Publié le 20 Mai 2019

Dans l'étude du CVIPOF chacun pourra y lire l'opinion des français concernant le Capitalisme. À la question souhaitez vous supprimer le capitalisme 42% répondent oui.
À la question souhaitez vous le modifier 50% répondent oui.
N'esperer pas qu'un journaliste ou qu'un commentateur politique, qu'une émission politique ou qu'un gilet jaune nous parlent de l'opinion des français à ce sujet. Pourtant l'opinion des français est mise en avant pour toutes choses et chaque parti s'y référe pour justifier d ses opinions politiques.
Si cela est normal, puisque quand chacun propose une option c'est pour améliorer la vie des citoyens.n v Je n'ai donc jamais entendu un parti proposer la dictature, le fascisme, l'esclavage, la soumission, l'autocratie, la ploutocratie, la tyrannie. Tous sont républicains-démocrates.
Pourtant personnellement j'ai déjà entendu des citoyens proposer l'efficacité de la dictature.
Voulant signifier par là ,que la démocratie c'était le bordel, fallait débattre, se chamailler, s'unir, se séparer, partager, penser à soi, penser aux autres, être imaginatif, bref vivre, être l'humain à part entière. C'est à dire le contraire d'un OBJET.
L'objet c'est la dictature qui le construit, chaque chose et ordonné,dirige pour obtenir  par ex une voiture qui fonctionne.
Or dès l'enfance, ensuite à l'école, dans les entreprises, dans l'organisation capitaliste nous sommes regardés estimés comme tel.

J'exagère c'est à voir.

Qui explique :
Que l'homme a une valeur travail.
Que l'homme représente un investissement..
Que l'homme est une ressource humaine.
Que l'homme est du capital humain.
Que l'homme doit savoir se vendre.c n
Que l'homme s'achète.
Aujourd'hui où l'on ne regarde plus la femme comme un OBJET sexuel, il y a un espace où cette vision n'est plus d'actualité, malgré l'opinion majoritaire des français d'être considérés comme des humains, c'est dans l'organisation capitaliste du travail.
Dans l'entreprise au nom de la propriété privée (qui est un élément de stabilité économique)  ceux qui y travaillent sont soumis au totalitarisme du Patron, qu'il soit en SA ou pas. Le code du travail en témoigne. Personne ne peut démentir la finalité esclavagiste de l'entreprise.

Ceux qui en doutent n'ont qu'à ouvrir le code du travail, les conventions collectives et imaginer qu'elle serait leurs conditions de travail sans cela.
Aussi quand des partis comme le LR, le LREM propose la remise en des conventions collectives, du code du travail, chacun devrait y réfléchir  deux fois, puisque nous sommes 92% des citoyens à vouloir réformer le capitalisme.

Si je conviens que la plupart des citoyens sont de la graine d'esclave par éducation (éduquer à la liberté en disposant d'un esprit critique n'est pas à la portée de l'homme qui nait), et ne savent pas ce qu'est le capitalisme ni son origine (duquel il ne faut pas rejeter la nécessité d'usage d'un capital, d'un regroupement de forces et de moyens qui ne justifie aucunement exploitation de l'homme), ils en ressentent les conséquences, les voient, les vivent, les expriment, comme en ce moment par le rejet de l'Europe, les gilets jaunes, la peur de l'autre l'anti état sans y attribuer la source de leurs maux.

Qu'esperent ils que ce soit ceux qui les exploitent qui leurs expliquent qu'ils ne sont que des OBJETS.

Que bientôt ils vont les casser pour en faire de la chair à canon, comme si nous étions nait pour cela.
Quand il faut taper sur Hitler, ressasser la Shoha, imaginer l'invasion islamique il y a du monde pour crier aux fenêtres et être sur la photo par temps d'orages (comme les belges😊😊).
 Beaucoup moins quand il s'agit de dire que la Guerre est un Crime contre L'HUMANITÉ. Cherchons en la source, nous n'y trouverons que des raisons économiques. C'est donc peu dire que de  s'intéresser à notre organisation économique du travail qui est libérale capitalistique.
 La liberté ce n'est pas gênant, cela ne fera pas de nous des esclaves, le capitalisme oui.
 C'est encore un distinction que beaucoup ne font pas. 

Et en rejetant le libéralisme nous rejetons l'humanisme et ouvrons la porte au fascisme et à la dictature.

Comment maintenons nous le capitalisme

Chacun connait expression la bourse ou la vie, seul les cons perdent la vie, non je ne l'ai pas pensé, nous sommes dans un monde de cons (même ils avancent d'autres prétexter).

Cela fait donc très longtemps que nous choisissons la Bourse à la vie. D'ailleurs je n'ai pas entendu dire que les gilets jaunes étaient allés cerner le palais Grognard comme ils l'on fait avec l'arc de triomphe.
Dans les revues, les journaux, le net ne circulent pas d'informations  sur ce qu'est le capitalisme, tant nous y sommes intégrés.
Comme si c'était notre Nature. Y circulent celles qui nous y intègrent et que nous ne remettrons pas en cause parce-que globalement nous sommes des ânes, ( c'est avec amour et humanisme que je dis cela). Nayant aucun intérêt à suivre la circulation monétaire nous ignorons que nous sommes la vache à lait du marché financier.

Nous trouvons donc toutes les informations pour faire les meilleurs placements financiers avec le peu d'épargne que font chaque citoyens pour ceux qui ont des livrets ou une assurances vie.
Le moocs nous donnent gratuitement en ligne des cours de capitalisme, comment faire fructifier son capital financier par des placements.
,Moocs ( massive open online course)
Assurance-vie (openclassrooms)
HEC et Axa (coursera)
l'Université catholique de Louvain (EdX)

Cela nous permet de devenir comme l'écrit Paribas un investisseurs averti en fonction de son profil financier où de risques.

Que croyons nous être en faisant cela, si ce n'est des capitalistes qui s'auto-exploitent s'accroissant leurs difficultés,c ar ceux qui utilisent leurs épargnes la leurs revendent quand ils sont clients.

J'espère que l'expression le client Roi résonnera mieux à vos neurones.

Est ce le hasard, non le marché financier c'est ouvert avec les participations et c'est démocratisé sous 
Bérégovoy, qui croyait faire bénéficier du capitalisme à ceux qui étaient exploités.
Il n'a fait que le renforcer par ce que ceux qui reçoivent un intérêt sur le placement, ils le reçoivent de leurs voisins et non des milliardaires puisqu'ils y en a plus, andis que leurs voisins s'appauvrissent comme eux.(j'use de caricature car c'est trop compliqué de décrire le cheminement, et d'expliquer qu'en disposant de biens cela ne change rien pour certaines classes sociales).
Cherchons le parti qui nous expliquera ceci.
Ce que ce serait bien d'avoir le temps d'un esprit critique.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 19 Mai 2019

Le titre d'un film. Cela fait quelques siècles quelle se répand sur terre. Il ne reste plus trop d'espace ou l'homme n'a pas posé ses pieds.
Si ça n'avait été que les pieds nous ne serions pas dans la m---,e. Mais voilà il y a posé son regard et son intelligence, au service de ses désirs pour accomplir sa destinée, qui a fait le reste.
C'est comme cela que se déroule notre existence.
Nous savons utiliser notre intelligence, celle de faire les associations appropriées entre nos désirs et ce que l'on trouve à disposition dans la nature pour y parvenir.

Naturellement sur la planète il y a pas le bien et le mal. Seulement ce qui peut nous faire vivre et ce qui peut nous tuer. Et si mourrir n'est pas le mal, l'anticiper pour satisfaire des désirs l'est.
Nous savons aussi que notre destinée dépend de tous les effets qu'aurons engendré nos millards  d'actions. 
Alors gérer, prévoir des milliards d'actions est notre défie quotidien d'un instant T au cours duquel en quelques millisecondes ils se réalisent tous. Nous vivons cela que nous le voulions ou non.
si quelqu'un arrive à faire un  choix dans ce laps de temps c'est qu'il est un transhumain, comme le font les ordinateurs des traders.

Notre cerveau est plus lent, donc beaucoups  d'événements ont lieu avant qu'un nous arrivent aux neurones.

Sur la planète nous ne vivons pas tous à la même vitesse, et elle conduit le rythme de nos vie.
Particulièrement pour vivre libre.
Nous comprenons tous qu'à pied nous allons ou nous voulons, en avions rapidement vers une destination, durant le temps d'un voyage ou nous ne disposons plus de notre existence.
La vitesse est privative de liberté. Elle ne nous rend pas libre, nous satisfaisons un désir de se déplacer rapidement. Il n'y a donc aucune liberté à aller plus vite, seul le mode de vie change où la liberté s'échange contre un confort. 
Entrer en contact avec les autres au bout du monde en millisecondes n'est pas la liberté. La liberté c'est pouvoir se déplacer ou bon nous semble. Et il y a donc des siècles que nous ne sommes plus libre. Aussi la liberté, celle d'aller où bon nous semble, à la vitesse que l'on veut sans devoir être aliéné par le travail se construit à la vitesse de notre cerveau lentement.

La liberté n'est donc pas de se connecter au bout du monde mais d'y aller.

Hier nos ancêtres qui ont essaimé ignoraient que la terre était ronde. Eux ils allaient toujours tout droit, comme nous. Les aborigènes Amazonie ou d'ailleurs sont libres. Ils ne sont pas aliénés au travail.
 Il peuvent aller à pied où bon leur semble et pourtant ils ne quittent pas leur milieu.
 La liberté dépend donc aussi de ce que l'on connait du monde.
 Nous comprenons que lorsque l'humain dispose des ressources nourricières à porte de main, il ne quitte pas l'arbre qui le nourrit.
Nous avons toujours ce même comportement, nous voulons rester là où nous avons nos attaches. Chacun a connu cela dans son existence, devoir changer de classe, d'établissement et perdre les amitiés. 
Nait dans un lieu nous le quittons que contraint, le plus souvent par la recherche dun travail ou par des rencontres plus distantes rendues possibles par les moyens de communications de plus en plus rapides.
Sans en être totalement conscient, aller vite, gagner du temps c'est inscrit dans nos comportements.
Le temps et ce que l'on peut faire nous conduit à cette expression : manger la vie. Cet appétit de consommation n'est que la satisfaction de désirs sans limite de l'humain. Pour les satisfaire il c'est prolongé par la technologienologie.

Rien n'arrive parce-que nous le voulons, ce sont les enchaînements de nos actions qui nous reviennent.
Le savoir est important quand nous entrons dans la recherche de responsabilité.
Nous ne savons pas faire la différence entre être responsable et être acteur de son existence.
Nous ne sommes que les acteurs agissants qui construisent leurs pièces au quotidien en l'enchainant aux souvenirs qu'ils ont appris des scènes jouées par leurs wprédécesseurs dans un décor   qui influencera leurs choix.
À aucun moment ils ne peuvent être responsables des choix que leurs imposent une pièce qu'ils n'ont pas écrite et qu'ils doivent continuer de jouer en désirant en être l'acteur principal reconnu.
Cela n'ôte rien à la conscience de son rôle qui cherchera à trouver la place qui découle de l'acte dans lequel il apparaît.
Quand survient un évènement bien ou mal, bon ou mauvais, utile ou nuisible, il sera la résultante d'un ensemble plus ou moins grand que nous limiterons arbitrairement pour ne pas en arriver à comprendre que nous y avons participé. Et nous dirons : c'est la société. Incapable de pouvoir cerner le responsable nous nous focalisons sur l'acteur qui à émerger pour tenir le rôle qui découle des choix qu'il fait en conscience, mais qui ont été écrits par d'autres.
C'est pour cela que nous distribuons des médailles ou coupons des têtes.
Regarder notre existence sous cet angle est possible, la vivre certainement pas nous ne pouvons pas vivre sans nous sentir décideurs de nos actes, sinon nous serions dans le déterminisme absolue.
Or cette perception d'agir en fonction de l'environnement tient à nos limites biologiques où la part de l'inconnu, de l'ignorance nous impose de choisir parmi les opportunités celles qui conviendrons à l'acteur que nous sommes devenus, et puisque nous le sommes devenus nous pouvons changer de rôle car il n'est qu'aléatoire.

Nous pouvons comprendre que n'ayant aucune certitude nous soyons toujours en recherche de confirmations, et rien n'est plus rassurant que la mesure, que ce que l'on peut faire entrer dans une norme dans un ratio pour se préparer à jouer le rôle qui en decoulera, et dont les ignorants nous rendrons ou tiendrons responsable par peur ou envie.

Nous sommes donc encore une Horde Sauvage qui cours de plus en plus vite et fait remplacer sa lenteur par des technologies qui la dépasse.
Non comme capacité de réflexion car notre cerveau restera supérieur à la machine, car nous l'aurons créé à notre ressemblance. Mais par ce que là où la machine met une seconde nous il nous faut une journée. La machine ne nous est supérieur qu'en vitesse de traitement des données.
Sera t elle plus juste non, elle ne retiendra que ce en quoi nous l'aurons autorisé.
Influencera t elle notre existence, certainement, et il ne faut pas le craindre.
Si cette horde sauvage, prend le temp d'apprendre elle pourra maîtriser sa pièce et non seulement chercher à vivre au rythme des machines.

Les traders sont idéal pour faire la démonstration de la horde sauvage. Ils sont dans la recherche permanente d'un gain de temps pour faire des transactions. A la city de Londres les traders ont réclamé au maire qu'il interdise la circulation des piétons sur le trottoir qui conduisait à leurs bureaux car ceux ci les ralentissaient.

Demain nous ne travaillerons plus, les machines faites à notre image feront le boulot, alors dans le cadre de la pensée de la horde sauvage actuelcnle interdirons nous l'humain.
Ma réflexion à l'air d'une boutade, mais c'est ce que. nous faisons. Au lieu de libérer l'homme nous voulons le maintenir entre des murs, des barbelés, des frontières, nous faisons de son espace une prison, non que nos frontières ont changé, mais parce que nous y arrivons plus vite.
Hier il n'y avait que des aventuriers ou des commerçants pour faire le tour du monde, aujourd'hui nous y partons en vacances.

Demain les humains ne serons plus une source d'exploitation pour d'autres. Si nous laissons ce qui nous dirigent au pouvoir qu'il détiennent de l'exploitation des autres. Pensons nous sérieusement qu'ils vont renoncer à leurs pouvoirs, ou vont ils rendre l'humain servile de la machine plutôt que l'inverse.
Le choix des dirigeants sera encore plus important dans l'avenir. Déjà nous n'elisons pas les bons pour lutter contre la pollution.
Croyons nous qu'ils vont engager de la monnaie pour assurer le bien être des hommes. Tous les jours ils font la démonstration du contraire, en calculant suivant des normes et des ratios s'ils en retirerons un gain.

Comprenons tous de même. Pour s'enrichir ils ont développé la politique de l'offre, avec à la clé une pollution en conséquence. Et maintenant que la société leurs dit  dépolluaient, ils répondent oui si les dechets que l'on a produits nous rapportent un gain. C'est avec ce resonnement que la horde sauvage pense. 
Rien ne nous interdit de le comprendre


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 18 Mai 2019

Autant de candidatures est exemplaire, je dirais même, signe de bonne santé démocratique. Quand je dis cela, c'est sur que je ne le pense pas. 

Certainement que je n'échappe pas au syndrome générale d'être un con et borné. Con je ne sais pas, ce sont les autres qui me dirons si je leurs ressemble, mais borné je le sais. 51 ans que je m'échine à lutter contre l'exploitation de l'homme par l'homme et que je ne vois rien venir. Je mens en disant cela. Une tentative de mai 81 au départ de P. Mauroy en 83. Les citoyens ont eu peurs et ont enterré le Socialisme pour libérer la Social Démocratie qui les a enterré eux. 
C'est beau la vie elle réserve toujours de ces surprises.
Alors j'espère que cette élection sans grand en jeux entertera à son tour ces gestionnaires du capitalisme de gauche que sont le PS, les Hanon et tous ceux du même bord. 
Deux exceptions cependant,la France insoumise et le parti des travailleurs qui depuis le temps n'ont jamais été capable d'expliquer aux citoyens comment ils se faisaient exploiter, alors que c'est d'une simplicité  enfantine.

L'entreprise loue notre force de travail (salariés) 100€. Quand le salarié devient client, l'entreprise lui vend son travail avec sa marge 50€. Pour vivre de son travail le salarié doit l'acheter 150€ . Il empruntera 50€.  
Le peuple, c'est à dire nous, avons voté des lois pour dire : seuls les riches peuvent vous prêter 50€ sur le marché financier.
 Comme ils ne nous les prêtent pas gratuitement nous les remboursons avec un intérêt en plus,10€.
 Nous achetons notre travail 160€. 
 
 En France il y a 22 millions de travailleurs qui rachettent leurs travails plus cher. 2 millions indépendants artisans, libéraux, auto entrepreneurs, qui rachettent leur travail au bon tarif,  4 millions d'employeurs à qui les 22 millions gagnent leur pouvoir d'achat, bien sûr s'ils ne travaillent pas, car alors se pose seulement la différence d'écart des revenus. 

Pouvons nous comprendre cela oui.

 Mais je ni crois pas du tout si je me fie aux affiches des professions de foi.

Si un candidat nous expliquait cela alors nous voterions réellement pour le changement, mais je mais ma main à couper qu'ils auraient peur que le marché financier où ils mettent leurs micro épargnes, n'en fasse pas des milliardaires.
À quoi ça tient la peur, un livret A, un PEL, une Assurance vie, tous ces sous que l'on nous prêtent et qui sont à nous. 

Sinon le parti qui sort un peu de la social démocratie, c'est La France insoumise.
 Ce est pas idéal comme programme, ça fait vieux contestataires dans l'opposition permanente, dans la résistance perpétuelle, comme moi.
  Il faut aller lire au delà de l'inquiétude que soulève son sigle, dans un monde qui par soucis de sécurité à peur de tout et réclame la dictature.
 
 Je déconne, non je ne déconne pas.
 
 Si nous voulons savoir si j'ai raison allons donc sur le net, tapons CVIPOF, et baromètre politique des francais.
 Nous sommes suivis statistiquement depuis 2006, avec les mêmes questions qui s'ajustent au évènements et établissement de puis lors l'évolution de ce que nous pensons, bien sûr avec le décalage d'erreurs qui peut exister du au panel.

Nous y trouvons ce glissement de la démocratie vers la dictature par les choix dont les citoyens font leurs priorités et suivent ce en quoi ils croient. Bonne lecture pour ceux qui feront cet effort.

Alors est ce que cette prise d'initiative qu'il faut saluer, qui repose sur la volonté de voir changer la vie, d'être pris en considération, de défendre ses opinions et un signe que la démocratie se porte bien.

Je dirais, Non, au risque de surprendre.

Les événements ne surgissent pas spontanément. Ce sont des actions au quotidien qui s'agglutinent les unes aux autres, qui se complètent ou se repoussent pour que surgissent les associations déterminantes.
Métaphoriquement c'est comme un grain de sable, l'on passe dessus jusqu'à ce qu'il fasse tas avec d'autres en fonction d'un lieu où il aura pu s'agréger, se regrouper, s'associer, se reunir pour devenir un tas. Alors là on ne peut plus l'éviter. Ou ont le balaiera pour le disperser ou s'y s'accumuleront d'autres grains, jusqu'à former une dune sur laquelle nous devrons vivre. 
Certes à force de vivre dessus des grains s'echapperont et iront s'entasser ailleurs pour recommencer le processus différemment.

33 + 1 c'est cela, mais est ce qu'ils proposent de bâtir une nouvelle dune sur laquelle il fasse bon vivre. En parcourant le Cevipof nous pouvons nous en faire une idée autres que celles des fack news des racontars de bars, des teews farcis à la haine des autres.
Pour moi une chose est certaine sauf un vote pour la France insoumise ou le parti des travailleurs, nous ne changerons pas la dune sur laquelle nous vivons car l'on  balaie les nouveaux tas.
Pour rester dans la métaphore, le monde où repose la dune est libéral et de fait trop vaste pour ne pas nous inquiéter. L'inquiétude n'est donc pas anormale, la méfiance non plus, la précaution encore moins.

Alors d'où vient ce danger permanent que l'on ressent ou vivons dramatique.
Des religions non elles relient les hommes mêmes s'ils s'opposent dessus,  des immigrants non plus, c'est une erreur anthropologique de l'essaimage des humains, des homosexuels non plus,  c'est ignorer l'imperfection de la nature, des patriotes non, c'est etre fier du lieu où l'on nait, l'identité encore moins, elle est même essentielles, c'est la couleur d'une histoire culturelle adaptative à géométrie variable.
Tous ces sujets sont ceux sur lesquels nous nous étripons par inculture, car le savoir pour comprendre si ce n'est partager existe. Pourquoi je devrais le comprendre et pas les autres.

Notre inquiétude vient d'une horde sauvage qui parcours le monde, qui plus que les Uns ravage le sol et le sous sol pour l'entasser en une dune de monnaie aux fins d'une caste  d'hommes immoraux ascociaux qui se cachent derrière la rationalisation comptable et ne regardent les autres que comme un investissement, une ressource et leurs consommations comme un nécessaire collatéral à leurs finalités.
Cela porte un nom qui commence par C.

L'avenir sera d'être remplacer au travail, ce n'est pas du mythe, ni de la divination, déjà des hommes y réfléchissent. Mais pas pour nous faire un avenir radieux, mais pour ne pas perdre le bénéfice qu'ils retirent du capitalisme. Comment ils vont pouvoir continuer à exploiter des hommes.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 17 Mai 2019

Je vais parler des Dieu,  mais celui des Athées.
Et oui ils ont un dieu. C'est con à dire mais il y n'a qu'eux à ne pas le savoir. Personnellement je ne suis pas croyant, mais je ne suis pas con au point de croire que je ne suis pas croyant. Bien sûr que je crois en Dieu comme tout le monde. 

Comment peut-on penser pouvoir vivre sans Dieu.

 Ce n'est vraiment pas sérieux. Ce n'est pas sérieux au points que Freud a  créé pour  ceux qui ne s'y retrouver pas entre tous les Dieux, le Totem, avec son talmud, ses évangiles, son coran,  (aller je l'ajoute, Bouddha était aussi fils de Dieu non), son bouddhisme, les Tabous.
Et voilà c'était fait le Dieu de l'être, le Dieu de l'âme.
Putain de Dieu s'il était né au temps de l'ancienne Grèce, au temps de Parménide, l'on aurait gagné des siècles. Nous aurions eu l'explosion des bombes atomiques plutôt, alors que là nous les attendons. Nous aurions redémarré une civilisation avec des hommes nouveaux, qui en regardant les vestivjges d'une centrale nucléaire diraient : " C'est là qu'ils adoraient le Dieu Électricité". Que voulez-vous, il nous faut attendre. 

Les hommes croient avoir le libre arbitre, mais ce ne sont pas eux qui décident. 

Ils font seulement un choix parmi ceux que mettent en évidences l'ensemble des évènements survenus dans l'environnement, auxquels ils contribuent comme toutes choses.
Nous savons comment cela se passe. Nous avons pour de multiples raisons, envies d'agresser un pays, nous attendons de pouvoir juger une de ses actions comme agressive pour pouvoir lui claquer la gueule.
Il va donc nous falloir attendre d'élire ce frapadingue, pour faire péter la bombe. Les allemands ont attendu 300 ans pour accoucher d'un petit moustachu.
 Nous nous avons des moyens modernes d'en accoucher d'un plus rapidement. À l'aide de l'insémination artificielle, si naturellement on en trouve pas un au cas où avec l'IVG notre élu serait partie au WC.

Un Paradoxe.

Le paradoxe c'est que ce sont des religieux qui ont inventé ces armes et que ce sont des Athées qui risquent de utiliser. Alors messieurs les Athées soyez convaincus que vous étés des croyants.
Comme moi, vous êtes attachés aux droits de l'homme, ce ne sont pas les Athées qui l'on écrite, mais des croyants. Ceux qui croyaient en l'être suprême

Allons faut être honnête, vous leurs faites la gueule depuis 1905 pour leur taper leurs biens.

Faut être sérieux nous savons qu'avant le big bang, 
il y a Dieu. 

Si c'est le nom qui nous gêne appellons le l'indéfinissable. Car en fait c'est bien de cela qu'il s'agit. Tous sont d'accord la dessus, l'on ne peut ni le nommer, ni le r.eprésenter. Il faut attendre qu'il se manifeste. 
Le premier fut Abraham, ensuite Moïse, puis, Jésus et enfin Mahomet, Bouddha lui s'en est inspiré. Par contre les astrophysiciens eux l'ont trouvé, le big bang, l'origine de la création.
Superbe, alors les hommes en laboratoire ont recréé le big bang. Merveilleux ils confirmaient ainsi que l'homme était à l'image de Dieu.
Dieu crée le big bang et l'homme aussi. 
L'homme est donc un dieu, et comme les Athées croient en l'homme conclusion ?

C'est bien ce que je disais les Athées sont croyants.

Mon dieu si un Athées me lit il va en tomber malade.
Une fois de plus l'on a reculé Dieu, au-delà du big bang que l'on ne sait où il se trouve. Voyageur n'y est pas encore arrivé, et on sait que l'homme n'y est pas, car dans le labo aucun n'est sortie de la cuillère.
Cela va devenir difficile d'imaginer que Dieu à fait l'homme à son image, puis cet homme a dit que l'on ne pouvait pas le représente. Vous imaginez des hommes sans visage. Pourtant de son temps ,  à son époque les mirroirs existaient, et un homme en se voyant ne pouvait ignorait comment était dieu. 
J'ai réfléchi à la question et je reste convaincu que c'est, parce que chacun aurait dit que c'est à lui que Dieu ressemblait.
Sans déconner quand je vois la tronche de mon beau frère si Dieu devait lui ressembler, plus con que lui tu meurs. Tous compte fait cela ce pourrait bien être ça, vu le nombre de conneries qui nous font nourrir. Et puis un jour en boîte, il me dit : tu vois la femme là bas et bien j'ai la côte.
Je ne crois pas qu'il n'y ait pas de Dieu et qu'il puisse y avoir des hommes qui ne croient pas. Mais voilà au lieu de ressembler à Dieu ils ressemblent à mon beau frère. Bon j'ai exagéré il n'est pas laid du tout, mais il est facho et raciste. C'est ce qui le rend laid et à force de se taper ma côté il l'a fêlée.

Comment nous en sortir.

Ou plutôt comment m'en sortir pour redevenir sérieux et rester sur le sujet de la croyance. Des que nous ouvrons les yeux nous croyons. Elle nous attache à tout, elle nous relie au Tout. La croyance est un attracteur, nous naissons avec. 
Ceux qui veulent l'emprisonner dans des représentations, y compris dans celle des l'hommes, se trompent. 
Espérer en l'humain pour qu'il ne cherche pas ailleurs les réponses qu'ils détient et déjà en soit un saut de l'ange si je puis dire.
L'homme est inspiré par ce qui le dépasse et dont il en a conscience en étant UN au milieu de Tout.
Le regarder comme un Toutun, c'est déjà rétablir cette représentation dont je me moquais avec mon beauf.
Ce lien que je viens d'établir entre une vision séculaire ou Dieu fait l'homme à son image, celle avec le Tout dans lequel se déploie l'homme, montre combien il est difficile d'échapper à notre propre structure innée qui nous commande de croire en quelque chose.
 Nous ne nous querrellons donc pas pour le fond, et est dramatique de voir que nous en sommes encore là.

La vie nous conduit toujours à honorer ce dont l'on perçoit être dépendants.

Pour L'enfant qui naît dieu c'est la première personne qu'il voit et le nourrit. Si c'est un canard il fera coin coin en bougeant du cul. Dieu c'est donc sa mère.
En grandissant il prendra conscience de tout ce à quoi il doit d'exister. Et s'il ne interroge pas c'est que ce n'est pas un humain. Or jusqu'à présent les Athées sont des humains. Cela me ferai plaisir qu'ils grandissent et imagine que Tu pourrasen signifie que l'on ne trouve pas ce que on voudrait y voir.
Donc il n'y a pas rien.

Peut importe la représentation, l'important est l'inspiration, ce Dieu des profondeurs de l'univers qui a précédé le big bang ou celui qui nous inspire au quotidien en nous bombardant de perceptions qui nous arrivent du tout, de l'environnementcn multidimensionnel auquel nous appartenons. 
Que nous reste t il alors si ce ne sont les Tabous de tous ces dieux.
Et c'est pour eux que nous nous affrontons, pas pour les dieux pas pour les Toutuns qui s'interrogent.
Alors depuis Mahomet? Il y en a eu disant parler au nom de dieu, mais ils n'ont pas prospère. Certains ont fini en camisoles. Dire aujourd'hui parler avec dieu çà craint.

Aujourd'hui c'est plus sérieux de mathématiser l'existence, notre nouveau dieu est devenu matheux.
Pas ceux qui cherchent la particule, les informations qui circulent dans l'univers, ceux là deviennent tous croyants, ils croient en dieu. Comment ne pas s'émerveiller devant notre faculté de raisonner, et avec de travailler sur d'indefinissables informtions que l'on ne voient pas.
Essayons de faire entrer dans notre cerveau, que le désir de démontrer ou non son existence a inspiré ceux qui ont recherché notre origine et l'on iimaginer dans une explosion initiale, le big bang.
il y a donc ce language matheux fait pour les initiés, pour ceux qui vont à la conquête de l'incertitude, vers ce big bang ou ces trous noirs, ces véritables éponges cosmologiques.
 
Et puis il y a l'usage que nous en faisons pour mathématiser l'humain.
Les philosophes Grecs voulais que les hommes puissent disposer de plus de raison. Tous nous pensons cela et disposer des moyens de mesures y contribuent. Lentement les maths y ont contribué, particulièrement pour mesure l'activité économique.  Malheureusement  notre instinctive recherche du meilleur rapport des choses pour les obtennir par le moindre effort ou le moindre coût, nous a emporté vers une rationalisation de l'existence ou les athées ont trouvé là, la nécessaire certitude dont nous avons tous besoins pour croire.

Or croire dans la certitude des maths, de la raison qu'ils confirment par des mesures doit être mise au service de l'humain et non l'y soumettre, car ils ne peuvent être fiable pour définir les émotions humaines
Bien que dans le sport certains arrivent à se dépenser à 200%. Moi, je ne l'elirais jamais et encore moins en faire un dieu. Pourtant ce dieu entre de plus en plus dans le langage, signifiant qu'il faut faire un effort au delà de ce qui est permis par sa nature humaine.

Si ces 200%ne relèvent pas du miracle, c'est que je ne suis pas croyants. Mais nous avons fait mieux comme miracle. Nous avons fait de l'humain,  grâce au dieu "de la raison de la mesure des maths", une mine de monnaie. Et les mineurs ce sont les DRH.

J'ai vécu cette transition en 1973/4. Je n'avais alors pas compris que le dieu monnaie fairait des disciples pour aller pêcher des hommes à la maille.

En1976 déjà je discutais qu'à 40 ans l'humain serait trop vieux pour être productif. Et ce fut le cas,  la technologienologie et la robotique l'on remplacer car il était bien trop lent pour être productif.

L'humain n'est pas une ressources. On exploite des ressources minières, pétrolières, vivrières et autres, mais l'on travaille entre humains, il est pas une machine que l'on mesure au chronomètre.

Écouter voir une société, tout un monde qui s'etalone en monnaie, en faisant de la rationalité un évangile aurait certainement désespère les philosophes qui dans la raison en espère un apaisement des passions de esprit.

Finalement devant obligatoirement croire pour vivre, c'est le choix des évangélistes que nous faisons et en ce sens les économistes du capitalisme ne sont pas particulièrement bien inspirés pour dispenser le bonheur sur terre,toujours pas mieux que les interprètes des dieux précédants.

Si nous croyons tous, certains dans l'abandon à leur Dieu trouvent le réconfort pour vivre leur existence.
C'est comme le nouveau né qui se livre à l'amour de sa mère. Si dieu est cela il y a peu de chance de tomber sur un mauvais, et l'on peut alors s'interroger pourquoi l'on ne sait pas rendre l'amour quelle nous donne. Si pour moi dieu EST, ni bon ni mauvais, l'HOMME doit se démerder avec les aptitudes miraculeuses dont il dispose grâce à lui quelqu'en soit le nom, sauf le capitalisme qui en est un faux.
Une idole de la raison archaïque.
 

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Publié le 13 Mai 2019

Si vous décidez de me lire soyez patient c'est long.

L'on ne peut s'instruire sans lire, mais l'on ne peut 
pas tout lire. Comme toujours la vie nous impose de faire des choix.
Nous pouvons estimer avoir le libre arbitre, c'est une vision ignorante, Souvent j'use du mot ignorant qui est essentiel pour comprendre que ne pas savoir ce que l'on n'a pas appris, n'est pas un handicap, c'est l'essence même de notre aptitude à diriger nos choix. Plus nous aurons d'occurrences plus nous aurons de possibilité de choix.

Il ne faut donc pas se fâcher d'être ignorant, c'est essentiel pour assurer le devenir de l'humain, justement hors de son libre arbitre.

Cette vision du libre arbitre repose sur les évangiles pour relier la perception d'un Dieu Bon et l'existence d'un Satan. Il en ressort que homme dispose de la liberté de choix entre le bien et le mal.
Cette vision éculée et ignorante, de nos sens qui déterminer et écarte ce qui nous nuit, allait fonder la société occidentale et c'est par là colonisation étendu au mode.
Cette erreur de vision qui relève du désir des hommes de se réjouir de l'existence a été sources de massacres et d'abominations en tout genre.

C'est au choix, ou l'ignorance, qui source d'inquiétude, nous conduit à croire en ce qui rassure sans en démordre, ou bien ce qui rassure, que nous élevons en vérité, parce qu'elle exclus l'ignorance par certitide. B b et b B.
On ne peut pas éviter la problématique qui nous conduit toujours d'un côté comme de l'autre aux luttes intra humaines comme aujourd'hui.

Pour se protéger de ces tueries à n'importe quel titre. Jésus a enseigné aux hommes de son temps des préceptes qui sont de l'OR.
Au choix nous pouvons le voir comme un  intellectuelle, philosophique, politique, religieux,  sage,  humanisme, altruiste. Quel que soit notre choix, s'il nous rassure ou nous interroge, ce sont ses enseignes rapportés qui ont structuré l'Occident. Pourtant, ce n'est pas nôtre intelligence qui a fait le choix de leurs applications. C'est un combat sanglant entre les Dieux dont disposaient les hommes pour régler leurs exitences en vérité, et senser solutionner la problématique  de bonnet blanc et blanc bonnet.

Car en ces temps n'était vérité que parole divine.
Nous n'avons pas psychologique changé, nous recherchons toujours un certificateur, un confirmateur, un authentificateur à nos dires.
Un père, un scientifique, un maître car nous ne pouvons pas vivre en pensant nous tromper.

Imaginer donc l'effet d'un Jésus qui vient expliquer qu'il faut savoir pardonner car ne pouvant tout savoir  nous nous tromperons toujours. En plus il explique cela à des Juifs, nous connaissons la suite.

Les hommes habitués à honorer Dieux ont Dietise Jésus, pourquoi pas, il a été inspiré par son histoire juive  et il ne pouvait pas dénoncer les travers du judaïsme au nom de la laïcité. En ces temps nous aurions dit être laïque, ils nous auraient brûler pour se protéger d'une peste.

Ceux qui furent chargés de son enseignement ont du ressusciter sa parole et l'ecrire pour qu'elle demeure à jamais. Mais en ces temps la démocratie n'était pas de mise et en sortant des catacombes pour devenir religions d'États les hommes ont sorti des paroles de l'Évangile du PLOMB.

Les évangiles furent le premier ouvrage d'alchimie. Sauf que les hommes qui l'ont lu on fait avec d l'OR du PLOMB. 
Quand j'écris que l'on se trompe toujours.

Pourtant les hommes pouvait lire dans les évangiles et savaient donc que durant toute leurs existences ils seraient amenés à se tromper de route, le péché. Pour la seule et unique raison qu'ils ne peuvent pas tout apprendre, et face à leur existence ils feraient toujours des choix incomplets. Il est important de comprendre cela, à tous nos choix à toutes nos certitudes il nous manque toujours la partie que l'on ignore.

Il y a plus de 2000 ans que les hommes savent cela mais ne l'ont guère compris

De cela il ne faut pas en retirer le doute, mais l'esprit critique, parce que nous serons amenés à exécuter nos choix. Nous serons obligés de nous tromper.
De son côté la nature retiendra tout ce qui au fils des siècles et non des ans, biologiquement pourra s'intégrer dans l'ADN pour assurer un devenir de l'humain. Et cela n'est pas un choix de nôtre libre arbitre, mais est contenu dans l'histoire des hommes que l'on nous a obligé à apprendre.
De cette histoire nous avons sélectionné ce qui libérait les hommes de la VÉRITÉ absolue pour, nous explorer, et l'univers en même temps.

Dépasser la VÉRITÉ allait coûter du PLOMB Au hommes.

Nous pouvions penser que nous allions en faire de l'OR et bien non, nous avons fabriqué notre prochain Noé. 
Les armes de destruction massive capables d'anéantir le vivant comme la fait le déluge. Une métaphore sur la survenance d'un événement important sinon il ne serait pas resté dans la mémoire des hommes.

Il ne nous reste qu'à construire une ARCHE, mais pas en papier monnaie qui ne tient pas l'eau et encore moins les irradiations..
Nous pouvons comprendre qu'ayant servi à construire ces armes elle ne va pas nous en protéger.
Bush père et Gorbatchev avait entrepris l'ARCHE de leurd destructions, il nous reste à continuer ou à  reprendre sa construction que nous avons abandonné.
Je veux dire par là que ce qui a transformé l'OR en PLOMB n'est pas le libéralisme, l'abolition de la VÉRITÉ, ni de croire ou non en Jésus, en Lénine, Mao ou Allah, mais d'avoir conservé une organisation de la vie construite sur l'asservissement des autres qui s'appelle le CAPITALISME.

Le comble en est que beaucoup, qui a raison ou tors  rejetent la religion parce qu'ils sont ignorants, comme beaucoup qui y croient ; Croient aussi hystériquement dans le Capitalisme que quelques fondamentalistes Religieux.

Il faut expliquer : 
Que l'on peut faire plus et mieux sans l'exploitation d'hommes, par d'autres.
Que l'on peut requérir leurs forces de travail, leurs compétences, leurs savoir faire, sans les exploiter.
Que par l'intelligence ils peuvent tous comprendre, que leur devenir est dans la conquête de l'ignorance seulement si l'environnement qu'ils modifient, l'environnement sur lequel ils interfent le leur IMPOSE.
L'on ne découvre pas pour l'art de la découverte, comme l'on ne va pas dans l'espace pour se promener même si certains si adonnent.

L'on peut donc les mobiliser pour nous construire une ARCHE dans le doute, par un esprit critique de l'usage de tout ce que nous pouvons SAVOIR.

Ceci est en marche lentement toujours en bute au Capitalisme qui freine des deux pieds attaché à sa CROYANCE,  dans une Évangile mortifère, qui est : la rationalisation comptable du temps est de l'argent que l'on obtient en employant les ressources humaines. C'est l'amour possessif des autres.   

Il n'est pas inutile de s'instruire, même si nous disposons pas du libre arbitre. Nous aurons réduit chaque fois nos erreurs, et si la nature trouve que nous nous trompons trop, que l'existence érigé par nos savoirs n'est pas viable pour l'humain, nous muterons sur des millénaires, si nos erreurs se trouvent une place pour s'inscrire dans l'ADN, ou si nous allons trop vite pour inscrire de nouvelles lettres dans l'ADN.

La croyance qui nous guidera sera déterminante. 

Soit Jésus (modernisé) et Bouddha par exemple,

soit  l'Évangile suivant Adam Smith, Ricardo, Hayek, l'Évangile de l'école de Chicago etc.tout ceux qui ont développé le le capitalisme au nom du marché.

Seul le créateur ou la création ou le big bang dispose du tout. Nous sommes seulement un élément, un Toutun car nous sommes rattachés au tout et nous le pervevons. 
Sans cette perception, sans cette liaison au tout que serions nous ???
Tous les juifs qui écoutaient cet homme venu détruire des codes du judaïsme , qui était il ???
 Les humains par tradition, usage en ont rapporté qu'il était le fils de Dieu. Est ce cela le plus important ?
 Certainement pour l'époque faite de superstitions et de divinations, certainement pour convaincre d'écouter ses paroles, car il n'écrivait rien.
Il s'adressait à des gens qui ne savaient pas lire. Il adressait à des analphabètes.

Certainement pour des gens habitués à dépendre de leurs cultures ancestrales faites de soumissions à ceux qui par naissances faisaient parties des initiés.
Nous allons lire que nous sommes loin d'avoir accompli tous les enseignements qu'a partagé un initiés avec les gens humbles.

C'était un homme qui s'était instruit avait lu les enseignements de ceux qui l'avaient précédé.
Pour ceux qui ont lu la Bible dans l'ancien testament, qui est l'histoire des juifs, de nombreux prophètes dénoncent les errements, les égarements des juifs, tel Isaïe, Jérémie, Ézéchiel Zacharie. Dans ou à leurs lectures se dessine l'avènement, d'un homme, qui conservant les enseignements fondamentaux de MOÏSE va les adapter à l'évolution du monde depuis ce dernier.

Il n'a donc rien inventé, il a retiré de ses enseignements la compréhension, sa compréhension des progrès qu'il fallait accomplir pour évoluer dans un monde qui bougeait. Sortir sa religion de l'immobilisme qui la sclérosait.
L'histoire nous apprend que cet immobilisme n'est qu'un travers des hommes qui ne lâchent jamais le pouvoir qu'ils détiennent. Ce fut le cas du Catholicisme qui du supporter la réforme et le christianisme lui-même du se séparer de l'État.

Ainsi les choix politiques qu'a fait Jésus que d'aucuns accordent à Dieu, ne sont pas ceux du libre arbitre, mais ceux, d'Isaïe, de Jérémie, d'Ézéchiel et de tant d'autres qui certainement lui aurons fait partager leurs savoirs de ce qu'il avaient compris de la vie.
Tout cela dans son esprit, dans son intelligence, dans ce que lui espérait d'un monde avec ce qu'il en ignorait a laissé des concepts que nous ne pouvons toujours pas suivre.
Aimer l'autre, pardonner, accepter de se tromper, partager, reconnaître ses tors, chercher la bonne parole en écoutant sa relation à la création.

Comment mettre en application cela quand l'on organise l'exploitation de l'homme par l'homme.
C'est peut-être ce que n'a pas su dire clairement Jésus. Abat le capitalisme qui garde l'or pour lui et laisse le plomb à ceux qu'il exploite.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 11 Mai 2019

Il ne peut pas y avoir de démocratie sans liberté des individus. Toute fois la liberté des individus consiste, non à être libre, car nous sommes soumis au regard discriminant sesautres dont nous attendons une reconnaissance, mais à disposer de la liberté d'expression pour dire en son nom, ce à quoi l'on ne veut pas être soumis.

L'individualisme n'est pas une liberté, c'est seulement un biais pour justifier le moyen d'exiger, pour son seul intérêt, le bénéfice que l'on retire de l'aide que nous ont fourni les autres, sans rien leurs retourner en conscience.
 1/ Eux qui nous nomment pour exister.
 2/ Eux qui nous reconnaissent comme singulier et unique.
 Ne rien leur retourner en conscience, c'est vivre dans la négation, dans le dénie permanent de la collectivité humaine dans laquelle l'animalité de l'Homo c'est ordonné, régulé, réglementé pour produire et repartir ses besoins. (Des siècles).

Seule la rareté primaire a fait de nous des animaux capables de définir les Droits de l'Homme qu'ils sont devenus

Pourtant nous devons rester vigilant, chaque nouveau né est un nouvel homme en devenir qui va réclamer de vivre en son temps et non dans le passé des autres.

Ne pas tenir compte de cela peut réveiller le vieil homme qui sommeille en nous.
Quand il s'éveille il a alors les moyens de son auto destruction car il ne peut plus comprendre la collectivité dans laquelle il vie.

L'individualisme conduit à demeurer un ignorant permanent, c'est une sangsue qui se gorge du sang de l'animal qui la porte, en l'occurrence la collectivité. Il vaut mieux y substituer l'individuation qui est la conscience de l'être accomplie que l'on est devenue qui aura toujours les moyens de se repositionner dans la collectivité.
Si la révolution à donné la liberté de ne pas se soumettre, l'obligation de s'entre-aider pour produire nous contraint à définir les formes d'associations qui nous conviennent.

C'est ainsi que le besoin de répartition de la rareté nous à emmené jusqu'à la démocratie pour décider à quoi l'on ne veut pas être soumis, en désignant et votant ce à quoi l'on se soumet par nécessité afin de rester un humain.

Ainsi si la société libérale à donné toute sa place à l'individu, ce n'est pas qu'il existait pas, qu'il, n'était pas nommée ni reconnu, mais il n'avait seulement pas le droit de dire. le droit du choix.

J'ai essayé de montré que l'individualisme n'est que le cueilleur. Celui qui ne contruira jamais une société, une collectivité
Si en démocratie il a le droit de choisir son existence, il cherchera à ce libérer de cette qu'il doit en retour aux autres. Il cherchera à ce que tous les autres oeuvrent pour lui et chacun d'eux désirera la même chose

Nous voyons l'impasse où cela conduit. Comme nous ne sommes plus des cueilleurs. Ou nous périrons ou nous soumettrons les autres à notre service par la force du tyran.

La démocratie porte donc sur les choix que l'on veux faire pour s'associer avec les autres.
Cela signifie qu'il faut leurs faires une place dans leurs positions la plus minoritaire. 
Mais cela sur un fondement celui de l'épanouissement de la personne qui ne peut en avoir conscience que dans le partage avec les autres pour définir à tors ou raison ce qui a un moment leurs est acceptables.

Quel autre moyen y a t'il en dehors du vote non obligatoire, car l'on doit avoir la liberté de ne pas si soumettre.
C'est au travers de la liberté d'associations de groupements corporatistes, de classes, d'idées, de philosophie, de religions, et non de celles ludiques, que se mesurera la solidité démocratique.
Leurs nombres d'adhésions indiqueront l'investissement et la conscience collectives citoyennes, l'inverse sera un indicateur de dépendance, de la formation de graine "d'esclaves".

La pérennité d'associations caritatives démontrerons l'insuffisance de la prise en compte des minorités de quelles nature qu'il s'agisse.

Elles sont un indicateur essentiels pour comprendre l'ajustement qui doit se faire, entre la capacité d'initiatives individuelles issus du pouvoir d'entreprendre donné par la reconnaissance des autres, et l'analyse de leur nécessité d'être pérennisée par un besoin collectif.

Ce n'est pas la démocratie qui garantie la liberté individuelle,elle peut voter pour son aliénation

Ce n'est donc pas non plus le vote qui est le garant de la démocratie. 
Mais bien l'implication des Citoyens dans les lieux fait pour qu'ils s'expriment et décident des choix qu'ils soumettrons au voix ou bien du choix d'un citoyen qui dispose de la libéré de mettre aux voix sa vision personnelle et être candidat, et de disposer des moyens financiers pour y parvenir.

Aujourd'hui ou la fascisation rampente s'étend, la Hongrie est l'exemple type que démocratiquement l'on peut voter pour son suicide. Condorcet ne me contredire pas. 
La démocratie ne remplacera jamais la nécessité des hommes de devoir payer par l'engagement personnel leurs désirs de ne pas se soumettre à ce qu'ils ne désirent pas.
En Hongrie, le pouvoir y réduit les chances de l'opposition de le prendre.
Pratique un népotisme, les cours de justice sont contrôlés, l'information passe entre les mains d'amis, il contrôle la commission électorale, il est quasiment impossible de renvoyer le 1e ministre.
Ce pouvoir fait ce que reprochent les fascistes au pouvoir français de faire.

L'observation d'États dit populistes, comme la Turquie montre au bout de quelques années qu'ils deviennent indeboulonnable, autocratique malgré qu'ils s'y pratiquent des élections démocratiques.
Ils truquent les élections et mettent leurs opposants en prison.
Dans quelques années c'est ce qui attend les italiens, et notre pays si nous portons des partis fascistes au pouvoir. Toutes ressemblances avec notre pays n'est pas bien venus.

Le seul recours efficace est d'estimer que l'on peut défaire par les mêmes moyens ce que l'on a fait.

C'est le référendum de destitution. Il ne sera pas plus juste, mais sera une garantie aléatoire qui contraindra à instruire les Citoyens en science politique et autre.

.

 

 

 

 

 

 
 
 

P.-S.
 
 
 
 
 
 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 10 Mai 2019

Les élections européennes qui aurait dû être le scrutin d'une apothéose, tourne en eau de boudin fasciste.

C'est une honte pour tous ceux qui n'ont pas su unir les peuples d'Europe par une Europe sociale.

Ce ne sont pourtant pas les propositions de la Confédérations Européen des syndicats qui ont manqué pour négocier des conventions collectives européennes, un salaire minimum Européen, une couverture sociale Européennes . Rien n'y a fait les états s'y sont opposés dont nos gouvernants.

Tous ceux qui depuis trente ans nous demandent de voter pour eux et que nous élisons en alternance.

Tous ceux qui nous expliquent que la richesse de ceux qui retirent leur capital de l'ignorance proche de zero en économie des peuples d'Europe rebondira sur les Citoyens.

Trente ans que ces citoyens ont la gueule ouverte tournée vers le ciel à attendre qu'il pleuve de la monnaie.
Il leur faudrait un Moïse avec son bâton magique pour faire surgir de la monnaie de la roche plutôt que de l'eau. Sauf que les miracles de MOÏSE sont  des métaphores qu'il faut interpréter.

La révolutionnaire avait été ce bâton qui avait donné la monnaie au peuple. Les Citoyens croyaient qu'en la refilant à des spécialistes, des gestionnaires, des élites de la BCE, que les riches leurs prêteraient leurs capitaux  à l'œil.

Leurs désenchantement et grands. C'est la faute des élites, parce-que les Pygmées qui sont petits et noirs sont venus de nuit sans qu'on les voit voter pour eux. Voter pour les accords de Maastricht et de Lisbonne. À ils n'ont pas été contents en 2005, mais ces putains de Pygmées sont revenus voter pour les mêmes. Aussi haro à l'immigration, c'est de leurs fautes, ils viennent nous sucer les Restes que nous jette le capital. Ces Pygmées ils repartent les avec des dents neuves et nous l'on reste sans. .

Il faut dresser des murs mettre des barbelés aux frontières, sélectionner les gens honnêtes, tandis que les malfrats, ni les murs, ni les barbelés, ni la douane ni la police n'a pu les empêcher de passer.

Mais on s'en fout, nous on ne veut plus de Pygmées, parce que l'on est racistes, et qu'il est interdit de le dire. Nous on s'en fout du patriotisme et des droits de l'homme, on est Identitaire et Nationaliste.
On préfère crever entre nous que vivre avec les autres. On préfère étouffer dans nos frontières, creuver sous nos haines, au moins l'on sait de quoi l'on meurt.

Messieurs les socio démocrates, du PS, de UMP/LR, du MoDem et tous ceux qui ont apporté leurs concours à ces partis pour gouverner, 
Vous êtes responsables de la monté de valeurs fascisantes dans notre pays et en Europe.
Vous avez même pas la décence de l'appeler par son nom, le fascisme ce est pas le populisme.

À ne pas vouloir regarder cette réalité vous allez en creuver, et j'espère que vous en souffrirez.

Les Le pen ou le FN/RN et autres fascisants ne sont en rien responsables. C'est vous qui croyiez que l'on pouvait rendre le Capitalisme Social sans qu'il ait un opposant crédible et de poids.

Si justement. Vous avez viré le communisme, vous avez dans le même temps détruit le contre poids nécessaire à toutes sociétés pour ne pas subir la loi du plus fort. 
C'est à eux que vous avez tracé une voie royale. C'est les Citoyens que vous avez trompé en leurs faisant croire qu'il n'y avait pas de classe sociale. C'est vous qui avez nourrit les ghettos.
C'est vous qui avez pratiqué l'ostracisme social.
C'est vous qui avez nourrit la haine du public.
C'est vous qui n'avaient pas su faire aimer la Mondialisation (trop long à expliquer).

Enfin c'est vous qui avez fait détester l'Europe.
S'il n'y a aucun doute que les visions altruistes des américains sont de la légende, l'on ne peut soupçonner De Gaule de ne pas avoir rêvé d'une Europe des peuples et de considérer du fait des inimitiés de la guerre qu'il fallait commencer par une union d'intérêt commun économique.

Certainement que cela devait être un engagement démesuré pour les peuples.
La première fois dans l'histoire humaine qu'un état Européen pouvait naître dans la PAIX.
Sauf que ses successeurs avaient compris PAIE.
Et depuis ils ont enlevé le pouvoir monétaire aux peuples pour qu'ils ne se paient pas directement.

En conséquence de quoi ils vendent leurs actifs pour rembourser les capitaux que leurs prêtent les riches.

Soyons clair je suis anti Capitaliste et anti fasciste car je suis un liberal et je m'oppose à tout ce qui peut nous empêcher de dire au nom de la liberté ce à quoi l'on ne veut pas être soumis.

Ceci précisé les Citoyens qui étaient attachés à la république ont mis beaucoup de temps avant de franchir le pas, avant de se décomplexé comme l'on dit.
Tout ces socio démocrates que j'ai cité auront réussi deux choses 1/ à dégouter les Citoyens de prendre leurs places dans le monde au commande de grands États-Unis d'Europe pour discuter à égalité avec d'autres puissances.
2/ de détruire la confiance dans la democratie représentatives.
Ce sont eux qui sont responsables de la monté du fascisme et non ceux qui l'étaient déjà.
Et pourtant ils étaient instruits, ils étaient notre élite et savaient que le Capitalisme y conduisait.

La seule chose dont j'ai peur c'est que les Pygmées reviennent.

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Publié le 9 Mai 2019

 La liberté d'expression se restreint comme peau de chagrin.
 Quand quelques citoyens sont descendus dans la rue pour soutenir Charlie, c'était l'engouement presque une redirection, voire une résurrection, le droit de blasphémer. Nous allions retrouver des Colluches,des Martins, des Desproges tous ces irrévérencieux qui aimaient les hommes avant tout, fier de l'esprit critique. Occultistes de leur temps ils en ôtaient  toutes les pailles à l'eau bénite de notre dame de l'humour. Où est Pierre Pechin qui disait que les Français lève les bras et les arabes fouillaient dans leurs poches.
C'était sa manière à lui de dénoncer avec humour les contrôles au faciès, la xénophobie. 
 Aujourd'hui l'on ne peut plus dire que les oiseaux font cui cui en passant au dessus d'un four, qu'à Marseille les melons se ramassent sur les échafaudages, que les Français aiment les coqs parce qu'ils ont les pieds dans la merde, et j'en passe, nous en avions et il y en avait pour tous, sans que quiconque ne se fâche.

 Qu'est ce donc qui est venu pourri cet humour pour en faire des sources ou des signes de reconnaissances d'ostracismes. 
 On ne les racontent plus pour se moquer être irrévérencieux, mais pour blesser avilir ceux que l'on moque.
Thierry le Luron croulerait sous les procès pour injure à la fonction présidentielle. Heureusement qu'il est décédé avant la nomination de Sarkozy au ministère de l'intérieur. 
Mais Dieudonné n'y a pas coupé avec Valls.  Engagé politique il passe de la gauche à l'extrême droite et s'il de positionne anti système et antisioniste (anti creation de l'État israélien) sont humour sert de défouloir aux antisémites et autres omophobes, arabophones.
Il représente un glissement que n'avait pas fait Guy Bedos qui était connu pour son engagement à gauche sans pour autant y sacrifier sa profession.

Dieudonné à fait un autre choix, il en est libre il est libre de de moquer, d'être irrévérencieux
 Mais il se doit de respecter l'intégrité de ceux qu'ils moquent et non d'être par son métier un appel à l'ostracisme. Je n'émet aucun jugement car je ne dispose pas des moyens de le faire au fond, si ce n'est de dire que la liberté d'expression n'est pas  l'art d'insulter les autres, ni celui d'appelait au meurtre.
 Par contre la satire à pour objet de dire tout ce qui fait bouillir la cocotte pour pas qu'elle explose,
 Comme le carnaval était le seul moment dans l'année où l'on pouvait moquer ou bruler les puissants et les Rois.
 Aujourd'hui ce sont des festivités commerciales.
 Les Meupet show, les Guignols ont quitté les écrans de télé. Rire est devenu du luxe. Un puritanisme crade de la bien "pensance" c'est installé et dans le même temps le net drainer toutes les haines que l'on ne veut pas voir.
 
 Notre école de l'égalité de chance c'est courbé devant la comptabilisation, trop cher de s'instruire our faire de citoyens éclairés et honnêtes, il faut des outils productifs.
 Là où la complexité du monde demanderai de prendre le temps d'instruire par de petits groupes l'on amasse à trente par classe, tampis pour ceux qui ne peuvent pas suivre, l'écrémage fait partie de la sélection capitaliste rien à foutre de l'égalité républicaine.
Rien à foutre de l'esprit critique, l'important est de savoir cracher sur les autres et dans le même temps fier de son molard, se faire en- - - er par ceux que l'on a cru salir par ce que l'on est trop sots pour voir comment ils nous le mettent.

On ne fait pas de la politique avec des calabours, avec des histoires, en étant irrévérencieux, avec de la satire, avec le carnaval, faut leur laisser la place qui est la leur, relativiser l'existence en se moquent de tout. 
Reste à ceux qui se sente blessé de le dire par les mêmes moyens des mots. 

Les moyens de communication moderne libère la parole et en même temps la pensée biaisé de chacun de nous. Ce qui ne se voyait pas s'affiche sur le net.

Curieusement au lieu de constater les résultats de notre éducation nous ne pensons qu'à sevir et limiter le droit d'expression.

Cela va devenir critique. 30 ans de politique social démocrate guidé par les financiers ont libéré et décomplexé extrême droite et a donné aux valeurs fascisantes pignon sur rue.

Est que tous les Sarkosy, les Valls comprendront qu'on ne lutte pas contre l'ostracisme, la xénophobie, le racisme, l'arabophobie etc par des interdits, mais par une éducation et une instruction par un nombre d'élèves par classe convenant à enseignement et non à la comptabilité.
Que l'on ne lutte pas contre l'économie souterraine par le chômage moins indemnisé pour faire baisser les charges des entreprise qu'elles ne paient pas et qui leur servent de prétextes pour grossir leur capital.
Il y a du travail à en manquer de main d'oeuvre. Nous n'apprendrons pas cela dans les show de Dieudonné ou d'un autre, ni dans des tweets sur le net encore moins en crachant sur les autres ou en interdisant la parole.

À vouloir des employeurs pour gèrer le pays nous en aurons leur dictature.

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 9 Mai 2019

 La liberté d'expression se restreint comme peau de chagrin.
 Quand quelques citoyens sont descendus dans la rue pour soutenir Charlie, c'était l'engouement presque une redirection, voire une résurrection, le droit de blasphémer. Nous allions retrouver des Colluches,des Martins, des Desproges tous ces irrévérencieux qui aimaient les hommes avant tout, fier de l'esprit critique. Occultistes de leur temps ils en ôtaient  toutes les pailles à l'eau bénite de notre dame de l'humour. Où est Pierre Pechin qui disait que les Français lève les bras et les arabes fouillaient dans leurs poches.
C'était sa manière à lui de dénoncer avec humour les contrôles au faciès, la xénophobie. 
 Aujourd'hui l'on ne peut plus dire que les oiseaux font cui cui en passant au dessus d'un four, qu'à Marseille les melons se ramassent sur les échafaudages, que les Français aiment les coqs parce qu'ils ont les pieds dans la merde, et j'en passe, nous en avions et il y en avait pour tous, sans que quiconque ne se fâche.

 Qu'est ce donc qui est venu pourri cet humour pour en faire des sources ou des signes de reconnaissances d'ostracismes. 
 On ne les racontent plus pour se moquer être irrévérencieux, mais pour blesser avilir ceux que l'on moque.
Thierry le Luron croulerait sous les procès pour injure à la fonction présidentielle. Heureusement qu'il est décédé avant la nomination de Sarkozy au ministère de l'intérieur. 
Mais Dieudonné n'y a pas coupé avec Valls.  Engagé politique il passe de la gauche à l'extrême droite et s'il de positionne anti système et antisioniste (anti creation de l'État israélien) sont humour sert de défouloir aux antisémites et autres omophobes, arabophones.
Il représente un glissement que n'avait pas fait Guy Bedos qui était connu pour son engagement à gauche sans pour autant y sacrifier sa profession.

Dieudonné à fait un autre choix, il en est libre il est libre de de moquer, d'être irrévérencieux
 Mais il se doit de respecter l'intégrité de ceux qu'ils moquent et non d'être par son métier un appel à l'ostracisme. Je n'émet aucun jugement car je ne dispose pas des moyens de le faire au fond, si ce n'est de dire que la liberté d'expression n'est pas  l'art d'insulter les autres, ni celui d'appelait au meurtre.
 Par contre la satire à pour objet de dire tout ce qui fait bouillir la cocotte pour pas qu'elle explose,
 Comme le carnaval était le seul moment dans l'année où l'on pouvait moquer ou bruler les puissants et les Rois.
 Aujourd'hui ce sont des festivités commerciales.
 Les Meupet show, les Guignols ont quitté les écrans de télé. Rire est devenu du luxe. Un puritanisme crade de la bien "pensance" c'est installé et dans le même temps le net drainer toutes les haines que l'on ne veut pas voir.
 
 Notre école de l'égalité de chance c'est courbé devant la comptabilisation, trop cher de s'instruire our faire de citoyens éclairés et honnêtes, il faut des outils productifs.
 Là où la complexité du monde demanderai de prendre le temps d'instruire par de petits groupes l'on amasse à trente par classe, tampis pour ceux qui ne peuvent pas suivre, l'écrémage fait partie de la sélection capitaliste rien à foutre de l'égalité républicaine.
Rien à foutre de l'esprit critique, l'important est de savoir cracher sur les autres et dans le même temps fier de son molard, se faire en- - - er par ceux que l'on a cru salir par ce que l'on est trop sots pour voir comment ils nous le mettent.

On ne fait pas de la politique avec des calabours, avec des histoires, en étant irrévérencieux, avec de la satire, avec le carnaval, faut leur laisser la place qui est la leur, relativiser l'existence en se moquent de tout. 
Reste à ceux qui se sente blessé de le dire par les mêmes moyens des mots. 

Les moyens de communication moderne libère la parole et en même temps la pensée biaisé de chacun de nous. Ce qui ne se voyait pas s'affiche sur le net.

Curieusement au lieu de constater les résultats de notre éducation nous ne pensons qu'à sevir et limiter le droit d'expression.

Cela va devenir critique. 30 ans de politique social démocrate guidé par les financiers ont libéré et décomplexé extrême droite et a donné aux valeurs fascisantes pignon sur rue.

Est que tous les Sarkosy, les Valls comprendront qu'on ne lutte pas contre l'ostracisme, la xénophobie, le racisme, l'arabophobie etc par des interdits, mais par une éducation et une instruction par un nombre d'élèves par classe convenant à enseignement et non à la comptabilité.
Que l'on ne lutte pas contre l'économie souterraine par le chômage moins indemnisé pour faire baisser les charges des entreprise qu'elles ne paient pas et qui leur servent de prétextes pour grossir leur capital.
Il y a du travail à en manquer de main d'oeuvre. Nous n'apprendrons pas cela dans les show de Dieudonné ou d'un autre, ni dans des tweets sur le net encore moins en crachant sur les autres ou en interdisant la parole.

À vouloir des employeurs pour gèrer le pays nous en aurons leur dictature.

 

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Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

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Publié le 8 Mai 2019

Pour une volonté identique la manière diffère.
Biologiquement existe chez l'humain que la relation altruiste mère enfant.
Parfois je dis comme chez les ours, et non comme chez certains volatiles ou des couples sont pérennes et où le mâle couve à son tour. Nous ne sommes ni l'un ni l'autre, mais capables d'être les deux.
C'est à dire individualiste, près à tuer les enfants des autres pour baiser, ou s'impliquer dans la vie des autres au point d'y sacrifier son existence voire sa vie. (Suicide altruiste)
À chaque bout il'y à la mort.

Alors là question reste comment faire pour ne pas y arriver par les extrêmes.

La nécessité de produire notre subsistance nous y a conduite. Lentement l'humain c'est sédentarisées avec la contrainte de se répartir son activité économique et établir des usages et coutumes qui les relient. 
Sauf que la terre est ronde et nous ne connaissons pas ceux qui sont de l'autre côté. Face à la même nécessité ils auront développé des, religions, excusé moi,  je voulais écrire des us et coutumes pour se relier, car relier a donné religions.

C'est à dire comment faire pour vivre ensemble.

Il m'a semblé comprendre que nos sociétés se posaient la question n cs terme, le vivre ensemble.
Serions nous devenus des Ours ? 
Il y a un fils de dieu semble t'il qui se serait penché sur le problème et se serait tellement impliqué qu'il aurait sacrifié sa vie pour ceux qu'il aimait.

Il a laissé quelques idées, Aimer vous les uns les autres et partager. 
Non pas ce que vous avez en trop, mais ce qui vous est le plus chère.

Quand pensons nous quand nous réclamons que les Restes des Supers Marchés soient donnés aux pauvres. 
Quand nous recuperons tout ce qu'ont en trop les autres pour les vendre et les distribuer dans des organismes spécialisés dans la Charité comme Emaus, les Restos du Cœur, les Secours Religieux de toutes confessions. Naturellement il ne sont pas à blâmer, pas eux. Nous les Républicains.

Je ne vise pas le recyclage, mais les surplus de consommation des riches avec lesquels nous nourrissons les pauvres.
Imaginons ces volatiles où le mâle ne tiendrai pas sa place pour maintenir l'équilibre harmonieux qui concours à la vie de l'oisillon à naître auquel il donnerai ses restes. Comme nous faisions à nos chiens avant qu'ils deviennent un marché lucratif.
Ils auraient une progéniture déficiente.
Non nos semblables ne sont pas des chiens ils n'ont pas à recevoir nos restes.

Ne faisons nous pas cela. 

Pourtant chaque famille, chaque groupe, chaque clan, chaque nation, notre monde ne sont ils pas seulement la multiplication d'un couple ?
Est ce que chacun dans la production de nos besoins ne doit pas seulement prendre sa part sociale, que ce soit pour fournir un travail ou une activité socialisante et recevoir sa part en partage.

Faute de cela nous n'aurons des oisillons déficients,  des exclus.

 Nous trouverons que les élever dans le bien être là sécurité, l'amour ça coûte cher. Nous les ccontraindrons à accepter leurs états en les rendant responsables du manque d'amour qu'il n'ont pas reçu.
Nous faisons cela sans en avoir conscience.
C'est ce que j'appelle créer les maux dont nous nous plaignons. C'est ce que je dénonce quand je dis que la morale (les us et coutumes,les relligions) est pas faite pour faire d'accepter la misère. 
Est ce facile ? non. !
Nous avons toujours envie d'être un Ours, tuer ce qui sont en trop, ceux avec qui nous devons partager la sociabilisation humaine.

Humaine parceque, les états nations touchent à leur fin. 
Si nous ne sommes pas capables de passer de la charité à la solidarité nous tomberons sous le coup de la dictature de groupes oligarchiques. 
Ceux auxquels nous avons donné le pouvoir d'émettre de la monnaie en us et place des Citoyens. Ceux-ci nous proposent d'élire leurs "hommes de mains politiques", qui après leur avoir vendu le pouvoir monétaire en 76et 92, vend les uns après les autres le biens de la nation que les Citoyens ont financé.
Nous en arriverons ainsi quand ils nous proposerons par efficacité comptable de leur vendre la police, l'armée, il retracerons les frontières politiques en frontières commerciales. Déjà ils ne soumettent pas leurs désaccords à la justice républicaine.

Lisons bien ce que j'écris. 

La morale, les états n'ont surgi que des luttes commerciales (pour faire court). Je vais sauter l'apport de la religion.
La révolution des droits de l'homme à redonner le pouvoir à ceux-ci. Ce fut un bouleversement sans précédent dans le deroulement de la vie d'une espèce vivante, s'émanciper d'une tutelle, même si ce est pas parfait.

Alors pourquoi retourner sous la tutelle d'oligarchies.
Parce que nous rêvons d'en être.
Parce que les Capitalistes, les monetaristes, les comptable nous expliquent à longueur de spécialistes, d'économistes, de banquiers, de lobbyistes que notre vie ne rentre pas dans leur capital qu'ils nous prêtent. 
Nous sommes entrain de leur vendre la république et nos vies.

Pensons nous que notre oisillons se portera bien ?

Comment faire autrement ?

Plus de deux milles ans que nous le savons. Aimons nous les uns les autres pour être solidaire. Soyons humbles des uns aux autres.

Les volatiles ne se partagent pas les tâches parce qu'ils sont religieux, mais parce que c'est une question de survie pour l'espèce à venir.
Si j'ai choisis ces deux exemples, c'est parce qu'il conviennent à ce que je veux démontrer. C'est un choix arbitraire et je l'assume.
Pourtant il démontre. Que deux natures opposées toutes deux égoïstes et singulières sont capables de s'associer, d'être solidaire de ce qu'elles ont mis au monde. 
Ce qui pour nous revient à ce que nous avons su créer dans la souffrance des tutelles.
Alors ne laissons pas détruire la république.
Il ne faut bpas ce tromper d'adversaires.
Malgré l'existence d'immobilisme religieux qui génèrent des  belliqueux extrémistes, ce ne sont pas les relligions qui posent problèmes. Toutes, malgré leurs défauts, (particulietement d'adapter leurs conseils au monde qui évolue car nous sommes encore des Ours) veulent Relier les hommes.
Que nous leurs reconnaissons toutes les erreurs commises en leurs noms pour cette fin. Que nous leurs reconnaissions toutes leurs divergences.
Leurs volontés de partage par la charité n'est pas à mettre en doute.

Toutes ont voulu bien ou mal écarter les hommes du Dieu Mamon que nous célébrons dans la cathédrale de la bourse.
Pour la métaphore. Les commerçants pharisiens ont reconquis le temple de Dieu d'où les avait chassé le Christ.

Alors c'est quoi la solidarité?

C'est l'organisation pérenne de la charité et du partage. Nous savons d'expérience combien il est difficile d'aimer tout le monde. Pourtant s'ils sont là c'est qu'ils ont leurs places sinon la nature les auraient éliminés.
Des hommes que l'on a appelé des socialistes et d'autres humanistes ont généré face à la faiblesse de la charité dans une France chrétienne et républicaine, une chaîne d'entre aide corporatiste qui concernait les travailleurs. 
Je ne vais pas m'étendre sur l'histoire, mais sur son principe.
Celui ci reposer sur l'aide à apporter à ceux, des travailleurs, qui tombaient en maladie ou accident et en perdaient leur emploi et le moyen de vivre.
Le coût de cette aide pour remplacer leurs revenus à été demandée au plus grand nombres, si bien qu'avec peu, ils pouvaient faire beaucoup pour un, parce que nous ne mourrons pas tous en même temps. 

C'est la mutualisation du risque par lequel nous savons qu'un jour nous serons atteint

Cela s'appelle la solidarité égoïste.

Cela correspond à l'ours qui dort en nous et au volatile qui est capable de protéger la vie de son oisillons.

La société Capitaliste nous invite à abandonner tous cela. Tout le résultat d'une république qui se réalise lenyement avec des soubresauts, liberté égalité fraternité. 
L'abandonner pour entrer dans des marchés financiers d'assurances, en nous expliquant que les salariés qui s'organisent pour le faire, c'est anti commetcial. 
Que l'humain n'est pas un homme mais du capital.
Que l'humain est un investissement.
Que l'humain doit savoir se vendre.
Que faute d'être un outil, s'il veut rester un homme il est alors une charge.
 Que l'ours est meilleur que le volatile.

Sans cotisations obligatoire à cet effort de solidarité qui est plus efficace que la charité directe, nous serions tous des oisillons rencore plus névrose que ce que ce que nous le sommes.

Alors ne vendons pas la république chassons en le capitalisme seulement.

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Rédigé par ddacoudre

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