critique

Publié le 4 Octobre 2019

Observons que depuis Mitterrand nous avons descendu à coup de casseroles tous les CHEFS d'états QUI SE SONT SUCCÈDES, dans tous les pays occidentaux.
Certes il y a eu l'affaire des diamants du chasseur de Panous Panous avant lui, mais cela restait du combat politique.
Aujourd'hui, il y a un relents de gangrène, nous le vivons, aucun corps d'état aucune structure démocratique n'est pas salie parce que l'on en trouve un qui l'est.

La dernière info de merde que j'ai entendu sur A2 c'est la France un eldorado pour se faire soigner à la sécu gratuitement en se faisant passer pour un chercheur d'asile. Si ca ce n'est pas du télécommandée je me les bouffes. ILS AURAIENT PUS TROUVER UN RICHE?

Sauf que cela n'aurait pas eut l'effet chiffon rouge devant le nez du RN qui a du foncer toute gouaille dehors.

Ne cherchons pas ailleurs la montée du Fascisme en Europe et au USA.
TANT QUE NOUS IMAGINERONS QUE LES USA SONT LES GARANTS DE LA LIBERTÉ, AVEC DES CAMERAS POUR VOIR SI L'ON EST VRAIMENT LIBRE DE SUIVRE LES CLOUS nous ne sommes pas prêt à nous approprier la république Citoyenne.
Une dernière statistique 91 % des citoyens veulent réformer le Capitalisme.
je ne suis pas sur qu'ils sachent ce que c'est. Toute fois s'ils lisent mon lien ils le saurons. CA coule de source, ou les citoyens racontent n'importe quoi quand ont les interroges, ou ce sont de grands ignorants, ce que je pense, car c'est Mélenchon qui devrait être ÉLU.
A MAIS J' OUBLIAIS, DESCENDONS L'HOMME, L’IDÉE TOMBERA.

L'IDEE c,'est QUOI ?
APPROPRIONS NOUS LA RÉPUBLIQUE. FAISONS LA RÉVOLUTION CITOYENNE.
QUE PROPOSE T-IL ?

"Je propose de voir plus loin que l’horizon désespérant du présent. Regardons le monde fascinant qui s’est constitué sous nos yeux en quelques décennies.

Un monde plein d’êtres humain, couvert de villes, où l’occupation de la mer elle-même a débuté. Mais un monde engagé dans un changement climatique irréversible et un bouleversement de la hiérarchie des puissances qui menacent l’existence même de la civilisation humaine.

Un monde où surgit un acteur nouveau : le peuple.Mais si les puissants n’ont plus peur de la gauche édentée par Hollande, ils ont plus que jamais peur du peuple. Sa révolution citoyenne peut tout changer, en commençant par faire entrer la France dans la 6e République. »

NOUS AVONS LU LES QUELQUES STATISTIQUES QUE J'AI ÉCRITE?
Alors comme il l'écrivait déjà en 2014, voyons plus loin que le présent désespérant.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 22 Juillet 2019

Le Revenu Universel est un mort né.
L'idée et généreuse, mais pas adapté à la réalité des besoins du monde qui va se développer et dont les plus démunis, les non Travailleurs subissent les effets.
Ceux qui œuvrent au quotidien pour assurer toute l'activité social humaine pour laquelle ils ne reçoivent pas de revenus. Pour ceux et celles qui dépendent économiquement de leurs familles ou de la redistribution, qui retourne au capital par la consommation.

Dire cela n'est pas insulter, les capitalistes.
Mais leur dénier le droit de déterminé l'avenir des Peuples au nom de leurs seuls intérêts.

Pour comprendre l'intérêt du RUMI il faut poser quelques préalables, un cadre.p 0

Le capitalisme en lui même est mortifère.

Soit il transforme l'homme en outil de travail.
Soit s'il est contraint de redistribuer, il remplace l'homme par des machines et les laisse à la misère.
Chacun convient d'un processus existentiel de compétition, pour vivre et pour se multiplier.
 Il n'y a pas dans la nature une espèce qui soumet ses semblables au travail pour se faire nourrir.

Cela repose sur deux principes.

1/ Que la RARETÉ demande un effort. 2/ Que biologiquement la recherche du moindre effort soit une composante innée. Ce que économiquement nous appelons le meilleur rapport qualité prix.

Un tel schéma ne se rencontre que dans les situations de RARETÉ de la nourriture. 
Situation dans laquelle nous vivons, depuis le néolithique où ce que l'histoire biblique nous rapporte, par la sorti du jardin de l'Éden.

Nous devons travailler pour nous nourrir et nous nous entre tuons pour cela.
 C'est là aussi l'enseignement biblique d'Abel et Caen.

Si je fais ce rapprochement avec l'histoire biblique, c'est qu'elle n'est pas un livre qui rapporte de l'imaginaire populaire ni celle d'un dieu bavard.
Mais l'histoire écrite d'hommes qui avaient compris ce que nous nous n'avons pas toujours réussi à comprendre pour la grande majorité. Même parmis les croyants qui perpétuent des supertissions.
Là où il y avait à traduire des représentations métaphoriques ou symboliques au milieu d'événements réels rapportés

Et fier de notre ignorance nous croyons que nos ancêtres raconter des histoires, même s'ils les ont distordu.

Je fais cet aparté biblique, car le fait qu'il est existe l'Éden,e exemple d'une situation d'abondance, inclus sa possible RÉALISATION, et non un mythe.

Et la le RU à sa place, mais à une condition que je développerai. 

Rien ne vient de Rien.
Il y a comme cela des milliers de choses à Savoir qui sont répertoriés dans des spécialités scientifiques dans des spécialisations professionnels.
Par exemple la psychiatrie, la psychologie ou les neurosciences qui nous apprennent comment fonctionne un cerveau avec lequel nous devons passer notre existence, et comprendre pour quoi certains en exploitent d'autres.


Nous ignorons son fonctionnement à ce jour, alors que c'est lui qui DÉTERMINE comment nous allons accéder aux désirs que nous formulons et que nous satisfaisons aujourd'hui avec une organisation Capitaliste CRIMINOGÈNE.

Personne n'ose le présenter sous cet aspect. 

Ça le descend un peu de son pied d'estal, bien qu'il soit connu qu'il conduit à des cycles conflictuels.
Il est la source de tous les crimes est délits qu'il suscite en valorisant la rareté, comme objectif de désirs pour se distinguer en tant que dominant envié. 
Cela conduit à ce que nous nommons, les canailles, les mafieux, les voyous, les bandits que la morale n'arrive pas à faire rentrer dans les rangs.
Que malgré des siècles de sévices, de tortures, de bûcher, d'emprisonnement seule les punitions ont changer sans plus de succès.

Pourtant, au lieu de nous interroger nous persévérons, en demandant plus de prisons, plus de juges, plus de police, plus de surveillance, plus de contrôle, plus de délation. 
Nous constatons la permanence de la corruption, le détournement d'impôts etc. 

La raison invoquée est toujours parce que des citoyens ne sont pas honnêtes. 
Jamais n'est accablé l'organisation capitaliste qui les met en situation d'indélicatesse ou de cupidité.

La différence entre les deux c'est que ce n'est pas les soumis qui ont fait les lois, parce qu'ils en sont incapables, sinon ils ne seraient pas soumis.
La Boétie l'a explicité dans son Discours sur la servitude volontaire.

C'est de cela dont nous devons sortir.

Pas NOUS les hommes contemporains, car nous en sommes bien incapables.

Même LFI ne nous sortira pas de cela.
Notre soumission est comme une seconde nature.
Nous avons été si longtemps soumis (10 000 ans) que si l'on nous en libérer du jour au lendemain nous retournerions nous VENDRE.

Je dis n'importe quoi pas si sur. 

En Union Soviétique, qu'on fait les serfs du Tsar une fois libéré.
Ce soumettre à une autre dictature. 
Est ce une nouveauté ? absolument pas !

J'en reviens à la bible. 

Dans la genèse Dieu donne la liberté au peuple hébreu soumis à d'esclavage dans l'Égypte.
Il leur donne la liberté de choisir leur destiné, c'est à dire il leur donne la démocratie. 
Qu'en font ils RIEN, il suivent un guide Salvateur. 
Et ne sachant que faire de la liberté et de la démocratie ils de choisissent ROI.
Si jamais vous y voyez une ressemblance avec notre situation contemporaines, ce doit être une illusion.

Nous passons notre temps à rechercher ce roi pour pouvoir consommer tranquillement sans responsabilités. 
Ne me dites pas NON, prendre ses responsabilités n'est pas voter une fois tous les 5 ans.
C'est remplir de notre présence les partis, les syndicats, et autres associations ou notre destinée se discute, se débat.

Ne croyons pas que les hommes qui s'en écartent n'en aient pas les moyens.

Nou serions peu être surpris d'y trouver parmis eux des hommes bien plus intelligents que les élites qui nous gouvernent.
La plupart d'entre elles n'ont eu que la chance d'être bien né. 
Sauf que la sélection des taches ne donne pas une égalité de chance si l'on ne né pas dans la bonne "caste". Désolé, nous, nous appelons cela l'endogamie, mais c'est la même chose un peu plus perméable, grâce à l'instruction.
 
 Bien, bien mais le RU dans tout cela.
 
Et bien celui de Benoît Hamon ne changera rien au tableau que je viens de dresser succinctement.
Le capitalisme est une organisation culturelle. 
Si la compétition est innée , elle ne conduit pas obligatoirement au capitalisme.
 
Nous nous le transmettons d'une génération à l'autre par l'éducation et l'instruction. 

Si bien, que si nous changeons tout, par une révolution.
Sans changer les esprits et l'éducation. Les hommes reconstruiraient
sous d'autres formes la servitude dans laquelle ils ont été ÉDUQUÉS et INSTRUITS.
 
Ainsi ce qui devait être leur LIBÉRATION devient une dictature, car ils ne savent rien faire d'autre que de se soumettre.

J'en viens donc au RU. 

Je ne vais pas discuter de son montant ni de la manière de le récupérer pour gérer l'inflation, bien que.

Mais avant toute chose de la même manière que j'ai fait toucher que le capitalisme n'était pas irréductible, le capital repose sur une organisation de la production qui le consolide.
Il n'est qu'un paradigme du moindre effort. 
Obtenir ce que l'on désire, l'aisance, l'abondance sans avoir à le produire.

Je l'ai souvent expliqué une clé de compréhension.

L'employeur verse un salaire à un salarié pour faire un travail.
 Revend son propre travail au salarié, plus cher que ce qu'il a reçu pour le faire.
 si bien que le salarié doit s'endette auprès de son employeur pour acheter son travail, et en plus verser d'intérêts
 
L'employeur récupérer ainsi le salaire, plus sa marge et les intérêts de celle-ci.
S'il a versé 100 et 100 de marge , le salarier achètera son travail 200 plus les intérêts de la marge empruntée.
Dans l'exemple le capital aura plus que doublé en revendant le travail à celui qui l'a fait.

Le RU va donc se développer dans ce cadre structurant

Le revenu universel distribuer pour une activité sociale ira nourri la consommation et se portera sur les productions les moins chères, généralement produite à l'étranger.

Nous aurons donc le même phénomène que la relance de 82.
Si l'on finance par l'impôt le RU, ce seront seulement les salariés  qui le paierons comme le montre mon modèle. 
Là où le bas me blessé c'est que tout cela se fait sans contre partie utile à la société pour la sortir du marasme dans laquelle elle se trouve, ni pour la préparé à l'avenir.

Il ne s'agit pas pour moi de dénier la redistribution de la richesse à laquelle tout homme sur le territoire participe du seul fait d'exister, indépendamment des activités qu'il remplie.

Mais de me situer dans le futur au regard des évolutions envisageables et des moyens pour s'y préparer.

Tous les analystes qui se penchent sur la ligne qui se dégage de ce qui se met en place aujourd'hui, témoignent du développement en cours de l'économie de la CONNAISSANCE..

C'est à dire que les savoirs techniques et les savoirs humains vont être nécessaire pour vivre dans une société où le travail humain se rarefiera.
Où toute activité confié à l'intelligence artificielle va fragiliser la société, si elle ne devient ou reste comprise que d'initiés ou de spécialistes.
Où que les nouvelles l'aptitudes, ou techniques à multiplier ses capacités cognitives ne deviennent que la propriété de quelques uns( lire hydriss Aberkan sur le sujet ou le trouver sur le net).

Déjà des groupes comme Google sont dans le coup, alors que nous en parfait abruti médiatique nous ne pensons qu'à imposer une taxe au Gafa, dont j'espère que grâce au modèle nous comprenons que ce seront les salariés clients qui la paieront.

À aujourd'hui aucun état ne c'est lancé dans cette course, laissant le choix au capitaliste de s'y inscrire.
N'ayons aucune illusion ils s'y préparer déjà.
Les seuls qui resteront en route  deviendront de la graine d'esclaves béats.
Ce seront toujours les salariés ceux des classes moyennes et pauvres, tandis que celle supérieure viendra les encadrer comme c'est le cas depuis la mise en place de la scolarite et l'enseignement de 1882.

L'enseignement.

Celui ci n'est plus adapté à l'explosion des connaissances disponibles. 
Si bien que nous renonçons à les démocratiser et les rendre disponibles aux citoyens qui sont sortis de la scolarite.

Le développement des savoirs ont pris de cours tous les pays, sauf les entreprises de pointes.
Celles qui n'ont aucun intérêt à démocratiser les connaissances qui demain leurs permettront de dominer les états. s'entend leurs populations.

C'est contant de notre crasse intellectuelle que nous surfons sur les teewts de la haine, de la délation, de l'injure, de la suspicion, de la grande lessive anti corruption, tandis que s'installe la dictature des Savoirs.
Dans l'hombre de notre imbécilité et notre suffisance.

Alors oui le RU peut être une chance.

Comment? 
En instituant un revenu d'enseignement.
En créant tout au long de l'existence un enseignement pour adultes dans la continuité de celui en place insuffisant.

Chaque ville dispose d'un stade, d'une salle des fêtes, d'école qui les empêcheraient de disposer d'un  ou de centres d'enseignement pour adultes.

Les pays qui feront cela se donneront les moyens de sortir de la servitude où va les maintenir,  voire enfoncer un peu plus les groupes qui en disposeront.

NOUS en doutons.

Alors examinons 30 ans de restructuration de l'information axé sur un lavage de cerveau par la stratégie de l'émotion. 
Une confusion sans précédant du rôles des partis, des syndicats un l'amalgame de tout chose pourvu que le dénigrement l'emporte.
Au bout une démocratie en danger à la recherche d'un ROI.
30 ans de capitalisme absolues ont réduite à néant 142 ans de socialisme qui avait apporté la prospérité en s'opposant au capitalisme.

Demain le seul opposant sera ce qui sortira du cerveau des citoyens.
Mais à une condition qu'on les remplissent de connaissance.
Si l'on n'y met Rien il n'en sortira Rien.

Car NOUS le mesurons aujourd'hui.

Du cerveau lobotomisé par les médias et abusés par les éléments de langage des hommes politiques n'en ressort que de la défiance, et les moyens d'un suicide politique, en rejetant les élites.

Créer un enseignement pour adultes relancerait le bâtiment et s'ajouterait à celle de l'écologie.
Mais à une condition que l'on ne garde pas le modèle de formation du capital car tout travail fait dans l'un ou dans l'autre irai grossir le capital.

Pour terminer sur le sujet.

Le pays qui mettra en place un enseignement rémunère pour adultes prendra une longueur d'avance face à la compétition de deux blocs capitalistes qui se développent.
Enfin remplir le cerveau des citoyens de Savoirs, c'est être assuré que chacun mettra son acquis au service de son intérêt ou de la société.
Et plus il y aura de têtes bien remplies plus nous auront de chances que surgisse des innovations dans tous les domaines, et forcément demain. 

Cela s'appelle un investissement dans l'Humain et non dans de la graine d'esclaves.
Aujourd'hui il n'est plus possible de laisser s'accroître l'abîme intellectuel entre les découvreurs et leurs collaborateurs.

 


 
 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 15 Juillet 2019

L'homme a longtemps habité des grottes pour trouver refuge, quand il du quitter son biotope naturel, où vivent encore des peuplades arborigenes, que ce soit en Amazonie ou en Indonésie.

Ces régions humides qui offrent l'autonomie nourricière, n'ont pas poussé ces peuples développer au delà de leurs besoins, la capacité d'adaptation dont nous, hommes immigrés, faisons preuves.

Bien qu'Ils possèdent les mêmes capacités innovatrices. 
Nous comprenons d'ores et déjà que nous en ferons usage, que si l'environnement n'est pas propice à notre développement, et qu'il recèle de quoi nous satisfaire.

Dans les déserts, il y a vie, là, où une se développe et dont nous retirons avantages.
Ce n'est donc pas nous qui choisissons librement nôtre développement.

Si toute sédentarisation ou tous groupes nomades développement des cultures sociétales pour s'identifier,  elles deviennent tributaires du mimétisme.
Fait pour enseigner les moyens de survivre dans un environnement connu,  il peut être un handicap dans un autre. Cela en étant trop intégré, en le percevant comme irréductible et absolu parce qu'il nous rassure, calme nos angoisses et nos peurs par des référentiels normatifs utiles pour développer une cohésion de  concentration humaine, qui variera suivant l'étendu du groupe.

Plus le groupe sera concentré, plus il faudra de référentiels normatifs pour compenser l'espace vital nécessaire à chaque homme, qui s'épanouira différenment s'il est en ville où à la campagne, s'il est dans un village ou une métropole.

Ce cadre posé, il est plus aisé de comprendre comment nous sommes devenus des hommes béton.

Également que l'âge de pierre où sont apparus les premiers outils de silex,  il y a 3,3 millions d'années, marque le début de l'usage de la pierre qui deviendra un matériau de construction,  nôtre Béton.

Cela démontre bien l'importance de l'environnement, s'il est propice ou non au développement humain pour favoriser ou non son aptitude  à l'observation et à la créativité qu'il en découle.
Dans un biotope favorable nous n'aurions jamais taillé un silex, pour cela il faut que l'environnement nous l'offre, le possède,  et nous contraigne à son usage. (La pression environnementale,  le dictateur, opinion publique,etc)

Sauf que l'homme n'est pas un innovateur spontané, il peut passer mille fois à côté d'une chose avant que chez lui se développe ou s'agrégent les, la situation propice.
Ce n'est donc pas avec des pierres dont ils faisaient des outils et des armes qu'ils créèrent le premier habitat, 

Mais il y a 400 000 ans avec du bois des feuilles et des peaux.
Les premiers matériaux du sol furent l'argile et suivant les régions l'empilement de pierres pour faire des murets. L'usage de la pierre prenait son essor. Nous sommes autour de  12 000 à 6000 avant JC.

Il a donc fallu 2,9 millions d'années pour que l'homme sorte de sa grotte, et 3,288 millions pour l'usage de la pierre comme matériaux de construction.
D'aucuns qualifient l'homme moderne d'homeconomicus, visiblement l'homo constructeur aurait été plus judicieux. 

Si des méthodes de liants été utilisées depuis fort longtemps Égyptiens Romains. L'invention du ciment au 19 siècle ouvrait l'heure des grattes ciel.
Mais pas seulement le ciment, le métal également, et la maîtrise des fondations.
Pourtant cela n'aurait pas suffit sans le rouet, car personne n'imagine que l'on puisse y vivre en montant à pied.

 Ce sont les puits qui vinrent à la rescousse. 
 
L'extraction de l'eau se faisait par balancier, par crémaillère à gobelets ou rouet, pièce de bois où s'enrouler une corde. 
 Une invention du 16/15 ieme siècle. C'est ce dernier qui devint le principe de nos ascenseurs.
Les premières maisons à plusieurs étages apparaissent en 1870.
C'est l'afflux de population économique dans les villes qui commanda l'habitat vertical.

Et avec lui des problèmes de concentrations humaines que tous les habitants de Tours connaissent,
Contrainte de vivre en intérieur, promiscuité qui pousse à l'isolement, nuisances sonores, et surtout perte de contact avec la nature. 
Des études existent à foisons sur le sujet qui varient suivant la taille des villes et le temps nécessaire pour retrouver un espace humain, pour retrouver un espace biotopique.

Cet habitat concentrationnaire va marquer l'histoire humaine pour former les Nations, les révoltes et les inventions en tout genre.
Mais également la vie des humains, la vie dite citadine, en opposition à celle des campagnes.
Un citadin supportera  les bruits de la cité, ils servirons même de neurostrasmetteurs, et ne supportera pas  le chant d'un coq ou le son d'une cloche. 
Mais en réalité c'est le silence auquel ils ne sont pas habitués.
Cela a conduit un élu à demander que les bruits de la compagne soient  classés au patrimoine de l'humanité. 

Je ne sais pas si vous mesurez le poids symbolique de cet acte.

Traduction les citadins sont tellement intégrés dans leurs espaces bétonnés qu'ils sont capables de se conduire au suicide en ne reconnaissant plus ce qu'est la vie.

De fil en aiguille l'homme de béton en est arrivé à ester en justice contre la vie, contre ce qui le nourrit.  Car sans la campagne tous les citadins crèveraient de faim, comme cela a été observé durant des conflits.
Des enfants lancés dans la nature ne trouveraient même pas à se nourrir, certains non jamais vu une basse cour de leur vie.
Les cités coupent les humains de la réalité de existence. Pas celle que l'on apprend, celle que l'on Ressent.

L'avenir devrait consister à éclater toutes ces mégalopoles, et c'est l'inverse que nous faisons dirigés par la rationalité économique qui commande de ne pas s'installer là où les infrastructures de circulation font défaut.
C'est à tors que nous croyons que la rationalité économique est humaine.

L'exemple des citoyens qui se plaignent des bruits de la campagne, ne sont pas des humains, mais des hommes de béton, prés à tuer la vie, car ils sont plus en contact avec.

 


 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 20 Mai 2019

Dans l'étude du CVIPOF chacun pourra y lire l'opinion des français concernant le Capitalisme. À la question souhaitez vous supprimer le capitalisme 42% répondent oui.
À la question souhaitez vous le modifier 50% répondent oui.
N'esperer pas qu'un journaliste ou qu'un commentateur politique, qu'une émission politique ou qu'un gilet jaune nous parlent de l'opinion des français à ce sujet. Pourtant l'opinion des français est mise en avant pour toutes choses et chaque parti s'y référe pour justifier d ses opinions politiques.
Si cela est normal, puisque quand chacun propose une option c'est pour améliorer la vie des citoyens.n v Je n'ai donc jamais entendu un parti proposer la dictature, le fascisme, l'esclavage, la soumission, l'autocratie, la ploutocratie, la tyrannie. Tous sont républicains-démocrates.
Pourtant personnellement j'ai déjà entendu des citoyens proposer l'efficacité de la dictature.
Voulant signifier par là ,que la démocratie c'était le bordel, fallait débattre, se chamailler, s'unir, se séparer, partager, penser à soi, penser aux autres, être imaginatif, bref vivre, être l'humain à part entière. C'est à dire le contraire d'un OBJET.
L'objet c'est la dictature qui le construit, chaque chose et ordonné,dirige pour obtenir  par ex une voiture qui fonctionne.
Or dès l'enfance, ensuite à l'école, dans les entreprises, dans l'organisation capitaliste nous sommes regardés estimés comme tel.

J'exagère c'est à voir.

Qui explique :
Que l'homme a une valeur travail.
Que l'homme représente un investissement..
Que l'homme est une ressource humaine.
Que l'homme est du capital humain.
Que l'homme doit savoir se vendre.c n
Que l'homme s'achète.
Aujourd'hui où l'on ne regarde plus la femme comme un OBJET sexuel, il y a un espace où cette vision n'est plus d'actualité, malgré l'opinion majoritaire des français d'être considérés comme des humains, c'est dans l'organisation capitaliste du travail.
Dans l'entreprise au nom de la propriété privée (qui est un élément de stabilité économique)  ceux qui y travaillent sont soumis au totalitarisme du Patron, qu'il soit en SA ou pas. Le code du travail en témoigne. Personne ne peut démentir la finalité esclavagiste de l'entreprise.

Ceux qui en doutent n'ont qu'à ouvrir le code du travail, les conventions collectives et imaginer qu'elle serait leurs conditions de travail sans cela.
Aussi quand des partis comme le LR, le LREM propose la remise en des conventions collectives, du code du travail, chacun devrait y réfléchir  deux fois, puisque nous sommes 92% des citoyens à vouloir réformer le capitalisme.

Si je conviens que la plupart des citoyens sont de la graine d'esclave par éducation (éduquer à la liberté en disposant d'un esprit critique n'est pas à la portée de l'homme qui nait), et ne savent pas ce qu'est le capitalisme ni son origine (duquel il ne faut pas rejeter la nécessité d'usage d'un capital, d'un regroupement de forces et de moyens qui ne justifie aucunement exploitation de l'homme), ils en ressentent les conséquences, les voient, les vivent, les expriment, comme en ce moment par le rejet de l'Europe, les gilets jaunes, la peur de l'autre l'anti état sans y attribuer la source de leurs maux.

Qu'esperent ils que ce soit ceux qui les exploitent qui leurs expliquent qu'ils ne sont que des OBJETS.

Que bientôt ils vont les casser pour en faire de la chair à canon, comme si nous étions nait pour cela.
Quand il faut taper sur Hitler, ressasser la Shoha, imaginer l'invasion islamique il y a du monde pour crier aux fenêtres et être sur la photo par temps d'orages (comme les belges😊😊).
 Beaucoup moins quand il s'agit de dire que la Guerre est un Crime contre L'HUMANITÉ. Cherchons en la source, nous n'y trouverons que des raisons économiques. C'est donc peu dire que de  s'intéresser à notre organisation économique du travail qui est libérale capitalistique.
 La liberté ce n'est pas gênant, cela ne fera pas de nous des esclaves, le capitalisme oui.
 C'est encore un distinction que beaucoup ne font pas. 

Et en rejetant le libéralisme nous rejetons l'humanisme et ouvrons la porte au fascisme et à la dictature.

Comment maintenons nous le capitalisme

Chacun connait expression la bourse ou la vie, seul les cons perdent la vie, non je ne l'ai pas pensé, nous sommes dans un monde de cons (même ils avancent d'autres prétexter).

Cela fait donc très longtemps que nous choisissons la Bourse à la vie. D'ailleurs je n'ai pas entendu dire que les gilets jaunes étaient allés cerner le palais Grognard comme ils l'on fait avec l'arc de triomphe.
Dans les revues, les journaux, le net ne circulent pas d'informations  sur ce qu'est le capitalisme, tant nous y sommes intégrés.
Comme si c'était notre Nature. Y circulent celles qui nous y intègrent et que nous ne remettrons pas en cause parce-que globalement nous sommes des ânes, ( c'est avec amour et humanisme que je dis cela). Nayant aucun intérêt à suivre la circulation monétaire nous ignorons que nous sommes la vache à lait du marché financier.

Nous trouvons donc toutes les informations pour faire les meilleurs placements financiers avec le peu d'épargne que font chaque citoyens pour ceux qui ont des livrets ou une assurances vie.
Le moocs nous donnent gratuitement en ligne des cours de capitalisme, comment faire fructifier son capital financier par des placements.
,Moocs ( massive open online course)
Assurance-vie (openclassrooms)
HEC et Axa (coursera)
l'Université catholique de Louvain (EdX)

Cela nous permet de devenir comme l'écrit Paribas un investisseurs averti en fonction de son profil financier où de risques.

Que croyons nous être en faisant cela, si ce n'est des capitalistes qui s'auto-exploitent s'accroissant leurs difficultés,c ar ceux qui utilisent leurs épargnes la leurs revendent quand ils sont clients.

J'espère que l'expression le client Roi résonnera mieux à vos neurones.

Est ce le hasard, non le marché financier c'est ouvert avec les participations et c'est démocratisé sous 
Bérégovoy, qui croyait faire bénéficier du capitalisme à ceux qui étaient exploités.
Il n'a fait que le renforcer par ce que ceux qui reçoivent un intérêt sur le placement, ils le reçoivent de leurs voisins et non des milliardaires puisqu'ils y en a plus, andis que leurs voisins s'appauvrissent comme eux.(j'use de caricature car c'est trop compliqué de décrire le cheminement, et d'expliquer qu'en disposant de biens cela ne change rien pour certaines classes sociales).
Cherchons le parti qui nous expliquera ceci.
Ce que ce serait bien d'avoir le temps d'un esprit critique.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 19 Mai 2019

Le titre d'un film. Cela fait quelques siècles quelle se répand sur terre. Il ne reste plus trop d'espace ou l'homme n'a pas posé ses pieds.
Si ça n'avait été que les pieds nous ne serions pas dans la m---,e. Mais voilà il y a posé son regard et son intelligence, au service de ses désirs pour accomplir sa destinée, qui a fait le reste.
C'est comme cela que se déroule notre existence.
Nous savons utiliser notre intelligence, celle de faire les associations appropriées entre nos désirs et ce que l'on trouve à disposition dans la nature pour y parvenir.

Naturellement sur la planète il y a pas le bien et le mal. Seulement ce qui peut nous faire vivre et ce qui peut nous tuer. Et si mourrir n'est pas le mal, l'anticiper pour satisfaire des désirs l'est.
Nous savons aussi que notre destinée dépend de tous les effets qu'aurons engendré nos millards  d'actions. 
Alors gérer, prévoir des milliards d'actions est notre défie quotidien d'un instant T au cours duquel en quelques millisecondes ils se réalisent tous. Nous vivons cela que nous le voulions ou non.
si quelqu'un arrive à faire un  choix dans ce laps de temps c'est qu'il est un transhumain, comme le font les ordinateurs des traders.

Notre cerveau est plus lent, donc beaucoups  d'événements ont lieu avant qu'un nous arrivent aux neurones.

Sur la planète nous ne vivons pas tous à la même vitesse, et elle conduit le rythme de nos vie.
Particulièrement pour vivre libre.
Nous comprenons tous qu'à pied nous allons ou nous voulons, en avions rapidement vers une destination, durant le temps d'un voyage ou nous ne disposons plus de notre existence.
La vitesse est privative de liberté. Elle ne nous rend pas libre, nous satisfaisons un désir de se déplacer rapidement. Il n'y a donc aucune liberté à aller plus vite, seul le mode de vie change où la liberté s'échange contre un confort. 
Entrer en contact avec les autres au bout du monde en millisecondes n'est pas la liberté. La liberté c'est pouvoir se déplacer ou bon nous semble. Et il y a donc des siècles que nous ne sommes plus libre. Aussi la liberté, celle d'aller où bon nous semble, à la vitesse que l'on veut sans devoir être aliéné par le travail se construit à la vitesse de notre cerveau lentement.

La liberté n'est donc pas de se connecter au bout du monde mais d'y aller.

Hier nos ancêtres qui ont essaimé ignoraient que la terre était ronde. Eux ils allaient toujours tout droit, comme nous. Les aborigènes Amazonie ou d'ailleurs sont libres. Ils ne sont pas aliénés au travail.
 Il peuvent aller à pied où bon leur semble et pourtant ils ne quittent pas leur milieu.
 La liberté dépend donc aussi de ce que l'on connait du monde.
 Nous comprenons que lorsque l'humain dispose des ressources nourricières à porte de main, il ne quitte pas l'arbre qui le nourrit.
Nous avons toujours ce même comportement, nous voulons rester là où nous avons nos attaches. Chacun a connu cela dans son existence, devoir changer de classe, d'établissement et perdre les amitiés. 
Nait dans un lieu nous le quittons que contraint, le plus souvent par la recherche dun travail ou par des rencontres plus distantes rendues possibles par les moyens de communications de plus en plus rapides.
Sans en être totalement conscient, aller vite, gagner du temps c'est inscrit dans nos comportements.
Le temps et ce que l'on peut faire nous conduit à cette expression : manger la vie. Cet appétit de consommation n'est que la satisfaction de désirs sans limite de l'humain. Pour les satisfaire il c'est prolongé par la technologienologie.

Rien n'arrive parce-que nous le voulons, ce sont les enchaînements de nos actions qui nous reviennent.
Le savoir est important quand nous entrons dans la recherche de responsabilité.
Nous ne savons pas faire la différence entre être responsable et être acteur de son existence.
Nous ne sommes que les acteurs agissants qui construisent leurs pièces au quotidien en l'enchainant aux souvenirs qu'ils ont appris des scènes jouées par leurs wprédécesseurs dans un décor   qui influencera leurs choix.
À aucun moment ils ne peuvent être responsables des choix que leurs imposent une pièce qu'ils n'ont pas écrite et qu'ils doivent continuer de jouer en désirant en être l'acteur principal reconnu.
Cela n'ôte rien à la conscience de son rôle qui cherchera à trouver la place qui découle de l'acte dans lequel il apparaît.
Quand survient un évènement bien ou mal, bon ou mauvais, utile ou nuisible, il sera la résultante d'un ensemble plus ou moins grand que nous limiterons arbitrairement pour ne pas en arriver à comprendre que nous y avons participé. Et nous dirons : c'est la société. Incapable de pouvoir cerner le responsable nous nous focalisons sur l'acteur qui à émerger pour tenir le rôle qui découle des choix qu'il fait en conscience, mais qui ont été écrits par d'autres.
C'est pour cela que nous distribuons des médailles ou coupons des têtes.
Regarder notre existence sous cet angle est possible, la vivre certainement pas nous ne pouvons pas vivre sans nous sentir décideurs de nos actes, sinon nous serions dans le déterminisme absolue.
Or cette perception d'agir en fonction de l'environnement tient à nos limites biologiques où la part de l'inconnu, de l'ignorance nous impose de choisir parmi les opportunités celles qui conviendrons à l'acteur que nous sommes devenus, et puisque nous le sommes devenus nous pouvons changer de rôle car il n'est qu'aléatoire.

Nous pouvons comprendre que n'ayant aucune certitude nous soyons toujours en recherche de confirmations, et rien n'est plus rassurant que la mesure, que ce que l'on peut faire entrer dans une norme dans un ratio pour se préparer à jouer le rôle qui en decoulera, et dont les ignorants nous rendrons ou tiendrons responsable par peur ou envie.

Nous sommes donc encore une Horde Sauvage qui cours de plus en plus vite et fait remplacer sa lenteur par des technologies qui la dépasse.
Non comme capacité de réflexion car notre cerveau restera supérieur à la machine, car nous l'aurons créé à notre ressemblance. Mais par ce que là où la machine met une seconde nous il nous faut une journée. La machine ne nous est supérieur qu'en vitesse de traitement des données.
Sera t elle plus juste non, elle ne retiendra que ce en quoi nous l'aurons autorisé.
Influencera t elle notre existence, certainement, et il ne faut pas le craindre.
Si cette horde sauvage, prend le temp d'apprendre elle pourra maîtriser sa pièce et non seulement chercher à vivre au rythme des machines.

Les traders sont idéal pour faire la démonstration de la horde sauvage. Ils sont dans la recherche permanente d'un gain de temps pour faire des transactions. A la city de Londres les traders ont réclamé au maire qu'il interdise la circulation des piétons sur le trottoir qui conduisait à leurs bureaux car ceux ci les ralentissaient.

Demain nous ne travaillerons plus, les machines faites à notre image feront le boulot, alors dans le cadre de la pensée de la horde sauvage actuelcnle interdirons nous l'humain.
Ma réflexion à l'air d'une boutade, mais c'est ce que. nous faisons. Au lieu de libérer l'homme nous voulons le maintenir entre des murs, des barbelés, des frontières, nous faisons de son espace une prison, non que nos frontières ont changé, mais parce que nous y arrivons plus vite.
Hier il n'y avait que des aventuriers ou des commerçants pour faire le tour du monde, aujourd'hui nous y partons en vacances.

Demain les humains ne serons plus une source d'exploitation pour d'autres. Si nous laissons ce qui nous dirigent au pouvoir qu'il détiennent de l'exploitation des autres. Pensons nous sérieusement qu'ils vont renoncer à leurs pouvoirs, ou vont ils rendre l'humain servile de la machine plutôt que l'inverse.
Le choix des dirigeants sera encore plus important dans l'avenir. Déjà nous n'elisons pas les bons pour lutter contre la pollution.
Croyons nous qu'ils vont engager de la monnaie pour assurer le bien être des hommes. Tous les jours ils font la démonstration du contraire, en calculant suivant des normes et des ratios s'ils en retirerons un gain.

Comprenons tous de même. Pour s'enrichir ils ont développé la politique de l'offre, avec à la clé une pollution en conséquence. Et maintenant que la société leurs dit  dépolluaient, ils répondent oui si les dechets que l'on a produits nous rapportent un gain. C'est avec ce resonnement que la horde sauvage pense. 
Rien ne nous interdit de le comprendre


 

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Publié le 18 Mai 2019

Autant de candidatures est exemplaire, je dirais même, signe de bonne santé démocratique. Quand je dis cela, c'est sur que je ne le pense pas. 

Certainement que je n'échappe pas au syndrome générale d'être un con et borné. Con je ne sais pas, ce sont les autres qui me dirons si je leurs ressemble, mais borné je le sais. 51 ans que je m'échine à lutter contre l'exploitation de l'homme par l'homme et que je ne vois rien venir. Je mens en disant cela. Une tentative de mai 81 au départ de P. Mauroy en 83. Les citoyens ont eu peurs et ont enterré le Socialisme pour libérer la Social Démocratie qui les a enterré eux. 
C'est beau la vie elle réserve toujours de ces surprises.
Alors j'espère que cette élection sans grand en jeux entertera à son tour ces gestionnaires du capitalisme de gauche que sont le PS, les Hanon et tous ceux du même bord. 
Deux exceptions cependant,la France insoumise et le parti des travailleurs qui depuis le temps n'ont jamais été capable d'expliquer aux citoyens comment ils se faisaient exploiter, alors que c'est d'une simplicité  enfantine.

L'entreprise loue notre force de travail (salariés) 100€. Quand le salarié devient client, l'entreprise lui vend son travail avec sa marge 50€. Pour vivre de son travail le salarié doit l'acheter 150€ . Il empruntera 50€.  
Le peuple, c'est à dire nous, avons voté des lois pour dire : seuls les riches peuvent vous prêter 50€ sur le marché financier.
 Comme ils ne nous les prêtent pas gratuitement nous les remboursons avec un intérêt en plus,10€.
 Nous achetons notre travail 160€. 
 
 En France il y a 22 millions de travailleurs qui rachettent leurs travails plus cher. 2 millions indépendants artisans, libéraux, auto entrepreneurs, qui rachettent leur travail au bon tarif,  4 millions d'employeurs à qui les 22 millions gagnent leur pouvoir d'achat, bien sûr s'ils ne travaillent pas, car alors se pose seulement la différence d'écart des revenus. 

Pouvons nous comprendre cela oui.

 Mais je ni crois pas du tout si je me fie aux affiches des professions de foi.

Si un candidat nous expliquait cela alors nous voterions réellement pour le changement, mais je mais ma main à couper qu'ils auraient peur que le marché financier où ils mettent leurs micro épargnes, n'en fasse pas des milliardaires.
À quoi ça tient la peur, un livret A, un PEL, une Assurance vie, tous ces sous que l'on nous prêtent et qui sont à nous. 

Sinon le parti qui sort un peu de la social démocratie, c'est La France insoumise.
 Ce est pas idéal comme programme, ça fait vieux contestataires dans l'opposition permanente, dans la résistance perpétuelle, comme moi.
  Il faut aller lire au delà de l'inquiétude que soulève son sigle, dans un monde qui par soucis de sécurité à peur de tout et réclame la dictature.
 
 Je déconne, non je ne déconne pas.
 
 Si nous voulons savoir si j'ai raison allons donc sur le net, tapons CVIPOF, et baromètre politique des francais.
 Nous sommes suivis statistiquement depuis 2006, avec les mêmes questions qui s'ajustent au évènements et établissement de puis lors l'évolution de ce que nous pensons, bien sûr avec le décalage d'erreurs qui peut exister du au panel.

Nous y trouvons ce glissement de la démocratie vers la dictature par les choix dont les citoyens font leurs priorités et suivent ce en quoi ils croient. Bonne lecture pour ceux qui feront cet effort.

Alors est ce que cette prise d'initiative qu'il faut saluer, qui repose sur la volonté de voir changer la vie, d'être pris en considération, de défendre ses opinions et un signe que la démocratie se porte bien.

Je dirais, Non, au risque de surprendre.

Les événements ne surgissent pas spontanément. Ce sont des actions au quotidien qui s'agglutinent les unes aux autres, qui se complètent ou se repoussent pour que surgissent les associations déterminantes.
Métaphoriquement c'est comme un grain de sable, l'on passe dessus jusqu'à ce qu'il fasse tas avec d'autres en fonction d'un lieu où il aura pu s'agréger, se regrouper, s'associer, se reunir pour devenir un tas. Alors là on ne peut plus l'éviter. Ou ont le balaiera pour le disperser ou s'y s'accumuleront d'autres grains, jusqu'à former une dune sur laquelle nous devrons vivre. 
Certes à force de vivre dessus des grains s'echapperont et iront s'entasser ailleurs pour recommencer le processus différemment.

33 + 1 c'est cela, mais est ce qu'ils proposent de bâtir une nouvelle dune sur laquelle il fasse bon vivre. En parcourant le Cevipof nous pouvons nous en faire une idée autres que celles des fack news des racontars de bars, des teews farcis à la haine des autres.
Pour moi une chose est certaine sauf un vote pour la France insoumise ou le parti des travailleurs, nous ne changerons pas la dune sur laquelle nous vivons car l'on  balaie les nouveaux tas.
Pour rester dans la métaphore, le monde où repose la dune est libéral et de fait trop vaste pour ne pas nous inquiéter. L'inquiétude n'est donc pas anormale, la méfiance non plus, la précaution encore moins.

Alors d'où vient ce danger permanent que l'on ressent ou vivons dramatique.
Des religions non elles relient les hommes mêmes s'ils s'opposent dessus,  des immigrants non plus, c'est une erreur anthropologique de l'essaimage des humains, des homosexuels non plus,  c'est ignorer l'imperfection de la nature, des patriotes non, c'est etre fier du lieu où l'on nait, l'identité encore moins, elle est même essentielles, c'est la couleur d'une histoire culturelle adaptative à géométrie variable.
Tous ces sujets sont ceux sur lesquels nous nous étripons par inculture, car le savoir pour comprendre si ce n'est partager existe. Pourquoi je devrais le comprendre et pas les autres.

Notre inquiétude vient d'une horde sauvage qui parcours le monde, qui plus que les Uns ravage le sol et le sous sol pour l'entasser en une dune de monnaie aux fins d'une caste  d'hommes immoraux ascociaux qui se cachent derrière la rationalisation comptable et ne regardent les autres que comme un investissement, une ressource et leurs consommations comme un nécessaire collatéral à leurs finalités.
Cela porte un nom qui commence par C.

L'avenir sera d'être remplacer au travail, ce n'est pas du mythe, ni de la divination, déjà des hommes y réfléchissent. Mais pas pour nous faire un avenir radieux, mais pour ne pas perdre le bénéfice qu'ils retirent du capitalisme. Comment ils vont pouvoir continuer à exploiter des hommes.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 13 Mai 2019

Si vous décidez de me lire soyez patient c'est long.

L'on ne peut s'instruire sans lire, mais l'on ne peut 
pas tout lire. Comme toujours la vie nous impose de faire des choix.
Nous pouvons estimer avoir le libre arbitre, c'est une vision ignorante, Souvent j'use du mot ignorant qui est essentiel pour comprendre que ne pas savoir ce que l'on n'a pas appris, n'est pas un handicap, c'est l'essence même de notre aptitude à diriger nos choix. Plus nous aurons d'occurrences plus nous aurons de possibilité de choix.

Il ne faut donc pas se fâcher d'être ignorant, c'est essentiel pour assurer le devenir de l'humain, justement hors de son libre arbitre.

Cette vision du libre arbitre repose sur les évangiles pour relier la perception d'un Dieu Bon et l'existence d'un Satan. Il en ressort que homme dispose de la liberté de choix entre le bien et le mal.
Cette vision éculée et ignorante, de nos sens qui déterminer et écarte ce qui nous nuit, allait fonder la société occidentale et c'est par là colonisation étendu au mode.
Cette erreur de vision qui relève du désir des hommes de se réjouir de l'existence a été sources de massacres et d'abominations en tout genre.

C'est au choix, ou l'ignorance, qui source d'inquiétude, nous conduit à croire en ce qui rassure sans en démordre, ou bien ce qui rassure, que nous élevons en vérité, parce qu'elle exclus l'ignorance par certitide. B b et b B.
On ne peut pas éviter la problématique qui nous conduit toujours d'un côté comme de l'autre aux luttes intra humaines comme aujourd'hui.

Pour se protéger de ces tueries à n'importe quel titre. Jésus a enseigné aux hommes de son temps des préceptes qui sont de l'OR.
Au choix nous pouvons le voir comme un  intellectuelle, philosophique, politique, religieux,  sage,  humanisme, altruiste. Quel que soit notre choix, s'il nous rassure ou nous interroge, ce sont ses enseignes rapportés qui ont structuré l'Occident. Pourtant, ce n'est pas nôtre intelligence qui a fait le choix de leurs applications. C'est un combat sanglant entre les Dieux dont disposaient les hommes pour régler leurs exitences en vérité, et senser solutionner la problématique  de bonnet blanc et blanc bonnet.

Car en ces temps n'était vérité que parole divine.
Nous n'avons pas psychologique changé, nous recherchons toujours un certificateur, un confirmateur, un authentificateur à nos dires.
Un père, un scientifique, un maître car nous ne pouvons pas vivre en pensant nous tromper.

Imaginer donc l'effet d'un Jésus qui vient expliquer qu'il faut savoir pardonner car ne pouvant tout savoir  nous nous tromperons toujours. En plus il explique cela à des Juifs, nous connaissons la suite.

Les hommes habitués à honorer Dieux ont Dietise Jésus, pourquoi pas, il a été inspiré par son histoire juive  et il ne pouvait pas dénoncer les travers du judaïsme au nom de la laïcité. En ces temps nous aurions dit être laïque, ils nous auraient brûler pour se protéger d'une peste.

Ceux qui furent chargés de son enseignement ont du ressusciter sa parole et l'ecrire pour qu'elle demeure à jamais. Mais en ces temps la démocratie n'était pas de mise et en sortant des catacombes pour devenir religions d'États les hommes ont sorti des paroles de l'Évangile du PLOMB.

Les évangiles furent le premier ouvrage d'alchimie. Sauf que les hommes qui l'ont lu on fait avec d l'OR du PLOMB. 
Quand j'écris que l'on se trompe toujours.

Pourtant les hommes pouvait lire dans les évangiles et savaient donc que durant toute leurs existences ils seraient amenés à se tromper de route, le péché. Pour la seule et unique raison qu'ils ne peuvent pas tout apprendre, et face à leur existence ils feraient toujours des choix incomplets. Il est important de comprendre cela, à tous nos choix à toutes nos certitudes il nous manque toujours la partie que l'on ignore.

Il y a plus de 2000 ans que les hommes savent cela mais ne l'ont guère compris

De cela il ne faut pas en retirer le doute, mais l'esprit critique, parce que nous serons amenés à exécuter nos choix. Nous serons obligés de nous tromper.
De son côté la nature retiendra tout ce qui au fils des siècles et non des ans, biologiquement pourra s'intégrer dans l'ADN pour assurer un devenir de l'humain. Et cela n'est pas un choix de nôtre libre arbitre, mais est contenu dans l'histoire des hommes que l'on nous a obligé à apprendre.
De cette histoire nous avons sélectionné ce qui libérait les hommes de la VÉRITÉ absolue pour, nous explorer, et l'univers en même temps.

Dépasser la VÉRITÉ allait coûter du PLOMB Au hommes.

Nous pouvions penser que nous allions en faire de l'OR et bien non, nous avons fabriqué notre prochain Noé. 
Les armes de destruction massive capables d'anéantir le vivant comme la fait le déluge. Une métaphore sur la survenance d'un événement important sinon il ne serait pas resté dans la mémoire des hommes.

Il ne nous reste qu'à construire une ARCHE, mais pas en papier monnaie qui ne tient pas l'eau et encore moins les irradiations..
Nous pouvons comprendre qu'ayant servi à construire ces armes elle ne va pas nous en protéger.
Bush père et Gorbatchev avait entrepris l'ARCHE de leurd destructions, il nous reste à continuer ou à  reprendre sa construction que nous avons abandonné.
Je veux dire par là que ce qui a transformé l'OR en PLOMB n'est pas le libéralisme, l'abolition de la VÉRITÉ, ni de croire ou non en Jésus, en Lénine, Mao ou Allah, mais d'avoir conservé une organisation de la vie construite sur l'asservissement des autres qui s'appelle le CAPITALISME.

Le comble en est que beaucoup, qui a raison ou tors  rejetent la religion parce qu'ils sont ignorants, comme beaucoup qui y croient ; Croient aussi hystériquement dans le Capitalisme que quelques fondamentalistes Religieux.

Il faut expliquer : 
Que l'on peut faire plus et mieux sans l'exploitation d'hommes, par d'autres.
Que l'on peut requérir leurs forces de travail, leurs compétences, leurs savoir faire, sans les exploiter.
Que par l'intelligence ils peuvent tous comprendre, que leur devenir est dans la conquête de l'ignorance seulement si l'environnement qu'ils modifient, l'environnement sur lequel ils interfent le leur IMPOSE.
L'on ne découvre pas pour l'art de la découverte, comme l'on ne va pas dans l'espace pour se promener même si certains si adonnent.

L'on peut donc les mobiliser pour nous construire une ARCHE dans le doute, par un esprit critique de l'usage de tout ce que nous pouvons SAVOIR.

Ceci est en marche lentement toujours en bute au Capitalisme qui freine des deux pieds attaché à sa CROYANCE,  dans une Évangile mortifère, qui est : la rationalisation comptable du temps est de l'argent que l'on obtient en employant les ressources humaines. C'est l'amour possessif des autres.   

Il n'est pas inutile de s'instruire, même si nous disposons pas du libre arbitre. Nous aurons réduit chaque fois nos erreurs, et si la nature trouve que nous nous trompons trop, que l'existence érigé par nos savoirs n'est pas viable pour l'humain, nous muterons sur des millénaires, si nos erreurs se trouvent une place pour s'inscrire dans l'ADN, ou si nous allons trop vite pour inscrire de nouvelles lettres dans l'ADN.

La croyance qui nous guidera sera déterminante. 

Soit Jésus (modernisé) et Bouddha par exemple,

soit  l'Évangile suivant Adam Smith, Ricardo, Hayek, l'Évangile de l'école de Chicago etc.tout ceux qui ont développé le le capitalisme au nom du marché.

Seul le créateur ou la création ou le big bang dispose du tout. Nous sommes seulement un élément, un Toutun car nous sommes rattachés au tout et nous le pervevons. 
Sans cette perception, sans cette liaison au tout que serions nous ???
Tous les juifs qui écoutaient cet homme venu détruire des codes du judaïsme , qui était il ???
 Les humains par tradition, usage en ont rapporté qu'il était le fils de Dieu. Est ce cela le plus important ?
 Certainement pour l'époque faite de superstitions et de divinations, certainement pour convaincre d'écouter ses paroles, car il n'écrivait rien.
Il s'adressait à des gens qui ne savaient pas lire. Il adressait à des analphabètes.

Certainement pour des gens habitués à dépendre de leurs cultures ancestrales faites de soumissions à ceux qui par naissances faisaient parties des initiés.
Nous allons lire que nous sommes loin d'avoir accompli tous les enseignements qu'a partagé un initiés avec les gens humbles.

C'était un homme qui s'était instruit avait lu les enseignements de ceux qui l'avaient précédé.
Pour ceux qui ont lu la Bible dans l'ancien testament, qui est l'histoire des juifs, de nombreux prophètes dénoncent les errements, les égarements des juifs, tel Isaïe, Jérémie, Ézéchiel Zacharie. Dans ou à leurs lectures se dessine l'avènement, d'un homme, qui conservant les enseignements fondamentaux de MOÏSE va les adapter à l'évolution du monde depuis ce dernier.

Il n'a donc rien inventé, il a retiré de ses enseignements la compréhension, sa compréhension des progrès qu'il fallait accomplir pour évoluer dans un monde qui bougeait. Sortir sa religion de l'immobilisme qui la sclérosait.
L'histoire nous apprend que cet immobilisme n'est qu'un travers des hommes qui ne lâchent jamais le pouvoir qu'ils détiennent. Ce fut le cas du Catholicisme qui du supporter la réforme et le christianisme lui-même du se séparer de l'État.

Ainsi les choix politiques qu'a fait Jésus que d'aucuns accordent à Dieu, ne sont pas ceux du libre arbitre, mais ceux, d'Isaïe, de Jérémie, d'Ézéchiel et de tant d'autres qui certainement lui aurons fait partager leurs savoirs de ce qu'il avaient compris de la vie.
Tout cela dans son esprit, dans son intelligence, dans ce que lui espérait d'un monde avec ce qu'il en ignorait a laissé des concepts que nous ne pouvons toujours pas suivre.
Aimer l'autre, pardonner, accepter de se tromper, partager, reconnaître ses tors, chercher la bonne parole en écoutant sa relation à la création.

Comment mettre en application cela quand l'on organise l'exploitation de l'homme par l'homme.
C'est peut-être ce que n'a pas su dire clairement Jésus. Abat le capitalisme qui garde l'or pour lui et laisse le plomb à ceux qu'il exploite.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 11 Mai 2019

Il ne peut pas y avoir de démocratie sans liberté des individus. Toute fois la liberté des individus consiste, non à être libre, car nous sommes soumis au regard discriminant sesautres dont nous attendons une reconnaissance, mais à disposer de la liberté d'expression pour dire en son nom, ce à quoi l'on ne veut pas être soumis.

L'individualisme n'est pas une liberté, c'est seulement un biais pour justifier le moyen d'exiger, pour son seul intérêt, le bénéfice que l'on retire de l'aide que nous ont fourni les autres, sans rien leurs retourner en conscience.
 1/ Eux qui nous nomment pour exister.
 2/ Eux qui nous reconnaissent comme singulier et unique.
 Ne rien leur retourner en conscience, c'est vivre dans la négation, dans le dénie permanent de la collectivité humaine dans laquelle l'animalité de l'Homo c'est ordonné, régulé, réglementé pour produire et repartir ses besoins. (Des siècles).

Seule la rareté primaire a fait de nous des animaux capables de définir les Droits de l'Homme qu'ils sont devenus

Pourtant nous devons rester vigilant, chaque nouveau né est un nouvel homme en devenir qui va réclamer de vivre en son temps et non dans le passé des autres.

Ne pas tenir compte de cela peut réveiller le vieil homme qui sommeille en nous.
Quand il s'éveille il a alors les moyens de son auto destruction car il ne peut plus comprendre la collectivité dans laquelle il vie.

L'individualisme conduit à demeurer un ignorant permanent, c'est une sangsue qui se gorge du sang de l'animal qui la porte, en l'occurrence la collectivité. Il vaut mieux y substituer l'individuation qui est la conscience de l'être accomplie que l'on est devenue qui aura toujours les moyens de se repositionner dans la collectivité.
Si la révolution à donné la liberté de ne pas se soumettre, l'obligation de s'entre-aider pour produire nous contraint à définir les formes d'associations qui nous conviennent.

C'est ainsi que le besoin de répartition de la rareté nous à emmené jusqu'à la démocratie pour décider à quoi l'on ne veut pas être soumis, en désignant et votant ce à quoi l'on se soumet par nécessité afin de rester un humain.

Ainsi si la société libérale à donné toute sa place à l'individu, ce n'est pas qu'il existait pas, qu'il, n'était pas nommée ni reconnu, mais il n'avait seulement pas le droit de dire. le droit du choix.

J'ai essayé de montré que l'individualisme n'est que le cueilleur. Celui qui ne contruira jamais une société, une collectivité
Si en démocratie il a le droit de choisir son existence, il cherchera à ce libérer de cette qu'il doit en retour aux autres. Il cherchera à ce que tous les autres oeuvrent pour lui et chacun d'eux désirera la même chose

Nous voyons l'impasse où cela conduit. Comme nous ne sommes plus des cueilleurs. Ou nous périrons ou nous soumettrons les autres à notre service par la force du tyran.

La démocratie porte donc sur les choix que l'on veux faire pour s'associer avec les autres.
Cela signifie qu'il faut leurs faires une place dans leurs positions la plus minoritaire. 
Mais cela sur un fondement celui de l'épanouissement de la personne qui ne peut en avoir conscience que dans le partage avec les autres pour définir à tors ou raison ce qui a un moment leurs est acceptables.

Quel autre moyen y a t'il en dehors du vote non obligatoire, car l'on doit avoir la liberté de ne pas si soumettre.
C'est au travers de la liberté d'associations de groupements corporatistes, de classes, d'idées, de philosophie, de religions, et non de celles ludiques, que se mesurera la solidité démocratique.
Leurs nombres d'adhésions indiqueront l'investissement et la conscience collectives citoyennes, l'inverse sera un indicateur de dépendance, de la formation de graine "d'esclaves".

La pérennité d'associations caritatives démontrerons l'insuffisance de la prise en compte des minorités de quelles nature qu'il s'agisse.

Elles sont un indicateur essentiels pour comprendre l'ajustement qui doit se faire, entre la capacité d'initiatives individuelles issus du pouvoir d'entreprendre donné par la reconnaissance des autres, et l'analyse de leur nécessité d'être pérennisée par un besoin collectif.

Ce n'est pas la démocratie qui garantie la liberté individuelle,elle peut voter pour son aliénation

Ce n'est donc pas non plus le vote qui est le garant de la démocratie. 
Mais bien l'implication des Citoyens dans les lieux fait pour qu'ils s'expriment et décident des choix qu'ils soumettrons au voix ou bien du choix d'un citoyen qui dispose de la libéré de mettre aux voix sa vision personnelle et être candidat, et de disposer des moyens financiers pour y parvenir.

Aujourd'hui ou la fascisation rampente s'étend, la Hongrie est l'exemple type que démocratiquement l'on peut voter pour son suicide. Condorcet ne me contredire pas. 
La démocratie ne remplacera jamais la nécessité des hommes de devoir payer par l'engagement personnel leurs désirs de ne pas se soumettre à ce qu'ils ne désirent pas.
En Hongrie, le pouvoir y réduit les chances de l'opposition de le prendre.
Pratique un népotisme, les cours de justice sont contrôlés, l'information passe entre les mains d'amis, il contrôle la commission électorale, il est quasiment impossible de renvoyer le 1e ministre.
Ce pouvoir fait ce que reprochent les fascistes au pouvoir français de faire.

L'observation d'États dit populistes, comme la Turquie montre au bout de quelques années qu'ils deviennent indeboulonnable, autocratique malgré qu'ils s'y pratiquent des élections démocratiques.
Ils truquent les élections et mettent leurs opposants en prison.
Dans quelques années c'est ce qui attend les italiens, et notre pays si nous portons des partis fascistes au pouvoir. Toutes ressemblances avec notre pays n'est pas bien venus.

Le seul recours efficace est d'estimer que l'on peut défaire par les mêmes moyens ce que l'on a fait.

C'est le référendum de destitution. Il ne sera pas plus juste, mais sera une garantie aléatoire qui contraindra à instruire les Citoyens en science politique et autre.

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P.-S.
 
 
 
 
 
 

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Publié le 10 Mai 2019

Les élections européennes qui aurait dû être le scrutin d'une apothéose, tourne en eau de boudin fasciste.

C'est une honte pour tous ceux qui n'ont pas su unir les peuples d'Europe par une Europe sociale.

Ce ne sont pourtant pas les propositions de la Confédérations Européen des syndicats qui ont manqué pour négocier des conventions collectives européennes, un salaire minimum Européen, une couverture sociale Européennes . Rien n'y a fait les états s'y sont opposés dont nos gouvernants.

Tous ceux qui depuis trente ans nous demandent de voter pour eux et que nous élisons en alternance.

Tous ceux qui nous expliquent que la richesse de ceux qui retirent leur capital de l'ignorance proche de zero en économie des peuples d'Europe rebondira sur les Citoyens.

Trente ans que ces citoyens ont la gueule ouverte tournée vers le ciel à attendre qu'il pleuve de la monnaie.
Il leur faudrait un Moïse avec son bâton magique pour faire surgir de la monnaie de la roche plutôt que de l'eau. Sauf que les miracles de MOÏSE sont  des métaphores qu'il faut interpréter.

La révolutionnaire avait été ce bâton qui avait donné la monnaie au peuple. Les Citoyens croyaient qu'en la refilant à des spécialistes, des gestionnaires, des élites de la BCE, que les riches leurs prêteraient leurs capitaux  à l'œil.

Leurs désenchantement et grands. C'est la faute des élites, parce-que les Pygmées qui sont petits et noirs sont venus de nuit sans qu'on les voit voter pour eux. Voter pour les accords de Maastricht et de Lisbonne. À ils n'ont pas été contents en 2005, mais ces putains de Pygmées sont revenus voter pour les mêmes. Aussi haro à l'immigration, c'est de leurs fautes, ils viennent nous sucer les Restes que nous jette le capital. Ces Pygmées ils repartent les avec des dents neuves et nous l'on reste sans. .

Il faut dresser des murs mettre des barbelés aux frontières, sélectionner les gens honnêtes, tandis que les malfrats, ni les murs, ni les barbelés, ni la douane ni la police n'a pu les empêcher de passer.

Mais on s'en fout, nous on ne veut plus de Pygmées, parce que l'on est racistes, et qu'il est interdit de le dire. Nous on s'en fout du patriotisme et des droits de l'homme, on est Identitaire et Nationaliste.
On préfère crever entre nous que vivre avec les autres. On préfère étouffer dans nos frontières, creuver sous nos haines, au moins l'on sait de quoi l'on meurt.

Messieurs les socio démocrates, du PS, de UMP/LR, du MoDem et tous ceux qui ont apporté leurs concours à ces partis pour gouverner, 
Vous êtes responsables de la monté de valeurs fascisantes dans notre pays et en Europe.
Vous avez même pas la décence de l'appeler par son nom, le fascisme ce est pas le populisme.

À ne pas vouloir regarder cette réalité vous allez en creuver, et j'espère que vous en souffrirez.

Les Le pen ou le FN/RN et autres fascisants ne sont en rien responsables. C'est vous qui croyiez que l'on pouvait rendre le Capitalisme Social sans qu'il ait un opposant crédible et de poids.

Si justement. Vous avez viré le communisme, vous avez dans le même temps détruit le contre poids nécessaire à toutes sociétés pour ne pas subir la loi du plus fort. 
C'est à eux que vous avez tracé une voie royale. C'est les Citoyens que vous avez trompé en leurs faisant croire qu'il n'y avait pas de classe sociale. C'est vous qui avez nourrit les ghettos.
C'est vous qui avez pratiqué l'ostracisme social.
C'est vous qui avez nourrit la haine du public.
C'est vous qui n'avaient pas su faire aimer la Mondialisation (trop long à expliquer).

Enfin c'est vous qui avez fait détester l'Europe.
S'il n'y a aucun doute que les visions altruistes des américains sont de la légende, l'on ne peut soupçonner De Gaule de ne pas avoir rêvé d'une Europe des peuples et de considérer du fait des inimitiés de la guerre qu'il fallait commencer par une union d'intérêt commun économique.

Certainement que cela devait être un engagement démesuré pour les peuples.
La première fois dans l'histoire humaine qu'un état Européen pouvait naître dans la PAIX.
Sauf que ses successeurs avaient compris PAIE.
Et depuis ils ont enlevé le pouvoir monétaire aux peuples pour qu'ils ne se paient pas directement.

En conséquence de quoi ils vendent leurs actifs pour rembourser les capitaux que leurs prêtent les riches.

Soyons clair je suis anti Capitaliste et anti fasciste car je suis un liberal et je m'oppose à tout ce qui peut nous empêcher de dire au nom de la liberté ce à quoi l'on ne veut pas être soumis.

Ceci précisé les Citoyens qui étaient attachés à la république ont mis beaucoup de temps avant de franchir le pas, avant de se décomplexé comme l'on dit.
Tout ces socio démocrates que j'ai cité auront réussi deux choses 1/ à dégouter les Citoyens de prendre leurs places dans le monde au commande de grands États-Unis d'Europe pour discuter à égalité avec d'autres puissances.
2/ de détruire la confiance dans la democratie représentatives.
Ce sont eux qui sont responsables de la monté du fascisme et non ceux qui l'étaient déjà.
Et pourtant ils étaient instruits, ils étaient notre élite et savaient que le Capitalisme y conduisait.

La seule chose dont j'ai peur c'est que les Pygmées reviennent.

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Rédigé par ddacoudre

Publié dans #critique

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Publié le 9 Mai 2019

 La liberté d'expression se restreint comme peau de chagrin.
 Quand quelques citoyens sont descendus dans la rue pour soutenir Charlie, c'était l'engouement presque une redirection, voire une résurrection, le droit de blasphémer. Nous allions retrouver des Colluches,des Martins, des Desproges tous ces irrévérencieux qui aimaient les hommes avant tout, fier de l'esprit critique. Occultistes de leur temps ils en ôtaient  toutes les pailles à l'eau bénite de notre dame de l'humour. Où est Pierre Pechin qui disait que les Français lève les bras et les arabes fouillaient dans leurs poches.
C'était sa manière à lui de dénoncer avec humour les contrôles au faciès, la xénophobie. 
 Aujourd'hui l'on ne peut plus dire que les oiseaux font cui cui en passant au dessus d'un four, qu'à Marseille les melons se ramassent sur les échafaudages, que les Français aiment les coqs parce qu'ils ont les pieds dans la merde, et j'en passe, nous en avions et il y en avait pour tous, sans que quiconque ne se fâche.

 Qu'est ce donc qui est venu pourri cet humour pour en faire des sources ou des signes de reconnaissances d'ostracismes. 
 On ne les racontent plus pour se moquer être irrévérencieux, mais pour blesser avilir ceux que l'on moque.
Thierry le Luron croulerait sous les procès pour injure à la fonction présidentielle. Heureusement qu'il est décédé avant la nomination de Sarkozy au ministère de l'intérieur. 
Mais Dieudonné n'y a pas coupé avec Valls.  Engagé politique il passe de la gauche à l'extrême droite et s'il de positionne anti système et antisioniste (anti creation de l'État israélien) sont humour sert de défouloir aux antisémites et autres omophobes, arabophones.
Il représente un glissement que n'avait pas fait Guy Bedos qui était connu pour son engagement à gauche sans pour autant y sacrifier sa profession.

Dieudonné à fait un autre choix, il en est libre il est libre de de moquer, d'être irrévérencieux
 Mais il se doit de respecter l'intégrité de ceux qu'ils moquent et non d'être par son métier un appel à l'ostracisme. Je n'émet aucun jugement car je ne dispose pas des moyens de le faire au fond, si ce n'est de dire que la liberté d'expression n'est pas  l'art d'insulter les autres, ni celui d'appelait au meurtre.
 Par contre la satire à pour objet de dire tout ce qui fait bouillir la cocotte pour pas qu'elle explose,
 Comme le carnaval était le seul moment dans l'année où l'on pouvait moquer ou bruler les puissants et les Rois.
 Aujourd'hui ce sont des festivités commerciales.
 Les Meupet show, les Guignols ont quitté les écrans de télé. Rire est devenu du luxe. Un puritanisme crade de la bien "pensance" c'est installé et dans le même temps le net drainer toutes les haines que l'on ne veut pas voir.
 
 Notre école de l'égalité de chance c'est courbé devant la comptabilisation, trop cher de s'instruire our faire de citoyens éclairés et honnêtes, il faut des outils productifs.
 Là où la complexité du monde demanderai de prendre le temps d'instruire par de petits groupes l'on amasse à trente par classe, tampis pour ceux qui ne peuvent pas suivre, l'écrémage fait partie de la sélection capitaliste rien à foutre de l'égalité républicaine.
Rien à foutre de l'esprit critique, l'important est de savoir cracher sur les autres et dans le même temps fier de son molard, se faire en- - - er par ceux que l'on a cru salir par ce que l'on est trop sots pour voir comment ils nous le mettent.

On ne fait pas de la politique avec des calabours, avec des histoires, en étant irrévérencieux, avec de la satire, avec le carnaval, faut leur laisser la place qui est la leur, relativiser l'existence en se moquent de tout. 
Reste à ceux qui se sente blessé de le dire par les mêmes moyens des mots. 

Les moyens de communication moderne libère la parole et en même temps la pensée biaisé de chacun de nous. Ce qui ne se voyait pas s'affiche sur le net.

Curieusement au lieu de constater les résultats de notre éducation nous ne pensons qu'à sevir et limiter le droit d'expression.

Cela va devenir critique. 30 ans de politique social démocrate guidé par les financiers ont libéré et décomplexé extrême droite et a donné aux valeurs fascisantes pignon sur rue.

Est que tous les Sarkosy, les Valls comprendront qu'on ne lutte pas contre l'ostracisme, la xénophobie, le racisme, l'arabophobie etc par des interdits, mais par une éducation et une instruction par un nombre d'élèves par classe convenant à enseignement et non à la comptabilité.
Que l'on ne lutte pas contre l'économie souterraine par le chômage moins indemnisé pour faire baisser les charges des entreprise qu'elles ne paient pas et qui leur servent de prétextes pour grossir leur capital.
Il y a du travail à en manquer de main d'oeuvre. Nous n'apprendrons pas cela dans les show de Dieudonné ou d'un autre, ni dans des tweets sur le net encore moins en crachant sur les autres ou en interdisant la parole.

À vouloir des employeurs pour gèrer le pays nous en aurons leur dictature.

 

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Rédigé par ddacoudre

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