui se serait penché sur le problème et se serait tellement impliqué qu'il aurait sacrifié sa vie pour ceux qu'il aimait.

Il a laissé quelques idées, Aimer vous les uns les autres et partager. 
Non pas ce que vous avez en trop, mais ce qui vous est le plus chère.

Quand pensons nous quand nous réclamons que les Restes des Supers Marchés soient donnés aux pauvres. 
Quand nous recuperons tout ce qu'ont en trop les autres pour les vendre et les distribuer dans des organismes spécialisés dans la Charité comme Emaus, les Restos du Cœur, les Secours Religieux de toutes confessions. Naturellement il ne sont pas à blâmer, pas eux. Nous les Républicains.

Je ne vise pas le recyclage, mais les surplus de consommation des riches avec lesquels nous nourrissons les pauvres.
Imaginons ces volatiles où le mâle ne tiendrai pas sa place pour maintenir l'équilibre harmonieux qui concours à la vie de l'oisillon à naître auquel il donnerai ses restes. Comme nous faisions à nos chiens avant qu'ils deviennent un marché lucratif.
Ils auraient une progéniture déficiente.
Non nos semblables ne sont pas des chiens ils n'ont pas à recevoir nos restes.

Ne faisons nous pas cela. 

Pourtant chaque famille, chaque groupe, chaque clan, chaque nation, notre monde ne sont ils pas seulement la multiplication d'un couple ?
Est ce que chacun dans la production de nos besoins ne doit pas seulement prendre sa part sociale, que ce soit pour fournir un travail ou une activité socialisante et recevoir sa part en partage.

Faute de cela nous n'aurons des oisillons déficients,  des exclus.

 Nous trouverons que les élever dans le bien être là sécurité, l'amour ça coûte cher. Nous les ccontraindrons à accepter leurs états en les rendant responsables du manque d'amour qu'il n'ont pas reçu.
Nous faisons cela sans en avoir conscience.
C'est ce que j'appelle créer les maux dont nous nous plaignons. C'est ce que je dénonce quand je dis que la morale (les us et coutumes,les relligions) est pas faite pour faire d'accepter la misère. 
Est ce facile ? non. !
Nous avons toujours envie d'être un Ours, tuer ce qui sont en trop, ceux avec qui nous devons partager la sociabilisation humaine.

Humaine parceque, les états nations touchent à leur fin. 
Si nous ne sommes pas capables de passer de la charité à la solidarité nous tomberons sous le coup de la dictature de groupes oligarchiques. 
Ceux auxquels nous avons donné le pouvoir d'émettre de la monnaie en us et place des Citoyens. Ceux-ci nous proposent d'élire leurs "hommes de mains politiques", qui après leur avoir vendu le pouvoir monétaire en 76et 92, vend les uns après les autres le biens de la nation que les Citoyens ont financé.
Nous en arriverons ainsi quand ils nous proposerons par efficacité comptable de leur vendre la police, l'armée, il retracerons les frontières politiques en frontières commerciales. Déjà ils ne soumettent pas leurs désaccords à la justice républicaine.

Lisons bien ce que j'écris. 

La morale, les états n'ont surgi que des luttes commerciales (pour faire court). Je vais sauter l'apport de la religion.
La révolution des droits de l'homme à redonner le pouvoir à ceux-ci. Ce fut un bouleversement sans précédent dans le deroulement de la vie d'une espèce vivante, s'émanciper d'une tutelle, même si ce est pas parfait.

Alors pourquoi retourner sous la tutelle d'oligarchies.
Parce que nous rêvons d'en être.
Parce que les Capitalistes, les monetaristes, les comptable nous expliquent à longueur de spécialistes, d'économistes, de banquiers, de lobbyistes que notre vie ne rentre pas dans leur capital qu'ils nous prêtent. 
Nous sommes entrain de leur vendre la république et nos vies.

Pensons nous que notre oisillons se portera bien ?

Comment faire autrement ?

Plus de deux milles ans que nous le savons. Aimons nous les uns les autres pour être solidaire. Soyons humbles des uns aux autres.

Les volatiles ne se partagent pas les tâches parce qu'ils sont religieux, mais parce que c'est une question de survie pour l'espèce à venir.
Si j'ai choisis ces deux exemples, c'est parce qu'il conviennent à ce que je veux démontrer. C'est un choix arbitraire et je l'assume.
Pourtant il démontre. Que deux natures opposées toutes deux égoïstes et singulières sont capables de s'associer, d'être solidaire de ce qu'elles ont mis au monde. 
Ce qui pour nous revient à ce que nous avons su créer dans la souffrance des tutelles.
Alors ne laissons pas détruire la république.
Il ne faut bpas ce tromper d'adversaires.
Malgré l'existence d'immobilisme religieux qui génèrent des  belliqueux extrémistes, ce ne sont pas les relligions qui posent problèmes. Toutes, malgré leurs défauts, (particulietement d'adapter leurs conseils au monde qui évolue car nous sommes encore des Ours) veulent Relier les hommes.
Que nous leurs reconnaissons toutes les erreurs commises en leurs noms pour cette fin. Que nous leurs reconnaissions toutes leurs divergences.
Leurs volontés de partage par la charité n'est pas à mettre en doute.

Toutes ont voulu bien ou mal écarter les hommes du Dieu Mamon que nous célébrons dans la cathédrale de la bourse.
Pour la métaphore. Les commerçants pharisiens ont reconquis le temple de Dieu d'où les avait chassé le Christ.

Alors c'est quoi la solidarité?

C'est l'organisation pérenne de la charité et du partage. Nous savons d'expérience combien il est difficile d'aimer tout le monde. Pourtant s'ils sont là c'est qu'ils ont leurs places sinon la nature les auraient éliminés.
Des hommes que l'on a appelé des socialistes et d'autres humanistes ont généré face à la faiblesse de la charité dans une France chrétienne et républicaine, une chaîne d'entre aide corporatiste qui concernait les travailleurs. 
Je ne vais pas m'étendre sur l'histoire, mais sur son principe.
Celui ci reposer sur l'aide à apporter à ceux, des travailleurs, qui tombaient en maladie ou accident et en perdaient leur emploi et le moyen de vivre.
Le coût de cette aide pour remplacer leurs revenus à été demandée au plus grand nombres, si bien qu'avec peu, ils pouvaient faire beaucoup pour un, parce que nous ne mourrons pas tous en même temps. 

C'est la mutualisation du risque par lequel nous savons qu'un jour nous serons atteint

Cela s'appelle la solidarité égoïste.

Cela correspond à l'ours qui dort en nous et au volatile qui est capable de protéger la vie de son oisillons.

La société Capitaliste nous invite à abandonner tous cela. Tout le résultat d'une république qui se réalise lenyement avec des soubresauts, liberté égalité fraternité. 
L'abandonner pour entrer dans des marchés financiers d'assurances, en nous expliquant que les salariés qui s'organisent pour le faire, c'est anti commetcial. 
Que l'humain n'est pas un homme mais du capital.
Que l'humain est un investissement.
Que l'humain doit savoir se vendre.
Que faute d'être un outil, s'il veut rester un homme il est alors une charge.
 Que l'ours est meilleur que le volatile.

Sans cotisations obligatoire à cet effort de solidarité qui est plus efficace que la charité directe, nous serions tous des oisillons rencore plus névrose que ce que ce que nous le sommes.

Alors ne vendons pas la république chassons en le capitalisme seulement.

Rédigé par ddacoudre

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