Libérer de la monnaie ou en mourir.

Publié le 3 Janvier 2024

Nous ne pourrons pas lutter contre le réchauffement climatique avec une économie capitaliste. C’est compter sur le paradoxe que ceux qui en sont à la source vont s’y employer.

Les dernières inondations, les tempêtes aurons convaincu tous les septiques du réchauffement climatique.

Mais attention de ne pas nous focaliser que sur les énergies fossiles, d’autres contribue au réchauffement. Taper sur le net Les idées reçues sur l’énergie et le climat. Cela permet de comprendre que nous n’allons pas arrêter le réchauffement climatique. Nous devons donc prendre des mesures pour le réduire. Cela va changer nos existences en mieux, en devenant conscients d’une nécessité irréversible à appliquer dans le monde entier. Mais pour cela, nous devons libérer la monnaie.

Les effets immédiats du réchauffement sont, l’augmentation de la fréquence, de la durée et de l’intensité des événements météorologiques extrêmes, les inondations, les tempêtes, les cyclones, la sécheresse, les feux de forêt, les épisodes caniculaires et l’augmentation du niveau des mers.

Qu’en pense nos dirigeants, et d’abord l’avis des scientifiques du GIEC sous l’égide des Nations unies, évaluations détaillées sur les changements climatiques, leurs causes,

Les conséquences planétaires du réchauffement climatique d’ici 2100.

Arctique. La fonte des glaces et la dilatation des eaux conduisent à une élévation des mers de 55 à 98 cm.Le territoire des ours blancs est menacé.

Europe du Nord. Au Nord, les pluies de plus en plus abondantes sont favorables au développement de l’agriculture. Au Sud, les vagues de sécheresse sont plus fréquentes, menaçant les ressources en eau potable. Les événements extrêmes(de type Cévenol) pourront être plus forts.

Asie du Sud-Est. L’augmentation de la sécheresse et des cyclones entraîne une baisse des ressources en eau (stockage moindre par les glaciers himalayens). La montée des eaux, en submergeant 10 % du Bangladesh par exemple, devrait conduire à une migration en masse des populations.

Afrique. La sécheresse s’amplifie. Le désert gagne sur la savane. Les ressources en eau baissent,

menaçant une agriculture déjà précaire. Malaria, dengue et fièvre jaune gagnent de nouvelles régions. Les neiges du Kilimandjaro pourraient disparaître d’ici 2020.

Moyen-Orient. La sécheresse plus marquée conduit à une désertification,

à une baisse des ressources en eau et des ressources agricoles.

Océan Atlantique. En cas de réchauffement, le Gulf Stream s’affaiblit. L’Europe aura alors à subir des hivers presque aussi rigoureux qu’au Québec.

Océanie. Sécheresse, pluies et tempêtes tropicales plus marquées conduisent à une perturbation des écosystèmes et à une baisse des ressources en eau.

Antarctique. Certaines parties de l’Antarctique ont commencé à fondre, modifiant l’océan environnant et menaçant l’habitat des manchots.

Océan Pacifique. Les climatologues ont encore des difficultés à prévoir l’arrivée et l’intensité d’El Niño. Le réchauffement climatique pourrait intensifier ce phénomène existant depuis 5 000 ans,

amplifiant ses conséquences.

Amérique du Sud . Cyclones tropicaux, tempêtes et inondations risquent d’être plus fréquents. Une baisse des ressources agricoles et une recrudescence des maladies infectieuses sont à redouter. 80 % des glaciers andins pourraient disparaître, entraînant une pénurie d’eau pour les populations locales.

Amérique du Nord. En Floride, les cyclones pourront être plus fréquents et plus intenses. Au centre de l’Amérique du Nord, les zones désertiques s’étendent. La production agricole des grandes plaines pourrait être affectée.

El Niño. Tous les trois-cinq ans, les vents alizés faiblissent sur l’océan Pacifique et son eau chaude de surface reflue vers le Pérou, ce qui bloque les remontées d’eau profonde plus froide. Les conséquences sont énormes : inondations sur la côte Ouest de l’Amérique du Sud, cyclones en Polynésie française, sécheresse en Asie du Sud-Ouest, au Brésil et dans les grandes plaines américaines…Ce phénomène a été nommé « El Niño » par les pêcheurs péruviens, car il se produit autour de Noël.

Le Gulf Stream. Ce courant marin transporte l’eau chaude des Caraïbes jusqu’en mer

de Norvège. Il apporte ainsi à l’Europe occidentale un supplément de chaleur d’environ 10 °C, lui assurant des hivers plutôt cléments. Le est notamment actionné par l’expulsion du sel lorsque l’eau de mer se change en glace au contact de la banquise arctique : l’excès de sel alourdit les eaux restantes qui s’enfoncent sous l’océan, et retournent vers le Sud. Cette pompe amorce la remontée des eaux caraïbes vers le Nord.

Les mots du TOUT S’EXPLIQUE Sibérie Avec le dégel du permafrost (sol constamment gelé), les zones de végétation remontent de 150 à 500 k vers le Nord et génèrent de l’instabilité dans les sols.

D’autres phénomènes. À évolution plus lente sont aussi perceptibles : la fonte des glaces et l’élévation du niveau des mers, l’érosion progressive des côtes, la désertification, la raréfaction des ressources, le bouleversement des écosystèmes et la disparition de certaines espèces.

Ces explications en ce qui concerne l’Europe ne sont vrai que d’ici 2100, au-delà c’est une période de froid qui la recouvrira à cause du ralentissent du Gulf Stream.

Bien des commentateurs rendent les Hommes responsables de l’évolution du climat. Car c’est ainsi, le climat ne se dérègle pas, il évolue en fonction des paramètres environnementaux qui le forme et qui sont soumis à ceux de l’univers. Il en est de même pour les humains. Ils ne sont pas responsables de leur existence, ils répondent aux informations qu’ils reçoivent de leurs environnements. Tous ceux qui ont utilisé les découvertes de l’utilisation du pétrole ignoraient leurs conséquences sur l’environnement, idem pour le charbon, idem pour les déforestations, et de tous les gaz que nous avons pu lire dans le lien.

J’ai souvent écrit que nous disposons un processus d’auto-régulation complexe du monde, dont les humains se foutent royalement, car on ne le leur apprend pas, et qu’ils découvrent quand des seaux d’eau leur tombe sur la tête.

Le temps de réaction des hommes est lent, des ans ou des siècles pour évoluer en fonction des intérêts individuels ou collectifs et du développement de nos connaissances pour réduire notre ignorance. Nous devrions analyser tout cela pour savoir où se trouvent les responsables.

Si les pays riche ne sont pas plus responsable qu’un autre, ils ont contribué plus que d’autres au réchauffement par les rejets polluants.

Mais attention ce n’est pas qu'au regard de la création, nous ne sommes pas responsable de nos existences, que nous ne devons pas assumer nos choix, et avoir conscience des modifications qu’ils entraînent sur l’environnement, sur le vivant, sur les relations interpersonnelles humaines. Ne pas existentiellement être responsable de nos existences, ne justifie pas de poursuivre nos erreurs et d’avoir à rendre des comptes dans le cadre de nos relations interpersonnelles et pour préserver une biodiversité nécessaire à notre existence humaine.

Nous n’avons pas su retirer l’essence philosophique de la parabole de la femme adultère. Le christ au lieu de la laisser lapider dit que le premier qui n’a jamais fauté jette la première pierre. Tous s’en vont et il dit à la femme, va et ne recommence pas. Nous nous ne sommes pas encore assez civilisés pour faire cela.

Nous devons faire la même chose. Culpabiliser les riches ne sert à rien, car chaque Homme du monde, sauf les aborigènes, a participé au réchauffement. Alors, arrêtons de nous culpabiliser, mais prenons des mesures énergiques pour ne pas recommencer. Mais autres que celles au goutte-à-goutte que nous mettons en place dans l’intérêt des capitalistes, parce que, quand les populations affronteront les conséquences, eux auront les moyens de s’en mettre à l’abri.

 

Ce qu’en disent les Nations Unies. Face au péril climatique, les pays riches, historiquement à l’origine de ce dérèglement climatique global, ont une double responsabilité : agir pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et aider les populations les plus vulnérables à s’adapter aux impacts déjà dévastateurs des changements climatiques, en leur apportant une aide financière.

J’en viendrais au financement.

Green peace sanctionner les multinationales

Les multinationales ont à contribuer à l’effort collectif. Il n’est plus acceptable aujourd’hui qu’elles peuvent continuer à polluer l’atmosphère sans n’être jamais appelées à rendre compte de leurs actes et des catastrophes humanitaires, passées et à venir, dont elles sont directement ou indirectement responsables. Il est donc temps d’instaurer une justice climatique.

Voilà une justice que financeront les Salariés. Car ces entreprises en SA incluront ce coût dans le prix de vente. J’ai déjà expliqué cela dans un article.

Pour la Chine, « les pays développés doivent prendre les devants » au sujet de la transition énergétique. Pékin estime que c’est avant tout aux pays les plus riches de « prendre leur responsabilité » dans la lutte contre le réchauffement climatique. « Les pays développés ont une responsabilité historique et incontestable dans le changement climatique : ils doivent prendre les devants pour s’engager sur la voie du 1,5 °C ».

Une belle excuse pour continuer de polluer

La Commission des droits de l’Homme des Philippines a ainsi commencé à enquêter sur ces actes et à poursuivre de grandes multinationales, dont Lafarge et Total, pour leur contribution criminelle au réchauffement climatique. Inquiétante analyse dangereuse à entériner, car nous l’entendons souvent reprise par ceux mêmes qui consomment de l’énergie fossile.

Chacun a entendu ou lu par quoi nous envisageons de remplacer l’énergie fossile.

Principales énergies renouvelables alternatives, on retrouve : l’éolien, le solaire, l’hydroélectricité ; la géothermie, la biomasse, l’énergie marémotrice, l’hydraulique…

Stockage. Il est possible de capturer les gaz à effet de serre et de les enfouir, mais également de « reforester » pour créer des puits à carbone.

Comme mesure individuelle : l’alimentation (régime alimentaire moins carné), le logement (isolation des bâtiments) ; le travail (télétravail) ; les transports (véhicules électriques, mobilités douces).

Mais l’utilisation du pétrole concerne aussi la d’un nombre important de produits à base de raffinage pétrochimiques, le plastique, les huiles, etc. J’ai recherché quel centre de recherche se penchait sur la question de produit de remplacement Nada rien trouvés. Le pétrole représente 30 % de nos productions industrielles devant le charbon.

Les énergies renouvelables ne sont pas encore suffisamment performantes pour remplacer les énergies fossiles qui représentent 80 % de la consommation énergétique mondiale. Il est donc nécessaire de combiner une modification des habitudes de chacun pour faire baisser ce pourcentage.

Les financements publics et privés de la lutte contre les changements climatiques ont presque doublé. Toutefois, l’essentiel de ces financements se concentre en Asie de l’Est et dans le Pacifique, en Amérique du Nord et en Europe occidentale. Éviter les pires effets des changements climatiques pourrait nécessiter 4 300 milliards de dollars par an d’ici à 2030, et les coûts ne feront qu’augmenter à mesure que la Terre continuera à se réchauffer.

Face à l’ampleur des financements nécessaires pour lutter contre les changements climatiques, les inégalités actuelles sont non seulement inacceptables, mais elles représentent également un obstacle sérieux aux progrès qui détermineront l’avenir de la planète. 

Clairement, de la planète l’on s’en fout elle n’a pas conscience de nous. Mais nous avons la conscience de ce qui nous fait vivre. C’est l’écosystème et la biodiversité que nous devons protéger dans notre intérêt collectif, nos vies en dépendent. Arrêtons donc avec se slogan sauvons la planète. L’essentiel est de sauver ceux qui vit et se développe dessus .

Quelles que soient les dispositions prises dans les COP, elles ne se donnent pas les moyens de l’intention, mais satisfont à la volonté de participation pour l’exemple, et prennent le risque à long terme de laisser par égocentrisme le drame d’emporter une partie de la population humaine.

Opinion des responsables des Nations unies sur le fond.

Le Secrétaire général a qualifié le système financier international de « myope, enclin aux crises et déconnecté des réalités économiques actuelles »

Le système actuel de prêt d’argent aux pays pour le climat et le développement durable est défaillant.   

Les injustices du système financier international ont des répercussions considérables.

Alors que tous les êtres humains disposent du droit inhérent de vivre et de s’épanouir, le manque de ressources pour limiter les conséquences des changements climatiques et pour s’y adapter rend une vie décente, voire même la survie hors de portée pour de nombreuses personnes.

Mais la justice exige que ceux qui ont le plus contribué au problème assument une plus grande responsabilité dans sa résolution. Les grands émetteurs, par exemple, doivent agir en premier et rapidement pour réduire leurs émissions. Plus de 60 % du financement de l’adaptation prend la forme de prêts, plutôt que de subventions, une proportion qui est en augmentation. La quasi-totalité de l’argent provient du secteur public.

Réformer la Banque mondiale et les autres banques de développement pour les rendre aptes à remplir leur mission.

Je partage cette analyse. À une condition, que ce ne soit pas les salariés qui financent les mesures envisagées, mais que nous créions de la monnaie PURE. Hors ce n’est pas le cas. Que le financement soit public ou privé, qu’il soit distribué sous la forme de prêts ou de subventions, ce seront toujours ceux qui travaillent, c’est-à-dire les salariés et les indépendant, artisan ou profession libérale qui n’emploie pas de personnels qui financent. ( lire la deuxième partie http://ddacoudre.over-blog.com/2023/12/la-rn-la-lr-la-renaissance-les-radicaux-et-toute-leur-suite-n-ont-pas-honte.html ) et ils n’ont pas les moyens financiers de faire face à ce défit mondial. Dans certains pays ils en sont incapables sous réserve de ne plus avoir les moyens de se nourrir. Nous sommes à des lieues de cette conscience là. Seulement parce que ils ne peuvent pas développer de la monnaie pure, en plus de ne pas avoir conscience de l’enjeu pharaonique.

Malheureusement, nous vivons dans une organisation capitaliste où nous demandons aux riches de financer des mesures contre le réchauffement en croyant avoir fait un acte de justice. Ce n’est qu’un acte de justice imbécile. Nous savons qu’ils feront payer inévitablement cela à leurs clients, aux travailleurs. Pourrons nous un jour sortir de cette ineptie ?

Si les mesures de remplacement étaient trop rapides, et engageaient trop de financement, nous aurions une réorganisation de la consommation, puisque normalement les dépôts circulent déjà et sont limités par la création monétaire pure. Et plus, pour les Européens ils sont contenues par les limites de Maastricht. Également, cela qui rendraient les prix des produits inabordables. Nous savons que la lutte efficace contre le réchauffement fait augmenter les prix d’environs 70 à 80 % par la méthode d’enfouissement qui est la plus rapide. Sans compter celles des autres gaz. Si nous voulons que les autres énergies de remplacement soient efficaces dans tous les pays du monde, nous serons obligés d’émettre de la création monétaire pure et créer un compte national ou mondial du coût du réchauffement climatique.

Sans faire cela nous nous auto suicidons. Car les pays riches devrons renoncer à leur confort, sans pour autant parvenir à empêcher le réchauffement. Et croire que réduire leur confort est une condition sine qua non en l’état des moyens mis en œuvre est une erreur d’analyse ! C’est confondre changement de comportement et changement des moyens de confort avec le renoncement à celui-ci.

Car, des études d’assureurs démontrent que, ne rien faire coûte plus cher que, de s’y consacrer. Je n’ai pu lire que les résumés sur le net. Je partage sur le principe, mais je ne sais pas à quel rythme ils ont tenu compte des réalisations contre le réchauffement. Car, la consommation de pétrole augmente puisque la population augmente et leur aspiration au confort aussi. Si nous avons des immigrés ce n’est pas pour venir mourir de faim. Heureusement l’élévation du niveau de mer et lente car elle va en mettre encore plus sur les routes. Si nous attendons comme pour les inondations, que cela nous touche, tous ceux qui vivent au-dessus de 12 mètres s’en foutent, car ils ne seront pas touchés et refuseront de se montrer solidaires sans une taxation, comme nous refusons de nous montrer solidaire dans les périodes de sécheresse. Alors que nous disposons d’un réseau fluvial qui nous permet de de faire des réserves et en plus de petites centrale hydrauliques.

Le capitalisme à développé l’individualisme nous en récoltons les conséquences. Alors que le monde n’a jamais eu autant besoin de solidarité. Financer les mesures de remplacement des énergies à effet de serre ne peut pas sous réserve d’inefficacement, se faire au compte-gouttes. D’autant que des mesures psychologiquement stupides des Verts doctrinaires, comme celle d’interdire les véhicules de classe 4 dans les villes, sans donner les moyens financiers de leurs remplacements, vont développer des acrimonies, et bien d’autres animosités qui se développent dans les municipalités ou les métropoles.

La surdose de décisions, contraignantes de mesures individuelles inappropriées dans leurs exécutions, va avoir un effet négatif, sur un besoin de lutte contre le réchauffement devenu indispensable. Les prévisions d’ici 2100 d’actions au compte-gouttes vont conduire à une augmentation de la température jusqu’à 5° à 7°. Or avec une température de 1,5° en moyenne, les mers s’élèveraient suivant les continents entre 26 et 77 centimètres d’ici là. Dans l’hypothèse la plus catastrophique de la fonte des pôles et des glaciers les mer et océans s’élèveraient à 68 mètres. À deux mètres 27 % de la population littorale, serait touché. Pour en savoir plus. https://www.cairn.info/

Les moyens financiers de lutte sont tellement importants pour être efficace rapidement qu’ils demandent la création d’une banque Verte financée par la création monétaire pure et encadré par une planification mondiale du remplacement des énergies fossiles et autres en corrélation avec les états. Même cela prendrait des années, car il n’est pas certain que nous ayons les matières et les matériaux suffisants pour équiper le monde.

Que la France le fasse seule, c’est comme pisser dans un violon pour les résultats mondiaux. Localement nous n’aurions rien fait de plus que des transferts d’emploi, ou des créations d’emplois liées aux mesures individuelles.

J’ai lu le rapport d’Attac sur le financement qui soutient que localement nous avons les finances nécessaires en luttant contre la fraude fiscale et en faisant une stricte application des règles de fiscalité permettrait donc de lever chaque année entre 30 à

160 Md€ supplémentaires pour le budget de l’État selon les catégories de fraude qui sont prises en

compte dans le calcul

Évasion et fraude fiscale 30-160 Md€/an

Niches fiscales en faveur des énergies fossiles. Au moins 10 Md€/an

Élargissement de l’impôt de bourses vers une réelle TTF 2 à 5 Md€/an supplémentaires

Réorientation des investissements dommageables à l’environnement. Des sommes importantes difficiles à calculer dans leur ensemble

Démocratisation de la création monétaire fléchage « transition écologique » (quantitative easing 60 Md€/an

Coûts de la privation d’emploi 36 Md€/an

Recettes de la taxe carbone française 5,9 Md€ en 2017 et 7,8 Md€ en 2018, etc.


 

Rien de plus qu’un transfert de financement vers d’autres objectifs ? Car, nous devons pas imaginer que ces sommes dorment dans une cassette, comme avec Harpagon. Elles circulent et les diriger vers un autre objectif, c’est les retirer de là où elles sont employées, soit des transferts d’emplois. C’est possible, si nous ne nuisons pas aux activités où elles sont employées. C’est l’inconvénient de ces transferts que préconisent souvent les citoyens en croyant que l’on fait des économies en réaffectant des sommes jugées plus utiles ailleurs.

Dans toutes les campagnes électorales, nous entendons cela de ceux, qui n’ont aucune connaissance en économie. Au bout, c’est toujours les salariés qui financent, et ces financements font vivre des citoyens.

Alors, qu’avec la création pure de monnaie ce n’est pas le cas. Mais le problème peut venir du fait que nous puissions manquer de salariés ou que des salariés changent d’entreprises. Mais pour le moment, les salariés au chômage sont une Réserve d’emplois, mais inférieure à la création minimale nette d’emplois écologiques, soit suivant les estimations de 8 millions à 10 millions. De fait les problèmes migratoires se dissiperaient tout seuls, ceux de l’économie souterraine aussi.

Mais tristement nous ne ferons pas cela, car ceux qui nous dirigent sont des doctrinaires du libéralisme capitalistique, et ne veulent pas entendre parler de planification qui va exiger un contrôle, que les sommes dégagées servent à leurs destinations. Cela conduit également à envisager, comment, ceux qui vivent des industries fossiles vont se recycler. Pour cela, il nous manque le savoir-faire de Jupé, qui avait parfaitement réussi son opération nettoyage des poubelles roulantes avec les jupettes.

Nos Verts au lieu de proposer, qu’à chaque propriétaire de véhicule classe 4 interdits de rouler, l’on mette en place des financements spécifiques qui iraient jusqu’au remplacement gratuit suivant les conditions sociales, il préfère décider d’un droit de gué comme au moyen âge et d’une sanction pour les transgresseurs, parce qu’ils n’ont pas les moyens de changer de véhicule. J’espère que l’association des défenseurs des automobilistes saisira le Conseil constitutionnel pour faire annuler ces décisions qui entravent la liberté de circulation. Je vois mal un entrepreneur avec un fourgon de classe 4 prendre un bus avec son matériel. Autant l’idée est bonne dans tous les sens, autant les moyens sont inappropriés et vont conduire à des infractions comme toujours quand l’on vit dans une organisation « égologiste » répressive comme la nôtre. Ça déteint même sur des partis qui veulent se situer à gauche.

Le tableau est noir pour l’avenir, non pas parce que nous n’avons pas les hommes, les compétences, les technologies et les matériaux de remplacement, mais seulement parce que nous laissons les commandes à des doctrinaires. À la COP 28, il y avait plus de lobbyistes du pétrole que de participants. Nous touchons ainsi du doigt la limite de l’individualisme et l’irresponsabilité citoyenne du monde, où les habitants préfèrent payer des taxes qui leur cachent qu’indirectement ce sont les salariés de chaque pays qui financent toujours, et que malheureusement vu d’une part leur inculture et d’autres par l’égocentrisme, s’ils dirigeaient leurs états, ils ne décideraient de rien. Nous avons là un autre sujet de débat autre que le nauséabond de l’immigration.

http://tice.svt.free.fr/plugins/auto/scolaspip_4_0/css/img/bg-body.png

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #Politique

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article