Publié le 13 Septembre 2019

C'est qui L'OPINION publique ?

Une société qui glisse lamentablement vers la police de la moralité.

Qui tire les ficelles  

1° partie la justice.

Pas la justice dans laquelle il faut savoir distinguer les juges assis, ceux qui seront emmenés à juger dans le cadre du droit strict sur l'ensemble d'un dossier dont le juge de l'instruction aura assemblé des éléments à charges et à décharges.

Nous sommes pollué par tous les feuilletons judiciaires américains qui ont envahi la télé, trop de citoyens en ont oublié  que chez nous existe la PRÉSOMPTION D'INNOCENCE, le BÉNÉFICE du DOUTE, et que la CHARGE de la PREUVE incombe à l'accusation.

Le juge de l'instruction à pour fonction d'instruire dans la recherche de la vérité.

Avoir une vision réelle de ce qu'est la VÉRITÉ.

Seul ceux qui sont les protagonistes, ceux qui ont VÉCU les faits connaissent la VÉRITÉ, EUX SEULS et PERSONNE d'autres.


Les autres devront se contenter de ceux qu'on leur RACONTE, et seulement de CELA.
Ce ne sera en rien la VÉRITÉ, car elle aura déjà disparue du RÉEL dans l'instant suivant.
L'écoulement du temps l'aura effacé pour laisser la place à sa suite.
Il ne s'agit pas par là de relativisation, mais bien de la Réalité de notre VÉCU QUOTIDIEN.

NOUS ne vivons que dans la conscience de notre PASSÉ.
Nos émotions le maintienne présent comme si cela existait toujours, au point de causer des traumatismes psycho somatiques.

Pour prendre une analogie, l'événement qui ce produit c'est comme un ÉCLAIR, et nous, nous allons APPRÉCIER et JUGER du BRUIT qu'il a produit.
Parce que c'est cela qui aura le plus de RAISONNANCE émotionnelle.

L'on ne peut pas demander aux acteurs d'un événement d'avoir conscience de cela.
Ils ne le peuvent pas, car ils sont engagés émotionnellement au-delà de la RAISON.

C est une analyse intellectuelle scientifique ment mesurable que nous devrions connaitre, savoir, apprendre, pour ne pas nous laisser instrumentalisé par les FAISEURS D'OPINIONS. 
Ceux qui jouent avec nos émotions pour du fric ou le pouvoir.

Toutes AUTRES descriptions des FAITS constituant les évènements survenus pourront être établies, comme RÉELS, car c'est eux qui seront observés objectivements.
Et s'il y a lieu de parler de vérité elle S'ARRÊTE LÀ.  
Tout le reste sera que élaboration du déroulement d'un événement qui N'EXISTE PLUS que dans nos SOUVENIRS.

Les événements seront alors entachés d'erreurs inévitables de perceptions, encore plus s'ils sont appréciés tout au long des délais de prescription.
Plus le délaie sera long, plus il faudra ne s'en tenir qu'aux faits réfutables.
Ainsi les risques d'injustices et de dépréciations croissent avec le temps qui s'écoule. 
C'est inévitable, seule la preuve indubitable ne se dissous pas dans le temps.

TOUTES NOS APPRÉCIATIONS, OUI !

Personne ne peut échapper à cela. 
En conséquence de quoi toutes les émissions de télévisions criminelles sont des reconstitutions, des PIÈCES DE THÉÂTRE de la vie.
Ont elles un effet psychologique sur nous, OUI ! 
Toutes nous renvoient à nous même et modifient notre perception de la vie ,car tout ce que nous recueillons comme informations restent mémorisées.

L'on peut dire et déjà redire que la JUSTICE ne peut pas être JUSTE.
La justice n'a qu'à juger des transgressions aux lois votées par les citoyens.
Et les lois des citoyens n'ont rien de JUSTE ou d'ÉQUITABLE, elles sont POLITIQUES et répartissent la RARETÉ.

Elles exigent d'être apprécier pour ce qu'elles sont et les intérêts qu'elles poursuivent.

Ce que nous prenons pour de la justice est l'espace APPRÉCIATIONS des juges pour fixer un quantum, des dommages et intérêts une relaxe.
Cette partie de la fonction des juges est la  doctrine, la quintessence de la JURISPRUDENCE.

Jusque là il n'y a pas lieu d'incriminer la justice D'INSTRUMENTATION au-delà de ce que le citoyen magistrat assis peut entendre comme informations de l'opinion publique en tant qu' humain vivant dans le réel.

Nous savons au moins que la VÉRITÉ n'existe qu'un instant T que nous sommes incapables de la cerner autrement que filmée au ralenti avec la réserve de la perspective.

Par contre le mensonge existe bel et bien. C'est quand l'on cache ce que l'on devrait dire.

Alors qu'elle MARGE s'offre dans la justice à l'influence du cours de celle ci pour des intérêts politiques.

Le premier personnage.

Et  bien nous allons retrouver le juge d'instruction.

La deuxième partie de sa mission où il dispose d'un pouvoir inquisitorial arbitraire.
Sont jugement sera essentiel pour orienter l'affaire, incarcérer, rejeter des auditions, retenir ou non tout document, organiser des perquisitions ou reconstitutions. 

Il ne s'agit pas pour moi de jeter le discrédit sur cette mission, mais de signaler le maillon perméable, en dehors de toutes AUTRES malveillances extérieures à lui.
Toutes ses décisions sont motivées et susceptible d'appel.

Nous voyons qu'il y a là, de la place pour exercer une pression politique.
L'intégrité de ces juges est primordiale, ce qui ne les met pas à l'habrit d'erreurs.

Le deuxième personnage.

Le deuxième personnage ,c'est le procureur.  

Il y a le procureur général qui représente les citoyens, ou comme l'on dit le ministère public, la société.

Ensuite le Procureur de la république qui lui veille à l'application des lois.
Il peut être saisi pour tout événement juger comme une transgression à la loi et intervenir directement dans le cas d'une infraction dont il a connaissance.

Il apprécie si le dossier de plainte comporte des éléments solides justifiants une poursuite sinon il rend un non lieu.

C'est lui le maillot faible perméable.
Puisque c'est son jugement qui va être déterminants.

Il est important de comprendre ce qui suit
Tout un chacun peut déposer une plainte.

Mais il est tenu de fournir des éléments qui puissent justifier d'une poursuite.
Le procureur de la république poursuivra ou non à la vue des éléments qui lui sont soumis ou classera sans suite.
Dans ce cas un recours existe auprès du procureur général ou du doyen des juges d'instruction.

À aucun moment le procureur de la République n'a à rechercher des éléments de preuves étayant la plainte qui lui a été soumise ou les éléments de preuves constituant l'infraction qu'il a relevé,
Il désigne l'instruction.
Une audition des personnes est effectuée librement en connaissance de ses droits, et sera communiqué au procureur pour étayer sa décision.

Comme pour le juge de l'instruction c'est la porte d'entrée, les éléments constitutifs d'une poursuite laisse à la seule appréciations du procureur de la république.
Contrairement au juge d'instruction qui est désigné par le président du tribunal, le Procureur est sous l'autorité du ministère public.

L'image d'Épinal.

Nous pouvons comprendre la grande erreur des citoyens encore englués dans l'image d'Épinal imbécile d'une justice qui serait au dessus de la république. 
Comme une justice Divine, une DIVINITÉ de la république.

Faire confiance aux citoyens qui s'engagent dans la magistrature et essentiel.
Même si nous savons que ce seront les mêmes qui siégeront si nous passions sous une dictature.

Ils apportent leurs concours à solutionner les conflits qui opposent les citoyens dans l'espérance d'un jugement équitable sur les bases des lois qu'ils ont eux même votés est une chose.
Croire qu'elle serait divine est stupidité.

Ce sont les citoyens qui l'on FAITE, ce sont eux qui peuvent la DÉFAIRE..

La justice n'est en RIEN au dessus des citoyens. 
Mais ils se doivent de la RESPECTER parce que c'est eux qui l'on élaboré. 
C'est eux qui forment les magistrats, c'est eux qui les rémunèrent.

En contre partie, les magistrats n'ont à avoir aucune condescendance envers ceux qu'ils sont amenés à juger, car c'est eux qui comme citoyens les ont installé et rémunéré.

Les citoyens doivent comprendre qu'ils ont créé un ministère de la justice parce qu'eux mêmes, pris par leurs émotions sont incapables d'avoir un jugement éclairé qui ne soit autre chose que de la VENGEANCE.

Ce fut long à dérouler mais je ne pouvais m'éviter de dérouler son fonctionnement, afin d'écrire que notre justice dérivent vers la VENGEANCE et les règlements POLITIQUES.

De plus en plus les justiciables demandent que les peines et les indemnisations compensent la hauteur de leurs souffrances.

Or la justice ne peut rendre un jugement en fonction des émotions manifestées, car elles n'ont plus aucun lien de réalité avec l'événement qui n'existe plus.

Au moment du jugement l'émotion est reconstitué avec toutes celles qui s'y sont greffés dessus depuis l'événement.
Enfin le plus important ce sont nos émotions qui réclament VENGEANCE.
Et c'est pour ne PLUS y donner cours que c'est institué la justice publique.

La justice n'est pas faite pour être au     DESSUS des citoyens, mais pour résorber la VENGEANCE humaine.
Arrêter un processus mortifère irrationel.

C'est en cela qu'il faut supprimer les jurés d'Assise, la justice au nom du peuple ne peut pas être une loterie, mais une égalité de traitement.
J'ai essayé de faire un exercice de clairvoyance pour sortir de tous les préjugés qui s'y attachent et que nous véhicules la télé, la presse, et le,net. 

Il n'est pas acceptable pour une société que la justice redevienne le règlement de compte intra partis ou l'instrument des puissants.

Notre justice est une justice POLITIQUE.
Elle ne juges pas en sont âme et consciences, mais dans le cadre des lois votées par les citoyens par délégation législative.
Celles ci pour légiférer prend en compte ou non l'émotion des citoyens.
Et je l'ai écrit l'émotion des citoyens, si elle est naturelle n'est pas justice, elle n'est pas rationnelle, elle est VENGEANCE.

Elle ne fait pas la part des choses, elle est révolte, elle est subjective, elle est passion.o

En aucun moment là VENGEANCE si elle est acceptable comme émotion ne peut pas conduire à l'élaboration d'une doctrine, d'un esprit des lois, d'une quintessence de jurisprudence.

2° partie l'opinion. .

Or comment se crée L'OPINION dites publique. 
Lorsque des acteurs politiques portent à la connaissance des citoyens, ce qu'ils entendent faire prévaloir comme idée ou point de vue sur un évènement sur la société le monde.
La même chose en ce qui concerne les médias
 Ils chassent l'événement pour vendre une information. Idem pour les radios, les JT.
Si possible la plus proche des citoyens pour qu'ils se sentent concernés.

Sur des MILLIARDS d'événements un TRIE SELECTIf.
Depuis des années il n'a échappés à personne que ce trie se porte sur les évènements dramatiques, sécuritaires, "corruptifs" des élites dans une perpétuelle surenchère.
 Et en aucune manière c'est le citoyen qui le fait,il digère ce qu'on lui donne, comme un ANIMAL de ZOO.
Ce sont les rédactions en fonction de la ligne éditorialiste de l'organe diffuseur.

En fait ce ne sont finalement que QUELQUES HOMMES qui décident des évènements qu'ils vont rapporter dans leurs organes d'informations.
Les organes de diffusion sur leurs propres choix feront des lignes ouvertes, des débats, des radios trottoirs. 

En fait feront rebondir l'événement dans la sphère médiatique. Comme un romancier choisit un mot pour faire rebondir son histoire.
Ils capteront toutes les réflexions car chacun se sentira obligé d'avoir une opinion même il n'en pense rien.
Car l'événement choisit circule à longueur de journée dans tous les médias.
Un lavage de cerveau. Souvenons nous quand à l'école pour retenir un mot ont le copier 100 fois.

Ensuite ce seront les instituts de sondages qui recueilleront ce qu'en pensent les CITOYENS, pour décider qu'il s'agit là de l'opinion publique sur la base de l'interrogation d'un échantillon de quelques milliers de personnes.
Le tour et joué l'opinion publique est installé.

L'opinion publique n'a pas de réalité scientifique mesurable.
L'opinion des citoyens se fait sur une désinformation permanente qui tourne en rond dans tous les médias. 
Bon gré malgré elle enferme l'opinion de chaque citoyens, guide l'opinion des citoyens vers desévénements qu'ils ont pas choisi, mais qui investiront leur pensée.

Durant tout le quinquennat de Sarkozy le pouvoir à utilisé la méthode pour faire voter des lois de plus en plus répressives et liberticide.
Au bout de 100 fois la loi était acquise et malheur à qui s'y serait opposé.
Un évènement sélectionner, gonflé par l'effet loupe médiatique et déroulé un certain temps.

Ensuite mesuré par les sondeurs comme étant l'opinion publique des citoyens.

En fait quand l'on analyse qui fait l'opinion l'on se rend compte que ce sont tout les commentateurs, les acteurs politiques, et surtout les politologues ou spécialistes de ceux ci ou cela qui commentent sans relâche au jour le jour les variations, qui ne sont en fait que manipulation des citoyens.

Ce ne sont plus les citoyens qui font de la politique, mais ceux qui sont chargés d'en informer le peuple.

Il y a une raison à cela.

Les citoyens en désertant les partis les syndicats, les associations tous les lieux où ils pouvaient débattre de leurs opinions, de leurs divisions politiques ont laissé la place libre.
Le débat est devenu un ramassis de coups tordus à qui mieux mieux peut saisir la justice pour dénoncer les casseroles des uns et des autres.
Repris par tous c'est FAISEURS d'opinions qui construisent du théâtre émotionnel fait de supputations, de conditionnel qui deviennent vérité par la rumeur des animosités que les sondeurs transforment en OPINION PUBLIQUE.

On peut dire clairement que l'opinion publique est de la "merde".
Ce n'est pas l'opinion des citoyens, les Gilets jaunes et l'abstention en ont fait la démonstration.

Au terme de ces années de désinformation, nous avons la présomption d'innocence qui est devenue PRESOMPTION de CULPABILITÉ , et les mis en cause prié de venir s'expliquer devant l'opinion publique.
Les nouveaux jurés sont les FAISEURS D'OPINIONS.

Et si la justice officielle ne rend pas un jugement conforme à la rumeur publique, ou à l'opinion publique elle est accusé de complaisance.
Pire les hommes au pouvoir nous l'avons vu avec Sarkozy l, Hollande et tout dernièrement Macron votent des lois conforme à l'opinion publique qui n'est pas celles des citoyens, mais de Palov.
Ce processus de manipulation constante des citoyens n'est pas sans conséquence. Nous les avons vu se défier des élites. Réclamer transparence inquisitoriale digne des dictatures.
Mettre tout le monde en garde à vue comme sous Franco et le régime des colonels en Grèce que nous accusions d'être des dictatures. L
Maintenant nous faisons la même chose, et les FAISEURS D'OPINIONS expliquent que c'est la démocratie. 
Tellement la dite opinion a attesté que l'insécurité c'est accrue, qu'une fois copié 100 fois, elle ne regarde même plus quand le taux de criminalité diminue.

Également échappe au regard des citoyens par l'égarement émotionnel qu'ils 0moréintroduisent le désir de VENGEANCE.

Le plus PERNITIEUX sont ces droits que s'octroie l'opinion de JUGER en place PUBLIQUE sans aucune GARANTIE d'IMPARTIALITÉ , reprenant sans aucun recul ni moyen de vérification ce qui se raconte dans les médias,  se fabriquant des peurs qui n'existent que dans l'excitation de leur mécanisme empirique de protection innée.

Cette opinion publique qui n'existe pas réintroduit des pratiques moyenâgeuses en brûlant en place publique  des citoyens sur des BÛCHERS alimentés de FAGOTS de MOTS.
Aux seuls mots de Viol, Pédophile, Violence, aux femmes, Racisme, Mis en exmen, Immigration, Politiciens, Élites L'OPINION publique se lève comme un seul homme dans toutes les rédactions, agite ses citoyens choisis pour la cause, et le peuple comme des moutons bêle dans les chaumières.


Avec des mots faits de rumeurs de racontars de grossièretés qu'ils déversent sur eux et les clouent au PILORI s'il n'ont pas péri au bûcher.

C'est une véritable honte pour un pays qui s'enorgueillit d'avoir été la lumière du monde.
Et je ne vois aucune espérance poindre quelque part. 
Ce n'est pas les élèves qui ont besoin d'être noté au PISA, mais l es citoyens, nous verrions peut être la RELATION.

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 11 Septembre 2019

Les fondements de notre société ne changent pas, car  nous naissons avec.

Bien que tous les hommes de la terre n'a n'ont pas la même perception que nous.

Nous vivions dans une société qui c'est développée au rythme des moyens de la circulation des hommes et des informations qu'ils emportaient avec eux.
L'invention de l'imprimerie et du téléphone ont accélère celles ci.
Ces deux découvertes ont fondé notre monde de la communication et des Savoirs.
Depuis nous n'avons pas changer pour autant de fondements, seulement améliorés.

Le fondement de communiquer l'information, grâce à nos aptitudes vocales, a créer du langage, donner un véhicule d'expression normalisé et descriptifs de l'activité de la nature humaine.
SI ELLE A QUELQUE CHOSE À SE COMMUNIQUER.

Il n'y a rien au monde qui n'est pas une RAISON d'être. 
Même si nous ne comprenons pas pourquoi. 
Cela concerne tous les aspects de notre existence individuel et sociétale qui en est l'interaction.
Notre interrogation séculaire sur l'ÊTRE et son ÂME dans l'histoire de l'homme par les premiers philosophes remonte à hier.
Nous pouvons imaginer que les hommes qui ont eu à se communiquer des informations ou des apprentissages durant des millions d'années devaient avoir un langage, même rustique.

Pour imaginer cela il suffit de réfléchir à deux inventions humaines
La taille du Silex et la production du feu en frottant deux bouts de bois.
De la même manière pour en arriver au langage écrit il a fallu des raisons. 
Il a fallu qu'une activité (souvent économique) ne puisse plus se contenir dans l'oralité qui déforme la communication, et le souci de la diffuser à un nombre d'individus hors de porté de la voix.

Notre monde c'est construit lentement sur la circulation des informations qui poursuivaient une finalité.
Toujours la même, permettre à notre espèce de survivre en l'utilisant ses aptitudes.

Nous n'avons pas de certitudes si nous les possédions ou si elles se sont développées au fil des millions d'années, comme en témoignerait l'évolution des boîtes crâniennes.

Mais nous savons ou avons compris recenment que notre destiné était contenue dans le Big bang. 

Sauf qu'elle s'édifie à chaque instant T sur les souvenirs d'un passé qui nous aide à affronter l'insaisissable instant T.
Du moins c'est ce que nous avons pu comprendre par le cumul des expériences.

Des théories existent sur le principe d'une évolution qui incorpore des habitudes culturelles dans le biologique

Sur ces bases modernes nous comprenons que l'élaboration de CROYANCES ancestrales n'était pas le résultat de l'imaginaire de l'homme.
Celles qui le furent, étaient la représentation qu'en donne le langage.
Comment nos ancêtres imagés cette nécessité née de la compréhension d'une dépendance et d'un besoin de se rassurer.

Puis pour définir l'origine de sa propre existence dont il ignore tout, et à laquelle il réclame bienveillance. (Tous les Dieux)

L'athéisme n'échappe pas à cette interrogation existentielle, encore moins aujourd'hui compte tenue des moyens d'exploitation de l'univers.
Ce qui distingue le croyant de l'athée, n'est qu'un problème de "foi", que nous avons enfant.
Le croyant S'ABANDONNE dans la confiance en sa religion, l'enfant en sa famille.
L'athée qui  s'interroge sur la création l'imagine être un grand horloger, un grand architecte, même ne pas la nomme ou comme je l'écris souvent être, l'indéfinissable.

La différence tient à la représentation sémantique, dieu représente le Père.
Ce que refusent les athées n'est pas le père, mais tout ce qu'on fait les hommes en son nom, ou ce qu'il font encore.

Est ce que ceux qui ont remplacé dieu, la création, par un grand horloger ou un cartésianisme comptable ont ils fait mieux ? 
Est ce qu'ils n'ont pas construit des mythes? Est ce qu'ils n'ont pas des désirs d'éternité ?
Est ce qu'ils n'ont pas construit des magistères ?
Que font ils donc en leurs noms, si ce n'est la même chose, et même pire  que ceux qui le faisaient en prenant le prétexte de Dieu.

Les dieu ne sont jamais descendu sur terre pour tuer les hommes. Ce n'est donc pas deux qu'il faut avoir peur.'

Doù viennent dont nos difficultés, du dieu, du grand horloger, de l'indéfinissable.

Nous savons bien que non. 
Nous les avons tous désigner pour nous aider à vivre, à comprendre la création et en finalité l'on s'entre tue en leurs NOMS.

Il est clair que ce ne sont pas les Dieux, les grands horlogers, ou le rationalisme cartésien notre problème. 
Chacun d'eux a été développé avec la ferme croyance d'apporter un apaisement ou de la raison dans la gestion de nos émotions des uns aux autres.

Résultat nous avons créé les moyens de solutionner nos problèmes avec les armes nucléaires et autres au nom de la PAIX entre les hommes.
Cela de la même manière que nous avons élaboré des dieux, de grands architectes, horlogers, ou une rationalisation de la vie pour vivre dans cette même PAIX.

Qu'observons-nous qu'en leurs NOMS, nous avons tué les autres, en soutenant pour chacune, que leurs préconisations étaient les meilleures pour la vie humaine.

Qu'elle question pouvons en retirer ?
En quoi sur une planète diversifiée naturellement par sa géographie, l'homme ne devrait être tenu à une seule représentation de son adaptation au territoire où il NAÎT.

Tant que nous nous justifierons d'eux pour ne pas vouloir regarder que notre Agressivité, nécessaire pour sélectionner le meilleur géniteur, c'est TRANSFORMER en VIOLENCES économiques et sociales en obligeant par rationalisme de concentrer les hommes sur des espaces RESTREINTS.

Nous REFUSONS toujours de prendre en compte cet élément source de stress.
L'humain à besoin d'un ESPACE  MINIMAL que nous LUI avons SUPRIMER dans les VILLES par un habitat VERTICALE.
Ainsi dans les années à venir où cette CONCENTRATION humaine va croitre de  38 %, l'avenir de l'immobilier est dans les PRISONS.

Avec cette donnée nous avons une vision de l'avenir, une perspective ce qui nous attend, un accroissement des forces de police, et aucun projet de ville horizontale. 

Tout en est politiquement à la concentration pour des raisons financières.
Il n'y a aucune raison d'envisager un avenir sécurisé. 
Dans le rapport POPULATION/CONCENTRATION/PAUVRETÉ nous construisons une bombe sociale où la seule réponse sera l'armée  avec les conséquences pour la démocratie

Refusant pour des raisons de rentabilité financière de prendre cet élément FONDAMENTAL en compte pour comprendre la violence contemporaine.
Nous recherchons toujours des boucs émissaires qui nous éviterons de nous interroger sur le bien fondé de ce en quoi l'on CROIT.

Ignorant que ce que chacun croit à une RAISON d'être. 
C'est à dire et le fruit d'un certains nombres d'informations de l'environnement qui se sont agrégées pour répondre à un manque qui lui désigne ce qui lui faut pour le combler.

Mais que faisons nous d'autre, si ce n'est de nous quereller et nous entre tuer autour d'elles. 
Autour d'interprétations, de chimères comme si elles étaient là pour nous dissuader, nous distraire, nous écarter des raisons FONDAMENTALES.
Comme si les connaissants consciemment ou non, nous trouvions des justifications pour ne pas les aborder.
Parce qu'au fond, elles sont ce que l'on désire et dont nous ne voulons pas nous écarter, tout en expliquant que nous luttons contre la violence qu'elles génèrent.

Cette analyse se complique parce que nous répondons tous à des perceptions fondamentales
Notre attachement à une création, parce que nous disposons des attributs INTELLECTUELS  pour analyser les émotions de notre perception du monde dans lequel nous nous déplaçons.

La force de ce besoin ira jusqu'à imaginer en donner une représentation qui laisse croire que son fondateur (les dieux et autres représentations) peut entrer en contact personnel avec chacun d'entre nous.
Nous parler à l'oreille ou envoyer ses anges, 
ses signes, car les anges ne sont que cela.

Des signes qui prédisent l'avenir, comme les Sumeriens le lisaient dans le vol d'un oiseau et nous dans l'horoscope. 
En 5000 ans l'on n'a pas beaucoup changé côté supertisions, les mathématiques ont remplacé la lecture de l'avenir dans les boyaux d'un animal (la comptabilisation de l'existence) heureusement en plus efficace.

Ce contact a l'univers existe bel et bien c'est la perception du monde qui nous entoure et génère nos comportements.
Là il ne s'agit pas d'une représentation mais bien d'une réalité que d'aucun interprètent comme l'esprit de dieu, avec lequel il faut entrer en contact pour ne pas seulement vivre dans le monde artificiel de notre langage, qui est insuffisant pour d'écrire l'existence.
Cet esprit qui n'est rien d'autre que la nécessité de s'écarter de tout ce qui est de nature à NUIRE aux hommes, pour qu'ils puissent se réjouir de leur travail dans l'existence, en ressentant les informations qu'ils recueillent du monde, celles qui leurs donnent la vie et dont ils ne sont pas à l'origine.

Sentir le monde c'est sentir la création dont  nous sommes, et seulement cela.
C'est sentir ce qui est bon pour la vie.
Alors pourquoi l'on s'entre tue pour des raisons qui ne sont pas celles invoquées.

Pourquoi l'humanité s'entre tue et créé des moyens de destruction en adéquation avec sa croissance et sa concentration sur des espaces restreints.(capacités destructrices des armes)
Pourquoi c'est seulement à partir du néolithique que nous trouvons des charniers.
Qu'observons-nous aujourd'hui dans la tendance à la normalisation.
Nous y observons un enfermement de l'existence dans un langage NORMATIF qui ne peu plus définir la complexité des interrelations et actions d'un monde qui c'est rétréci géographiquement par la rapidité des moyens de communications qui rapprochent les hommes, non plus par le contact physique, mais par l'isolement que génére la communication virtuelle.

Comment figurer cela, imaginons une ligne de zéro à l'infini. 
Sur un point nous mettons "je t'aime" et nous faisons entrer dans ce point 7 milliards d'émotions d'hommes qui sont uniques. 
Nous allons demander à chacun de juger le je t'aime des autres à partir d'un point normatif indicatif, qui n'a aucun contenu de référence commun, puisque chacun a une INTENSITÉ d'amour différent des autres, car leur existence et UNIQUE et ne se REPRODUIRA plus jamais.

Sommes nous capables d'élargir ce point en conscience, il semble bien que NON, même quand l'on en a conscience. 
J'ai mainte fois expliqué le rôle des dominants systémiques qui gèrent nos existences, le Capitalisme en est un essentiel qui transfigure des comportements fondamentaux.
Chacun le sait mais comme je l'ai écrit nous tournons la tête de l'autre côté car cela nous ferait bien plaisir être millionnaire.

Alors nous rendons responsables des conséquences du capitalisme des boucs émissaires, généralement les plus pauvres.

 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 8 Septembre 2019

Helen Elizabeth Fisher est une anthropologue américaine, chercheuse en comportement humain, et auteure de plusieurs livres de développement personnel.
Elle est chercheuse à l'Institut Kinsey, et membre du centre pour l'étude de l'histoire évolutive des hominidés au département d'anthropologie à l'Université Rutgers. Hauteur de plusieurs publication. Donc. HISTOIRE NATURELLE DE L'AMOUR. Instinct sexuel et comportement amoureux à travers les âges, 1993.
Le premier sexe: les talents naturels de la femme, et comment elle change le monde,1999.
https://www.babelio.com/auteur/Helen-E-Fisher/174084

Pourquoi nous nous aimons.

L'amour n'est pas le fruit de nos émotions, mais d'une nécessite, un simple besoin physiologie comme la faim et le sommeil.
https://www.lisez.com/livre-grand-format/pourquoi-nous-aimons/9782221105184

Voilà une entrée en matière que nous n'avons pas en tête, tant notre monde à été envahi par la psychologie, la psychanalyse, et la survivance d'us et coutumes entretenus par les officines religieuses qui ont inspiré les lois positives de la république.

Nous sommes avant tout des hominidés dont l'innée conditionne la base de tous développement Culturel qu'examine la sociologie, la psychologie et la psychanalyse en parallèle à l'anthropologie qui dévoile des fondements de notre nature, ce qui resterait de notre CULTURE pour que survive notre espèce.
Ainsi l'analyse de nos émotions pour connaître l'être et l'âme de cet hominidé a généré un grand nombre de civilisations organisées au tour de ToTems et de TaBous.
Ils sont venus réguler les groupes humains du paléolithique duquel nous avons des statuettes stylisant la femme.
Parmi ces effigies une désignée la Venus honore la fertilité féminine

Les Totems et Tabous se sont complexifiés faire à mesure que l'hominidé est entré dans le néolithique et à découvert la RARETÉ. (devoir produire).

Celle ci l'a contraint à produire. se regrouper autour de campagne puis de villes.
Ensuite avec l'industrialisation elles sont devenues des métropoles et poursuit leur route vers des mégapoles pour absorber 38% d'hommes qui vont s'y déplacer dans le futur.
Ainsi entre la Venus du paléolithique, celle potelée de la Grèce et de celle mannequin d'aujourd'hui, la femme à gardé son même attrait SEXUEL.
Les hommes les ont trouvé aussi belle avec des bras de charretiers au paléolithique, avec ses rondeurs potelées de la Grèce, que nos Canons de mode d'aujourd'hui.

Grâce à un mécanisme cérébrale d'attrait innée nous sommes là.
Nous sommes là aujourd'hui à ériger une nouvelle terminologie juridique le Féminicide.

Pour porter au pinacle la lutte féministe tel l'apothéose d'une victoire sur l'homme.

Nous avons là des femmes qui n'ont certainement jamais lu Hellen Fisher.
Dans un de ces ouvrages en page de garde si mes souvenirs sont bons, en page de garde il y avait d'écrit : MES DAMES VOUS ÊTES TOUTES DES SALOPES.

C'est l'art de ces dames de séduire, aujourd'hui nous disons de se sexualiser.

Aussi celles qui nous diront que c'est seulement pour être jolie, nous lui chanterons ," au la menteuse elle est amoureuse".

Il n'y a rien d'anormal à cela
Nous nous éveillons à la sexualité dès la naissance suivant un certains nombre de stade au travers du contact charnel et de l'affection de la mère, et de la pièce rapportée qu'est le père par la culture familiale, en voie d'élimination par l'atomisation de la famille nucléaire.

Sans entré dans tout un historique, il y a eu une période d'adoration de la femme procréatrice, des statuettes témoignent de son assimilation à la terre nourricière.
Gaïa pour les Grecs.
Marie pour les chrétiens mère du fils de dieu.
Gaïa avec la Grèce antique témoigne au néolithique d'un matriarcat.
Les premières divinités d'un monde qui se sédentarise et créé des villes  sont majoritairement féminines.
Gaïa la grande déesse.
Niti la déesse mère primordiale

Les découvertes archéologiques laissent supposer un culte de la fécondité, de la fertilité et de l'au delà.
Le matriarcat n'est pas attesté formellement, mais il se conforte quand apparaît le dieu de la mer Poséidon qui épouse amphitrite déesse de la mer et l'apparition de Zeus dieux des dieux, qui marque d'un glissement vers le patriarcat.

La Grèce antique exclua la femme la considérant comme une éternelle mineure dont la place complémentaire était la fécondité.
EN Egypte la place de la femme semble être plus égalitaire.
Dans la Rome elle compte pour du beurre, elle et sous l'autorité du père ou de la mère, n'a pas le droit de réunion, de citer et porte des habits qui feraient rougir les musulmans couverte de la tête au pied, alors que Mahomet n'était pas né.
Les juifs assurent la protection de la femme, celui qui bat sa femme est châtié, mais la femme n'a pas le droit d'hériter..
La famille et le socle des juifs ce qui lui a permis de résister à la diaspora.
Chez eux l'on trouve le port du foulard pour distinguer les honnêtes femmes des prostituées.

Le christianisme protège également la femme (dénonce les discriminations entre elles) et réinstalle la femme à sa place PRIMORDIAL, l'équivalente des déesses de la terre nourricière  Gaïa et Niti, en donnant naissance au fil de la création.

Si nous avions une liste de prévalence à établir, ce serai dieu, Jésus Christ, Marie (déesse mère) puis l'hominidé.
Ce qui reverse l'ordre de la création biblique dans la genèse qui est une reprise de celles des Sumeriens avec une erreur.
Marie redonne la place que tenait la femme en Mésopotamie où Ti signifié vie et côté et ou Niti dame était la figure universelle primordiale..
Entre toutes ces représentations l'on peut établir une évolution de la place de la femme d'une situation primordiale à celle d'une tutellisation.

Le  fait même qu'il existe des usages de protection, atteste l'existence de malveillances à son encontre, rapt, prise de guerre etc..

Mais à compté du néolithique, la période qui suis  l'apparition de Zeus représente la suprématie du mâle qui c'est installé par rapport à la déesse mère.
Et nous retrouvons cette relation dans la genèse.
La femme sort d'une partie de l'HOMME.il ne faut pas l'interpréter comme une situation d'INFÉRIORITÉ, (même si l'ignorance aura posé l'interrogation de savoir si elle a une âme,) mais de complément, les deux ne font qu'un.
Dont la fusion est l'enfantement.

Cette situation de dépendance de la femme que l'on ne retrouve pas au paléolithique , laisse supposer, même affirmer que ce sont les conditions  économiques qui ont     prédéterminé la répartition des tâches qui se sont développées au néolithique.
L'homme en aura retiré une suprématie guerrière pour s'approprier ou défendre des territoires économiques lui ouvrant les postes du pouvoir duquel les femmes furent écartées à quelques exceptions.

Il ne faut pas oublier que l'Antiquité ne sait constitué que dans les guerres, pour lesquelles les femmes ne disposaient pas des capacités nécessaires.
La guerre était étroitement lié a l'autonomie économique.
L'économie résultait de la production et la répartissons de la RARETÉ, entraînant la recherche d'une autonomie économique pour les populations, comme aujourd'huiourd'hui.
Nous trouvons donc des esclaves, des prostituées, des voleurs, des assassins, des escrocs, des mariages arrangés tous ces gens en recherche d'une autonomie économique pour exister.

Quels liens devons nous faire avec les connaissances anthropologiques.
C'est que, quelle que soit la civilisation la femme c'est trouvée écartée de certaines activités pour être considéré pour son genre.
Celle qui donnait la vie et qui nécessitait d'être protégé.

Pour autant elle est en resté une Salope, et n'a pas cessé d'exercer son pouvoir de séduction pour trouver un Cochon ou être placé ( mariage économique) pour créer une famille suivant les cultures régionales.

Nous le comprenons la famille n'avait pas pour intention de satisfaire une perversité des hommes  mais d'honorer la femme, (ce qui signifier le devoir de lui faire l'amour).
Avaient-ils une sexualité libérée.
Nous avons de nombreux témoignages part les arts qu'ils ont laissé, mais beaucoup plus de celles des classes sociales aisées, comme de nos jours avec les peaploes

Notre vision des rapports matrimoniaux établis seulement sur la réalité de violences faite aux femmes qui échelonnent leur vie de l'Antiquité à aujourd'hui sont des distorsions sociales.
Elles s'inscrivent dans une existence sociale violente.
Il paraît évident que le souci de protection de la femme c'est éclipsé de génération en génération différemment en fonction des ressources des classes ou des familles pour glisser vers le sexisme et le masochisme.

Aujourd'hui les psychanalystes, psychiatres, les psychologues et nous le voyons bien aussi la sociologie se positionnent sur leurs sources.

Quelles sont les sources de la violence faite au femme certainement pas que les hommes dont des COCHONS.

Depuis l'industrialisation l'homme et la femme réclament l'autonomie économique pour exercer leur liberté d'être.

C'est difficilement, car dans le cadre d'une organisation Capitaliste, qui génère de la violence et ne vise qu'à l'exploitation et au maintien de l'homme dans l'ignorance, la femme y  a occupé une place, suivant la dureté des travaux à effectuer, en plus des tâches lié à la maternité.
Petit à petit l'accès à l'éducation lui a donné la compréhension de sa place en tant être complètement d'égalité supérieur à l'homme, (elle enfante).

Notre développement économique base essentiellement du conflit par la force brutale, que ce soit pour faire la guerre ou produite avait exclu la femme de l'indépendance économique.
Elle a du la trouver aupres des hommes ou se.prostituer.
À aucun moment il y a eu une volonté d'asservissement de la femme par l'homme.
Cette inégalité socioéconomique et la conséquence de la production et de sa distribution.
Il ne s'agit pas par là de dire que les hommes n'ont pas usé de violence et considéré qu'ils leurs étaient superieur.
De cette situation ils s'en sont retirés les raisons d'une infantilisation, d'une soumission, d'une fonction sociale voire de violences.

L'homme ne naît pas avec des gènes de la violences en vers la femme.
Il naît avec la capacité d'agressivité pour exercer la compétition du meilleur géniteur et du statut de dominant envers son genre.
Le développement Culturel a armé son bras et développer une société de promiscuitée concentrationnaire qu'a stabilisé la famille. Créant un espace d'attachement aliénant  reposant sur une inégalité économique source de nombreuses causes de violences,en plus de celles venant des addictions.

Ex hier nous n'avions pas de trotinette. dans les villes. Leurs accroissement causent de fait des incidents.
Nous au lieu de solutionner techniquement cette difficulté  nous allons la régler par la violence du droit, que nous trouvons tous normal, car nous avons été élevé depuis des siècles par mimétisme dans la violence.

Nos ancêtres n'étaient pas des persécuteurs de femmes comme ont tendance à le faire croire celles qui n'ont qu'un poichiche dans la tête.
Il avaient pas notre technologie et les Savoirs qui permettent aux femmes de trouver dans la société une indépendance économique qui les libère de la tutelle et de la prévalence économique dont l'homme retirait sa suprématie.

L'ordre qui a découlé de la répartition de la rareté des productions, a ordonné la concentration humaine et la complexité des interrelations qui ont généré des mesures d'hygiènes, de sociabilité, de compétition, de gestion des cités (politique) qui ont donné les lois religieuses.
Elles s'adressaient à des populations analphabètes et s'imposaient par la force divine indiscutable.
Comme nous le faisons aujourd'hui par le rappel à la morale, faute de pouvoir en expliquer les raisons, quand le cerveau ne dispose pas des informations pour lui la comprendre,

C'est alors la force et la punition qui remplace l'apprentissage.
Nous vivons encore comme cela, dans l'alphabétisation de notre siècle.

Lorsque nous ne donnerons plus la fessée (la prison) aux hominidés nous aurons effectivement évolué.
Cela se met en place par la suppression de la fessée, du châtiment, après il faudra la suprimer pour les hommes.
Ce sera en commençant par dire que la guerre est un crime contre l'humanité.

J'invite les dames qui demandent de balancer leur PORC de commencer par ne pas être des Salopes et de balancer leur POICHICHE.

Je vais conclure sur la réflexion d'un ami.
Alors jailli ma conviction sans complaisance, avec violence mais franchise : l'homme est parfois l'être le plus malfaisant pour lui-même.
La femme est la plus grande ennemie de la femme, revendiquant une évidente égalité, au détriment de ses différences et de sa féminité , mais en se subliment OBJET.
Cette hypocrisie intellectuelle qui tente de se justifier sous un aspect libertaire n'est qu'une façade.


 

 








 

 

 



Vbbb

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 4 Septembre 2019

Peut on se diriger vers une civilisation que l'on ignore ?
Je vais reformuler l'interrogation.
Pensons - nous que l'homo-sapiens sapiens aurait pu anticiper notre civilisation.
En fait trouver dans son quotidien ce qui annonçait notre venue.

Il coule sous le sens que la réponse est négative.
L'élément fondamental n'était pas en PLACE
LA RARETÉ.
https://ddacoudrev2.blogspot.com/2019/08/la-rarete.html?m=1

La  France insoumise se donne en plaçant l'humain d'abord d'inventer demain avec le PEUPLE.
Une folle ambition, car sortie de l'image d'Épinal républicain le peuple c'est toujours soumis au dictat du dominant systémique.

Nous le vivons, le Dominant Systémique est le Capitalisme et nous nous y soumettons.

Hormis le communisme, nous l'avons combattue ou socialisé que par la Redistribution.
C'est à dire l'organisation même de la formation du Capital par le conflit.

De sorte que chaque fois que l'on contraint par le contrat ou la loi le capital à donne 100  il récupère 200.
https://ddacoudrev2.blogspot.com/2019/08/supprimer-l-sur-les-societes-que-paient.html?m=1

Peut on sortir du jour au lendemain d'une telle organisation qui c'est étendu au monde.
La France insoumise peut elle nous en sortir.

Il semble que non si j'ai bien lu son programme.
Pour tant Mélenchon propose la révolution citoyenne avec un peuple qui doit savoir comment et pourquoi faire.
Il puise son inspiration souvent en Amérique latine, pourquoi pas.
La seule question qu'il convient de de poser alors : sont-il en dehors du processus de redistribution Constitutif du Capital Privé?
Je ne pose pas le problème de la nécessité du Capital, mais qui le détient pourquoi faire. C'est le FAIRE qui est essentiel, si c'est pour l'HUMAIN d'abord ou pour SUPRIMER les CHARGES humaines.
http://ddacoudre.over-blog.com/2019/06/le-salarie-une-charge-intellectuelle-le-capitalisme-une-charge-tout-court.html

Alors le nouveau monde sortira-t-il d'une RÉVOLUTION CITOYENNE ?
Les citoyens vont-ils trouver dans leur quotidien les évènements qui le lui ouvr iront.
Les trouveront,-il pour construire ce monde qui est en DEVENIR s'ils s'accrochent à ceux  et ce qui leur assure L'IMMOBILISME.

Si je mentionner plus haut l'intérêt du CAPITAL, c'est qu'il est d'une utilité certaine.
C'est trouver les moyens de réunir assez d'énergie pour réaliser à plusieurs ce qu'un homme seul ne pourrait faire.

C'est dont pour l'instant un fondement essentiel au développement de l'humain.

Je dis bien pour l'instant, car nous vivons l'expérience dans bien des pays où le capital* humain existe  et individuellement ils ne trouvent pas la volonté de se réunir pour le faire. Ne trouvent pas la SOLIDARITÉ ÉGOÏSTE.
*(je n'ai pas cette expression esclavagiste, j'y préfère le regroupement d'énergies individuelles pour parvenir à un résultat bénéfique à tous, car l'humain n'est pas un capital).

Cette révolution citoyenne à pris corps avec la France insoumise qui se trouve avec deux objectifs.
1/ Répondre aux difficultés des citoyens vivant dans le monde Capitaliste où l'attrait des rendements financiers les aliénnent un peu plus au capital

2/ Retirer de tous les évènements qui nous entourent, qu'elle société humaine ils présupposent pour s'assurer d'inventer demain.

Ce ne peut être tous les hommes qui découvrent demain, le DÉCOUVREUR sera toujours devant. Et il découvrira en fonction de son intérêt, qu'il ne pourra réaliser sans les autres. D'où la nécessité de l'appartenance à un groupe citoyen organisé.


Cela n'écarte en rien les classes au bas de l'échelle sociale, mais cela pose une dichotomie.
Car ce sont les classes sociales avec leurs ignorances et leur immobilisme qui assurent la stabilité Sociale et politique des pouvoirs, même contre leurs intérêts.
Compter sur elles pour inventer DEMAIN c'est être assuré qu'elles ne proposerons QU'AUJOURD'HUI.
Ils ne pourront proposer que ce qu'ils ont APPRIS, ÉCOUTÉ ou LU.
Un effort de culture générale a été fait pour relever le niveau général à celui du ,BAC.
Au regard de la situation politique cela n'a guère porté de citoyenneté quand seulement un quart des jeunes se rendent aux urnes.

Les conséquences de notre organisation économique sont connus, que ce soit l'indépendance économique et politique, que ce soit les incidences de l'économie sur l'environnement, sur l'échelle sociale,
Que ce soit sur le coût du bien être.
Nous savons que toute progression en la manière est muselé par un VERROU  financier POLITIQUE, l'usage du CAPITAL privé seulement.
Tout ce qui n'entre pas dans sa mesure est rejeté, même si j'ai fait la démonstration que c'est seulement un point de vue NORMATIF.

La clé passe par la disponibilité financière d'un capital public quand l'usage du Capital Privé ne va pas dans l'intérêt de la SOLIDARITÉ égoïste.
J'ai démontré que seul ceux qui travaillaient, gagnaient le capital dont ils étaient DÉPOSSÉDÉS par les lois que votaient ceux qu'eux mêmes ÉLISAIENT.

Compter sur le peuple qui n'a pas réussi à inverser cela depuis 1804 en l'état actuel du monde et de la puissance financière que les Salariés leurs ont gagné par la redistribution, c'est avoir une ambition démesuré face au rapport de force avec un peuple qui n'est plus courageux.
Un peuple qui a fuit tous les lieux où l'on défend ses intérêts, partis, syndicats, associations, pour se PLANQUER dans l'abstention ou le vote blanc en calmant que c'était une opinion.
Si c'est avec ces joueurs du loto que LFI veux faire la révolution citoyenne, il vaut mieux aller à la pêche.

Trente années de pensée unique ont forgé les esprits. La lutte s'était déplacé sur les ondes.
Il fallait y être présent.
Croire que le net vas changer les choses en faisant circuler plus rapidement les idées s'auto annihile. Tout gagne seulement en rapidité, avec les risques que nous lui connaissons.

Aujourd'hui nous sommes à même de mesurer les dégâts de l'organisation Capitaliste de l'existence.
Non pour faire son procès, mais pour essayer de comprendre vers OÙ elle nous conduit en voulant SUPRIMER L'HOMME CHARGE, et conserver L'HOMME CLIENT.

Le fait que la "nature" permet ce développement repose sur des évènements comportementaux et psychiques de l'homme et non sur une finalité existentielle qui perreniserait ce type d'organisation comme "divine", absolue, comme valeur intrinsèque de la nature, que viendrait confirmer sa mondialisation par la loi du nombre.

La loi du nombre n'est en rien la confirmation de quoi que ce soit.

Les comportements INNÉES le sont, mais ils ne sont pas le DESTIN.
Notre destiné est culturelle nous pouvons donc modifier ce qui est acquis culturellement, comme le Capitalisme.

Si la nature permet son développement, il ne durera que tant que les évènements comportementaux ou psychiques s'enseigneront d'une génération à l'autre comme tel.

Alors comment pouvoir penser autrement ? Comment sortir des clous ?
Comment découvrir un autre monde ?

Personne ne cours délibérément vers la mort sans une espérance d'y échapper.
L'inconnu est toujours rempli de dangers imaginaires, ceux que véhicule la peur.

Que faut-il donc pour franchir le pas pour aller au delà du connu.
Vers un au delà qui existe en pièces détachées pour lequel il nous faut trouver une motivation en conscience pour les assembler.

Nous ne pouvons plus douter de cela !
Nos ancêtres en sont l'exemple vivant !

Aucun homo sapiens du paléolithique n'aurait considéré qu'imaginer notre monde était une possibilité.
Ils ignoraient que tous les jours en vivant, ils posaient lentement d'une génération à l'autre les évènements de son émergence.

Pourtant aujourd'hui sachant cela nous n'arrivons pas à penser au delà de notre nombril.
Non qu'il ne soit pas une nécessité indispensable pour recueillir les informations en pièces détachées que nous pourrons assembler.
Mais nous avons la preuve de par le monde qu'il n'est pas suffisant pour déterminer un DEVENIR HUMAIN. Que l'humanité n'est pas une somme de nombril.

Les méfaits de l'organisation du capitalisme sont connus ; l'asservissement et le développement d'armes destructrices.

Qu'observons-nous de par le monde ?

Que tout un chacun veut une organisation Capitaliste adapté à son nombril et les états disposer des armes nucléaires pour y parvenir.

Qu'observons-nous encore, que les sociétés religieuses prônant l'amour, la miséricorde, le partage ont des autorités qui sont les premières à s'entre-tuer et à se comporter comme des Capitalistes.

Qu'observons-nous encore, que notre nombrilisme, nôtre individualisme, notre égologisme en 70 ans à généré plus de méfaits, que 10000 ans de servitudes, et 4 siècles de développement industrielle.

N'y aurait - il pas eu des avantages  liés au Capitalisme ?
C'est à dire, RETIRER de la capacité des hommes ce qu'ils ne DONNERAIENT pas en conscience égoïste.

RÉPONDRE À CE QUESTIONNEMENT ET PRIMORDIAL.

Il conditionne notre existence et justifie tous les asservissements depuis des millénaires. De nos jours il conditionne encore l'existence de la pauvreté voire la misère dans certains pays

Ce n'est pas la rationalité comptable ni la comptabilisation de l'existence qui s'interrogera sur l'avenir.

Et pour tant c'est ce que nous avons choisit comme option philosophique, idéologique depuis les années 90.
Les citoyens espèrent que L'ENTREPRISE invente l'avenir. Alors quelle ne rêve que de réduire les CHARGES SALARIALES qu'ils sont.

C'est comme si des hommes demandaient à leur bourreau de leur inventer l'avenir.

Nous vivons les limites de la Redistribution comme celles du seul Capital Privé
Nous vivons l'exemple, que la redistribution en soutien de la croissance et le seul Capital Privé ont pourri la planète.

Nous allons vivre l'exemple que la Redistribution ou le capital privé soutenant la croissance écologiste va augmenter les prix à la consommation ou les PRÉLÈVEMENTS
Nous allons vivre l'exemple que la redistribution ou e Capital Privé pour l'économie d'énergie va modifier la consommation des ménages.

Et chacun d'espérer de cela une création d'emploi, en confiant sa réalisation au capital privé dont la finalité n'est pas de créer des EMPLOIS mais du PROFIT.

Nous recommençons l'expérience du miraculeux  transfert d'emplois des années 80.
Pour l'avoir vécu, ça n'a valut que créer les outils d'une accélération de perte d'emplois.
Et nous remettons le couvert pour aller dans le mur.

Combien de fois faudra-t- il s'y cogner avant d'admettre que les entreprises n'ont pas pour vocation de créer des emplois.
Combien d'années faudra-t-il pour comprendre que l'avenir que nous offre les entreprises à qui les citoyens ont confié leurs destins, n'ont que chômage ou esclavage à offrir contre leurs TRAVAILS et leurs INTELLIGENCES
J'ai démontré cela dans ce lien.
http://ddacoudre.over-blog.com/2019/08/supprimer-l-impot-sur-les-societes-que-paient-les-salaries.htmlm

Ainsi vouloir inventer un nouveau monde où l'on mettrait l'humain d'abord en utilisant l'organisation Capitaliste qui s'enrichit par la redistribution est voué à l'ECHEC.
Imaginer que c'est le peuple qui va l'inventer en re brassant  l'enseignement général qui nous reconstruit le FASCISME ou se terre dans l'abstention en rejetant tous les lieux d'expression démocratique, et les élites c'est croire au miracle.
La démocratie impose l'instruction permanente du PEUPLE. 

Dans un monde qui vit dorénavant à des vitesses infinitésimales que peut on espère d'attardés qui refusent de s'instruire.
Qui continue de croire que parce que ils n'ont pas d'une monnaie IMAGINAIRE, ils ne peuvent pas ENTREPRENDRE.
Retrouvant cette problématique sur toute la planète bleue nous pouvons tout de même comprendre que ce n'est pas la monnaie le problème, mais nos blocages psychiques.

Alors peut-on mettre un pied dans une civilisation de demain qui n'existe pas, sans comprendre les évènements d'aujourd'hui, pour mettre en place ceux qui feront que DEMAIN sera autrement que de s'entre-tuer pour se repartir la RARETÉ.

La France insoumise pourra telle relever ce défit. Je l'en crois capable, mais il va falloir donner un contenu à cet HUMAIN.
Parce que la Redistribution le Suicidera ou le laissera en Servitude.
La comptabilisation rationnelle de l'existence  n'est pas la vie. Elle est faite pour produire et non diriger l'HUMAIN dont l'on doit tenir compte D'ABORD.

La question qu'il convient de de poser est pourquoi.
Rien de plus qu'un comportement atavique innée.
J'y réponds dans cet article.
http://ddacoudre.over-blog.com/2019/05/l-humain-ce-fegneant.html.
Pourtant ce n'est pas suffisant car un évènement 'important à envahie notre existence LA VITESSE.


 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 31 Août 2019

En 2011 je posais la question : "Le musulman remplacera t-il le juif" http://ddacoudre.over-blog.com/article-le-musulman-remplacera-t-il-le-juifs-70363168.html

L'actualité des années suivantes ont exacerbé l'islamophobie à la hauteur de la décadence intellectuelle d'une partie de la population.
Particulièrement de ceux qui côtoient les regroupements sociologiques de la catégorie la plus démunie de la société.
Là où l'on entasse les pauvres.

Je rappelle toujours le passé de l'usine Renault Billancourt.
Tous les pays d'Afrique du nord et centrale y étaient représenter. Français ou immigrés venus pour la plupart de nos anciennes colonies.
Ils se côtoyaient sans problèmes, état que facilité autonomie économique.

Si j'étais islamophobe, j'aurais au minimum l'honnête intellectuelle, morale, de ne pas utiliser des productions auxquelles ont participé ceux que je fustige. Mais je l'ai écrit il y a une décadence intellectuelle particulièrement chez ces gens là aurait dit Jacques Brel.

Il est donc évident que plusieurs facteurs se conjuguent de part et d'autre avec raison, et de confrontent.
Les islamophobes sont seulement des victimes qui ne sont pas le bon choix de ceux vers qui ils doivent de retourner
Ils sont les un comme les autres les "victimes" du capitalisme où les classes les plus pauvres se déchirent pour se répartir la pauvreté et se ghettoisent.
Tandis que ceux qui contribuent au développement d'un environnement Sociologique conflictuel vivent à l'écart.

J'écris cela pour bien insister sur le fait que l'on ne naît pas RACISTE ou PHOBIQUE on le devient.
Ceux qui sont Islamophobes le sont devenus.
Il est donc important de comprendre pourquoi,  quelles raisons y conduisent.
Parmi leurs nombres une est déterminante, disposer d'une autonomie économique.
Ce qui était le cas à Renault Billancourt. 

Dans son université d'été La France insoumise a eu ce débat suite à l'intervention d'un philosophe, Henri Pena-Ruiz, soutenant le droit d'être Islamophobe.

À t-il raison ?

Nous sommes en permanence entrain d'analyser le monde pour exercer une critique, un choix , discriminer, sélectionner, comparer.
C'est la manière de formuler notre analyse qui pose difficulté  si elle a pour objectif de NUIRE à autrui.
L'Intention est donc essentielle.

L'homme naturellement pose des préférences éliminatoires.
Nous savons quelles sont sources de conflits.
Et les hommes sont invités à s'aimer suffisamment pour être capable d'aimer les autres et de poser paisiblement nos regards discriminants.
Dans ce cadre rien ne serait problématique.
L'on pourrait être Raciste ou xénophobe.
Or ce n'est pas le cas, car ces signifiants sont devenus éliminatoires et hostiles.

Le Racisme moderne.

La classification de Gobineau, Chamberlain et Vacher Lapouge Classent la RACE BLANCHE COMME SUPÉRIEURE à toutes les autres.
La notion de racisme inclus donc forcément la reconnaissance d'une situation d'INFÉRIORITÉ innées méprisable ou nom chez les autres.
Caractéristique attaché à la nature spécifique d'un GROUPE différencié, qui se renforce par des observations comportementales suggestives.

Le RACISME ne doit d'apprécier qu'en ce sens, sous peine de dérive du droit de critiquer, discriminer, sélectionner, de ne pas aimer l'autre. Sous peine de glissement comme c'est trop souvent le cas.
Ne pas aimer les musulmans dans sa globalité religieuse est être Islamophobe. Mais en aucun cas ce ne peut être un critère par infériorité culturelle.
Ce serait même le contraire si beaucoup de citoyens n'étaient pas incultes de la théosophie musulmane.
Ce sont ces citoyens qui se trouvent dans pune situation d'INFÉRIORITÉ éducative.

Considérer les musulmans comme un groupe religieux inférieur de nature par leur croyance ou leur origine territoriale est l'Everest de l'OUTRAGE à L'INTELLIGENCE.
L'on ne peut s'élever plus haut dans la médiocrité.
Et bien sûr cela vaut pour les musulmans eux mêmes à l'encontre d'autres communautées politiques, religieuses, philosophiques etc. en réciprocité.

Le xénophobe ?

La xénophobie est considéré comme la peur de l'étranger.
Elle aussi à glissé au fil du temps vers la confusion avec l'ostracisme qui est : Rejeter, Écarter, bannir du GROUPE sous un prétexte, une justification, une incompatibilité.

Il semble évident que la peur de l'étranger à des sources séculaires qui tiennent à la formation de groupes sociaux qui protègent leur territoire nourricier, leurs partenaires et considèrent la venu d'un tiers avec suspicion.

L'étranger c'est celui qui n'est pas nommée, n'a pas de nom, de symboles, de différentiation à une appartenance semblable.
Aujourd'hui cela désigne l'habitant d'un autre état ou quelqu'un qui n'appartient pas au groupe.
Dans les années 50 les mariages hors village étaient mal vue.
L'on disait, il, elle a épousé un étranger, étrangère.
Quelqu'un que l'on ne connait pas.
Le mot  finit par désigner familièrement l'habitant d'un autre lieu, l'inconnu personnifié.
Des habitants caractérisés par un comportement collectif qu'on leur attribue, ou qui les distingue. Les habitants de tel village sont des "voleurs de vestes".

Il y a donc de quoi attiser les confusions.

Cette discrimination elle aussi à opéré un glissement et s'applique aujourd'hui à la caractéristique de gens qui ont en commun une pratique religieuse, l'appartenance à une nation, à un parti, à des moeurs etc. et pour lesquels l'on nourrit un rejet social ou politique.

Ceux à qui l'on attribue une caractéristique problématique ou non convenable qui relève presque de la "pathologie", car la phobie et un trouble de l'anxiété

Un comportement irraisonné,
Islamophobie, russophobie, homophobie qui relève plus de l'analyse médicale que Politique ou Sociologique.

Derrière ces phobies l'on sent poindre, de l'AVERSION un rejet presque psychique une contagion émotionnelle , presque une ,"maladie psychique".
L'on sort  alors du débat politique.

Nous ne pouvons pas empêcher l'expression de nos désamours.
Mais ceux visés par eux,  ont le droit de se plaindre de ce qu'il pense être une Intention de leur nuire.
Alors peut on dire je n'aime pas les juifs, les musulmans, les AUTRES.
Certainement , sinon il ne nous reste plus qu'à nous taire.
Dire cela n'est pas nier le phénomène conflictuel qui en découle, bien au contraire.

C'est s'en saisir, puisqu'il émerge, pour rechercher des sources et apporter une solution politique pour en éteindre les nuisances et certainement pas par des LOIS RÉPRESSIVES. 
Notre société a renouée avec les travers de l'inculture, la répression, symbole d'une INFÉRIORITÉ Socio politique ou la force remplace l'éducation.
Elle est l'évidence d'un échec éducatif, d'un échec de la tolérance à laquelle doit conduire la démocratie

L'évidence d'une information décadente qui active l'appel à la répression, qui  brûle les hommes avec des fagots de mots dans les médias pour la joie d'une populasse qui en aimé le fumé, surtout  celui du gras des riches, des élites.
Du vrai bonheur, mieux qu'une la guillotine inodore.
Une opinion aux thématiques favorites, la pédophilie, l'évasion fiscale.
Une populasse qui pense ce que pense les marchands d'informations qui font L'OPINION PUBLIQUE par sondages interposés.
Puisque cette populasse suiveuse qui brûle les autres, ne raisonne plus que dans les temples de la consommation.

Lui reconnaître le droit d'être Islamophobe est effectivement une raison d'inquiétude.
C'est un risque inhérent à la démocratie que l'on se doit de prendre.
Sinon, dans la marche vers une dictature fascisante, à laquelle l'islamophobie et le racisme contribuent, il ne faut pas se le cacher, c'est d'avoir des opinions politiques contre le système qui seront interdite.

Chacun peut percevoir la difficulté dans la quelle nous nous trouvons, que nous choisissions la répression, ou la tolérance démocratique, tous deux nous conduisent vers la dictature.
Tant que nous ne remettons pas en cause sa source la plus évidente l'exploitation Capitaliste, pour y substituer l' HUMAIN d'abord.


 






 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 29 Août 2019

Mai 429 À.V J.C. Platon.
Cette Caverne n'avait  rien d'obscur, et pourtant, chaque fois que quelqu'un se libére de son hombre  pour aller vers la lumière, il en devient "aveugle."

Voyons nous l'analogie apparaître, c'était 3700 ans avant J C , la date n'est pas très importante, mais ce que l'histoire lui a accordé d'avoir fait, certainement.

Nous l'avons reconnu il s'agit de Moïse.
Il ne verra pas la terre promise.

L'exode nous raconte son existence, ces miracles portés par la main de dieu. 
Je ne dis pas de son dieu, car s'il y en n'avait plusieurs ont les entendraient se battre, enfin je le suppose.
Toujours est il que l'histoire est crédible. Bien sûr pas comme la bible la rapporte à la lettre
En permanence il faut ajuster les évènements à la réalités de leurs périodes, que les chercheurs archéologues, exégètes, historiens recoupent avec d'autres traces du même ordre laissées par les civilisations des mêmes époques et des découvertes contemporaines. 
Naturellement entre les exégètes et les historiens subsistent des différences qui relèvent de leur foi.

Également les interprétations contemporaines, comme celle à laquelle je me livre avec des savoirs dont ils ne disposaient pas.
Cela pour dire qu'il est impossible que la bible soit le fruit d'une invention intellectuelle, car nous en sommes bien incapable, si au préalable nous avons pas reçu les informations de notre environnement.
Un monarque c'est essayé à la chose pour savoir si c'était le grec ou le latin étaient la langue de dieu
Il a isolé des enfants de tout contact et ils en sont mort.

Il n'y a donc dans la bible aucune invention humaine. 

Il y a seulement des représentations d'événements que les auteurs ont interprétés avec les codes en vigueurs à ces époques faites de divinations, de supertisions, d'ignorances, et de croyances que, quelque part, quelqu'un détient la vérité dont des hommes s'inspirent, qu'ils écoutent, et dont ils pensent avoir besoin.  

Nous en sommes toujours là, même si           certains ont remplacé par ignorance, la place qu'occupe dieu dans les sociétés humaines par d'autres croyances qu'ils pensent plus humaines, Mamon.

Une invariance d'echelle

Le rapport au chose est le même, il y a une invariance l'échelle dans nos analyses est comportements, puisque il ne c'est pas écoulé suffisamment de siècles pour faire état d'une évolution du psychisme.

Ainsi les monothéistes regardaient les autres croyances comme du paganisme, comme aujourd'hui les athées accro à la rationalité regardent les croyants monothéistes.
C'est donc avec cette réalité du monde qu'il faut vivre. 

Une Grotte ronde.

Un monde toujours dans sa GROTTE malgré lui, HEUREUSEMENT, car s'il s'y tenait en conscience se serait désespérant.

C'est bien là que se présente la difficulté.

Par quel processus se désaliéner pour une fois arrivé à la lumière ne pas devenir invisible aux yeux des autres, inaudible en s'adressant à eux. 
Comment éviter, qu'une fois vu et entendu, les hommes s'en servent pour projeter à nouveau leurs hombres.

Comment poser des évènements, réaliser des évènements dont nous n'aurions pas conscience des conséquences que nous souhaiterions qu'ils engendrent.
Comment ressentir, poser et réaliser l'inconscient.

En dehors des réflexes, tous nos actes sont des choix conscients. ils sont le résultat des évènements antérieurs uuuuuujjjh cumulés et mémorisés que nous sommes incapables de détailler en toute vérité pour répondre aux sollicitations de la planète en un instant T.

Nous ne manquons pas d'exemple où la force de l'hombre, DU PEUPLE,  se réjouit de ce que les maîtres de la GROTTE mettent au bûcher ceux qui veulent en sortir et  dansent autour d'autodafé.
Le Christ et Giordano Bruno en sont l'exemple mythique ou réel.
Le Christ montre la lumière, et quelques siècles plus tard, ceux qui s'en servent la ramènent dans l'hombre et tue celui qui voulait à son tour les en sortir en suivant sa voie et voix.

Ainsi Platon à formulé une allégorie de la GROTTE que nous retrouvons avec Moïse, Icare II siècle AV, JC et avec Jonathan le Goéland en 1970.

Moïse, l'histoire raconte qu'il monte au mont Sinaï rencontrer l'éternel où il reçoit les commandement qui vont marquer notre histoire.
Or notre histoire montre qu'il est resté inaudible à son peuple qui n'a pas arrêté de tuer et voler, comme nous aujourd'hui encore que l'on soit croyant ou athée.

Nous comprenons qu'il ne s'agit pas de Moïse en particulier, mais de tous les hommes qui ont su découvrir par l'observation du monde, ce que leur intelligence comprenait pour venir combler une perception précise ou diffusé nommée désir. L'Expression d'un MANQUE.

Mais ce n'est pas suffisant en soit

Il faut pour que ce soit comparable à la l'allégorie, que la compréhension découverte, perçu soit une élévation, une sublimation, une utopie.
Qu'il ne soit plus possible ensuite de revenir s'aliéner p dans la Grotte.  
Et n'être alors qu'un guide qui ne bénéficiera pas du monde où il emporte les hombres.

Moïse est monté vers la lumière, vers l'éternel, vers celui qui détient le Savoir.
Aujourd'hui les plus avancés des croyants nous diraient vers celui qui fit exploser le Big bang qui contient notre destiné.
Moïse s'était investi d'une mission
Il pensait  que ce qu'il avait compris du monde devait être partagé avec les hombres
Il n'est pas ENTRÉE dans la terre promise.

Dans son histoire on lit toutes les difficultés rencontrées pour convaincre les hombres.

Les hombres étaient impatientes, craintives.
Elles ont donc reconstruites ce à quoi elle avaient été éduqués à produire, le Veau D.OR.

Tout comme nous dressé à la servitude, nous reconstruisons toujours la servitude sous d'autres appellation, tel le salariat.
Et il a fallu l'esprit tortueux du PS et la crédulité des sots pour croire qu'il n'y avait plus de classe.

Ensuite il aura fallu la violence de dieu, (c'est à dire celle de Moïse et de ses disciples) pour engloutir 2500 juifs attachés à leurs hombres.
Pas tous, les autres sont les aliénés dociles, ils suivront le vainceur. 
Les autres c'est le peuple, celui qui se pliera toujours.
C'est le peuple qui sortira de la  GROTTE si la lumière s'impose.
C'est ce même PEUPLE qui maintiendra sa progéniture, sa descendance dans son hombre. 
Dans l'hombre qui naît de la nouvelle lumière.
Nous le comprenons, la lumière offre la vie et projette les hombres du vivant dans lesquelles les hommes ne distinguent pas leurs chaînes.
Sinon nous ne vivrions pas depuis plus de 5000 dans la servitude des uns aux autres.

Avec Icare fils de Dédale qui construit un labyrinthe pour cacher l'hombre des dieux, ils y furent jeter pour trahison. Et pour s'échapper Dédale fabrique des ailes à son fils qui s'élève trops prés de la lumière.

Avec Jonathan le Goéland la métaphore présente la même recherche. S'élever plus haut pour atteindre la lumière.
Les autres ceux qui vivent dans l'hombre du vivant lui reproche son audace.
Lui disent les danger de s'élever vers la lumière, VERS LE SAVOIR.

Cela ne nous rappelle t-il rien.

Dans la genèse dieu interdit à l'homme d'accéder à la connaissance sous peine de se voir nu et de devoir travailler pour se nourrir. 
Que faut-il en comprendre.
Que l'homme dans l'Éden n'avait pas eu à faire usage de ses capacités intellectuelles d'adaptation pour connaître le monde d'où il retire aujourd'hui grâce à celles ci ses besoins face à la RARETÉ.

Le prix de la connaissance présenté bibliquement comme une punition c'est le travail.
Les Grecs également considéraient l'effort pour produire comme une punition . 
Le TRAVAIL,  qui aujourd'hui est la valeur de création du Capital.

Les hommes des temps bibliques pour l'occident l'on écrit, la connaissance n'est pas sans danger. 
S'approcher du savoir absolue TUE. 
C'est pour cela que nous retrouvons toujours la connaissance de dieu, du savoir absolue que dans la mort. 
En Orient nous avons les mêmes métaphores. 
L'éveil permet de ne plus être réincarné sur terre

Le veau D'OR, le labyrinthe, l'hombre de la GROTTE, le vol des Goéland d'en bas,  représentent ceux qui ne peuvent sortir de leur routine, ceux qui font les uns comme les autres, ceux qui ont leur Psychique bloqué, ceux qui écoutent la même information, ceux de la pensée unique.

Ceux qui comme les hommes de la GROTTE vivent enchaînés à leur existence.
Comme ceux du LABYRINTHE qui tournent en rond dans leur vie.
Comme les goélands qui demeurent au ras des flots.
Comme les descendants de Caen qui périssent dans le déluge.
Comme les descendants de Noé que Moïse sauve.
Comme les descendants de Moïse que Jésus Christ vient sauver.
Comme la civilisation Chrétienne que les athées essaient de sauver avec leur état de droit.
Un long périple joncher d'erreurs mortelles dont la PIRE, et l'invention d'une arme d'anéantissement auquel le coeur artificiel ne résistera pas.

Tué par ceux qui à un moment arrêtent de s'élever, pour vivre dans l'illusion de leur existence éclairé par la Connaissance, le Savoir qui leur donne le pouvoir sur la GROTTE pour soumettre les hombres et non les libérer.

Alors est-ce la connaissance qui tue ou l'hombre. 
Nous pouvons dire presque sans nous tromper que c'est l'usage de la connaissance quand elle ne sort pas les hommes de l'hombre qui les ALIÈNE.
Parce que à un moment ils CESSENT d'apprendre pour se maintenir dans la lumière. 
Parce que leurs hombres ne peux dévoiler ce qu'ils sont.

Ceux qui ramènent l'accès à la lumière, l'accès à la connaissance, l'accès à l'élévation aux seules satisfactions de leurs hombres de leurs nécessaires illusions du quotidien où ils tourne en rond sans comprendre le monde du vivant. 
L'aliénation matérielle.

Aujourd'hui l'éducation permanente doit retrouver toute sa place.
Nous l'avons compris les hombres se cherchent toujours un SALVATEUR.
Dieu, Moïse, Christ. Mahomet, le Droit, en fait un attracteur, celui qui servira de guide parce que les autres restent dans L'HOMBRE rassurante. 
Dans l'hombre uniformisante où tout devient problème, problématique quand un point s'y distingue.
Non parce que c'est réellement un problème, mais il est problème parce que nous sommes ignorant de sa source.

Parce que notre hombre nous suit.
Il y a un seul moment où l'hombre s'efface, où nous sommes obligés de nous regarder car il n'y que NOUS.

C'est au moment du ZÉNITH.

L'hombre est sous nos pieds écrasée par l'ÊTRE qui se cherche depuis des siècles et n'est lui même qu'au ZÉNITH.

Toutes ces métaphores font l'éloge du Savoir. 
Or nous l'avons compris il n'est pas la lumière, mais son dépassement. 
La vie est derrière elle. 
C'est celle que nous ignorons et qui n'est pas inaccessible pourvu que tous les jours en apprenant l'on construise la route qui y conduit, sans se faire arrêter par la servitude volontaire

EDGAR MORIN ne s'y est pas trompé la vie est dans la seule réserve à conquerrir, le magasin de la méconnaissance.

C'est donc L'ÉDUCATION PERMANENTE qui nous sortira de l'hombre.


 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 24 Août 2019


J'ai appris comme tout un chacun la théorisation des économistes dans les écoles de la République. 
EN principe charger de nous instruire et nous donner les moyens de comprendre l'existence dans laquelle nous vivrons.
Notre monde. 

Il ne s'agit pas seulement de comprendre un monde économique, mais de comprendre comment l'homme, l'humain se positionne avec son psychisme dans la vie pour réaliser sa finalité, développer son espèce avant de disparaît à tour de rôle.
Mission accomplie ou non

Globalement nous n'avons pas encore pris la mesure de ce cela signifie empêtré dans nos manuel scolaire qui ne peuvent pas tenir compte de ceux qu'ils ignorent.

Ils ne sont qu'une marche sur laquelle l'on s'appuie, pour aller au delà, tendre notre cerveau plus haut, à l'écoute du monde qui nous percute. Celui avec lequel nous allons devoir éditer un nouveau manuel scolaire, et porter les autres aux archives
Laissant ainsi une trace de notre évolution, pour que nos descendant sache quels chemins ils ont parcouru. 

Nous avons cette trace, pas celles des archéologues, même si elle est indispensable pour estimer ou révéler l'évolution de la vie. 

Mais les traces de la compréhension sociale de l'origine de la vie, par ceux qui nous ont précédé, et qui par leurs analyses ignorantes de tout ce que nous comprenons nous ont ouvert la voie.
Cela sans en avoir la moindre intention, ni celle de s'inscrire dans une évolution, même si les philosophes Grecs posaient l'importance du mouvement.

C'est la BIBLE pour l'occident, qui est l'histoire de ce que les hommes de leur temps avaient à l'écoute du monde entendu Dieu parler à certains d'entre eux Abraham, Moïse d'abord.
Puis il sait fâché contre ceux qui ne le comprenaient pas. 
Et il décida de copuler aver Marie la femme d'un charpentier pour donner son fils comme guide.
L'occident connait la suite puisque nous la vivons depuis. 

Pourtant comme les juifs n'avaient rien compris aux messages d'Abraham et Moïse,
Les chrétiens n'ont pas plus compris  le message du Christ. 
Et aujourd'hui qu'il est plus clair, dieu est soumis aux mathématiques du marché.

L'on peut penser que je m'égare car il n'y a la point de RARETÉ.

Et pourtant c'est par cela que commence la Bible, le manuel scolaire de l'occident Chrétien qui se lisait dans des temples avant d'investir des universités. 
Pour qu'enfin des illuminés veuillent, comme Nietzsche tuer Dieu à cause de la stupidité de leur magistère qui avaient proscrit la philosophie Grecs. 
Si Jésus Christ avait su cela, je suis certain qu'il serait rester au tombeau au lieu de ressuscité.
Pour que les "adulateurs" de Nietzsche ne m'en veuille pas. C'est comme si le pendule voulait tuer le clou qui le tient et permet son mouvement par le lien qui les réunit. 
Dieu c'est le clou. 
Alors c'est possible de devenir le clou mais pas de notre vivant.
Car quand nous voyons un pendule remonter le fil pour atteindre le clou. 
Nous appelons cela un yo yo.

Ce point humour mis à part, le premier livre de la BIBLE, celui de la genèse nous dit ce qu'est la RARETÉ.

C'est l'histoire de l'homme et de la femme qui vivent nu dans le jardin de l'ÉDEN.
L'homme nu c'est l'homme à l'état nature comme importe lequel des d'animaux.
Situer l'Éden dans le temps, non comme lieu Biblique d'un jardin d'abondance, mais comme la métaphore d'un environnement propice où l'hominidé que nous sommes trouve sa nourriture en cueillant ou attrapant de petit animaux, ou mangeant des animaux mort.
Nous convenons tous qu'aucun d'entre nous n'a jamais rattraper un lapin à la course.

Cela nous conduit à la fin de l'australopithèque et le début des premiers hommes, l'Homo habilis, jusqu'au début du néolithique nous.

Une longue période de quelques millions d'années dont il est impossible que les hommes aient gardé jusqu'aux Sumériens la mémoire de leur épopée. 
Également celles des raisons pour lesquelles ils ont quitté leur jardin d'Éden, (qu'il faut traduire par territoire où l'homme  trouvait sa nourriture);.
Cela la conduit à devenir nomade et essémer de par le monde pour trouver des territoires nourriciers, sur lesquels l'homme a pu s'installer en découvrant l'usage d'outils et de techniques de culture et de chasse.

Les quelques tribus indigènes qui existent encore en Amazonie et en Indonésie témoigne que la circulation des hommes sur la planète n'est pas du au loisir mais à la recherche d'un territoire nourricier.
Ces tribus ne quittent pas leurs territoires pour découvrir si la terre est ronde. S'il y a des trous noirs dans l'univers. 
Si l'homme s'inscrit dans un projet, une finalité existentielle de la création.
Toutes ces interrogations n'auraient pas eu lieu sans un ATTRACTEUR.
C'est à dire que l'observation de notre environnement calme notre manque qui est du à la consommation d'énergie pour vivre.
Chez les tribus indigènes ce manque est satisfait dans un territoire qu'il n'ont pas à quitter.

EN conséquence de quoi leurs interrogations sont adaptées à leurs environnements qu'ils ont du comprendre pour en retirer leur auto suffisance qui les maintient dans une économie d'abondance.
Ils ont tout comme nous régulé leur groupe, se sont posés des interrogations induites par leur environnement.
Dans les forêts les tribus sont généralement  des animistes, et n'auront jamais de dieu de la mer comme les Grecs, ou des contes de Yéti comme dans les montagnes Himalayennes.
 Pourtant ils savent compter comme nous.
 Et comme nous pour ce qui leur sera utile. 

Il n'ont pas de troupeau, une activité pastorale qui situe dans le néolithique le temps d'Abraham  conté dans la bible et qui marquera les métaphores du Christianisme. 

Leurs doigts suffit donc, alors que nous pour calculer les masses monétaires, les étoiles dans l'univers il nous faut des ordinateurs.

Ces hommes ne sont ni barbares ni demeurés, ils sont aussi intelligents que nous.
Ils ont la même capacité que nous a créer des ordinateurs, à la différence, qu'eux n'en ont pas BESOIN.

Comprenons donc que nous ne créons des choses que parce que notre environnement nous y contraint. Même si nous l'appelons dieu.
Le fait que nous nous soyons inscrit dans cette dynamique depuis le premier outil avec une expansion exponentielle reste toujours sous la contrainte de notre environnement et non de la qualité de notre libre arbitre.  
Celui ci est encore un dernier stade de notre ignorance, de notre peur de l'inconnu, de l'incertitude. 
Le besoin de nous rassurer sur la maîtrise de notre destiné ultime stade de l'incompréhension de la raison des choses.

À ces tribus rasons leurs forêts et ils deviendront comme nous. 
Devoir TRAVAILLER pour PRODUIRE.

C'est écrit en toute lettre dans la genèse.

17 Il dit enfin à l’homme : « Parce que tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé le fruit de l’arbre que je t’avais interdit de manger : maudit soit le sol à cause de toi ! C’est dans la peine que tu en tirera ta nourriture, tous les jours de ta vie.

Nous avons là d'écrit en conte ce que les hommes avait déjà compris de leur nécessité de travailler pour produire.

À quelle  période du néolithique cette prise de conscience eu lieu, comme l'indique l'arbre de la connaissance, nous n'en savons pas grand chose.

La faute de la femme est elle seulement de devoir  lui assurer sa subsistance, parce qu'elle n'avait plus les moyens d'y parvenir par la cueillette.
Nous oublions toujours de prendre en compte la fécondité de notre espèce qui est d'une gestation de 9 mois, et que la régulation des naissances n'était pas de mise et le taux de mortalité certainement élevé. ( d'où le multiplier vous ou la descendance d'Abraham).
Est ce que cela correspond à la période où l'homme ignorant d'être géniteur adulait la femme, comme le montre des effigies de statuettes féminines enceintes avec de grosses mamelles nourricières.
Est la période où la terre fut nommée Gaïa, la terre nourricière.
Autant de supposition que ceux qui ont écrit la genèse auraient reformulé, forcément en ayant eu accès à l'écriture,  Il y a 5 300 ans.

Cet événement c'est certainement différencier suivant la richesse des territoires, et comme nous l'avons vu n'a pas affecté les tribus indigènes.

Par contre l'occident judéo-Chrétien vie suivant la compréhension des hommes qu'il faut qu'ils travaillent pour se nourrir, car quand L'HOMME NE TRAVAILLENT PLUS, LA RARETÉ S'INSTALLE.

Nous comprenons que la RARETÉ n'est pas ce principe égoïste qui guident les Capitalistes, celui que l'on enseigne en économie.

C'est celui qui conditionne depuis le paléolithique l'existence de L'HOMME en remplacement de la cueillette par le Travail de transformation pour chasser puis, de l'élevage et de la culture. 
L'industrialisation n'est venu qu'apporter un confort et une production de masse.

Qui dit rare dit compétition. Là encore la Bible nous le raconte, les hommes n'ont pas attendu le Capitalisme pour le comprendre, si bien que Caen à tué Abel parce que l'élevage nourrissait mieux que l'agriculture.

L'histoire nous dit qu'il fut punit à l'errance c'est à dire banni. Qu'il fut interdit de tuer Caen sous peine qu'on ne le venge 7 fois.
C'est lui qui fut l'ancêtre de la ligné l'humaine. Celle qui fut détruite par le déluge parce que mauvaise. Puis réorganisé par Moïse, sans plus de succès, comme les suivant le Christ et Mahomet, à fin d'en arriver au PIRE le plan comptable à qui nous devons les armes nucléaires avant le coeur artificiel.

Toute notre existence subit l'influence de cette lutte pour la répartition de la RARETÉ.
Elle a généré nos règles d'où a découlé la morale qui consiste à imposer des comportements sans être capable de les expliquer pour les faire accepter autrement que par la violence publique.
Mais qui dans notre société sont faites pour que l'on ne conteste pas la répartition de la RARETÉ  sur la base de règles parfois humainement  iniques.

Ainsi retrouver l'abondance n'est pas produire en masse mais se faire REMPLACER au TRAVAIL ou faire produire à la nature nos besoins alimentaires. L'inverse du discours de MACRON et de tant d'autres.

Une révolution des esprits sauf pour les spéculateurs en bourse
 Pour le reste instruisons nous tous, et cela jaillira de nos cerveaux.

J e sais ce n'est pas pour demain, mais c'est en route.

        


 


 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 22 Août 2019


La fiscalité fait débat depuis des lustres.
Les impôts ont toujours mauvaise presse.
Les citoyens réclament que l'on impose le capital.
Cela nous conduit à pester contre la diminution de la fiscalité des Sociétés pester contre celles qui pratiquent l'optimisation fiscale ou celles qui fraudent dans vergogne.

Cela nous cause t-il réellement du tors ?
Qui la paie ?
C'est que je nous invite à regarder.

Les économistes ou les infos nous présentent toujours des analyses fragmentaires par élément ou groupes éléments retenus.
Commentés séparément et dissocié de l'ensemble ils ont peu d'intérêts, ils ne livrent pas ce qui s'y cache.

Ex, le taux de prélèvement est calculé sur tous les revenus qui y ont été soumis, moins les sommes redistribuées en prestations. C'est un calcul qui en vaut un autre,  c'est un choix politique.

L'on comprend que cela semble logique puisque ces prestations sont du Prélèvement. (Bien que certaines indemnités  y soient soumises)

Or le salaire des personnels du secteur public, du président aux élus, armée, police, éducation, sécurité sociale, collectivités territoriales et tous autres services ont leurs revenus salariaux ou non rémunérés par les PRÉLÈVEMENTS constituant le budget de l'état et celui des collectivités territoriales.

De plus tous ces personnels qui reçoivent comme salaire des prélèvements y contribuent également.
Cela revient à dire que les PRÉLÈVEMENTS sont imposés une fois de plus. Impôt sur l'impôt.
C'est comme si ces personnels remboursaient une partie des prélèvements perçu, s'auto finançaient.

Je poursuis avec un schéma d'ensemble d'école.

Une entreprise rémunére  100  son salarié pour un travail.
Ce salaire s'inscrit comme charge dans le plan comptable.
Sur ces 100 le salarié paiera la TVA, l'impôt sur le revenu,  les impôts des collectivités territoriales et les cotisations obligatoires.

L'entreprise sera également soumise à ces prélèvements.

Elle paiera l'impôt sur les Sociétés, IS, les impôts locaux, IL, et tous les PRÉLÈVEMENTS obligatoires, plus la TVA sur sa consommation de produits finis.

Au total  la somme des deux représente 45% de prélèvement sur le PIB. Soit 1077 milliards € en 2018
le lien https://www.lesechos.fr/.
Pour le cas d'école que je vais présenter leurs valeurs seront indicatives.

L'entreprise agit comme un filtre.

Tout l'activité économique passe par les structures de production réglementées par le plan comptable .
C'est le filtre d'où s'extrait le Bénéfice individuel de leurs propriétaires.
L'entité juridique à une Personnalité Morale,
Les citoyens une Personnalité Physique.

L'entreprise retirera ses moyens de fonctionnement de la vente des productions issus du TRAVAIL HUMAIN, et seulement de cela, quels que soit les intermédiaires technologiques ou animaliers.

Savoir qui est leurs clients est essentiel.
Car ce sera l'Humain, LUI, rien que LUI et toujours LUI.

La formation du Capital.
C'est la capacité à échanger de gré ou de force, produite ou volée,  développé au fil des siècles en accumulant les produits du travail Humain.
Cela quelle qu'en soit l'équivalent référentiel monétaire.

La rareté.

C'est la RARETÉ qui a forcé l'homme au travail, c'est à dire PRODUIRE ce que la planète ne DONNE pas sans un effort de travail humain de Transformation.

L'abondance.

C'est le désir "d'ABONDANCE" qui l'a pousser à l'exploitation de ces semblables et au développement technologique. ( Lien)

L'universalité.

Il y a pas au monde un CAPITAL qui ne vienne pas du travail Humain, quel qu'en soit le détenteur ou les modalités pour l'obtenir, ( tels les rapports financiers)

Ceci posé, pour ne pas croire que la richesse est créé par l'entreprise (PM) ou la technologie ou les animaux.
Ils ne sont que des prolongements de nos bras et de notre cerveau.    

Le client.

Le client de l'entreprise sera celui qui possède un revenu. Un moyen d'échange.
L'histoire humaine en ayant nanti les possédants.

Le SALARIAT

C'est par là force que les possédants ont consenti à partir de 1804 de rémunérer les Humains qu'ils tenaient dans l'asservissement.
Ils sont devenus des hommes recevant un salaire, des SALARIÉS. Ils composent le salariat.

Le salarié sera le client essentiel de l'entreprise dans laquelle il travaille.

Il achètera ce qu'il produit avec le capital que l'entreprise lui verse comme salaire.

Une circulation simple.

Le capital verse un salaire pour produire,.
Ce salaire s'échange contre ce qu'il a produit quand le SALARIÉ qui la reçu, devient client et acheté son travail
Par cet achat le salaire retourne  au Capital majoré des besoins des propriétaires du Capital Investi pour créer une entreprise, dans le but de dégager des Bénéfices, et non de créer des emplois.

Je poursuis le cas d'école pour situer qui paie IS et IL

Le salarié Prélève obligatoirement, la TVA, l'impôt sur le Revenu, les versements obligatoires, soit au total 45 %.
L'on se souvient que l'entreprise lui a versée 100. En retirant 45 de PRÉLÈVEMENTS il lui reste 100 - 45 = 55 pour achèter son TRAVAIL.

L'entreprise nous l'avons vu soumise aux prélèvements verse au trésor public 45 comprenant IS et IL.

L'entreprise va devoir vendre à ses clients le salaire 100 + ses 45 de prélèvements, soit  145 de  versements obligatoires.
Elle transfère ainsi le Salaire et ses PRÉLÈVEMENTS, comportant IS + IL, sur les clients.

Frais de fonctionnement.

L'entreprise devra également vendre ses frais de fonctionnement et de structure.

Ils se composent de rien d'autres que les salaires et versements obligatoires + frais+ structure + dividendes des employeurs fournisseurs.
Ce n'est qu'une fraction de travail humain, augmenté d'une marge bénéficiaire, disons 55.

L'entreprise devra au minimum vendre son produit de 100 de Salaire + 45 de PRÉLÈVEMENTS incluant IS et IL + 55 de frais généraux et de structure = 200.

L'entreprise va calculer une marge qui lui assure en réalisant son chiffre d'affaire de couvrir tous ses coûts afin de dégager un Résultat Bénéficiaire. Admettons qu'elle envisage un résultat après impôts de 100.

Le chiffre d'affaire nécessaire sera égal à 100 de salaires + 45 de prélèvements + 55 de frais de fonctionnement + 100 du résultat espéré = 300.

L'entreprise devra vendre le travail de son salarié 300 pour espérer son résultat de 100.

Les l'employeurs ou les actionnaires, qui recevront ce résultat de 100 comme revenu,  verseront la TVA, l'impôt national et celui des collectivités locales, plus les versements obligatoires de leurs statuts d'employeurs ou de leurs rapports financiers.Disons 40.

Sur ces 300 l'état et les collectivités auront prélevé 45 du salarié + 45 de l'entreprise comprenant IS et IL, + 40 des employeurs = 130 de versement obligatoires.

Ces 130 rémunéreront les salaires des personnels des service publics, les indemnités des élus +  les frais de fonctionnement et accords internationaux pour rendre aux citoyens les missions qu'ils leur ont confié.

D'une certaine manière nous achetons les services de l'état et des collectivités, en rémunérant ses agents pour qu'ils les exécutent.
Nous indemnisons les élus pour que ce ne soient pas que les riches qui puisdent être élus.
Si nous pouvons trouver anormal que les salariés soient exploités, ce n'est pas qu'en tant que citoyens nous exploitons les salariés des services publics, ce à quoi nous souscrivons dans notre absolue crétinerie depuis 1995 en écoutant les discours lénifiants des Capitalistes qui veulent toujours réduire les charges, comme si elle n'avait pas une vie, humaine de surcroît.

Réduire les impôts, c'est réduire les services publics s'ils ne sont pas remplacer par une évolution technologique ou une obsolescence.
C'est réduire une obsession lié à un atavisme Monarchique, c'est nourrir une illusion que nous allons toucher du doigt

Dans le cadre d'une privatisation au lieu de verser 130 aux services publics à but non LUCRATIF, qui retournent au CAPITAL quand ses agents consomments.
Ces130 retourneraient toujours au CAPITAL majorés d'une marge pour dégager un Résultat Bénéficiaire plus important dans une société à but LUCRATIF.

Nous comprenons donc dans ce processus que le client salarié qui a versée 45 de PRÉLÈVEMENTS sur son Salaire de 100.
Quand il achète son travail que l'entreprise lui vend 300, il achète en même temps l'IS et IL.
C'est comme si le SALARIÉ avait paye directement au trésor public l'IS et IL avec son Salaire.
L'entreprise ne sert que d'intermédiaire comme pour la TVA.
Pour le schématiser, le capital verse 100 de Salaire, le SALARIÉ verse au trésor public 45, puis achète les 45 de l'entreprise.
Au total de manière directe et indirecte il finance 45 + 45 = 90. Et ce n'est pas finit.

Nous nous souvenons que le résultat Bénéficiaire est soit distribué aux actionnaires, soit directement encaissé par l'employeur.
Mais sous une forme ou une autre il est soumis à l'impôt sur le Revenu et à la TVA dans le cadre de la consommation.
Le SALARIÉ CLIENT achetant  aussi le résultat Bénéficiaire, il achète l'impôt et la TVA qui seront réglés avec, de manière indirecte.

Il paie donc directement ses PRÉLÈVEMENTS, puis il finance ceux de l'entreprise et de l'employeur, pour rémunérer les agents de l'État et ses services qui les rendrons aux CAPITAL par leurs consommations. Soit 100 - (90 + 40) =  - 30.
J'espère que chacun mesure que le Salaire paie quasiment les PRÉLÈVEMENTS.

Pour le mesurée réellement, vous déduisez de votre salaire net  les charges patronale qui y figurent. Vous allez sur le net à gouV vous rechercher montant de l' impôt sur les société vous le divisé par le nombre d'actif moins les agents de l'État et des collectivités et vous obtiendrez approximativement ce que vous financer indirectement à soustraire aussi du salaire net, également moins votre propre impôt. Vous pouvez faire le même processus pour les impôts locaux, c'est un peut plus compliqué.
Vous approcherez votre pouvoir d'achat réel suivant votre rémunération.

Le prix d'un produit.

J'espère que chacun comprend que le prix d'un produit pour sa valeur intrinsèque ça N'EXISTE PAS.
Nous n'achetons que du travail humain rémunéré en fonction de l'utilité suggestive ou réel d'une production plus ou moins rare, comprenant une partie sociale le SMIC et une partie professionnelles, un revenu binôme.
À cela s'ajoutera le train de vie de l'employeur.

J'espère que chacun comprend aussi qu'il peut resituer les récriminations des employeurs qui se plaignent de payer L'IS et L'IL., Ils ne manquent pas de toupet.

C'est pas finit. L''emprunt.

L'on va oublier un instant que l'on se fait abuser par un état de vulnérabilité intellectuelle des salariés.

Nous avons vu que le TRAVAIL du salarié doit être revendu 300 par l'entreprise.
Or le SALARIÉ ne dispose que de 100 moins les prélèvements 45 soit 55.

Il va devoir emprunter pour bénéficier de son travail. Pour bénéficier de la valeur d'échange correspondant au travail fournit.
Son travail est vendu 300  et il ne dispose plus que de 55 nous l'avons vu.

Si nous tenions compte des paiements de PRÉLÈVEMENTS indirecte qu'il finance, il faudrait ajouter 45 + 40 = 90, il serait à moins 35.
Pour achèter son travail le SALARIÉ devra emprunter 55 - 300 = - 245.
À qui ? au CAPITAL contre un intérêt nous allons l'estimer à 20.
Le SALARIÉ rendra 245 + 20 = 265.
Son travail lui aura coûter 300 + 20 = 320 pour en disposer.
Nous voyons bien que ce que nous achetons n'est pas un objet, mais seulement du travail, de l'énergie humaine.

Il faudra un jour intégrer cette donnée d'énergie qui est une valeur universelle, comme le temps, pour calculer le prix réel du travail car l'énergie est mesurable.
Ainsi le produit du travail devient mesurable, le temps passé multiplié par l'énergie consommée divisé par le nombre de produits réalisés et c'est universellement comparable.

Nous avons fait la boucle. Nous avons compris j'espère qu'aucune entreprise ne paie d'impôts, elle n'est qu'une boîte à lettre.

Pour l'essentiel c'est le client salarié qui achète tout, le coût de l'entreprise et des ressources de l'état et des collectivités.

Quelques valeurs indicatives.

Des 28 millions d'actifs 26 sont salarié et parmi eux 5 millions dont des personnels de l'état et des collectivités.
En conséquence seulement 21 millions financent à peut près tout.
Cela n'est qu'un schéma caricatural car de nombreuses variations ont lieux, mais il est irréductible.
Le salarié touche 100 - 45 de charge reste,55 pour acheter son travail qui lui sera revendu 320, dans lesquels sont compris les impôts sur les sociétés qui sont l'objet de l'optimisation fiscale, l'évasion ou la fraude fiscale.

Si nous avons suivit le cheminement ce sont les salariés qui ont financé par leurs salaires et leur emprunt le montant de cette évasion fiscale ou de cette fraude.
C'est leur travail et pas celui de l'entreprise.

Je pense que nous pouvons concevoir que ce schéma serait un problème que comprendrait un enfant de 12 ans si ont l'énoncé de la sorte; qui finance l'évasion fiscale et à qui elle profite ?

Un SALARIÉ ne peut pas ACHETER son travail qu'elle que soit le salaire qu'il reçoit.
L'organisation économique n'est pas faite pour qu'il en Bénéfice mais pour être exploité.

C'est aussi vrai pour les stars salariés du foot-ball où autres que l'on envie tant.
Leur club revend leur salaire à leurs supporters et aux télés qui elles revendent le tout à leurs clientèles (télés payantes) ou aux publicitaires.
Ces derniers rentreront ce coût dans le prix du produit du travail du salarié client, auquel il sera revendu même s'il n'aime pas le foot-ball.

Quel que soit l'élément ou groupe d'éléments que nous analyserons, remis dans l'ensemble cela nous ramène toujours au salarié client qui produit.

Si nous voulons savoir quelle est la valeur monétaire référentielle en vigueur de son travail nous prenons le PIB et nous le divisons par 21 millions d'actifs salariés.
Le PIB 2018 environs 2,660 billions de dollars US sur 21 millions de salariés égale 127 000 dollars US soit 114 300 € par salarié
Avec la prise en compte des employeurs actifs 24 millions au total , cela donnerait 114 000€ par actif.
L'on voit que noyé dans la masse moyenne leur travail actif n'est pas déterminant. Mais ce n'est qu'une vision, un regard, une mesure mathématiques, ce n'est pas la réalité, car les masses monétaires qui circulent dans le monde forment leurs capitaux,v sans qu'ils aient eu une seule fois envie de les partager si ce n'est que contraint.

L'evasion fiscale.

Elle est estimé entre 25 et 100 milliards, et seulement 16 de récupérer.
L'estimation n'est pas une donné fiable, mais rapporté au 21 millions de salariés environ 1190 à 4761€ par salariés qui sont à comparer au 114 300 € de production de richesse.
Tout ce qui peut être dit sur cette évasion fiscale c'est qu'elle ne bénéficie pas directement à la collectivité publique.
C'est à dire seulement à sa destination.
Car quel que soit sont usage elle est financé par le salarié et retourne au CAPITAL.

Ce sont des éléments comparateurs sans valeur réelle des inégalités patentes entre revenus, même au sein des employeurs actifs.

Dernier point.

La SA Personnalité Morale.

Plutôt drôle pour des entreprises qui exploitent leurs SALARIÉS.
Cela poursuivait un objectif que l'on impute pas sur les biens personnels des propriétaires le passif.
Les conséquences en sont maintenant, qu'il est, je l'espère plus facile de comprendre, quand une entreprise est juridiquement pénalisé nous savons qui PAIE.
Quand au nom du CETA une entreprise demandera des dommages à l'État nous savons qui PAIE.
Depuis 1976 j'ai intégré ce schéma quand un employeur m'avait répondu : je veux bien vous payer un millions si je peux vous le revendre.

Alors pourquoi ceux qui gagnent la richesse du pays sont ils incapables de réclamer leur dû ?
Sommes nous irrévocablement des Crétins ?

Cela nous laisse je l'espère interrogatif sur l'usage de nos capacités de réflexions et d'analyses.
Cela doit nous interroger ?
Comment des citoyens que nous instruisons, avec des capacités intellectuelles reconnues appartenir aux élites, acceptent le déroulement d'une exploitation d'évidence
qu'un enfant de 12 ans comprendrait ?
Comment nous même ne comprenons nous pas cela ?
Comment continuer à réclamer des salaires  que nous rachetons au double ?
Comment accepter encore qu'entreprendre emporte le droit d'exploiter les autres ?
La question qui tue !
Comment une PLANÈTE entière peut accepter cela sans se révolter ?
Ce questionnement nous renvoie, non pas au mathématiques mais à notre organisation psychique émotionnelle malléable, adoptable, c'est a dire a HUMAIN d'abord.

Chacun peut refaire ce cheminement  avec des taux de prélèvements exacts, mais c'est un casse de tête chinois sur lequel planche les ordinateurs du fisc et du trésor public hors de portée de mes capacités et de ma calculette.

Tout ceci ne remet pas en cause la place des DÉCOUVREURS ni des ENTREPRENEURS, mais ils n'ont une PLACE que dans celles organisées par le groupe, dans la recherche atavique de l'abondance, qui n'apparait pas sans une analyse historique.

C'est cette même recherche de la facilité, du moindre effort qui nous conduit à n'être que des salariés soumis ou des entrepreneurs habiles pour cumuler l'abondance.
J'ESPÈRE que nous comprenons que notre organisation est culturelle, que la capitalisation de toute chose ne l'est pas pour sa valeur qui n'existe pas en dehors de notre imaginaire nourri par un atavisme innée.









 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 21 Août 2019

Aujourd'hui plus qu'hier nous savons que l'homme est en devenir. Comme toutes les espèces il possède les attributs innées pour s'adapter à l'évolution de la planète. Seulement ces évolutions interfèrent suivant les espèces dans une chaîne alimentaire à des temps et des vitesses différentes dont il doit tenir compte pour comprendre les évolutions qui en découlent.

Les découvertes bb archéologiques sont d'utiles indicateurs qui viennent préciser des perceptions définies dans des contes  allégoriques, que retracent des fresques, des sculptures, des livres sur les interrogations des hommes de manière empirique.

Celles-ci marquent encore nos    dans un immobilisme de fondements religieux pour réguler la concentration humaine organisé pour produire la rareté.
Les sciences qui sont sorties de la philosophie ont précisé la biologie humaine.
Aujourd'hui encore la biologie se confronte à des préceptes cultuels qui ont structuré la culture humaine en définissant la Morale.

Au fils des siècles la nécessité de se rassurer à développé des freins à l'évolution par la définition d'une Vérité absolue déterministe d'émanation transcendantale. Sa remise en cause se reformule sous un paradigme de comptabilisation mathématique en accordant aux mathématiques ce même caractère l'absoluté rassurant et déterministe.

Ce n'est pas sans drame que les deux approches de l'absolu cohabitent pour interpréter et coordonner nos actions face à l'observation du réel et sa perception émotionnelle qu'interprète  notre apprentissage pour satisfaire nos désirs dans un cadre d'interférences sociales stabilisatrices. 

Il ne s'agit pas de dire que tout est relatif, mais vivre cette relativité au rythme de milliards d'actions dont nous ne pouvons tenir compte et dont nous ressortons une ineptie, Le Libre Arbitre.
Son origine retrouve dans la liberté accordé par dieu au peuple juif et ensuite conforte par le Christianisme pour que l'humain choisisse entre le bien et le mal. Suivant le principe où la bonté venant de dieu, le mal ne peut être que le choix de l'homme libre.
Cela le rend donc responsable de ces choix.

Ce concept encore d'actualité ne correspond plus à la connaissance du monde et de l'homme. C'est sa génétique dont il est dépendant et le territoire où il n'ait qui détermineront les choix qu'il fera pour toute chose pour survivre et se multiplié. L'homme n'est qu'un acteur conscient de son existence, dont chacun de ses choix à une incidence sur l'environnement dans lequel il évolue. Sans nécessairement en connaître les effets au delà de ce dont il a conscience.
En conséquence de quoi il ne peut être tenu responsable des choix qu'il aura à faire, mais pourra être écarte de ceux qui nuisent à ce qu'il est.

La faculté humaine de nommer toutes choses leur a apporté une valeur pour ce qu'elles nous apportent et non pour ce qu'elles sont. Il en est de même pour nous.  Ce sont les autres qui nous nomment en fonction de la place que l'on occupe  en s'étant glissé, inscrit dans les traces des choix qu'ils nous ont laissé. 
Nous nous les approprions pour exister dans une destiné unique interdépendante où l'un ne peut survivre.
L'obsolescence de toutes choses se perçoivent à des vitesses différentes suivant la nature intrinsèque de chacune et non en fonction de la valeur d'utilité où de désirs suggestifs que nous leurs attribuons.

Par nos choix nous réaliserons un monde de corrélations continues dont les besoins innées fixeront les modalités répétitives, toujours nouvelles sans que nous puissions les percevoir comme telles.
Nous définirons un monde à la mesure de ce que nous sommes et non de ce qu'il est sans pouvoir éviter que son état objectif ne nous affecte.
L'homme a conscience de cela, conscience de sa dépendance envers une organisation initiale qu'il suppose être et est donc en mesure d'exister sans que cette perception ne soit rien d'autre que celle de la mesure de l'interconnectivite de ses sens.

EN ont découlé des organisations paradigmiques de l'innée qui est le seul élément stabilisateur, par la lenteur de son évolution pour intégrer des paramètres culturels.
Tout nouveau né doit réapprendre  les savoirs cumulés par leurs ascendants.
De sa distribution vont découler les inégalités structurelles et l'évolution de toutes les civilisations par l'approche même qu'on leurs accorde pour s'adapter à l'évolution.

Clairement nous comprenons des lors que le temps va être un déterminant essentiel pour mesurer une évolution que l'on ne perçois pas mais que nous vivons. Nous appelons cela l'usure dont la connaissance de son application dans les organisations culturelles pose problème face au besoin de certitudes. C'est la problématique des sciences humaines dont la connaissance de l'homme par lui même ne peut pas aboutir à un l'absolu. 
Ainsi tous comportements qui en découlent retranscrivent les effets des événements qui ont été à leurs sources. 
Nous accordant en critique et jugement que sur ceux saisissables, renvoyant les autres à l'inconscient.
De la sorte toutes organisations s'appuyant sur les sciences humaines sont de nature relatives à leurs observateurs.
Ainsi tout ce qui en découle peut évoluer, conformément à leurs observations fragmentaires du monde compréhensible. 
Il dévoile notre propre construction cérébrale et biologique, sans laquelle il ne serait être comme nous le voyons.

Faire cet aller retour philosophie s'oppose aux certitudes religieuses et aux normalisations mathématiques de la mesure de nos existences.
Certaines de leurs applications sont des biais confirmant comme absolue une organisation culturelle de l'adaptation de caractères innées pour se rassurer.

C'est le piège constant inévitable qui façonne toutes les diversités culturelles en relations étroites avec ce que chacune d'elles ont pu comprendre et retirer de leurs déploiement environnemental sur un territoire de survivance.

Faire survivre toutes choses semble animer la volonté humaine pour vivre dans le connu, le nécessaire, le rassurant afin d'éviter toute angoisse.
L'autarcie offre cette garantie tant qu'elle peut être pérenniser. 
L'incertitude naîtra de trouver au dehors de ce périmètre rassurant ce qui s'épuisera naturellement comme ressources.

Nous pouvons dire que si l'homme  la femme représente la complémentarité primordiale à notre espèce, l'assurance et l'incertitude sont eux le complément indispensable à son développement.
L'avenir repose sur l'incertitude du développement et de la pérennisation de ce dont nous dépendons sans pouvoir être assuré, suivant leurs natures intrinsèques, qu'elles ne s'épuiseront pas où se transformeront pas.
Notre devenir passe par la conquête de l'incertitude en etant assuré de ne pas s'y perdre. 
Nous savons qu'il s'agit là d'une fausse perception nécessaire pour franchir l'inconnu.

Ainsi sortir du Capitalisme c'est accepter une inconnue.
Capitaliser c'est accumuler pour se garantir contre ce qui peut disparaître et dont l'on a besoin ou qui peut nous manquer du fait de sa rareté.
Si il y a là un comportement normal pour s'assurer d'une abondance. Le fait de devoir produire par le travail nos besoins a développé des relations d'interdépendances. Les répartissons des tâches qui s'en suivent ont défini des castes et classes sociales y compris la place de chaque genre humain en fonction des technologies développées parmi elles.
Un ensemble de stratifications ordonnées pour se répartir la rareté dont découleront la morale et les lois positives suivant la concentration humaine dans un même espace ou territoire.

C'est dont sous le poids de la rareté que se sont déterminés de nouvelles règles  morales et droit positif que celles en vigueur dans les groupes autarciques auto-suffisants.
Deux seront déterminantes pour caractériser  le Capitalisme par les moyens mis en application pour le caractériser comme système d'exploitation de l'homme par l'homme.
L'existence de la rareté et la recherche du moindre effort pour l'obtenir.
La rareté impose  un travail qui engage un effort supérieur à celui consenti pour la cueillette.
La recherche du moindre effort pour obtenir l'objet de ses désirs.

Nos caractères innées vont donc se déployer dans un environnement appauvri,  suscitant des capacités latentes qui s'appuient sur nos facultés d'apprentissage et de mémorisation, pour se nourrir et se protéger.
La connaissance de nos ancêtres est récente en date de 1856, et jusqu'à lors la religion expliquait l'origine humaine. 
Son organisation codifié par des lois divines politiques reliait les hommes dans des communautées fraternelles, s'opposant entre-elles, venant se substituer inégalement aux organisations tribales de groupes restreints.
Le pouvoir tutélaire divin polymorphe se "monothéise" et structure des magistères doctrinaux validant le pouvoir temporel de la survivance d'ordres dominants où coutumiers
La relation maître serviteur sortie de la répartition des tâches et du pouvoir guerrier garantissant la sécurité se pérennise et se structure comme situation existentielle naturelle,  voire admise comme innées, puisque divine.

Exception faite de l'esclavage des noirs ou des vaincus, ce que nous définissons comme asservissement, sous notre regard contemporain, est l'acceptation volontaire d'une place sociale  confirmé par le pouvoir tutélaire divin qui désigne ses représentants sur terre pour guider les hommes.
Ce sont parmi ces élues cooptés (clergé
 noblesse)que la capitalisation des ressources et leurs substitues d'échanges se concentrent naturellement sans opposition politiques jusqu'à la révolution.
 
La révolution ne va pas changer la relation maître serviteur seulement élargir le champs des prétendants, non plus par la naissance mais par le pouvoir financier parmi les hommes devenus libres de posséder et d'entreprendre par le commerce.
C'est donc la richesse qui va déterminer la place sociale dans deux classes comme par le passé. 
Les hommes sans fortune bénéficieront de la liberté de se lier par contrat à leurs "maîtres". qui de sont repartis à la révolution les possessions de la noblesse.

Les serviteurs de l'ancien régime deviendront les prolétaires. N'ayant pas les moyens économiques de leur liberté se lie dans une obligation dite volontaire, où les nouveaux citoyens  sans possessions, économiquement pauvres n'ont que le choix de se soumettre ou mourir de faim à moins de transgresser  les codes moraux et les lois. 
En soi rien de bien nouveau si ce n'est la formation d'une classe patronale en bute au pouvoir du peuple qui est supposé le détenir par l'élection, et au sein de la quelle se déplacera la capitalisation,  sous le système que nous connaissons encore aujourd'hui. Une organisation basé, comme par le passé, sur l'appropriation du travail de ceux que l'on emploient pour s'enrichir. En faisant produire aux prolétaires ce dont ils ont besoin pour vivre. Puis, le leur revendre plus cher que ce qu'ils ont reçu en échange de leur travail.

C'est sous ce principe que nous vivons encore aujourd'hui et qui n'est qu'un paradigme libéral de la servitude de l'ancien régime dans lequel la fortune à remplacé l'ordre nobiliaire et clérical.
Les citoyens se trouvent donc encore dans une organisation tutélaire qui définit un pouvoir politique sélectif par le statut économique de classe. 
C'est malgré les principes républicains, la "fortune" qui  siégera à la formation des lois. Confirmant un principe endogamique plus perméable que celui nobiliaire, que nous qualifions d'ascenseurs social. 
Il se démocratisera en s'étendant à des emplois qalifiants, plus socialement reconnus, un classement des exploités dont ils s'enorgueillissent.
C'est l'industrialisation qui sera le champ d'action de toutes les stratifications professionnelles. 
Ensuite la redistribution de la formation du capital imposé par l'organisation d'une opposition de classe ouvrière qui reçoit un salaire, accelerera le développement technologique pour remplacer l'homme au travail. 
Toujours pour la même fin obtenir l'objet de nos désirs par le moindre effort ou au moindre coût.

Dans cette recherche le Capitalisme se dirige vers son autodestruction car il ne pourra pas revendre son coût de production à des machines, ou à des citoyens sans fortune qui seront contraint de s'organiser en dehors de lui pour survivre.

Alors notre économie libérale Capitalistique Construite sur l'asservissement d'hommes par d'autres ne peut être qu'un passage.
Pour la simple raison qu'elle n'est qu'un paradigme de rapports innées pour la domination de l'un sur les autres. 
Il trouve appuie sur la répartisson de la rareté d'où d'aucuns tirent revenus par une relation contractuelle inégale pour produire. 
Il s'impose par la morale séculaire et la loi positive garanties par la force publique.

Ce schéma est universel car à quelques exceptions près l'auto suffisance naturelle sans travail humain de production n'existe plus.
Et l'organisation libérale des rapports économiques installe la domination de la classe fortunée en substitution des anciennes organisations par le commerce et les échanges internationaux en remplacement des anciennes guerres coloniales.
Cette unifiquation d'un paradigme lui confère une pseudo Vérité  d'où l'on retire un faux présupposé d'irréductabilité. 
Les hommes s'y accordent par l'apprentissage, en lui conférant idéologiquement tous les mérites par des analyses biaisées.
Celles ci écartent comme insignifiance que notre compétition par la rareté conduit les hommes à leur éradication par des armes de destruction massive, sous l'égide de leurs blocages psychiques.

Ceux ci leurs assurent la capacité de créativité dont l'évolution est garantie par la certitude de l'ignorance au sein d'un phénomène nouveau.
Des centres économiques de concentration humaine qui distordent les analyses du psychisme qui se déploie dans des espaces restreints. 
Se créaient des modalités d'existences divergeantes, celles des cités verticales par rapport aux  campagnes horizontales.
 
De plus aucun de nos comportements ne peuvent se répéter comme ils ont été exécutés, sans que s'y ajoutent de nouvelles informations d'un temps nouveau qui les distordent, et modifient ce qu'ils ont été.
Leurs mémorisations seront répétés toujours différentiés par le temps T réel. 
Les actions mémorisés n'existant plus, leurs reproductions, ne sont que copies, des souvenirs émotionnels, recouverts par celles d'un temps nouveau. Et non celui de la réalité du temps où ils ont eu lieu.

Il est important de comprendre cela car en permanence nous jaugeons notre environnement à la mesure de notre mémoire référentielle. 
Nous essaierons de rationaliser nos émotions comparatives qui en découleront par des pratiques régulatrices dont les fondements se reformeront malgré leur tendances à l'immobilisme déterminants.

Ainsi notre place dans l'organisation économique sera comparée à celles référentielles mémorisées issues de fondements ignorants déterminants.
C'est alors le poids de l'ignorance seul qui engendrera des "crises" réformatrice plus ou moins violentes.
Aujourd'hui nous disposons d'une certaine maîtrise en ayant comptabilisé l'existence humaine. qu'analyse des programmes mathématiques. 
C'est à dire mis en place un Dieu au-dessus du dieu monothéiste.

L'impossibilité de tenir compte de cela au quotidien engendre en permanence des jugements émotionnels erronés dont nous ne prenons pas conscience, ,sortant en permanence les faits de leurs contestes événementiels.

L'ignorance à dont une place fondamentale car c'est en ELLE que se trouve notre devenir sans que nous puissions savoir ce qu'il sera. Puisque nous comprenons que les schémas analytiques que nous faisons, avec où sans machine, sont toujours erronés, même si nous nous les confirmons par les mathématiques. 
Ils resteront toujours suggestifs et des ressentis.

La possibilité d'une évolution est toujours accessible à l'intellectuel et aux idéologies qu'il théorise.

La mathématisation de l'existence peux déboucher sur des absurdités absolues, quand nous les sortons d'indicateurs de quantification pour leurs faire mesurer des valeurs suggestifs d'utilités, de raretés ou de bonheurs pour remplacer la maîtrise ou la régularisation de nos émotions dans nos rapports avec l'autre.
L'exemple le plus criant est la crétinerie d'une justice américaine qui peut condamner un être à une peine de prison au delà de son existence, ou économique, évaluer la planète en dollars sans que cela nous choque.
Ou bien comme nous le faisons définir une valeur sur laquelle tous nous nous appuyons  pour obtenir une place sociale, dont la finalité et de cumuler la valeur référentielle en vigueur afin de satisfaire nos désirs sans avoir à travailler.
Les joueurs de loto et autres en sont la représentation addictive.

Le travail n'est pas une valeur, pas plus que ne l'était la cueillette. La cueillette assurait l'autonomie de l'abondance, et personne ne travaillerait pour produire ce que la nature donne.
Nous ne savons pas quelles réflexions ont conduite l'homme à comprendre l'avantage de fournir un travail pour produire ses besoins. 
Cela a fait du travail une activité irréductible x pour que l'homme s'assure d'une autonomie économique afin de survivre dans des conditions de rareté.
Que de cette contrainte nous en ayons retiré une organisation de relations économiques dans laquelle la recherche du moindre effort s'accomplit par la puissance du plus fort à s'approprier les ressources produites par d'autres plus faibles, n'en fait aucunement une valeur référentielle de suprématie comme nous le croyons.
Cela afin de convaincre de l'utilité de la suprématie d'une organisation basé sur l'exploitation du travail des uns au bénéfice d'autres moins nombreux.
Dont deux aspects démontrent l'absurdité.
1/ Qu elle conduise au remplacement de l'homme au travail par des "robots".
Ce qui dément forcément cette valeur travail puisque l'homme veut s'en écarte comme le joueur de loto.

2/ Que les luttes pour la rareté aient conduit l'homme à organiser les conditions de son auto destruction (armes nucléaires). Dont la seule à nous poser est quand un couple parmi nous quelques part, mettra au monde celui qui déclenchera le cataclysme, comme ce fut le cas pour Hitler. 
Sauf que là il n'y aura pas de Nuremberg pour en juger. 
Alors peut on encore parler de valeur du travail s'il conduit à l'extermination.

La descendance humaine a évolué sur des millions d'années pour en arriver au néolithique comme marque d'un changement profond ou se situe l'abandon du jardin de l'Eden. Le passage au travail et aux conflits mortifères représentés par Abel et Caen.
Disons que depuis la moitié du néolithique c'est structuré par la sédentarisation l'exploitation de l'homme par l'homme dans un cadre de classes ou de castes considéres comme naturellement lié à la naissance. L'on attribue à des philosophes Grecs la place faite à la parole de la plèbe dans la culture occidentale. 
Et il aura fallu des millénaires pour que par l'imprimerie elle se répande avec des fortunes diverses dans le bas peuple et sorte du joug de la morale Chrétienne qui tenait les relations d'asservissement dans l'immobilisme divin, comme aujourd'hui nous les maintenons dans l'immobilisme comptable.

Mais ce qu'il est important de comprendre c'est qu'en 5 ou 7 milles ans nous avons créé les moyens de détruire la vie sur la planète, achevant des millions d'années d'évolution.
Nous disposons d'armes d'anéantissement dont l'usage n'est que statistique.
Quand j'observe une économie Capitaliste continuer de faire de la rareté la source de sont développement. 
Nous pouvons tout de même penser qu'il serait judicieux d'en changer.

Puisque nous savons qu'elle nous a conduite en quelques milliers d'années à construire de telles armes, sans que nous envisagions un instant de les supprimer et de changer d'organisation Capitaliste.
C'est à dire de relations sociales.

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0

Publié le 19 Août 2019

Je pense qu'il serait utile pour la santé mentale des citoyens de déposer un projet de loi, instaurant une chaîne spécifique, Mortifère.
Nous l'intitulerions : Ceux qui voulaient vivre.
La CVV. 
Ou bien, Partis au paradis. La PAP.
Ou, Mort malgré eux. La MME.
Encore plus macabre, Satan nous attend. La SNA. 
Ou l'HDV. Voilà ces initiales font modernes, elles inspirent confiance,  elles font branchés numérique.
Chérie ce soir l'on se ressource sur HDV.
Je vois la scène. 
Confortablement campé au fond d'un moelleux fauteuil de skaï tout râpé par des années de télé réalités, je regarde mon épouse avec impatience.
Certes elles n'est plus très jeune. 
On vient d'arrêter le travail juste à temps.
De jeunes retraités dans la force de l'âge d'un nouvel avenir plein de risques.

L'AVC, Arrêt cardiaque, le cholestérol, le diabète, l'obésité, le tabagisme, l'accident de voiture, la grippe, alzermer, parkinson, sénescence, arthrose, rhumatisme, sinistrose, hasme, allergie, Surtout la peur quand l'on voit ce qui se passe à la télé.

Nous voulons vivre vieux pour profiter de nos petits enfants, particulièrement d'Anne et de Marie. 
Deux ados qui n'ont pas conscience des risques de la vie.
Pourtant leur grand mère les mets en garde. Regardez HDV, méfié vous des hommes, ne sortait pas seule la nuit avec tous ces étrangers.

Ce soir nous avons établi le programme l, nous regardons "les femmes snaped".
Ça plaît à ma femme, comme dans "Faites entre l'accusé" les crimes pour viol. 
Ce sont ses crimes favoris. Je la suspecte de fantasmer. 
Un soir à la fin de l'émission d'enquête sur un viol, elle me dit : Ce soir tu veux pas m'attacher.  
Machinalement j'avais répondu quoi ? 
Le Caoutchouc il pousse trop vite. 
Drôle d'idée se songer à sa plante au moment où le présentateur explique comment l'individu avait ligoté au lit sa victime. 
Tu ne comprends rien me dit elle. 

Dans l'ensemble c'est une bonne chaîne HDV lui dis je.
Ne nous vient pas forcément à l'esprit que son voisin peut être un criminel.
En fait l'on est jamais trop prudent avec les autres. 
Oui, et encore plus avec les étrangers, sauf les grains de riz, ils sont honnêtes et travailleurs.

Tu te souviens de Lefèvre le spécialiste des chroniques criminelles. 
Une fois par semaine au moment des assises pour être informé des crimes dans le pays. 
Ou alors. Il fallait s'abonner à détective. Quels progrès depuis, tous les jours une émission criminelle, au moins l'on est informé. 
Quand le président a créé cette chaîne, j'ai pensé, enfin l'on redresse la France. 

La sécurité c'est essentiel, comment lutté contre la criminalité si personne ne sait d'où elle peut venir. 
Souviens toi de ce docteur qui a tué sa famille. 
Qui imaginerait que l'on peut mourir d'aller se faire soigner. 
On n'est en sécurité nulle part aujourd'hui. 
Tu as bien raison, quand on voit l'argent donné aux étrangers, il serait mieux employé dans la police. 
Bon apporte moi un thé et l'on regarde les "Chroniques criminelles".

Entendu, mais à midi j'ai écouté le maire qui a été écrasé, c'est honteux.
Les voitures qui tuent faut les envoyer à la casse. 
À 15 h chez le bouchez une cliente disais, ça c'est une belle mort, dans l'exercice de ses fonctions, c'est pas aux députés que ça arriverait. 
D'ailleurs le président y rend hommage. 
Je trouve que c'est bien qu'ils se rende aux enterrements, ça prouve qu'il a de l'estime pour les français. 
Elle m'a dit qu'elle aussi trouvait bien que chaque fois qu'il y a un mort un membre du gouvernement se dérange.
Son mari  qui fait dans la politique dit qu'il devrait faire un ministère de la "compatition".

La Bobo, la femme du Jules lui a répondu : paraît qu'ils vont organiser le concours du parti qui exhibe le meilleur mort.   
Elle a rigolé et enchaîné, le gouvernement à pas fait autant de simagrées pour la noyade de Steve. 
C'est tout juste si le ministre de l'intérieur n'a pas dit qu'il avait fait exprès de ce noyer pour enfoncer le pouvoir et la police.
Tu vois c'est ça la politique,  heureusement HDV n'en fait pas.

Chérie change émission, là c'est une vieille qui a été assassiné pour 1000 €, on l'a déjà vu. Tu ne veux pas qu'on mette "Présumé innocent". 
Là c'est tous ces voyous qui sont arrêtés, disent qu'ils sont innocents et il les relâche. 
Certains ne devraient même pas avoir d'avocat pour les defendre. 
Tu te souviens quand l'on allait en Espagne sous Franco. 
Les gens nous disait, n'ayez pas d'accident de la route car c'était la prison direct, parce que c'est une dictature. 
En fait non, c'était de la démocratie  mais nous on ne le comprenait pas à écouter les Cocos.
Regarde aujourd'hui on fait pareil et on est bien toujours en démocratie.

Que veux tu c'est ça la désinformation. 
Tous ils regardent ARTE c'est pas une chaîne de télé çà, des reportages et des gens qui blaguent, comme LCP, on sait jamais avec eux qui est mort. 
La télé qui en parle le mieux c'est TF1 et BFMTV, pleins de détails tu te demandes où ils vont les chercher. 
C'est bien, c'est normal que l'opinion soit informé,  l'on peut vivre à côté de gens qui peuvent vous tuer, vous voler, vous violer malgré eux.

La société à besoin de confiance. 
Or avec toutes ces informations l'on sait que chacun peut être un criminel ou un voleur. C'est dur cette vie pour les jeunes maintenant. 
Nous l'on était considéré comme honnête. L'ecole de la République formait des citoyens honnêtes et travailleurs.
Pourtant c'est les mêmes qui ont participé à la Shoha, avait dit Jules le mari de la Bobo au boule.
Eux au moins ils sont Présumés coupable et on les tient à l'oeil.
Caméras dans les rues, magasins, vigiles, délation, surveillance du net, croisement des dossiers.
Il y a plus un lieu, même privé, où la force n'a pas sa place pour la sécurité.

Si il n'y avait pas eu toutes ces émissions, les gens auraient jamais accepté la démocratie persuasive. 

Tu as entièrement raison. Je disais au boulanger que nous avions pris l'autoroute pour aller à Marseille. 
On y roule en toute sécurité, l'on ne s'arrête pas où l'on veut, l'on n'en sort pas où l'on veut, la police surveille des ponts, des radars contrôlent. 
Que veux tu de plus, il y a pas à se poser de questions. 
L'on n'a pas de choix à faire ça roule puisque l'on paie pour cela a l'entrée, et l'essence plus chère, donc meilleure. 
Le boulanger est bizarre, j'ai pas compris, il m'a dit c'est bien, tu es pas emmerdé par la vie des autres. 
Quelle idée de me dire ça, plus on va vite moins l'on voit de choses où les autres.
Heureusement que la télé est là, si non l'on vivrait rassuré. 
On ferait confiance à tout le monde. 
Comme tous ces gens cupides qui cherchent la bonne affaires sur le net et se font escroquer. 
La plupart des gens cherchent à tirer profit de vous.
Et bien il y a toujours plus d'affaires qui s'y font. 

C'est ça la vie tu les préviens, ils s'en foutent. Après ça manifeste pour avoir des sous, le pays va bien à vaut l'eau.
Ce soir je trouve que c'est mou HDV.
Il y a que des morts qui sont pas vivants, met "Crimes" sur Chérie FM.  
Souvent ils passent de bons morts, qu'on        sait pas s'il l'est ou pas, c'est tout le suspens.
Ça manque le suspens sur Heureux De Vivre.
Bien, c'est qu'il y a moins de morts maintenant pour en avoir un tous les jours.
Aux infos ils vont en chercher à l'etranger quand il en trouve pas un d'intéressant en France.
Particulièrement en Amérique c'est à croire que les autres pays sont des anges.
Mais au moins avec eux, on en a pour notre information, ça "déquille". Ça file quand même la trouille, c'est pour ça qu'il faut pas avoir peur de plus de police.
Même que pour les criminels il faudrait mettre des peines comme eux 100 ans 150, au moins, on est humain, on ne les tue pas et même mort on s'en protége en cas de résurrection spontanée.
Ouf c'est l'heure j'arrête de boire car ça va mal finir.
Tu as raison mon chérie. Tu ne veux pas qu'on se détende sur canal il y a un film moins dramatique tiré d'un fait réel.
"Le tueur est passé par là cheminée".
C'était qui le Père Noël.


 
 

 


 


 

Voir les commentaires

Rédigé par ddacoudre

Repost0