Le Libéralisme Équitable.

Publié le 13 Avril 2019

Chaque fois que j'entends la critique du libéralisme j'ai de l'urticaire.
Ceux qui s'y opposent s'approprient un des cinq critères fascisants.

La liberté est de pouvoir dire à quoi l'on ne veut pas être soumis. Cela emporte de contracter les règles qui nous contreindrons à vivre ensemble dans un respect mutuel pour nous réjouir équitablement du travail accompli et des activités sociales que d'autres remplissent naturellement sans rémunération.

Sinon je meurs.

L'on comprend facilement que la solidarité conduit au partage envers tous ceux qui ne peuvent s'inscrire dans un processus de production, alors qu'ils participent à l'existence d'autrui.
Nous vivons dans un monde inégalitaire où l'égalité est, non d'être les clones des un des autres, mais d'être un acteur singulier dans la société pour vivre, pour soi et en faire profiter les autres.
UN homme seul meurt.

Chacun est indispensable.

Tous ne peuvent être appeler à entreprendre sinon il n'y aurait que des artisans.
Ils seraient de fait obligés de se regrouper pour développer une production de masse dite industriel.
Il est donc inutile que les entrepreneurs regardent avec dédain les autres. Ils n'ont aucune raison d'estimer qu'ils sont créateurs d'emplois et qu à ce titre ils doivent s'enrichir plus que d'autres en récupérant plus que ce qui leur ont payé leur travail.
Si nous leurs devons la reconnaissance de leurs actions, et devons même les aider pour cela dans le cadre de la concurrence, ils n'ont aucune raison libéral de tirer leurs richesses du travail des autres. Encontre partie les autres n'ont aucune raison de les laisser périr lorsque leurs activités périclites.
Il n'y aura jamais une mesure juste pour nous ajuster à celà, car nous sommes des être suggestifs et la liberté et de la laisser s'exprimer quitte à en débattre.
La démocratie permet cela le libéralisme aussi le capitalisme non.

J'écris souvent que nous sommes dans un libéralisme capitaliste, et je lui oppose la solidarité humaine même si elle est contrainte par compétition à la rareté.
  Nous retirerons de cela le droit d'exploiter l'autre, un comportement que notre ancêtre l'australopitheque n'avait pas.

Comment illustrer le libéralisme équitable.

Un homme imaginer pouvoir trouver sous un rocher ce qu'il désire. Il déplace seul le rocher, ce qu'il convoitait lui appartient, c'est le fruit de son travail. Sans règles, il le conservera ou le perdra. Nous, nous avons des règles sociales ( politiques et économiques).  Supposons que cet homme ne soit capable que de pousser 80 kg et que le rocher pèse 100kg.
Il ne pourra pas disposer de ce qu'il désire. Il se fait aider soit gratuitement soit à but lucratif. Gratuitement furent toutes les périodes où il n'y avait pas d'obligation de rémunérer ou si peu, sinon parfois par le gîte et le couverts.

Aujourd'hui l'homme doit donner un salaire à celui auquel il fera appel ou qui viendra lui proposer de l'aider. Quel salaire qu elle estimation faire de ce qu'il versera à l'autre. Il ne connaît pas la valeur de ce qu'il espère. 
Nous allons dire qu'il estime que le rocher vaut 10 €. Une discussion s'engage pour un accord à 8 € pour lui car c'est le travail qu'il peut fournir et 2 € pour l'aide dont il a besoin. Cela paraît équitable.

Pourtant l'homme aurait pu soutenir que c'est lui qui avait découvert le lieu de la chose désiré et en justifier pour ne pas le rémunérer, (l'esclavage, la servitude). Où lui proposer plus en imaginant les gains de son l'espérance.

Nous sommes toujours dans la suggestion. 
Autre peut exiger plus où accepter moins suivant s'il est seul ou si d'autres proposent leurs aides.
Il peut soutenir que dans son aide aussi minime soit elle, l'homme n'accedererait pas à son désir.
Dernier choix l'homme peut se fabriquer un outil ou domestiquer un animal, il entre alors dans le développement des technologies.
Nous comprenons alors qu'elles n'ont pas pour finalité de créer des emplois mais d'en remplacer.
Dans l'exemple l'homme développera un effort supplémentaire pour créer l'aide mécanique dont il a besoin à hauteur de 20 kg, et bénéficiera de son désir sans aide.
Nous restons toujours dans la suggestibilité de la recherche du désir et l'homme a fait un effort pour accéder avec intelligence à celui-ci.

Mon exemple est irréfutable l'on ne peut pas dire qu'il est exact ni inexact, car je n'ai aucun indicateurs pour le mesurer.

Continuons.  

Les deux hommes arrivent à pousser le rocher. Derrière il y a un billet de 100 €.
L'homme est content pour 2 € il en a obtenu 90 € en tenant compte de sa mise de fond de 10 €.

Est-ce équitable, c'est la question.

S'il est seul oui, s'il s'aider d'une technologie non, car il aura bénéficier de la culture ancestrale, comme nous de la roue des Babyloniens à qui nous ne versons aucun droit de propriété intellectuelle, comme aux Indous qui ont créer les chiffres, etc.
Au passage on peut comprendre l'imbécilité de la protection de la production intellectuelle. S'il avait fallu que chaque génération vende à la suivante ses découvertes, nous serions tous muets.

Poursuivions.

Si l'homme se fait aider par autrui non plus.
Sans l'entreprise de l'homme il n'y aurait pas eu 100€, sans l'aide de l'autre non plus. 

Qu'elle est la part de chacun est la deuxième question.

50/50% peut paraître équitable au regard de l'accessibilité au 100€.
A celui du travail fourni, l'homme a mis 80 kg, l'autre 20 kg.
Ce qui paraît équitable c'est 80 € pour l'homme, 20 € pour l'autre.
L'homme a mis une mise de fond de 10 € il ne gagne donc 70 € . l'autre a reçu 2 € il gagne 22 €.

Chacun a t'il ce qu'il mérite.

Je ne répondrai pas à cette question car elle aussi est irréfutable quel que soit mon point de vue. 
Mais je peux distinguer quand je suis exploiter.

Est-ce le libéralisme qui exploite ou la relation d'entre aide pour parvenir à une réalisation bénéfique à tous.

Le désir n'est donc pas un frein, y parvenir avec facilité, même au prix d'un effort pour se faire suppléer par l'innovation, non plus. Sauf que l'innovation demande un enseignement, tout comme notre capacité à maitriser nos désirs égoïstes de vivre seul, alors que nous bénéficions de l'apport de générations et civilisations successives.

Acquérir des savoirs ne peuvent être laissés qu'à la disposition d'initiés que sont aujourd'hui nos élites. Tous les hommes doivent y prétendre pour qu'en resorte celui où ceux qui nous conduirons plus loin. Il nous faut enter dans l'économie de la connaissance. Nous devrons pour cela nous instruire tout au long de l'existance au moins jusqu'à l'âge de la retraite et recevoir un revenu pour cela.
Car il n'y a pas que le travail qui nous a conduit où nous en sommes

D'où retirer le capital vous demanderons les capitalistes. 

Il nous faudra trouver ce fameux Rocher derrière lequel il n'y a pas 100 €, mais toute la capacité humaine à innover à être créatrice à s'instruire, à comprendre la complexité du monde qu'elle engendre, pour se réjouir de ses capacités humaines à s'associer, collaborer, partager, vivre ensemble sans être obligé d'aimer tout le monde mais ne détester personnes au minimum.

Le capital pour cela peut provenir de ceux qui l'ont cumulé par l'histoire et dont il ne sert à rien de les déposséder. Mais de reprendre le moyen d'en créer pour avoir le choix de son financement dans le cadre de la concurrence. 
Les fonds disponibles ou la création monétaire en concurrence.
Ainsi ceux qui en faux "libéral", mais en vrai capitaliste se sont appropriés la possession monétaire devront composer comme notre homme.

Des repères et des mesures.

Des repérés normatifs. Nous utilisons la durée de l'écoulement d'un temps, la productivité durant cette période, ne nous manque que sa valeur.
Comme notre homme elle est suggestive.
Si nous voulons une valeur refutable, réelle et mesurable par des normes de poids et mesures acceptés par tous, il faut mesurer la consommation d'énergie que nous utilisons pour travailler.

Nous observerons deux choses.
 1/ qu'il n''y a pas de valeur des choses en dehors de la consommation d'énergie que l'homme met à les réaliser. 
2/ que nous pouvons créer une monnaie universelle pour mesurer toute l'activité humaine sur le globe. Elle sera refutable et non suggestive, cette mesure nous la connaissons tous, c'est le JOULE.

Et comme disait Jésus Christ pour les croyants, les premiers serons alors les derniers. Cela signifie que tous ceux qui se sont enrichis sur la valeur spéculative d'une référence suggestive.
Que ce soit la fève ou tout ce qui aux fils des siècles y a servi jusqu'à l'or, n'a que la valeur que nous lui accordons. Ceux qui par ce leurre spéculatif de la cupidité et de la vanité pour abuser ceux qui ont faim et ne peuvent entreprendre, ne lâcherons pas un centimètre de réflexion pour rester les maîtres.
Tous comme ceux qui conscience de leur faiblesses intellectuelle y resterons soumis
 Préférant être tondu que de prendre un risque seulement politique.
Personnellement je préfère la solidarité égoïste qui fait la place à l'humain d'abord.


 


 

Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

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