Publié le 4 Février 2020


 

12 jours pour un deuil d'enfant, trop coûteux pour les patrons.

La loi et les conventions collectives ouvrent des droits à des congés spéciaux pour des événements familiaux, naissances, mariages décès etc.

Ces événements furent arracher au patronat qui les accordaient suivant leurs bons vouloir au nom du droit du prince, devenu juridiquement le fait du prince aujourd'hui.

 

Pour tous ceux qui naissent avec des acquis dont il ignore l'histoire, il pensent que c'est de bon cœur que les gouvernements et le patronat ont accordé des avantages sociaux, qu'ils appellent des charges qu'ils revendent à leurs clients NE FAISANT EN CELA QUE L'AVANCE DU CÔUT, et les clients les plus nombreux sont justement ceux à qui ces mesures sont destinées, LES SALARIES.

 

Chacun comprend qu'un employeur peut prendre le temps qui lui est nécessaire pour de tels événements sans demander d'autorisation. Le code du travail est le résultat de siècles de droit arbitraire du PRINCE et les conventions collectives tout comme les accords interentreprises l'améliorent.

Il en est de même pour la retraite, elle ne concerne que les SALARIES, l'employeur fait ce qu'il veut de sa vie active.

Alors dans ce combat entre peut de députés la prolongation du congés de deuil pour un enfant a été refusé par la bande à Macron mise au pied du mur, pour un président qui dit que la finance est son ennemie.

C'est si vrai que depuis le Brexit des traders de la banque Morgan stanley sont venus s’installer à Paris, raison, il y a plus de blés à faire en France, car si le président dit que la finance est son ennemie, mais dans les faits ce n'est pas vrai.

 

Ensuite extrait de l'express.

 

Le rapporteur, Guy Bricout, avait argumenté qu'un congé de cinq jours n'était "pas à la hauteur" pour "reprendre pied suite à la mort d'un enfant" et en appelant à l'"humanité" de ses collègues. Face à quoi Sereine Mauborgne, députée LREM de la 4e circonscription du Var, a défendu la "possibilité pour l'employeur de créer un compte de don". "Quand on s'achète de la générosité à bon prix sur le dos des entreprises, c'est quand même un peu facile", a-t-elle ajouté, répondant aux critiques dans l'hémicycle. 

 

La phrase clé est Quand on s'achète de la générosité à bon prix sur le dos des entreprises, c'est quand même un peu facile"

 

Cette député dit en substance ce n'est pas aux entreprises à payer les congés spéciaux.Au moins elle le dit clairement pour ceux qui auraient des doutes sur les intentions sociales des employeurs

Tien donc ! Cette député, comme tant d'autres d'ailleurs, semble ignorer que les lois les conventions et les accords ont ouvert des droits à congés sinon les employeurs auraient fait travailler les salariés jusqu'au bout de leurs capacités. PAS de l'âge car à ans pour certain travaux l'on est trop vieux.

 

C'est le fondement de la technologie de remplacer l’insuffisance des capacités de l’homme au travail dans les gains de productivité pour faire des productions de masses. Chacun pourra noter que je ne poursuis pas en disant à bas prix, car il n'est là que pour réguler la rareté et non indiquer le prix d'un produit qui n’existe pas intrinsèquement.

 

La seule chose qui existe ce sont nos existences et seulement cela, ceux sont elles qui font le prix de vente de nos productions, et rien d'autre.

Cette dame ignore donc que ce sont les salariés eux mêmes qui financeront ces jours supplémentaires en achetant leurs productions. Les patrons aussi mais pour valeur négligeable, ils font seulement l'avance de trésorerie.

 

Si je rappelle un peu tout cela ce n'est pas pour dire qu'il faut pendre les employeurs, ils ont leurs places dans la répartitions des taches, des compétences et des initiatives. Ils ne sont en rien supérieurs en quoi que ce soit, comme ce gentil député de 70 balais qui derrière ses lunettes disait qu'il fallait obligatoirement travaille plus longtemps. Le brave monsieur il ignore que si on lui ôte ses lunettes il ne peut plus faire son boulot de député faute de pouvoir lire quoi que ce soit.

 

Mais nous pouvons comprendre qu'octroyer une charge de plus se récupère, soit par la productivité, soit par l'investissement technologique soit en augmentant le prix de vente. C'est là que le bas blesse quand l'on est en compétitivité avec des pays qui n'ont pas les mêmes coûts sociaux, le même coût de la vie.

 

Le bon sens en appellerait à inviter les gouvernements des dit pays à s’aligner sur le meilleur bien être, sauf qu'en organisation capitaliste c'est sur le moins disant, sur le moins de charges que l’on s’aligne.

 

C'est ce que j'ai cru comprendre dans ce débat que les députés LEREM connaissaient cette consigne du gouvernement, ne pas augmenter les charges pour rester compétitif, de bons godillots sans réflexion.

 

La polémique qui s'en est suivit, en soit de m'intéresse pas, tous ceux qui ont crié à l'inhumanité, ou se sont indignés pour la circonstance, surtout quand l'on appui sur le bouton thématique sensible, l'enfant, oubliant qu'on voue les vivants à périr un jour sous les bombes nucléaires.

 

Mais au moins un masque est tombé. Et confirme ce que je soutiens depuis des lustres « nous ne survivrons pas à une comptabilisation de la vie ».

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 31 Janvier 2020

 

C'est une actualité dont l'on ne parle pas. Elle n'intéresse pas les médias, il n'y a pas de drames à la clé, il n'y a pas de crime pour tenir en alêne, il n'y a pas une magouille sous-jacente, il n'y a pas une élite à descendre de son pied d’étal, il'y a pas une jolie histoire quotidienne anesthésiante.

 

Pourtant C'est une histoire, même une histoire de taille, le genre d'histoire que l'on ne suit pas tant elle est longue. Imaginer celle-ci a durée 70 ans, autant dire une vie.

 

Si mais souvenir sont bons l'ex union soviétique voulait créer un soleil artificiel pour réchauffer les terres de Sibérie ; les scientifiques se lancent dans la recherche des moyens de contenir des millions de degrés, c'est l'origine du Tokamak en 1950.

Un anneau torique de confinement magnétique pour l'étude du plasma afin de réaliser la fusion nucléaire.

C'était encore le temps où l'écologie était inconnu et l'espérance dans la science sans mesure, en tout sens. Aujourd'hui nous savons que cette réalisation d'un soleil artificiel, vrai ou fausse faite pour la gloire du communisme aurait entraîné un désastre en libérant les gaz à effet de serre contenu dans le permafrost.

Il en est ainsi dans la vie, nous ne disposerons jamais de toute la connaissance, mais ne pas s’en instruire multiplie les risques d'erreurs.

Nous devons donc à ceux qui recherchent des outils de mesures, au delà du débat stérile de politicien comptable financier, les moyens intellectuels d'envisager l'avenir.

 

Nous n'entendons rarement parler de l'efficacité de la recherche, sauf quand survient un drame comme celui du Coronavirus. Et pourtant c'est tout juste si l'angoisse que distribuent les médias ne nous fait pas critiquer les scientifiques d'une certaine lenteur.

La science ne fait pas de miracle, elle rend compte d'un travail laborieux d'hommes et de femmes qui s'investissent dans une passion.

C'est à la recherche que nous devons de devenir vieux, c'est à elle que nous devrons de subvenir aux besoins de l'humanité dans le futur, pas à UNE GESTION COMPTABLE DE LA VIE.

Or c'est cela que nous proposent l'UE et les politiques et politiciens qui s'y adossent.

En France le budget de la recherche est de 24,5 milliards, celui de l'armée 37,5 en comparaison, pourtant le besoin en doctorat est une garantie pour l'avenir. Si ceux qui travaillent créaient la richesse et son en droit de revendiquer leur part, ils ne sont qu'acteurs de mise en œuvre des innovations de la recherche. Même si le concourt Lépine donne la parole aux plus humbles.https://fr.statista.com/

 

Pourtant les candidats aux doctorats en France stagnent, alors que le futur regorge de ce besoin de connaissances dont la durée de réalisation se compte en années et non en monnaie.

 

Ce n'est pas une fois l'an la nuit des étoiles qui stimule les vocations en tombant dans l'oublie jusqu'au nouvel ans. Il ne s'agit pas de minimiser ce domaine dont l'intérêt n'est pas d'aller se promener autour de la Lune mais de réponde à la création et trouver de la vie ailleurs.

 

Pourtant qui sait quelles seront les imperfections et les défauts cachés aujourd'hui à nos savoirs qui en découleront.

Vivre avec cette incertitude lié à nos limites cérébrales, malgré l'apport considérable des machines qui nous suppléent dans nos calculs et réalisations, est inévitable.

Notre besoin de transparence n'est que psychique et vient compenser cette angoisse atavique de comprendre que l'on ne peut maîtriser l'existence, sans cela nous serions des dieux.

La recherche de cette maîtrise par une organisation comptable de la vie est la preuve de notre faiblesse à contenir, soupeser, mesurer, choisir les voies de notre avenir.

Il est dramatique que nous nous apprêtions à confier nos destins à des machines dont le seul intérêt est de démultiplier nos sens pour percevoir un monde invisible issus de notre intelligence.

 

Vivre avec les outils issus de cette dimension nous rend plus fragile et nous impose de démocratiser les savoirs qui y ont conduit. Ce que malheureusement nous ne faisons pas en spécialisant par nécessiter. Sans devenir des spécialiste en toute chose qui demanderait 70 ans d'études nous pouvons accéder à leurs compréhensions pour ne pas vivre dans l'obscurantisme et développer des préjugés, des superstitions et toutes interprétations erronées.

 

Combien de fois dans les débats autour du renouvellement des énergies avons nous entendu parler de la fusion nucléaire, D' ITER.

Un projet qui se réalise et qui aura durée 70 ans. La quête d'une décennie. Une recherche dans laquelle c'est jeté le monde entier sur la base de trois technologies, confinement magnétique le choix de ITER,magnéto-inertielle, et la compression.

Il s'agit ni plus ni moins d'utiliser le Deutérium contenu dans l'eau des océans égal à 40 000 milliards de tonnes.de quoi fournir de l'énergie au monde pendant des millions d'années.

1 litre d'eau de mer égale 250 l de pétrole et 350 kilos de charbon et les déchets dû à cette fusion rejette de l'hélium 4, un élément stable sans danger ni effet de serre.

 

Trop beau pour y croire me diriez vous, pourtant dans quelques jours dit Bernard Bigot directeur général du projet initié en 1985 , va commencer la phase critique du chantier.

Ce tokamak européen va chauffer à plus de 150 millions de degrés Celsius un plasma confiné dans un champ magnétique en forme de tore. Les russes en avaient rêvé les européens le font, le soleil sera sur terre.

Naturellement il y a des avis divergents ce qui est une bonne chose, mais sous cette forme ou sous une autre, demain se construit dans le plus grand des silences médiatiques et des interrogations que soulèvent inévitablement de telles réalisations.

Exit ou pas les centrales nucléaires et autres productions d'énergies dont nous faisons la promotion écologique, mieux ou pas que le solaire, quelles incidences sur l'emploi, à quel coût compte tenu de la gestion comptable actuelle.

 

Que dire si ce n'est que l'avenir se dessine sans les citoyens entre élites scientifiques, là et dans bien d'autres endroits comme le changement d'alimentation, les nouvelles sources de protéines etc.

dans tous les laboratoires où la recherche avance lentement dans la quasi ignorance des citoyens du monde, tous occupé à lutter contre, soit la pauvreté soit la gabegie de l'organisation capitaliste du travail dans la perspective d'un rapport immédiat de bénéfices en tout genre.

 

Hormis s’instruire pour disposer des moyens de se porter à la auteurs des savoirs et réalisations complexes le citoyen lambda sera toujours écarté des décisions essentielles.

 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 16 Janvier 2020

L'HEURE DU COMBAT.

 

La retraite a été créée pour que les travailleurs aujourd'hui dénommés essentiellement SALARIES ne MEURENT PAS AU TRAVAIL.

L'abandon de la notion de classe crée la confusion des genres. Il n'y a pas égalité entre un EMPLOYEUR ET UN SALARIE, même s'ils sont complémentaire momentanément, car l'employeur essaiera toujours de se passer de l'aide du travailleur s'il doit la rémunérer (les charges)

En quoi les comptes de la sécurité sociale et les comptes des retraites regardent le gouvernement et le patronat.

Les comptes de la Sécu et ceux de la retraite regardent ceux qui les FINANCES.

ET ce qui les financent ce n'est NI L'ETAT , NI LE GOUVERNEMENT, NI LE PATRONAT.

Il serait tout de même temps que cela nous rentre dans la tête. SEUL les Salariés FINANCENT TOUT

 

Les salariés, pour l'un et l'autre, S'OUVRENT leurs droits à la prestation des services de l'un et de l'autre qu'ils FINANCENT par leurs COTISATIONS.

Est-ce que le patron finance OUI, mais avec l'argent des SALARIES QUANT IL DEVIENENT LEURS CLIENTS. C'est à dire que les employeurs REVENDENT aux salariés CLIENT le montant des COTISATIONS SOCIALES incorporé dans le prix de vente.

Ce n'est pas comme s'ils les prélevaient leur cotisations sociales sur les dividendes, alors ils pourraient prétendre avoir leurs MOTS à DIRE.

Est- surprenant ce que je dis, NON.

A l'ONU, les USA (je n'ai plus en mémoire sous quelle présidence) réclamaient d'être suivit car ils estimaient le devoir à leur financement de l'ONU sans laquelle celle-ci ne serait plus viable.

En 1978 j'ai connu une scission Patronale dans une fédération car les grandes entreprises, qui payaient le plus, devaient accepter une politique archaïque d'une multitude de petites et moyennes entreprises (c'était dans la période de la réforme du Taylorisme).

 

Ainsi, il n'y a que les salariés pour être assez « ce que vous voudrez, mais avec bienveillance » pour payer sans jamais être entendus, ni comprendre comment, tout en sachant qu'ils sont exploités.

Mais chut il ne faut pas le leurs dire. Ils sont comme ces petites et moyennes entreprises qui étaient attachées à leurs archaïsmes réconfortants, BOULOT CONSO DODO, le triptyque de la croissance qui a suppléé les trente glorieuses, boulot métro dodo.

 

L'intelligence pour eux c'est QUOI, savoir consommer, suivre le feuilleton météo et tous les anesthésiants qui lui succèdent, OU comprendre comment ils se font ROULER.

 

Je me demande ce qu'elles ont de si compliqué les quatre lignes explicatives que je développe pour qu'elles ne soient pas comprise depuis des siècles et s'étend aux salariés du monde entier, c'est encore expliqué plus simplement que ce que l'a fait Marx.

 

Cela signifie clairement que ce n'est pas seulement un problème de compréhension, mais une relation étroite de nos comportements ataviques réorganisés par le mimétisme culturel en organisation systémique dominante régulatrice de la concentration humaine que nous croyons maîtriser pour satisfaire nos besoins et que certains parmi nous y sont sélectionnés ou cooptés pour les diriger, peu par le mérite, beaucoup par le milieu endogamique dans lequel ils naissent au hasard de l'existence.

 

Le choix actuel d'une gestion comptable de nos existences est LE PIRE que nous puissions faire, il ETOUFFE les initiatives et RALENTI le bénéfice que nous pourrions retirer de la science, de la connaissance. Seule les initiatives lucratives sont retenus, même si d'autres seraient nécessaires parce qu'elles ont une place sociale ou utilitaire.

 

Toutes analyses de nos difficultés nous ramènent à la disponibilité de financement qui est limité à l'utilisation de la richesse des possédants ou des épargnants seulement, dont ils retirent un bénéfice qui renchérit le coût de toutes choses.

Souvent nous critiquons ceux qui croient en dieu au prétexte qu'il organisent leur vie autour d'un imaginaire, souffrons donc de comprendre que nous faisons la même chose avec la monnaie

 

Revenons à nos patrons et gouvernement.

Le travail est une nécessité incontournable encore aujourd'hui. Si nous pouvons espère que les productions soient assurées par un temps de travail humain de plus en plus réduit grâce aux « robots » et autres car la révolution numérique en fait que commencer.

Que permettra l'ordinateur quantique, dont un élément a fonctionné 75 secondes dans un laboratoire et enregistré une quantité fabuleuse de données (lire science et vie de décembre).

 

Plus aucun système social ne pourra survivre sur la base de cotisations salariales si cette classe s'amenuise.

C'EST A CELA QUE LE PATRONAT ET LE GOUVERNEMENT LIBERAL CAPITALISTIQUE EST ENTRAIN DE NOUS PREPARER un ajustement permanent à l'économie salariale par le BAS

 

Ils veulent l'un et l'autre des références, âge pivot et valeur du point, qui s'adaptent aux seules finances salariales disponibles du travail salarié, dont nous savons qu'elles irons en se réduisant par rapport à la progression des besoins dus à l’accès aux soins et à la retraite, avec un vieillissement qui s'allonge ou s'allongera.

NOUS vivons VIEUX parce que nous nous soignons.

Le seuil pivot n'est qu'un seuil comptable d'une recherche d'équilibre des comptes, absolument inadapté au futur qui se prépare.

La valeur du point sera l'AS de ce jeux de dupe qui est entrain de ce jouer.

La CFDT y tient car elle imagine pouvoir en maîtriser son évolution bénéfique, alors que le patronat c'est pour l'inverse.

L'universalisation de la retraite à long terme conduira à faire financer les régimes professionnels de certains d'employeurs par le régime des salariés. Les autoentrepreneurs en serons le cheval de Troie.

 

 

J’espère qu'avec mes quatre lignes nous avons compris que combler le déficit, par l'augmentation de la cotisation salariale ou seulement celle de l'employeur ou celle du budget de l'état, ce sera toujours le SALARIE qui PAYERA, que ce soit directement, par le prélèvement de sa cotisation, indirectement en achetant le produit qu'il fabrique au prix de vente contenant la cotisation patronale ou indirectement en finançant le budget de l’état par ses impôts et taxes (TVA),

 

Toutes les branches et tous les métiers ne sont pas égaux et c'est en fonction d'eux que l'on doit envisager, le départ à la retraite à taux plein, le métier impacte la durée de vie de ceux qui l'exercent.

 

Nous sommes à un moment charnière de notre vie. Si nous libérions la monnaie, il y aurait du travail a ne pas avoir assez de mains d’œuvre. Les gardes fous en seraient la recherche de productions renouvelables et les retombées écologiques.

Si nous restons sur la comptabilisation et le revenu du travail, alors il faut taxer les Machines ou trouver par le développement des Savoirs un revenus complémentaires à l'insuffisance de celui du travail pour conserver des régimes sociaux dignes d'une civilisation du profit.

 

Actuellement seulement 21 millions de salariés produisent la richesse sur l'initiative d'environ 2 militions d'employeurs qui en retirent leurs richesses parfois en y participant eux aussi mais certainement pas en étant actionnaires.

Or ces dernières années ce sont eux qui ont reçu la meilleure part du partage, et ce sont eux qui réclament un processus d'alignement des salaires par les bas.

Le financement salarial va diminuer de fait par la concurrence du moins disant et le développement du numérique.

Comment peut-on accepter que ceux qui produisent la richesse et nourrissent 46 millions de citoyens, en fin d'activité entre dans la pauvreté s'ils n'y sont pas déjà.

Cela n'est bien sur pas une réflexion comptable que nous devrions nous poser.

 

Encore une fois les citoyens seront roulés dans la farine par d’habiles communicants.

J'en veux pour preuve le discours qui conduit à parler des syndicats réformistes, comprenant la CFDT qui est devenu la courroie de transmission du PS, donc social démocrate.

Alors que le réformisme syndical aujourd'hui lutte contre l'exploitation de l'homme par l'homme, illustré par la CGT-FO historiquement depuis 1884 et la CGT après la réformation du PCF menée par Robert HUE, pratique aussi la politique conventionnelle que ce pouvoir entend réduire ou limiter.

Historiquement les commentateurs présentent la CFDT, CFTC, USA comme les seuls réformistes, renvoyant la CGT-FO et La CGT aux extrêmes.

Comme les communicants du pouvoir le font avec les partis politiques qui luttent contre le libéralisme capitalistique.

 

La charte d’Amiens réunit idéologiquement la CGT-FO, la CGT et d'autres syndicats qui s'en inspirent. Si à partir de 1920 les moyens de réformation ont différé entre-eux, la charte n'en reste pas moins l'appel à l’abolition du salariat et du patronat pour mettre un terme au capitalisme, mais qui encore l'apprend.

Extrait.

La Charte d’Amiens

Article 2, constitutif de la CGT,

modifié par le IXe Congrès de la Confédération,

Amiens, du 8 au 16 octobre 1906

Le Congrès confédéral d’Amiens confirme l’article 2, constitutif de la CGT. La CGT groupe, en dehors de toute école politique, tous les travailleurs conscients de la lutte à mener pour la disparition du salariat et du patronat… ; Le Congrès considère que cette déclaration est une reconnaissance de la lutte de classe, qui oppose sur le terrain économique, les travailleurs en révolte contre toutes les formes d’exploitation et d’oppression, tant matérielles que morales, mises en œuvre par la classe capitaliste contre la classe ouvrière , https://www.google.com/search?safe=active&sxsrf=ACYBGNQqWF8AtIa66HsoWFC071zWrqCzsg:1579030061636&q=charte+d%27amiens&tbm=isch&source=univ&sa=X&ved=2ahUKEwjXh6ev6YPnAhVE7eAKHYfQDRYQsAR6BAgKEAE.


 

Ce petit rappel fait pour indiquer que dans cette lutte c'est le capitalisme qui a gagné.

Par la voix des gouvernants élus il dicte l'application des voies auquel il s'est adapté pour réaliser un profit permanent et favoriser la demande par l'offre pour s'assurer une croissance rémunératrice, en prêtant ou investissant ses capitaux qu'il récupère majorés, en revendant les produits ou services à ceux qui les ont produit ou les rendent.

C'est il me semble une évidence que le syndicalisme a perdu la lutte de classe et l'émancipation salariale pour ne pas dire ouvrière.

L'émancipation ce n'est pas l'instruction, l'école n'émancipe pas elle enseigne ce qu'il faut savoir pour exercer les différents métiers dont nous retirons nos produits, nos services et nos administrations.

Nous exerçons une sélection discriminante professionnelle après une instruction générale inadapté a l'évolution des connaissances nécessaires pour s'émanciper dans le respect de la liberté de penser, qui ne peut être riche, que si l'intelligence humaine se nourrit de Savoirs et d'esprits critiques. C'est absolument l'inverse que nous développons.

Ce caractère que l'on accordait au citoyens français d'être ronchonneurs était l’exercice de l'esprit critique entretenu par un esprit de classe qui a disparu et avec lui l'émancipation exaspérante qui ne se plie pas à la normalisation.

C'est terminé, les citoyens sont rentrés dans le rang importé made USA et les quelques opposants reconnus et avoués sont jetés aux extrêmes.

Sauf qu'aujourd'hui les effets négatifs du capitalisme sont visibles, nous appelons cela l'écologie.

Et que fait le capitalisme il se trace sa voie à l'intérieur pour réaliser encore du profit.

Cette absence de vision globale qui ne s’acquiert que par les savoirs, ne bénéficient qu'à ceux qui sont dans des postes élitistes d'où la fracture intellectuelle qui nous a apporté les Gilets Jaunes avec des propositions archaïques qu'ils paierons en croyant les faire payer à d'autres et ce retour au local essentiel pour notre quotidien mais insuffisant pour une compréhension globale et solidaire de l'humanité.

Dans ce registre la réforme des retraites ne vise que l'immédiat, je pourrais dire le local, alors qu'il faut répondre à une interrogation que ce pose les jeunes générations qui se disent qu'ils ne savent pas s'ils bénéficierons d'une retraite.

Ils posent une interrogation existentielle à laquelle le pouvoir répond que comptablement, »vous auraient pour ceux qui le pourront les assurances privés ». C'est à dire l’égoïsme atavique au détriment de l’égoïsme solidaire fruit de la culture et de l'émancipation socialisante différente de la charité caritative aléatoire vers laquelle nous tendons comme au USA.

Que les syndicats veuillent préserver leurs acquis me semble sain puisque chacun organise sa vie avec et ont leur demande de les abandonner au profit d'une universalité qui n'est qu'un leurre dont la finalité est caché sous le vocable de la recherche d'un équilibre financier qui n'existera jamais car le montant des salaires dépendent de nos consommations et ce sont nos cotisations qui financent les retraites, même si nous prenons une assurance privé, elle coûtera seulement plus cher du profit des actionnaires.

Un dernier point.

Macron envisage de recevoir des citoyens tirer au sort pour écouter leurs propositions.

Je pense qu'il est tombé sur la tête comme ceux qui veulent tirer au sort les élus. Si les citoyens n'élisent pas des ouvriers c'est peut être qu'il y a une raison.

Une position de plus qui dénote que une majorité de citoyens sont dans la panade.

Si les salariés manquent l'heure du combat qui a commencé avec les Gilets Jaunes ils se préparent un avenir sombre.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 2 Janvier 2020

Ces tisserands ont cassé les machines à tisser lors d'une révolte. Leurs révoltes a influencé la pensée sociale du XIX siècle et ne rappeler que Fourrier, Proudhon et Karl Max.

Ils ont rendu célèbre l'adage « vivre en travaillant ou mourir en combattant ». Il est vrai qu'en ces années ce n'est pas la police qui réprime les manifs, mais l'armée les révoltes.

Ils étaient moins instruits que nous aujourd'hui et pour il ont su pour améliorer leurs conditions de vie, créer le Mutualisme, les coopératives, les conseils des prud'hommes.

 

Il créaient des coopératives de consommations, une presse ouvrière, et un outil de propagande caricatural les Guignols.

En fait si nous suivons l'actualité depuis 1989 tout ce que nous détruisons au nom du libéralisme capitalistique.

ILS TRAVAILLAIENT 18 HEURES PAR JOUR tant salariés qu'artisans.

Mais ce n'est pas cela que je veux traiter. Ce sont des points que je rappelle pour qu'ils raisonnement à nos oreilles en échos, à la presse, aux grandes surfaces, aux assurances tous ce qui depuis longtemps est passé aux mains des capitalistes au nom du libéralisme.

 

Ce qui m’intéresse est de faire le parallèle entre la révolte où les canuts cassaient les machines à tisser, source d'appauvrissement et de pertes d'emplois, et notre actualité qui traitait de supers marchés qui mettent en place des services sans personnels, grâce à la technologie numérique.

 

Il y a eu une levé de bouclier contre cela de la part des organisations syndicales bien compréhensible, d'autant que c'est là que j'y ai appris l'histoire des canuts.

Elles s’élèvent donc contre ce qu'elles m'ont appris qu'il ne fallait pas faire.

Nous pouvons comprendre cela chaque emploi perdu est un salarié en difficulté.

Pouvons nous donc en tirer la leçon.

 

Il me semble que NON.

 

Des années que j'écris que les entreprises n'ont pas vocation à CREER DES EMPLOIS.

Au moins aujourd'hui l'on ne peut plus me le contester.

Des années ou j'écris que les réductions de charges DETRUISENT DES EMPLOIS.

Depuis 1980 je dis qu'il faut se trouver une autres source de revenus que le SEUL TRAVAIL.

LA CGT-FO qui réclamait en 1970 une taxation machine avait RAISON DANS L'ESPRIT.

 

Que nous propose le pouvoir face à cela RIEN, si ce n'est d'augmenter le temps de travail.

Pourquoi pas dix huit heures, il y a des chauffeurs routiers qui n'en sont pas loin, ni des agriculteurs.

 

Le seul parti qui ait donné une solution, quoique boiteuse, c'est le SALAIRE UNIVERSEL.

La France Insoumise Propose une création d'emplois par l’organisation économique autour de l'écologie et de la MER.

 

Tous les autres partis s'accrochent à la réduction des charges et à l’investissement.

 

OUI, sous réserve que l'on trouve une NOUVELLE source de revenus pour les salariés. C'est à dire une création monétaire. Ce que nous le savons n'est pas le cas, tenu par l'UE et la BCE.

 

Alors à part la révolte que reste-il. Elle a lieu depuis UNE ANNEE, les gilets jaunes, sans résultat autre, que celui de devoir payer le double de ce que leur a octroyé le pouvoir.

Parce que ce sont les salariés qui financent TOUT.

 

Si sans comparer la violence des révoltes (qui pourrait être faites au début) nous observons qu'a quelques siècle de distance, la technologie est destructrice d'emplois, tout en améliorant le bien être, par la mise à disposition de ses productions et services, même s'il nous faut corriger les conséquences écologique et sanitaires qui en découlent.

 

Pouvons nous l'arrêter ?

 

NON ! L'évolution technologique du à nos savoirs booster par l''envie et la fainéantise, (je reformule par les désirs et la recherche de la facilité pour les avoir) n'a pas été arrêté par les Canuts et ne le sera pas par nous. Nous ne sommes pas maître de nos destins mais c'est une autre histoire.

 

Face à cette difficulté les Canuts salariés ou artisans ont mis en œuvre des solutions, ce que j'ai rappelé au début de mon article, c'est ce que nous sommes IINCAPABLES DE FAIRE.

Ce que sont INCAPABLE DE FAIRE LES GILETS JAUNES.

 

Il ne s'agit pas là de trouver des mesurettes qui ne changeront rien à la disparition programmer des emplois dans la ligne économique qui est la notre, c'est à dire attaché à la quantité de monnaie disponible mise à disposition par les riches.

Mais de trouver ou une nouvelle source de revenus, ou créer de la monnaie pour développer tous les emplois disponibles du au développement des conséquences de l'écologie et de l'économie de la MER,

Je le réitère dans un désert, IL NE MANQUE PAS DE TRAVAIL il manque de la monnaie DISPONIBLE.

MAIS, devons nous passer notre existence au travail, la réponse est NON. Nous développons des ROBOTS pour nous remplacer.

 

C'EST CON, MAIS SE POSE UN QUESTIONNEMENT EXISTENTIEL AUQUEL LA COMPTABILISATION DE L'EXISTENCE NE PEUT PAS REPONDRE, tc'es aussi cela rester HUMAIN.

 

Alors, et bien REVENDIQUONS comme l'on fait les Canuts, EXIGEONS de vivre digne et N’ELISONS plus ce qui nous tond la laine, l'organisation libérale capitalistique du travail.

 

Alors émergerons des penseurs et des intellectuels plutôt que des COMPTABLES.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 1 Janvier 2020

Supprimer l'impôt sur les Sociétés que paient les Salariés.
 


La fiscalité fait débat depuis des lustres.
Les impôts ont toujours mauvaise presse.
Les citoyens réclament que l'on impose le capital.
Cela nous conduit à pester contre la diminution de la fiscalité des Sociétés pester contre celles qui pratiquent l'optimisations fiscales ou celles qui fraudent dans vergogne.

Cela nous cause t-il réellement du tors ?
Qui la paie ?
C'est que je nous invite à regarder.

Les économistes ou les infos nous présentent toujours des analyses fragmentaires par élément ou groupes éléments retenus.
Commentés séparément et dissocié de l'ensemble ils ont peu d'intérêts, ils ne livrent pas ce qui s'y cache.

Ex, le taux de prélèvement est calculé sur tous les revenus qui y ont été soumis, moins les sommes redistribuées en prestations. C'est un calcul qui en vaut un autre,  c'est un choix politique.

L'on comprend que cela semble logique puisque ces prestations sont du Prélèvement. (Bien que certaines indemnités  y soient soumises)

Or le salaire des personnels du secteur public, du président aux élus, armée, police, éducation, sécurité sociale, collectivités territoriales et tous autres services ont leurs revenus salariaux ou non rémunérés par les PRÉLÈVEMENTS constituant le budget de l'état et celui des collectivités territoriales.

De plus tous ces personnels qui reçoivent comme salaire des prélèvements y contribuent également.
Cela revient à dire que les PRÉLÈVEMENTS sont imposés une fois de plus. Impôt sur l'impôt.
C'est comme si ces personnels remboursaient une partie des prélèvements perçu, s'auto finançaient.

Je poursuis avec un schéma d'ensemble d'école.

Une entreprise rémunére  100  son salarié pour un travail.
Ce salaire s'inscrit comme charge dans le plan comptable.
Sur ces 100 le salarié paiera la TVA, l'impôt sur le revenu,  les impôts des collectivités territoriales et les cotisations obligatoires.

L'entreprise sera également soumise à ces prélèvements.

Elle paiera l'impôt sur les Sociétés, IS, les impôts locaux, IL, et tous les PRÉLÈVEMENTS obligatoires, plus la TVA sur sa consommation de produits finis.

Au total  la somme des deux représente 45% de prélèvement sur le PIB. Soit 1077 milliards € en 2018
le lien https://www.lesechos.fr/.
Pour le cas d'école que je vais présenter leurs valeurs seront indicatives.

L'entreprise agit comme un filtre.

Tout l'activité économique passe par les structures de production réglementées par le plan comptable .
C'est le filtre d'où s'extrait le Bénéfice individuel de leurs propriétaires.
L'entité juridique à une Personnalité Morale,
Les citoyens une Personnalité Physique.

L'entreprise retirera ses moyens de fonctionnement de la vente des productions issus du TRAVAIL HUMAIN, et seulement de cela, quels que soit les intermédiaires technologiques ou animaliers.

Savoir qui est leurs clients est essentiel.
Car ce sera l'Humain, LUI, rien que LUI et toujours LUI.

La formation du Capital.
C'est la capacité à échanger de gré ou de force, produite ou volée,  développé au fil des siècles en accumulant les produits du travail Humain.
Cela quelle qu'en soit l'équivalent référentiel monétaire.

La rareté.

C'est la RARETÉ qui a forcé l'homme au travail, c'est à dire PRODUIRE ce que la planète ne DONNE pas sans un effort de travail humain de Transformation.

L'abondance.

C'est le désir "d'ABONDANCE" qui l'a pousser à l'exploitation de ces semblables et au développement technologique. ( Lien)

L'universalité.

Il y a pas au monde un CAPITAL qui ne vienne pas du travail Humain, quel qu'en soit le détenteur ou les modalités pour l'obtenir, ( tels les rapports financiers)

Ceci posé, pour ne pas croire que la richesse est créé par l'entreprise (PM) ou la technologie ou les animaux.
Ils ne sont que des prolongements de nos bras et de notre cerveau.

Le client.

Le client de l'entreprise sera celui qui possède un revenu. Un moyen d'échange.
L'histoire humaine en ayant nanti les possédants.

Le SALARIÉ.

C'est par là force que les possédants ont consenti à partir de 1804 de rémunérer les Humains qu'ils tenaient dans l'asservissement.
Ils sont devenus des hommes recevant un salaire, des SALARIÉS.

Le salarié sera le client essentiel de l'entreprise dans laquelle il travaille.

Il achetera ce qu'il produit avec le capital que l'entreprise lui verse comme salaire.

Une circulation simple.

Le capital verse un salaire pour produire,.
Ce salaire s'échange contre ce qu'il a produit quand le SALARIÉ qui la reçu, devient client et acheté son travail
Par cet achat le salaire retourne  au Capital majoré des besoins des propriétaires du Capital Investi pour créer une entreprise, dans le but de dégager des Bénéfices, et non de créer des emplois.

Je poursuis le cas d'école pour situer qui paie IS et IL

Le salarié Prélève obligatoirement, la TVA, l'impôt sur le Revenu, les versements obligatoired, soit au total 45 %.
L'on se souvient que l'entreprise lui a versée 100. En retirant 45 de PRÉLÈVEMENTS il lui reste 100 - 45 = 55 pour achèter son TRAVAIL.

L'entreprise nous l'avons vu soumise aux prélèvements verse au trésor public 45 comprenant IS et IL.

L'entreprise va devoir vendre à ses clients le salaire 100 + ses 45 de prélèvements, soit  145 de  versements obligatoires.
Elle transfère ainsi le Salaire et ses PRÉLÈVEMENTS, comportant IS + IL, sur les clients.

Frais de fonctionnement.

L'entreprise devra également vendre ses frais de fonctionnement et de structure.

Ils se composent de rien d'autres que les salaires et versements obligatoires + frais+ structure + dividendes des employeurs fournisseurs.
Ce n'est qu'une fraction de travail humain, augmenté d'une marge bénéficiaire, disons 55.

L'entreprise devra au minimum vendre son produit de 100 de Salaire + 45 de PRÉLÈVEMENTS incluans IS et IL + 55 de frais généraux et de structure = 200.

L'entreprise va calculer une marge qui lui assure en réalisant son chiffre d'affaire de couvrir tous ses coûts afin de dégager un Résultat Bénéficiaire. Admettons qu'elle envisage un resultat après impôts de 100.

Le chiffre d'affaire nécessaire sera égal à 100 de salaires + 45 de prélèvements + 55 de frais de fonctionnement + 100 du résultat espéré = 300.

L'entreprise devra vendre le travail de son salarié 300 pour espérer son résultat de 100.

Les l'employeurs ou les actionnaires, qui recevront ce résultat de 100 comme revenu,  verseront la TVA, l'impôt national et celui des collectivités locales, plus les versements obligatoires de leurs statuts d'employeurs ou de leurs rapports financiers.Disons 40.

Sur ces 300 l'état et les collectivités auront prélevé 45 du salarié + 45 de l'entreprise comprenant IS et IL, + 40 des employeurs = 130 de versement obligatoires.

Ces 130 rémunéreront les salaires des personnels des service publics, les indemnités des élus +  les frais de fonctionnement et accords internationaux pour rendre aux citoyens les missions qu'ils leur ont confié.

D'une certaine manière nous achetons les services de l'état et des collectivités, en rémunérant ses agents pour qu'ils les exécutent.
Nous indemnisons les élus pour que ce ne soient pas que les riches qui puisdent être élus.
Si nous pouvons trouver anormal que les salariés soient exploités, ce n'est pas qu'en tant que citoyens nous exploitons les salariés des services publics, ce à quoi nous souscrivons dans notre absolue crétinerie depuis 1995 en écoutant les discours lénifiants des Capitalistes qui veulent toujours réduire les charges, comme si elle n'avait pas une vie, humaine de surcroît.

Réduire les impôts, c'est réduire les services publics s'ils ne sont pas remplacer par une évolution technologique ou une obsolescence.
C'est réduire une obsession lié à un atavisme Monarchique, c'est nourrir une illusion que nous allons toucher du doigt

Dans le cadre d'une privatisation au lieu de verser 130 aux services publics à but non LUCRATIF, qui retournent au CAPITAL quand ses agents consomments.
Ces130 retourneraient toujours au CAPITAL majorés d'une marge pour dégager un Résultat Bénéficiaire plus important dans une société à but LUCRATIF.

Nous comprenons donc dans ce processus que le client salarié qui a versée 45 de PRÉLÈVEMENTS sur son Salaire de 100.
Quand il achète son travail que l'entreprise lui vend 300, il achète en même temps l'IS et IL.
C'est comme si le SALARIÉ avait paye directement au trésor public l'IS et IL avec son Salaire.
L'entreprise ne sert que d'intermédiaire comme pour la TVA.
Pour le schématiser, le capital verse 100 de Salaire, le SALARIÉ verse au trésor public 45, puis achète les 45 de l'entreprise.
Au total de manière directe et indirecte il finance 45 + 45 = 90. Et ce n'est pas finit.

Nous nous souvenons que le résultat Bénéficiaire est soit distribué aux actionnaires, soit directement encaissé par l'employeur.
Mais sous une forme ou une autre il est soumis à l'impôt sur le Revenu et à la TVA dans le cadre de la consommation.
Le SALARIÉ CLIENT achètant aussi le résultat Bénéficiaire, il achète l'impôt et la TVA qui seront réglés avec, de manière indirecte.

Il paie donc directement ses PRÉLÈVEMENTS, puis il finance ceux de l'entreprise et de l'employeur, pour rémunérer les agents de l'État et ses services qui les rendrons aux CAPITAL par leurs consommations. Soit 100 - (90 + 40) =  - 30.
J'espère que chacun mesure que le Salaire paie quasiment les PRÉLÈVEMENTS.

Pour le mesurée réellement, vous déduisez de votre salaire net  les charges patronale qui y figurent. Vous allez sur le net à gouV vous rechercher montant de l' impôt sur les société vous le divisé par le nombre d'actif moins les agents de l'État et des collectivités et vous obtiendrez approximativement ce que vous financer indirectement à soustraire aussi du salaire net, également moins votre propre impôt. Vous pouvez faire le même processus pour les impôts locaux, c'est un peut plus compliqué.
Vous approcherez votre pouvoir d'achat réel suivant votre rémunération.

Le prix d'un produit.

J'espère que chacun comprend que le prix d'un produit pour sa valeur intrinsèque ça N'EXISTE PAS.
Nous n'achetons que du travail humain rémunéré en fonction de l'utilité suggestive ou réel d'une production plus ou moins rare, comprenant une partie sociale le SMIC et une partie professionnelles, un revenu binôme.
À cela s'ajoutera le train de vie de l'employeur.

J'espère que chacun comprend aussi qu'il peut resituer les récriminations des employeurs qui se plaignent de payer L'IS et L'IL., Ils ne manquent pas de toupet.

C'est pas finit. L''emprumt.

L'on va oublier un instant que l'on se fait abuser par un état de vulnérabilité intellectuelle des salariés.

Nous avons vu que le TRAVAIL du salarié doit être revendu 300 par l'entreprise.
Or le SALARIÉ ne dispose que de 100 moins les prélèvements 45 soit 55.

Il va devoir emprunter pour bénéficier de son travail. Pour bénéficier de la valeur d'échange correspondant au travail fournit.
Son travail est vendu 300  et il ne dispose plus que de 55 nous l'avons vu.

Si nous tenions compte des paiements de PRÉLÈVEMENTS indirecte qu'il finance, il faudrait ajouter 45 + 40 = 90, il serait à moins 35.
Pour achèter son travail le SALARIÉ devra emprunter 55 - 300 = - 245.
À qui ? au CAPITAL contre un intérêt nous allons l'estimer à 20.
Le SALARIÉ rendra 245 + 20 = 265.
Son travail lui aura coûter 300 + 20 = 320 pour en disposer.
Nous voyons bien que ce que nous achetons n'est pas un objet, mais seulement du travail, de l'énergie humaine.

Il faudra un jour intégrer cette donnée d'énergie qui est une valeur universelle, comme le temps, pour calculer le prix réel du travail car l'énergie est mesurable.
Ainsi le produit du travail devient mesurable, le temps passé multiplié par l'énergie consommée divisé par le nombre de produits réalisés et c'est universellement comparable.

Nous avons fait la boucle. Nous avons compris j'espère qu'aucune entreprise ne paie d'impôts, elle n'est qu'une boîte à lettre.

Pour l'essentiel c'est le client salarié qui achète tout, le coût de l'entreprise et des ressources de l'état et des collectivités.

Quelques valeurs indicatives.

Des 28 millions d'actifs 26 sont salarié et parmis eux 5 millions dont des personnels de l'état et des collectivités.
En conséquence seulement 21 millions financent à peut près tout.
Cela n'est qu'un schéma caricatural car de nombreuses variations ont lieux, mais il est irréductible.
Le salarié touche 100 - 45 de charge reste,55 pour acheter son travail qui lui sera revendu 320, dans lesquels sont compris les impôts sur les sociétés qui sont l'objet de l'optimisation fiscale, l'évasion ou la fraude fiscale.

Si nous avons suivit le cheminement ce sont les salariés qui ont financé par leurs salaires et leur emprunt le montant de cette évasion fiscale ou de cette fraude.
C'est leur travail et pas celui de l'entreprise.

Je pense que nous pouvons concevoir que ce schéma serait un problème que compendrait un enfant de 12 ans si ont l'énoncé de la sorte; qui finance l'évasion fiscale et à qui elle profite ?

Un SALARIÉ ne peut pas ACHTER son travail qu'elle que soit le salaire qu'il reçoit.
L'organisation économique n'est pas faite pour qu'il en Bénéfice mais pour être exploité.

C'est aussi vrai pour les stars salariés du foot-ball où autres que l'on envie tant.
Leur club revend leur salaire à leurs supporters et aux télés qui elles revendent le tout à leurs clientèles (télés payantes) ou aux publicitaires.
Ces derniers rentreront ce coût dans le prix du produit du travail du salarié client, auquel il sera revendu même s'il n'aime pas le foot-ball.

Quel que soit l'élément ou groupe d'éléments que nous analyserons, remis dans l'ensemble cela nous ramène toujours au salarié client qui produit.

Si nous voulons savoir quelle est la valeur monétaire référentielle en vigueur de son travail nous prenons le PIB et nous le divisons par 21 millions d'actifs salariés.
Le PIB 2018 environs 2,660 billions de dollars US sur 21 millions de salariés égale 127 000 dollars US soit 114 300 € par salarié
Avec la prise en compte des employeurs actifs 24 millions au total , cela donnerait 114 000€ par actif.
L'on voit que noyé dans la masse moyenne leur travail actif n'est pas déterminant. Mais ce n'est qu'une vision, un regard, une mesure mathématiques, ce n'est pas la réalité, car les masses monétaires qui circulent dans le monde forment leurs capitaux,v sans qu'ils aient eu une seule fois envie de les partager si ce n'est que contraint.

L'evasion fiscale.

Elle est estimé entre 25 et 100 milliards, et seulement 16 de récupérer.
L'estimation n'est pas une donné fiable, mais rapporté au 21 millions de salariés environ 1190 à 4761€ par salariés qui sont à comparer au 114 300 € de production de richesse.
Tout ce qui peut être dit sur cette évasion fiscale c'est qu'elle ne bénéficie pas directement à la collectivité publique.
C'est à dire seulement à sa destination.
Car quel que soit sont usage elle est financé par le salarié et retourne au CAPITAL.

Ce sont des éléments comparateurs sans valeur réelle des inégalités patentes entre revenus, même au sein des employeurs actifs.

Dernier point.

La SA Personnalité Morale.

Plutôt drôle pour des entreprises qui exploitent leurs SALARIÉS.
Cela poursuivait un objectif que l'on impute pas sur les biens personnels des propriétaires le passif.
Les conséquences en sont maintenant, qu'il est, je l'espère plus facile de comprendre, quand une entreprise est juridiquement pénalisé nous savons qui PAIE.
Quand au nom du CETA une entreprise demandera des dommages à l'État nous savons qui PAIE.
Depuis 1976 j'ai intégré ce schéma quand un employeur m'avait répondu : je veux bien vous payer un millions si je peux vous le revendre.

Alors pourquoi ceux qui gagnent la richesse du pays sont ils incapables de réclamer leur dû ?
Sommes nous irrévocablement des Crétins ?

Cela nous laisse je l'espère interrogatif sur l'usage de nos capacités de réflexions et d'analyses.
Cela doit nous interroger ?
Comment des citoyens que nous instruisons, avec des capacités intellectuelles reconnues appartenir aux élites, acceptent le déroulement d'une exploitation d'évidence
qu'un enfant de 12 ans comprendrait ?
Comment nous même ne comprenons nous pas cela ?
Comment continuer à réclamer des salaires  que nous rachetons au double ?
Comment accepter encore qu'entreprendre emporte le droit d'exploiter les autres ?
La question qui tue !
Comment une PLANÈTE entière peut accepter cela sans se révolter ?
Ce questionnement nous renvoie, non pas au mathématiques mais à notre organisation psychique émotionnelle malléable, adoptable, c'est a dire a HUMAIN d'abord.

Chacun peut refaire ce cheminement  avec des taux de prélèvements exacts, mais c'est un casse de tête chinois sur lequel planche les ordinateurs du fiscs et du trésor public hors de portée de mes capacités et de ma calculette.

Tout ceci ne remet pas en cause la place des DÉCOUVREURS ni des ENTREPRENEURS, mais ils n'ont une PLACE que dans celles organisées par le groupe, dans la recherche atavique de l'abondance, qui n'apparait pas sans une analyse historique.

C'est cette même recherche de la facilité, du moindre effort qui nous conduit à n'être que des salariés soumis ou des entrepreneurs habiles pour cumuler l'abondance.
J'ESPÈRE que nous comprenons que notre organisation est culturelle, que la capitalisation de toute chose ne l'est pas pour sa valeur qui n'existe pas en dehors de notre imaginaire nourri par un atavisme innées.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 30 Décembre 2019

Je n'ai pas écrit d'articles sur la problématique de la retraitej'en avais déja dit deux mots, voir lien. Sur la rémunération de ceux qui, toute leur existence salariale active, nourrissent la population pour qu'elle participe et puisse exercer leur activité sociale.

Issue de la répartition des Tâches, il y à environ 28 millions d'actifs qui œuvrent économiquement pour faire vivre 67 millions de citoyens. Dont Chacun pense qu'il c'est développé tout seul grâce à ses Mérites.

 

Voila un poncif de l'individualisme énoncé, qui n'est qu'une hypocrisie, une contre vérité existentielle, que plus aucun intellectuel n'ose dénoncer, sans se mettre à dos toute l’Imbécillité de l'Inculture Propagandiste de la Pensée Unique de l'organisation capitaliste du travail normaliser par la gestion comptable de la VIE.

 

Des siècles que l'humain se fait Remplacer au travail, par des animaux, des asservies, des esclaves, des machines, des robots.

Serions nous intellectuellement Aveugle pour ne pas nous en apercevoir.

Nos dirigeants politiques Sociaux démocrates sont-ils bornés, notre Patronat (MEDEF) est-il sénescent ?

Ils n'y a que les sots pour oser penser cela. Désolé si vous y appartenez en ayant épousé les thèses du FN/RN, TOUS POURRIS.

Certes l'Arène politique et économique n'est pas une antre d’innocents naïfs et candides pleins de scrupules.

Un jour je m'entretenais avec un psychiatre sur cette faculté qu'on ces élites à croire fermement à la véracité intangible des idéologies qu'ils défendent, le Capitalisme en étant UNE. C'est le choix d'une Capitalisation entre les mains de particuliers possédants et non une capitalisation par répartitions, pour des raisons seulement instinctives, de paradigmes innées.

 

Cela nous fait demeurer au rang d'une aggravation des comportements archaïques animaliers, car les animaux par espèce ne s'entre tuent pas à quelques exceptions, dont la notre. Et la notre en est la PIRE, nom pas parce que nous sommes incapables de réalisations extraordinaires, mêmes si nous limitons celles-ci par la raréfaction de la monnaie disponible, ( par faute de faiblesses intellectuelles ou de capacités à raisonner), mais parce que nous disposons des moyens de destruction de notre espèce en passant de l'auto régulation compliquée à l'auto destruction ou Suicide égoïste.

 

Nous en sommes encore à penser que sans la rareté pour motivation, la monnaie abondante produit inévitablement de l'inflation. 42 ans de ce lied motif qui devait nous apporter le bien être, multiplié par l'apport de l'union monétaire avec ses critères anti inflationnistes devenus la chapelles de nos gouvernants.

42 ans au bout duquel une année de Gilets jaunes n'a pas convaincu celui-ci qu'ils vendaient des Chimères, et que sa vision purement monétariste appauvrissait une partie de la classe salariale et artisanale. Si bien que l'on retrouve dans la contestation, salariés, agriculteurs et artisans, les petits bien entendus, ceux qui subissent les affres de la compétition capitaliste, qu'ils soutiennent par ailleurs sauf quand elles les touches.

 

Alors comme ils sont politiquement et économiquement et presque inculte, ils réclament des augmentations qu'ils Achèteront comme clients le double de ce qu'on leur a donné au titre du salaria.

 

Le débat et la contestation sur le projet de retraite du gouvernement, par des salariés qui tiennent à leurs acquis, (dont la raisons n'est pas seulement les conditions qui ont favorisées les divers régimes mais le revenus que cela représente pour vivre dans l'aisance financières et travailler moins longtemps pour profiter du bien être qu'ils ont contribué à produire).n'est pas plus engageant quant aux visions de l'avenir, que l’uni-formalisation des retraites du gouvernement comme prétexte pour organiser la réduction future de leurs coûts par l'évolution de la valeur du point.

 

Qui peut imaginer un instant, que des représentants du patronat (MEDEF), des compagnies d'assurances et de membres du gouvernements réunis pour élaborer un projet d'uniformisation des retraites vont le faire dans l’intérêt des retraités.

S'il est exact qu'une majorité des citoyens sont politico économiquement incultes, ils ne restent pas forcément cons et savent compter.

Et quand ils ne reçoivent pas suffisamment de revenus pour ACHETER ce qu'ils produisent, cela s'appelle le Développement de la Pauvreté.

Si avec justesse nous observons une réduction de la misère dans la comparaison des ressources, les opérateurs d'organisations caritatives, dont je déplore la pérennisation, constatent une augmentation des bénéficiaires. Une analyse plus fine montre que ce sont les dépenses de logement qui mangent les petits budgets et font passer certains citoyens de la pauvreté à la misère.

 

Ces quelques observations pour dire que s'il y a raison à défendre ses intérêts contre une organisation capitaliste anthropophage, un an de contestation Jaune et la reprise en main de la contestation par les syndicats n'apportent pas de débat sur le futur économique, l'organisation du travail ni les nouvelles sources de revenus.

 

La voie dans laquelle nous sommes inscrits est celle du remplacement de l'homme au travail. Seulement au travail, ne comptons pas que les machines intelligentes Pensent pour nous, sinon dans dix siècles elles nous rabâcheraient ce que nous leurs aurions rentré dans le ventre même si elles étaient capables de lire nos émotions. Leur seul intérêt est de réfléchir plus vite plus de données

Nous entrerions ainsi dans l'immobilisme pire que celui du Coran, dont la machine à reproduire la pensée est Mahomet. Ne voyez aucune insulte en cela, mai seulement une comparaison structurelle comme celle que l'on peut faire avec le développement de la pensée unique qui a sclérosé nos esprits.

Et la sclérose nous le savons développe des incapacités. Celles d'une année de Gilets Jaunes, celles de la destruction du socialisme, celle de l'interdépendance humaine et non la méritocratie imbécile d'une Compétition Funeste.

Depuis 1976 je sais que l'homme à partir de 40 ans n'est plus productif. Depuis 1970 je sais que la machine remplace l'homme au travail, que l'entreprise n'a pas vocation à créer des emplois.

Je ne dois donc pas être le seul. Pourquoi donc vouloir repousser l'âge de la retraite pour faire travailles des salariés qui à 50 ans sans lunettes ne peuvent plus exercer la plus part des métiers.

 

Innover pour tenir compte de nos faiblesses ce serait pour les Métiers Pénibles mettre la retraite à 40 ans et les autres à 50 ans.

A tous ceux qui trouveraient cela absurde, qu'ils en profitent pour comprendre la différence entre gérer la vie humaine suivant les conditions de sa réaliser et une gestion comptable celle du gouvernement pour réduire la charge des riches.

 

Si j'ai une critique globale à faire aux quelques partis socialistes qui restent, y compris la France Insoumise et les syndicats, c'est bien de suivre ceux qui les élisent pour des voix qui donnent le pouvoir sans lequel l'on ne peut plus être entendu dans une société ou la communication est essentielle.

L'on y sacrifie donc la capacité à innover et oser, du moins pour les syndicats Revendiquer.

 

Faute d'avoir su faire cela depuis 30 nous avons hérité du fascisme latent.

 

Juste un petit rappel, Chacun se souvient de la fatwa lancé contre Salman Rushdie, de Charlie hebdo et de tous les tollés anti musulmans que cela a soulevés, mais nous avons passé sous silence l'affaire du New York times, dont une caricature de B. Nétanayou tenu en laisse par Donald Trump a soulevé un tollé. Jugé anti-sémite, le journal c'est excusé et le journal a annoncé la fin des caricatures politiques dans ses colonnes.

Cette attitude frileuse pour se mettre à l'abri des critiques, des éditorialistes ont appelé cela l'Autocensure Préventive.

Venant de la part d'un pays qui n'a que Free down à la bouche marque un tournant.

Dans de nombreux pays la caricature de presse, qui est cette liberté d'être la main de l'auto dérision salutaire, est pourchassé voire comme en Algérie ou en Turquie mise en prison.

 

Le lien entre mon sujet et cet événement journalistique c'est la raison financière, la raison comptable dans les pays occidentaux, religieuse dans les pays musulmans, mais surtout une fascisation latente commune qui s'enchaîne par peur introspective, car les politiciens ont besoin d'y croire comme les religieux.

Ce ne serait pas si grave si tout cela ne nous conduisait pas à une auto censure préventive, comme celle d'avoir peur de revendiquer le droit de vouloir son bien être quand ON LE PRODUIT.

 

Il faut s'éloigner de la méritocratie et de son porte monnaie l'un et l'autre sont de mauvais conseillers.

 

Mettre en œuvre ce que les autres ont mis à notre disposition avant notre naissance au prix d’innombrables erreurs, nous pouvons le nier et même l'effacer en supprimant l'histoire, mais nous ne pourrons pas dérouler une existence autre que sur le mode échec.

C'est pour cela qu'être LIBERAL c'est aussi être tolérant, comprendre et venir en aide, la face caché du libéralisme. La face qui transforme les erreurs de la vie, ne faut pas avoir peur de Revendiquer ce que nous aurons à Produire.

Avoir conscience de cela est le premier pas anticapitaliste, vu l'état du monde cela me paraît en net recul, même chez ceux qui remplacent leurs autocrates, comme dans le Maghreb, tandis qu'en Amérique du sud ils en réinstallent. Le capitalisme c'est un poulpe, regarder en Chine il n'a pas eu peur de devenir rouge.

 

BONNE ANNEE A TOUS.

https://admin.over-blog.com/1463119/write/58925474

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 27 Novembre 2019

Quand l'on est Con, ce n'est pas pour la Vie.

 

Heureusement ! Il y a toujours une espérance.

Difficile d’écrire l'histoire avant d'avoir pu la vivre ou l'apprendre,

La vivre oui, mais nous ne pourrons pas la raconter comme nous l'avons véritablement vécu.

Chacun de nous a bien conscience qu'il ne peut raconter dans une demi heure ce qu'il a vécu durant vingts quatre heures.

 

Cela devrait nous permettre de comprendre que la Vérité ne nous est pas accessible, nous la vivons mais nous ne pouvons pas la rapporter, Comprendre cela réglerait pas mal de mésententes et de problèmes.

 

Ainsi essayer de résumer le glissement intervenu jusqu'à aujourd'hui pour comprendre faute de pouvoir expliquer avec forces détails qui ne tiendraient pas dans un livre, 50 ans histoire que j'ai vécu, est une gageure,

Chirac vient de décéder, La première fois que je l'ai vu c’était a l'ORTF derrière le Général que l'on ne nomme plus. Il le pressentait au journaliste comme un jeune plein d'avenir politique. L'histoire ne l'a pas démenti.

 

C'est juste le point de départ de la mienne. De Gaule ignorait que sa Ve république feraient le lit des oligarchies financières qui soumettraient la France et l’Europe sous la dépendance des grands groupes internationaux qui sont entrain de liquider la démocratie. Ils n'ont plus d'adversaires qu'eux mêmes, et les rescapés du Socialisme ne pèsent pas grand choses,

Rien n'est simple. S'en prendre aux grands groupes comme je l'écris n’est pas remettre en cause les compétences de leurs dirigeants ou de ceux qui y travaillent.

Ni remettre en cause le capital nécessaires pour faire des réalisations qui dépassent les moyens d'un individu.

 

A quoi cela me servirait-il de m'en prendre aux grands groupes, alors que ce sont les CITOYENS de tous les pays qui les RECONSTITUENT. Les hommes politiques tiennent tellement a LEURS votes qu'ils ne nous dirons jamais, que globalement nous sommes de braves et bons Cons.

 

Soyons sur qu'en aparté nous le disions avec un soupir de désespérance, car bien sur ils ne s'agissait pas d'une insulte, mais de tout l’intérêt que nous leurs portions ; conscient de ne pouvoir rien y changer tant qu' EUX ne décideraient pas d'en CHANGER,

 

Pourtant ils ont tremblé. Ils ont tremblé en 1974. Il en ont dépensé un pognon monstre pour que Giscard soit élu. C'était orgiaque. Seulement 425 000 voix de plus que l'Union de la gauche. Marchais, Mitterrand et Fabre seront les seuls à connaître les raisons de la fin de l'union autour du Programme Commun, qui l'aurait emporté électoralement. D'aucuns y ont vu la mains du patronat, d'autres de la finance sur le maillon faible du PRG, biens des rumeurs ont couru, eux seuls le savent.

Ils avaient si peur qu'avec le Programme commun les communistes arrivent au pouvoir que déjà en 1973 la « bande » Pompidou Giscard et peut être quelques conseils de Rothschild, modifie le fonctionnement de la banque de France.

Je l'exprime simplement comme cela se rapporte aujourd'hui dans le débat public, mais c'était plus complexe, comme toujours d'ailleurs «  maintenant vous savez pourquoi je l'ai expliquée d'entrée » . Le fameux article 25 n'a pas était présente directement par le gouvernement, le débat sur la modernisation a permis par le moyen d'un amendement de l'apporter. En principe tout le monde connaît ce moyen indirect, ça fait partie des règles du jeu, Ceux qu'à l'époque je connaissais de certain, c'était la peur du patronat de voir arriver les communistes au pouvoir avec les moyens financiers qui s'y attachaient. Nous sommes dans la guerre froide et la guerre du Vietnam. Ils se plaignaient de l'instabilité permanente dans laquelle les élections plongeaient le pays dans la perspective d'une victoire de la gauche.

Ce fut une période faste pour le syndicalisme de nombreux accords virent le jour.

l 'objectif couper l'herbe sous les pieds du PC et de la CGT. Puis la CFDT jusqu’à l'arrivé de la gauche au pouvoir en 1981 où la CFDT « s'accoquine » au pouvoir socialiste.

Les syndicats réformistes profitent de cette situations et se font également instrumentalisés. C'est un jeu complexe dans lequel les citoyens lambdas sont hors connections. Comme aujourd'hui pour la plus part, même bien plus qu'à cette époque, à se demander si entre hier et aujourd’hui il n'y a pas eu une FABRIQUE d'ânes ; ou une Fabrique du Crétin comme a intitulé son livre J.P Brugheli

 

Ce que j’appelle la FRACTURE intellectuelle dont l'abstention et les GJ sont la démonstration actuelle. Avec jamais autant de savoirs disponibles cette situation est anormale, voire préoccupante, car elle est un prémisse de la destruction de la démocratie.

 

 

La peur fut grande pour la droite et le patronat. 1977 avec Raymond Barre se met en place la lutte contre l'inflation et la lutte pour la diminution des CHARGES pour rendre compétitive nos entreprises. C'est le début de l'emballement du chômage.

500000 en 1975, 3 700 000 en 1995. Depuis nous luttons toujours contre l'augmentation des charges, Sauf que c'est fameuse charges c'est nous. Vous, votre femme, votre mère et père, vos enfants.

 

Tant que les hommes n'auront pas compris cela nous continueront de Fabriquer des Crétins qui croient qu'ils ne peuvent pas produire ce dont ils ont besoin parce qu'ils n'ont pas m’équivalant monnaie, c'est à dire une illusion.

 

Avec tous les savoirs et les réalisations extraordinaires que nous accomplissons, nous avons un bon degré d’indigence intellectuelle. L'instruction n'est pas la vie, elle aide à comprendre le monde pour nous réjouir de notre capacité de créativité pour obtenir un bien être qui ne soit pas notre fossoyeur.

 

Pour l'instant nous creusons toujours notre tombe en plus de celle qui nous est commune comme finalité.

La culture en a rajouté dés que l'humain a pu tenir un « caillou dans la main » celui d'aujourd'hui tient sous le bout du doigt, un bouton atomique.

Tout cela pour maintenir le privilège de disposer de la rareté. Nous préférons cela, disposer par la force du pouvoir de détenir ce que l'autre convoite, car cela nous classe socialement et politiquement. Nous n'avons aucun attrait pour l'abondance parce qu'elle ne nous différencie pas, OR nous acceptons la normalisation industrielle et comptable. LES accros aux marques en sont l'exemple type, comme les placements financiers. Ainsi pour conserver l'un ou l'autre nous raréfions les moyens monétaires nécessaires et nous nous privons de réalisations dont le manque crée des souffrances, des conflits, des guerres.

Depuis 1990 les motifs des hommes politiques pour être élus furent : 1/ la lutte contre le chômage, dont l'échec permanent est, nous l'avons compris je l'espère, la lutte contre la réduction des charges, qui ne sont qu'humaines ; une réduction de charges égale une perte d'emplois ; 2/ la sécurité qui nous conduit dans l'hystérie collective par la gestion politique de la peur.

 

La conséquence de tout cela fut l'illusion d'une maîtrise, comme si les effets négatifs du capitalisme ne seraient pas efficients et seraient acceptés, parce que les citoyens se préoccuperaient essentiellement du chômage et de la sécurité.

Sauf que ni l'un ni l'autre ne remplissent la gamelle, et ce ne sont pas les propositions actuelles du gouvernement qui vont la remplir, car il estime encore que les citoyens ont trop de privilèges, tandis que d'autres citoyens trouvent que la misère leurs coûtent cher.

 

J'ai mainte fois écrit que ce sont les 21 millions de français qui travaillent qui paient tous. https://ddacoudrev2.blogspot.com/2019/08/supprimer-l-sur-les-societes-que-paient.html

ILS LEURS APPARTIENT DE DIRE CE QU'ILS VEULENT CAR CE SONT EUX, ET EUX SEULEMENT QUI FINANCERONT TOUT INEGALEMENT. MAIS ILS FAUT QU'ILS SACHENT QUE LORSQU'ILS RECLAMENT UNE AUGMENTATION DE SALAIRE, LES CAPITALISTES LA LEUR REVENDRONT AU DOUBLE DE CE QU'ILS ONT CONSENTI DE LEURS VERSER.

 

Si nous n'avons toujours pas compris cela ? alors Jean Paul Brigheli a raison !

 

DE PLUS , SI NOUS ATTENDONS QUE QUELQUES ÊTRES SALVATEURS DU MONDE SI CHER AUX AMERICAINS QUE NOUS MIMONS , NOUS L'APPORTE, LES OCEANS CONTINUERONT DE MONTER.

 

Alors n'acceptons pas une fois LA VIE ACTIVE ACHEVEE de ne recevoir qu'une misère de retraite pour services rendus au Capitalisme.

N'acceptons pas que ceux qui nous la reversent avec la monnaie que nous leurs gagnons. Ou si nous préférons, nous restituent ce que nous leur avons donné en ayant acheté notre travail le double de ce qu'il nous a été donné pour le réaliser, trouvent en plus que l'on vie trop vieux et veulent nous remettre à bosser.

 

TOUS CEUX qui pensent qu'il faut travailler plus longtemps parce que notre espérance de vie s’allongent sont des indigents du cervelet, ils ont remplacé une case sociale de leur cerveau par une case comptable.

Nous devrions considérer que comptabiliser l'existence est une maladie PSYCHIATRIQUE de l'organisation capitaliste du travail.

 

Nous avons la vie devant nous pour ne pas rester des cons, mais faut-il encore le désirer et ne pas se complaire dans l'immobilisme normatif ou rationnel qui n'ont comme intérêt que comme panneau indicateur et non moyen de formatage de notre cerveau qui en devient un invalide intellectuel.

 

La seule valeur authentique et réfutable c'est l'énergie que nous dépensons pour réaliser une tâche ici ou au bout du monde, que l'on soit chinois ou un indigène d'Amazonie. Nous savons la calculer pour exécuter des performances sportives.

Qui donc nous interdit de le faire pour comparer nos productions qui n'ont de prix que celui de l'énergie que nous y consacrons dans un temps donné pour réaliser un travail. Plus besoin de douanes, plus besoin de duperies. Vous voyez bien que notre cerveau est imaginatif.

Alors, disons ce que nous voulons et si nous ne savons pas disons ce que nous ne voulons pas, et LA SOLUTION SE PRESENTERA.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 13 Novembre 2019

Cela va faire un ans que tous les samedis avec entêtement les gilets jaunes mobilisent des ronds points.

Leur ténacité est exemplaire,jamais un mouvement de contestation n'auras durée aussi longtemps. Plusieurs composantes le consolide, la place des femmes, le net et le choix du samedi.

L’inconvénient il ne gène personne, ce n'est pas une grève.

Je l'avais qualifié de Jacquerie, car il n'y avait qu'un fil conducteur, le raz le bol qu'a fait verser la goutte fiscale de trop.

Des jacquerie dans notre histoire il y en a eu souvent, pour des augmentations de taxes ou de pénurie alimentaire, elles n'allaient jamais bien loin, c'était d'autres temps avec peu de moyens de communication.

Mais ce qu'elles avaient de commun c'est la volonté politique de mater la colère de ses membres, là aussi avec des moyens différents pour une même fin, faire taire et rendre INEFFICIENT le peuple qui manifeste. Avant d'avoir des forces spéciales, des forces anti émeutes qui furent mise en place à partir de 1995 après l'action violente des altermondialistes à une réunion de je ne sais plus quel G en Italie.

Elle coordonne les actions de la Police, la Gendarmerie et l'Armée, à l'époque ils s’entraînaient du Côté d'Annecy, leurs actions étaient organisés pour gérer les manifestations, orienter le trajet, développer des mouvements de panique, intercepter les meneurs et affronter les manifestants.

Nous avons retrouvé la mise en œuvre de chaque élément durant les moments chauds des manifestations, la seule hésitation fut de faire appel à l'armée qui anciennement était le seul moyen de répression pour rétablir l'ordre.

 

Ceci précisé, les Gilets jaunes se sont réunis à Montpellier pour se donner un objectif quand à l'avenir de leur mouvement, et ont voté massivement pour participer à l'a journée d'action des syndicats dans le cadre du projet de la réforme de la retraite. Il invite ses membres d'être au cœur des actions en s'y distinguant par le port du gilet.

Ce doit être la quatrième réunion de ce mouvement qu'aucune collectivité n'a voulu accueillir. Elles ont la rancune tenace ou ont elles peurs de se déconsidérer en offrant un lieu de réunion. Toujours est-il que cette assemblé ou se mouvement semble sortir de la jacquerie pour se constituer en une force politique et réitérer ses revendications que rapporte Médiapart :

 

zéro SDF urgent.

Impôt sur le revenu davantage progressif (plus de tranches).

SMIC à 1300 euros net.

Favoriser les petits commences des villages et centres-villes. (Cesser la construction des grosses zones commerciales autour des grandes villes qui tuent le petit commerce) + de parkings gratuits dans les centres-villes.

Grand Plan d'Isolation des logements. (faire de l'écologie en faisant faire des économie aux ménages).

Que les GROS (Macdo, google, Amazon, Carrefour...) payent GROS et que les petits (artisans, TPE PME) payent petit.

Même système de sécurité social pour tous (y compris artisans et autoentrepreneurs). Fin du RSI.

Le système de retraite doit demeurer solidaire et donc socialisé. (Pas de retraite à point).

Fin de la hausse des taxes sur le carburant.

Pas de retraite en dessous de 1 200 euros.

Tout représentant élu aura le droit au salaire médian. Ses frais de transports seront surveillés et remboursés s’ils sont justifiés. Droit au ticket restaurant et au chèque vacances.

Les salaires de tous les Français ainsi que les retraites et les allocations doivent être indexés à l'inflation.

Protéger l'industrie française : interdire les délocalisations. Protéger notre industrie c'est protéger notre savoir-faire et nos emplois.

Fin du travail détaché. Il est anormal qu'une personne qui travaille sur le territoire français ne bénéficie pas du même salaire et des même droits. Toute personne étant autorisée à travailler sur le territoire français doit être à égalité avec un citoyen français et son employeur doit cotiser à la même hauteur qu'un employeur français.

Pour la sécurité de l'emploi : limiter davantage le nombre de CDD pour les grosses entreprises. Nous voulons plus de CDI.

Fin du CICE. Utilisation de cet argent pour le lancement d'une Industrie Française de la voiture à hydrogène (qui est véritablement écologique, contrairement à la voiture électrique.)

Fin de la politique d'austérité. On cesse de rembourser les intérêts de la dette qui sont déclarés illégitimes et on commence à rembourser la dette sans prendre l'argent des pauvres et des moins pauvres mais en allant chercher les 80 milliards de fraude fiscale.

Que les causes des migrations forcées soient traitées.

Que les demandeurs d'asiles soient bien traités. Nous leur devons le logement, la sécurité, l'alimentation ainsi que l'éducation pour les mineurs. Travaillez avec l'ONU pour que des camps d'accueil soient ouverts dans de nombreux pays du monde, dans l'attente du résultat de la demande d'asile.

Que les déboutés du droit d'asile soient reconduits dans leur pays d'origine.

Qu'une réelle politique d'intégration soit mise en œuvre. Vivre en France implique de devenir français (cours de langue française, cours d'Histoire de la France et cours d'éducation civique avec une certification à la fin du parcours).

Salaire maximum fixé à 15 000 euros.

Que des emplois soient crées pour les chômeurs.

Augmentation des allocations handicapés.

Limitation des loyers. + de logement à loyers modérés (notamment pour les étudiants et les travailleurs précaires).

Interdiction de vendre les biens appartenant à la France (barrage aéroport…)

Moyens conséquents accordées à la justice, à la police, à la gendarmerie et à l’armée. Que les heures supplémentaires des forces de l’ordre soient payées ou récupérées.

L'intégralité de l'argent gagné par les péages des autoroutes devra servir à l'entretien des autoroutes et routes de France ainsi qu'à la sécurité routière.

Le prix du gaz et l’électricité ayant augmenté depuis qu'il y a eu privatisation, nous voulons qu'ils redeviennent publiques et que les prix baissent de manière conséquente.

Fin immédiate de la fermeture des petites lignes, des bureaux de poste, des écoles et des maternités.

Apportons du bien-être à nos personnes âgées. Interdiction de faire de l'argent sur les personnes âgées. L'or gris, c'est fini. L'ère du bien-être gris commence.

Maximum 25 élèves par classe de la maternelle à la Terminale.

Des moyens conséquents apportés à la psychiatrie.

Le Référendum populaire doit entrer dans la Constitution. Création d'un site lisible et efficace, encadré par un organisme indépendant de contrôle où les gens pourront faire une proposition de loi. Si cette proposition de loi obtient 700 000 signatures alors cette proposition de loi devra être discutée, complétée, amendée par l'Assemblée Nationale qui aura l'obligation, (un an jour pour jour après l'obtention des 700 000 signatures) de la soumettre au vote de l'intégralité des Français.

Retour à un mandat de 7 ans pour le Président de la République. ( L’élection des députés deux ans après l'élection du Président de la République permettait d'envoyer un signal positif ou négatif au président de la République concernant sa politique. Cela participait donc à faire entendre la voix du peuple.)

Retraite à 60 ans et pour toutes les personnes ayant travaillées dans un métier usant le corps (maçon ou désosseur par exemple) droit à la retraite à 55 ans.
Un enfant de 6 ans ne se gardant pas seul, continuation du système des aides PAJEMPLOI jusqu’à ce que l’enfant ait 10 ans.
Favoriser le transport de marchandises par la voie ferrée.
Pas de prélèvement à la source.
Fin des indemnités présidentielles à vie.
Interdiction de faire payer aux commerçants une taxe lorsque leurs clients utilisent la carte bleue. -Taxe sur le fuel maritime et le kérosène.

Je ne vais pas le décortiquer car ce serais trop long, mais elles ont le caractère de ceux qui vivent les difficultés que génèrent les choix politiques du vote des citoyens, que je n'ose même plus qualifier de libéral. Il organise un dépouillement mécanique ou systématique de ce qui appartient aux citoyens, de part ceux que sont leurs prérogatives de disposer du pouvoir du peuple, vers quelques particuliers fortunés, vers une ploutocratie actionnariale, garante d'une impunité, par le principe de responsabilité Morale de l'entreprise.

 

Le dernier en date est la privatisation de la Française des jeux. Le peuple en est propriétaire, le gouvernement seulement gestionnaire et il s'arroge le droit de vendre ce qui appartient à tous à quelques uns, et l'on trouve encore des cons pour dire que l'état fait une bonne opération.

C'est comme si un viticulteur qui tous les ans retire son revenu de sa vigne la vendait en disant qu'il a fait une bonne affaire, alors que les années suivantes une fois le gain épuisé, il n'aura plus rien, car il ne peut vendre sa vigne au prix du revenu annuel dont elle l'assurait pour les années suivantes.

 

Qui plus est cela ne gène en rien ceux qui investiront en actions pour recevoir en gain un dividende sur la misère de ceux qui jouent, qui doivent être nombreux parmi les gilets jaunes.

 

Il semblerait que depuis les européennes le gros des troupes du RN se soient éclipsés, malgré une revendication autour des moyens d'intégrations, et que cette assemblée ait décidé d'actions mais non d'un avenir politique.

Ils me paraissent prisonniers de ce qui les a créé, un mouvement hors système, sauf qu'ils ne pourront en guise de statut existentiel de reconnaissance publique squatter toute la vie les ronds points pour dire qu'ils existent ou y mettre fin en rejoignant les forces existantes qui portent déjà les revendications qu'ils réclament.

En l'état je ne vois pas quel genre de statut ils pourraient adopter si ce n'est de celui des invisibles qu'ils étaient faute de ne plus avoir confiance en personne. Mais ils sont entrain de se réveiller de cela.

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 7 Novembre 2019

Il y a très longtemps en 1969 l'éducation permanente faisait son apparition dans la nouvelle société de Jacques Delors et Chaban Delmas.

Malheureusement, personne n'en voulait ni les employeurs ni les salariés. Ces élus avaient retiré de 68 la nécessité d'émanciper le monde du travail.

Ils rejoignaient en cela Fernand Pelloutier qui créa les bourses du travail pour que les travailleurs aillent s'émanciper en lisant.

L'éducation permanente est devenu formation professionnelle. La peur d'avoir des gens émancipés nous a entraîné lentement mais surement à la fracture intellectuelle que nous connaissons aujourd'hui.

Rien n'arrive jamais spontanément.

C'est ainsi que toutes les sociétés se sont développés sur l'usage de leurs savoirs. Sa diffusion a marqué l'évolution des sociétés. La notre a pris son essor avec l'"imprimerie et l'école en diffusant et apprenant ce que les autres avaient rendu accessible et tenaient comme "vérité".

Nous sommes passés d'un savoir entre initiés à un savoir de masse et à une application des découvertes du 19 et 20 siècle dont la divulgation c'est traduite par une utilisation exponentielle après guerre comme sans précédent dans l'humanité, du essentiellement à l’accélération de la circulation des savoirs, des biens et des personnes par les moyens de communications.

La quantité de connaissances dont il faut disposer pour saisir et comprendre la complexité du monde n'est plus accessible à la majorité des hommes, du fait d'une organisation de la scolarité et des savoirs qui n'est plus adaptée à l'évolution et la quantité de ceux-ci.

La maitrise du génome et l'intelligence artificielle ne pouront pas demeurer demeurer sans risques entre les mains de Capitalistes, dont le souci n'est pas l'hommes en tant qu'humain, mais en tant que marchandise.

Si une spécialisation c'est faite jours par des filières universitaires cela représente un retour vers "l'instruction des initiés entre-eux" dont il nous faut sortir.

Pour l'instant c'est le Net qui rend les savoirs disponibles au masse avec toutes les distorsions propre à la communication.

il devient donc de plus en plus urgent de réorganiser l’accès aux savoirs qui ne peuvent plus être contenus dans la scolarité existante et l'aspiration seulement économique qu'il en est attendu.



Fort de mon expérience militante en 1999 j'ai rédigé un essai intitulé "RÉMUNÉRER LES HOMMES POUR APPRENDRE" Car d'expérience aucun d'eux ne veut apprendre si l'on ne l'y oblige pas, c'est dans notre nature humaine, et il n'est plus temps d'attendre que ceux-ci y accèdent suivant leur propre volonté. Nous ne travaillons pas suivant notre propre volonté, il faut dont regarder l’enseignement des savoirs, comme une activité qui puisse être rémunérer.

Si nous ne faisons pas cette effort nous préparons une société d'"handicapés intellectuel" qui a déjà commencé.

Sa représentation actuelle en France en est les Gilets Jaunes, dans d'autres pays ce sont des révoltes émancipatrices aveugles et une fâcheuse tendance au développement du FASCISME.



L'on ne peut dans une démocratie détruire les structures qui la porte, les partis ou opinions politiques,

les syndicats ou contre poids aux opinions politiques gérantes du pays, les associations lieux de représentation du monde "civil", les débats d'intellectuels et de philosophes, les élites entrepreneuriales, scientifiques, politiques sans forcément en arriver à une dictature.

TOUT CELA PARCE QUE NOUS N'AVONS PAS SU ADAPTER LES STRUCTURES D'ENSEIGNEMENT AU PLUS GRAND NOMBRE, POUR SEULEMENT UNE GESTION COMPTABLE DE L'EXISTENCE.



Dans cet essai je présentais déjà ce qui ce développe, il n'y a rien de génial en cela, il suffisait d'être un acteur social actif pour s'en rendre compte sans suivre justement les comptes financiers.



l'essai peut être lu à ce lien, 400 pages dans lesquelles l'on peut ne pas tout lire.

http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html

















 

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Rédigé par ddacoudre

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Publié le 31 Octobre 2019

Qu'est-ce que cela peut faire à certains citoyens que les femmes musulmanes veuillent porter le voile, ce n'est pas leurs problèmes s'ils ne sont pas musulmans.Qu'ils aient une opinion sur la chose, ne démontre pas que cela leur nuit ou porte atteinte à la laïcité.

Nous avons banni le costume scolaire qui cachait les inégalités sociales, pourtant nous avons conservé la toge des magistrats et des avocats fait pour cacher l'étalage de la richesse de certains. La logique ont le voit bien est facteur de circonstances sociales émotionnelles plus que de réflexions intellectuelles.


Soit, les musulmans ont besoin de réajuster certains de leurs symboles à l'évolution des sociétés du monde et de l'évolution de la science.
Imaginons une INUITE convertit à l'islam, qu'est-ce qui serait important, le vêtement qu'elle porte ou comment elle VIT sa FOI.
Dans des pays musulmans comme l'Arabie Saoudite, il y a un bon paquet de musulmans qui peuvent faire des prières 10 fois par jours et même cent, que leur dieu n'est pas prêt de les accueillir, même si tous les jours ils allaient à la Mecque.


Dans la religion Chrétienne penser à une autre femme que la sienne est déjà commettre un adultère. Saint Pierre peut fermer les portes du paradis et le mettre en liquidation.

Imaginons la vie d'un mâle Chrétien, tous les jours il se tape des femmes à demie nus, pour un savon, un parfum, une crème dans les pubs télévisés et j'en passe.
Aucune religion ne donne d'indications comment se vêtir, sauf les juifs sur leur port lié au genre. Il est interdit aux femmes de porter des habits d'hommes et vice versa. Déjà à leur époque ils avaient des connaissances biens claires de la "fantaisie" génétique, je vais le dire comme cela.
Seule indication biblique, les pauvres humains après avoir mangé la pomme ils découvrent qu'ils sont nus et se cachent le sexe. Et depuis l'on a des problèmes sexuels, tout le monde veut savoir ce qu'il y a derrière cette feuille. Ou alors la pomme était un remède contre la cécité.

Je crois que nous sommes dans nos pays occidentaux à un niveau d'éducation qui permet de comprendre que si dieu peut créer la terre et les cieux, il lui aurait été facile de créer l'homme tout habillé dés la naissance.

Quoi, me dit-il, "c'est ce que j'ai fait pour tous les êtres et les plantes, tous ont une PEAU. Libre à eux de se la protéger suivant lieux où ils sont aller vivre". Qu'ils se vêtissent pour se protéger, pour séduire, pour s'identifier, SOIT. Cela concours aux moyens que je leur ai donné pour s’installer où ils trouvaient à se nourrir, depuis que je les aies VIRER de L'EDEN.
Mais avoir honte du corps que je leur ai fait, C'EST UN OUTRAGE A MA CRÉATION. TROUVEZ D'AUTRES JUSTIFICATIONS QUE LA PAROLE QUE VOUS ME PRÊTEZ.

Je ne suis pas débile, je vous crée NUS, et puis j'irai raconter à l'oreille d'un prophète ou de mon Fils qu'il faut vous VÊTIR.

Que vous les humains vous deveniez débiles en vieillissant, je le sais, c'est moi qui vous aies créé, mais pas pour me faire porter le chapeau de vos conneries.
Mais avouons que nous les humains, nous sommes étranges. Nous louons dieu, parfois avec des pratiques de fous, ET ILS ONT HONTE D’ÊTRE SA CRÉATION, ILS ONT HONTE D'ÊTRE NUS.
D'ailleurs les enfants naissent toujours nus et sans feuilles.
Pendant des siècles on a raconté aux enfants qu'ils naissaient dans les choux et que la masturbation rendait sourd et nous sommes entrain de faire chier les musulmans avec un voile. L'on a pas peur du ridicule, nous qui mettons des "Voiles'" de partout pour protéger notre intimité. Rideaux aux fenêtres, portes à chaque pièce, depuis la mise au rancard de la minijupe, les femmes portent pantelons pour pas que l'on regarde leurs culottes, n'en déplaise à Alain Souchon avec "j'ai dix ans".

Nous balançons entre érotisation de toutes choses et interdictions pudibondes au nom d'une intimité à géométrie variable suivant l’intérêt de la défense de sa cause que nous voudrions universaliser, pour faire mieux que Dieu ou la nature qui lui ou elle a créé la diversité.

Des seins et des culs nus en pub tous les jours c'est moins choquant que les mêmes seins nus sur une plage ou dans des villes balnéaires que des maires ont interdit parce que des femmes vieillissantes trouvaient trop de maris avec des torticolis l'été.

c'est quoi un soutien gorge, si ce n'est un vêtement pour voiler les seins l'été, c'est quoi des rideaux si ce n'est que de voiler ce qu'il y a à voir, c'est quoi des portes si ce n'est fait pour voiler ce qui s'y passe derrière. Que faisons nous, nous voilons ou nous cachons , comment un bout de tissu sur la tête peut-il poser tant de polémiques, que cachetons derrière cette guerre au voile Musulman ?

Que des hommes plus instruits que d'autres aient au fils des siècles observer ce qui était protecteur de la vie et du corps humain me parait une évidence.
Comment l'homme, dont l'on ne peut plus douter qu'il appartient au monde animalier, en est arrivé à développer une intimité sexuelle, nous ne pourrions qu’émettre des suppositions. Au mieux lire ce que nous avons pu recueillir sur des tribus indigènes. http://www.amazon.fr/exec/obidos/external-search?tag=fileanecom-21&keyword=vie%20sexuelle%20des%20sauvages&mode=blended


Que chaque population ait adapté ou retiré de ses observations ce qui correspondait au territoire ou elle vivait et aussi l'évidence qui justifie des us et coutumes différents.

Pour les apprécier il faut les rapporter aux temps où elles sont apparus et comprendre pourquoi c'était toujours donné au nom de dieu. Si ce n'est pas compréhensible alors demandons nous pourquoi nous disons c'est PAPA ou MAMAN qui l'a dit sans autres explications, soit parce que l'on n'est pas en âge de comprendre, soit parce que l'on est ignorant "l'on n'a pas apprit".
Bien que l'histoire biblique nous rapporte que c'était seulement des hommes (Noé, Moïse, Jésus, Mahomet)qui se sont trouvés inspirés par leurs observations et leurs compréhensions de l’environnement dans lequel ils évoluaient. Leurs descendants qui comprenaient être dépendant d'une création unique pour tout homme, l'on admit lentement tout en s’entre-tuant pour UN SEUL DIEU et le même POUR TOUS.

Ce fut la compréhension d'une lente marche vers le monothéisme.

Maintenant que tous le savent, et bien l'on continue à s'entre-tuer.
C'est comme l'alcool, le gout du sang devint une addiction monétaire pour préserver l'emploi en vendant des armes.
Quand je vous le dis que nous n'avons honte de rien, à part hypocritement le sexe.
Les mêmes qui nous font la morale sur la liberté des femmes, fabriques des armes pour les tuer.
Chacun à sa vision du monde. Entre nous c'est moins mortel de porter un foulard.

L'on ne va tout de même pas me discuter cela, à moins comme je l'ai souvent entendu, les fours seraient plus rentables avec les musulmans car ils sont plus nombreux que les juifs. Ça sa choque, que voulez vous je suis CHARLIE aussi.
je n'ai rien contre l'émancipation et la scolarisation des filles est des femmes.
Si l'on ne parvient pas à les convaincre qu'elles auront aussi la foi, avec ou sans foulard, si elle croient en dieu, et bien laisser du temps au temps et laissons leurs porter le foulard.
Nous savons très bien que l'histoire du port du foulard par identification politique existe, et alors ? La gauche pendant des années a porté une écharpe rouge, couleur du sang des travailleurs morts en lutte pour le droit de gréve.
Nous savons bien que cela, en dehors des revendications émancipatrices qui sont instrumentalisées, Le Débat autour du foulard n'est qu'un prétexte anti musulman dont les médias font le rabattage.

Penserions nous être plus malin pour juger quand au 21 siècle nous n'avons toujours pas compris que la virginité était seulement le "PRÉSERVATIF" DE L'EPOQUE pour ne pas se transmettre des MTS et plus efficace que ceux existant à l'usage peu répandu parmi le peuple.


La laïcité c'est respecter les autres tant qu'ils ne nous nuisent pas, ce n'est pas vivre à la FRANÇAISE, un béret, une baguette de pain sous le bras et des sabots aux pieds.
L'homme circule plus vite que de tout temps, et il emporte avec lui la culture qu'on lui a inculqué durant son enfance, par la famille, et l'on n'en change pas comme d'une chemise.

Dans chaque territoire des hommes ont retiré de leurs expériences de l'existence ce qu'ils considéraient être le meilleur pour eux, pour s'organiser sur la base de lois qu'ils attribuaient issus ou inspiré de la création. Nous faisons exactement la même chose, nous retirons nos lois de l'évolution de l'environnement dans lequel l'on vit (de la création) et dont l'on s'inspire pour savoir ce qui est bon ou mauvais pour nous, à la différence c'est que les lois sont abrogeables, au jour le jour, tandis que celles au nom d'un dieu, il faut attendre un nouveau prophète ou créer une variation, ou école quand il s'agit de philosophie comme le Bouddhisme. Nous nos variations, s'appellent les partis politiques

Nous donnons au VOILE une porté politique qui ne se justifie pas et encore moins comme symbole de soumission à l'homme, c'est totalement stupide et une contre vérité historique.
SI certains sont islamophobe ou raciste, alors qu'ils aient les couilles d'aller jusqu'au bout de leurs convictions au lieu de casser les couilles avec le foulard qui n'est qu'un VOILE de leurs véritables raisons.
MOI je ne ROULE pas AVEC le PÉTROLE MUSULMAN.

 

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Rédigé par ddacoudre

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